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feat. alexis ren
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Serena Vanderwaal
Nom vanderwaal, dix petites lettres qui résument pourtant bien des choses. une entreprise familiale et cent pour cent allemande, qui a fait ses preuves dans tout l'occident avant de venir exploiter sa notoriété sur le territoire américain.Prénom serena, blaze plus ou moins banal. du latin « serein », c'est peut-être pas le bambin auquel les parents s'attendaient.Âge après vingt ans d'existence, on en tire des leçons. de nos pires expériences jusqu'aux meilleures, on en apprend beaucoup sur soi et sur autrui. c'est pour ça qu'on est en droit de se considérer à la fleur de l'âge.Date de naissance voir le jour un onze novembre en l'an 1996, c'est pas cruel ni splendide. un jour où la Terre ne cesse pas de tourner, où le soleil ne cesse pas de se coucher. alors que pourtant, un véritable démon se pourrait être né.Lieu de naissance tu ne sais pas tant que tu n'y es pas allé. ça vous dit quelque chose ? direction le massachussets, tu te questionnes sur la plus grande ville de l'état et tu y es. en gros, boston. bravo champion.Statut amoureux un électron libre qui vogue dans les quartiers bostonnais, qui n'a rien à se mettre sous la dent mais qui n'a pas grand appétit. de quoi rester équilibré et bien dans ses baskets.Orientation sexuelle hétérosexuelle, la gente féminine : non merci. par ici, c'est le masculin qui est en première page. et pourtant, la page ne semble jamais s'être changée. à croire qu'on éviterait de nouvelles expériences..Classe sociale quand notre blaze est connu dans les trois quarts de l'europe, on peut se sentir extrêmement aisé, jusqu'à ce que l'on ne veuille absolument pas l'exhiber. à croire que la notoriété de nos antécédents deviendrait parasite.Études majeures un cursus d'ingénieurie, édition troisième année. quand ça nous plaît, on voit pas trop de raison de s'en arrêter là.Études mineures quoi de mieux que de promulguer sa culture et les racines littéraires du pays que l'on connaît sur le bout de nos doigts ? bingo, pour ça on a la littérature allemande.Choix de groupe #1 CABOT HOUSEChoix de groupe #2 ELIOT HOUSE
CABOT HOUSE
Afin de te résumer lorsqu'on te connaît bien à autrui, on explique que ces personnes ne te connaissent en fait à peine. Pour être clair, t'as une sorte de double personnalité même si t'es pas non plus complètement bipolaire, ce qui fait que tu peux adopter deux caractères différents en un labs de temps complètement indéterminé — plutôt flippant, mais tu as toujours sû gérer. La Cabot House, pourquoi ? À vrai dire, tu peux être mielleuse et super féminine comme toute autre femme qui se respecte et qui défend ses droits, mais t'es aussi une grande timide qui ne pense qu'à s'amuser, rester avec ses proches de la Mather House et faire ses affaires dans son coin. Faut avouer que ça te développe par ailleurs un petit côté manipulateur, mais bon, si tu veux être dans la Cabot House, c'est aussi parce que ça ferait plaisir aux parents et que c'est une maison qui te semble pas trop mal pour t'intégrer parmi des reines des abeilles. Et leur promulguer ainsi tes avis sur la société, sur ce système de comportement et de façon d'être et d'exister qui te classe en suite dans un groupe où tout le monde est sensé te ressembler, n'objecter aucun de tes avis, ça t'intéresse. Puis même si tu trouves ça bidon, tant qu'on te propose de le faire — toi tu réponds pourquoi pas ?
ELIOT HOUSE
Être l'héritière de l'entreprise familiale — donc du patrimoine économique de la famille et tout ce qui s'en suit, c'est pas du gâteau. Tu dois rendre fière papa et maman, ils comptent sur toi, tout est sensé reposer sur tes épaules.. T'as pigé le truc. À vrai dire ça te dérange pas, surtout quand on sait pourquoi c'est toi qui est devenue l'aînée des Vanderwaal. Simplement parce que t'étais la cadette, celle qui suivait juste après ton tendre frère. Le héros, celui qui a péri suite à l'accident. Un tragique accident, certes, celui qui a redistribué les cartes chez les Vanderwaal. Un véritable casse-tête, auquel toi ainsi que toute ta famille rêverait de rendre hommage. Quoi de mieux que de commencer par représenter un membre de l'Eliot House ?
Afin de te résumer lorsqu'on te connaît bien à autrui, on explique que ces personnes ne te connaissent en fait à peine. Pour être clair, t'as une sorte de double personnalité même si t'es pas non plus complètement bipolaire, ce qui fait que tu peux adopter deux caractères différents en un labs de temps complètement indéterminé — plutôt flippant, mais tu as toujours sû gérer. La Cabot House, pourquoi ? À vrai dire, tu peux être mielleuse et super féminine comme toute autre femme qui se respecte et qui défend ses droits, mais t'es aussi une grande timide qui ne pense qu'à s'amuser, rester avec ses proches de la Mather House et faire ses affaires dans son coin. Faut avouer que ça te développe par ailleurs un petit côté manipulateur, mais bon, si tu veux être dans la Cabot House, c'est aussi parce que ça ferait plaisir aux parents et que c'est une maison qui te semble pas trop mal pour t'intégrer parmi des reines des abeilles. Et leur promulguer ainsi tes avis sur la société, sur ce système de comportement et de façon d'être et d'exister qui te classe en suite dans un groupe où tout le monde est sensé te ressembler, n'objecter aucun de tes avis, ça t'intéresse. Puis même si tu trouves ça bidon, tant qu'on te propose de le faire — toi tu réponds pourquoi pas ?
ELIOT HOUSE
Être l'héritière de l'entreprise familiale — donc du patrimoine économique de la famille et tout ce qui s'en suit, c'est pas du gâteau. Tu dois rendre fière papa et maman, ils comptent sur toi, tout est sensé reposer sur tes épaules.. T'as pigé le truc. À vrai dire ça te dérange pas, surtout quand on sait pourquoi c'est toi qui est devenue l'aînée des Vanderwaal. Simplement parce que t'étais la cadette, celle qui suivait juste après ton tendre frère. Le héros, celui qui a péri suite à l'accident. Un tragique accident, certes, celui qui a redistribué les cartes chez les Vanderwaal. Un véritable casse-tête, auquel toi ainsi que toute ta famille rêverait de rendre hommage. Quoi de mieux que de commencer par représenter un membre de l'Eliot House ?
APRÈS LA BOMBE
Un an et demi avant ton admission à Harvard. Tu n'étais pas présente, mais en tant que bostonienne bien évidemment que tu en as beaucoup entendu parler. À ce semestre de ton année scolaire, tu étais en énième période d'examens puisque la remise des diplômes se tenait dans seulement quelques mois. Quand on évoque le sujet de l'attentat de janvier 2013, il te revient que tes parents avaient déjà projeté un futur universitaire pour toi à Harvard à cette époque-là — et, qu'au moment où les médias se mirent à en faire parler sur la surface internationale cela avait crée une certaine agitation dans les avenues de Boston, ou même chez toi, avec tes parents, qui commençaient à douter de la sécurité de ton avenir. Tu te doutais bien que l'université ultra-prestigieuse à l'échelle mondiale qu'est Harvard pouvait être sans aucun doute cible de nombreuses activités du contre-gouvernement, mais l'événement t'avais tout de même énormément touché, que ce soit pour les nombreuses vies d'étudiants prestigieux perdues, des connaissances qui s'y trouvait et qui elles auraient pu être touchées, ou bien même l'attaque subie en elle-même. Des mois après on en parlait encore, jusqu'à ce que Harvard se redresse de lui-même et jusqu'à ce que cette histoire se glisse dans les archives de l'établissement et de la ville.
Un an et demi avant ton admission à Harvard. Tu n'étais pas présente, mais en tant que bostonienne bien évidemment que tu en as beaucoup entendu parler. À ce semestre de ton année scolaire, tu étais en énième période d'examens puisque la remise des diplômes se tenait dans seulement quelques mois. Quand on évoque le sujet de l'attentat de janvier 2013, il te revient que tes parents avaient déjà projeté un futur universitaire pour toi à Harvard à cette époque-là — et, qu'au moment où les médias se mirent à en faire parler sur la surface internationale cela avait crée une certaine agitation dans les avenues de Boston, ou même chez toi, avec tes parents, qui commençaient à douter de la sécurité de ton avenir. Tu te doutais bien que l'université ultra-prestigieuse à l'échelle mondiale qu'est Harvard pouvait être sans aucun doute cible de nombreuses activités du contre-gouvernement, mais l'événement t'avais tout de même énormément touché, que ce soit pour les nombreuses vies d'étudiants prestigieux perdues, des connaissances qui s'y trouvait et qui elles auraient pu être touchées, ou bien même l'attaque subie en elle-même. Des mois après on en parlait encore, jusqu'à ce que Harvard se redresse de lui-même et jusqu'à ce que cette histoire se glisse dans les archives de l'établissement et de la ville.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES
Ta première année débute à Harvard et non sans péripéties. En effet, à peine t'y poses les pieds que c'est déjà le bordel — des agressions sexuelles font parler d'elles partout dans le campus, et même si t'en as pas mal rien à foutre tu l'as bien sentie, cette ambiance morbide qui régnait sur l'ensemble du campus. Ces personnes qui te regardent de manière suspecte dès que tu traverses un couloir, les étudiants qui vivent constamment dans la peur de se faire prendre au piège et de se retrouver seule, désarmé contre toute atteinte physique. Heureusement, comme beaucoup à Harvard, tu as échappé à ces manigances. Quelques temps plus tard, d'abord le cinq janvier où les maisons furent officiellement supprimées, t'étais pas là pour manifester comme une abrutie. Le système des maisons ne te déplaît pas, mais disons que tu t'identifies pas comme une grande fan du fonctionnement. Que ta manière d'être et de penser te classe dans un groupe où tout le monde te ressemble et est sensé marcher dans le même sens que toi, c'est pas ce que tu trouves de plus ingénieux. Puis vint le dix-sept janvier où le campus devint une vraie fête foraine, ou bien, plutôt, a régné dans le silence le plus complet. Au moment où c'est arrivé, tu n'étais pas sur le campus mais dans le quartier de Back Bay, à Boston, histoire de te la couler douce tandis que tes potes et autres étudiants sombraient dans la panique totale. L'annonce s'est lancée rapidement, tu avais donc été informée dès qu'il avait été possible d'en informer les autorités elles-mêmes. Tu n'as pas vraiment tenté de t'en mêler, même si les semaines qui sont venues après ont rendu la tâche impossible puisque dès que t'allais quelque part on te criait te prendre soin de toi, de bien faire attention à autrui dans les lieux publics, tant que ça en devint lourd. Certes, en faisant un bilan de tes premiers mois à Harvard on peut se dire que c'est plutôt mal parti, mais avoir cette immense honneur d'être intégré à un établissement pareil, ça ne se refuse pas et c'est s'engager dans les conséquences que l'université pourra subir et toujours prêter main forte à la communauté, quel que soit notre statut. Alors tu t'adaptes.
Ta première année débute à Harvard et non sans péripéties. En effet, à peine t'y poses les pieds que c'est déjà le bordel — des agressions sexuelles font parler d'elles partout dans le campus, et même si t'en as pas mal rien à foutre tu l'as bien sentie, cette ambiance morbide qui régnait sur l'ensemble du campus. Ces personnes qui te regardent de manière suspecte dès que tu traverses un couloir, les étudiants qui vivent constamment dans la peur de se faire prendre au piège et de se retrouver seule, désarmé contre toute atteinte physique. Heureusement, comme beaucoup à Harvard, tu as échappé à ces manigances. Quelques temps plus tard, d'abord le cinq janvier où les maisons furent officiellement supprimées, t'étais pas là pour manifester comme une abrutie. Le système des maisons ne te déplaît pas, mais disons que tu t'identifies pas comme une grande fan du fonctionnement. Que ta manière d'être et de penser te classe dans un groupe où tout le monde te ressemble et est sensé marcher dans le même sens que toi, c'est pas ce que tu trouves de plus ingénieux. Puis vint le dix-sept janvier où le campus devint une vraie fête foraine, ou bien, plutôt, a régné dans le silence le plus complet. Au moment où c'est arrivé, tu n'étais pas sur le campus mais dans le quartier de Back Bay, à Boston, histoire de te la couler douce tandis que tes potes et autres étudiants sombraient dans la panique totale. L'annonce s'est lancée rapidement, tu avais donc été informée dès qu'il avait été possible d'en informer les autorités elles-mêmes. Tu n'as pas vraiment tenté de t'en mêler, même si les semaines qui sont venues après ont rendu la tâche impossible puisque dès que t'allais quelque part on te criait te prendre soin de toi, de bien faire attention à autrui dans les lieux publics, tant que ça en devint lourd. Certes, en faisant un bilan de tes premiers mois à Harvard on peut se dire que c'est plutôt mal parti, mais avoir cette immense honneur d'être intégré à un établissement pareil, ça ne se refuse pas et c'est s'engager dans les conséquences que l'université pourra subir et toujours prêter main forte à la communauté, quel que soit notre statut. Alors tu t'adaptes.
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle chemical bliss (esther) et j'ai dix-huit ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à bazzart. Je suis déjà passée par ici sans ôsé m'inscrire, mais ma pote (big up à axelle) m'a traînée ici avec elle alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise alexis sassy ren comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par ultraviolences. Je fais environ 300+ mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
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