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LEVI N. BURBERRY ► Levi Miller

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feat. LEVI MILLER
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Levi N. Burberry
Nom BurberryPrénom(s) Levi NinoÂge 12 ansDate de naissance Le 14 janvier 2005Lieu de naissance Londres Statut amoureuxCélibataireOrientation sexuelleIl s'est longtemps cru hétéro mais un garçon a tout changé et il se remets donc en question..Classe sociale MoyenneJobCollégienDepuis combien de temps ? neuf ans plus ou moins.Choix de groupe Citizen

     
Avez-vous étudié à Harvard ?
    Evidemment que non, je n’y ai encore jamais mis les pieds, mais qui sait, peut-être qu’un jour, j’aurais la chance de pouvoir y étudier et ça me plairait beaucoup. Je m’imagine bien entrer à Harvard un jour, même si je sais que pour ça, il va falloir que j’étudie énormément pour avoir une chance d’y être accepté et que je collectionne les bonnes notes également, ce qui n’est pas encore mon cas actuellement, mais voilà. Pour avoir une chance d’intégrer cette université, je suis bien décidé à me donner à fond s’il le faut et je pense que lorsque le moment sera venu, j’intégrerais soit les Eliot, soit les winthrop.


     COMMENT VOUS VOYEZ VOUS DANS LE FUTUR ?
     Du haut de mes douze ans, j’ai un caractère assez affirmé. Lorsque quelque chose ne me plaît pas ou m’insupporte, je le clame haut et fort et je ne pense pas que ce trait de caractère va changer avec l’âge étant donné que j’ai toujours été comme ça. Je pense qu’à l’adolescence, quelques portes vont claquer et que je tapperais du poing sur la table, je pense également que j’aurais tendance à faire les choses cmme je les aurais décidées et tant pis si ça plait ou pas. On a qu’une vie et je veux en profiter pleinement, faire tout un tas d’expériences. En regretter quelques unes et m’en remémorer d’autres avec le sourire. Je ne me vois pas entouré de beaucoup d’amis, juste sur quelques-uns qui se compteront sur les doigts d’une seule main mais sur lesquels je pourrais réellement compter. Je suis sûr que l’on fera les quatre-cents coups ensembles. Coté études, je m’imagine bien faire du droit. J’ai toujours tendance à m’en mêller lorsqu’une situation me semble injuste et je suis toujours partant pour prendre la défense d’un ami lorsque c’est nécéssaire. On me dit souvent aussi que j’ai une oreille très attentive et que je suis doué pour redonner le sourire lorsque tout va mal. Mais je ne me vois pas faire des études en psychologie pour autant, j’aurais trop peur de tomber en dépression à écouter les problèmes de tout le monde. Je veux bien aider mes amis et les personnes que j’apprécie quand je peux, mais je ne pense pas en faire une vocation.
APRÈS LA BOMBE.
 Je n’avais que huit ans lorsque ce tragique évènement a eu lieu et je vivais à Londres, bien loin de tout cela. Seul avec ma mère pour seule famille qui n’a évidemment pas jugé bon de me parler de ce drame puisqu’il n’y avait pas de raison de le faire, je suis resté à l’abri de cette nouvelle. J’imagine qu’elle a dû faire grand bruit à la télévision, mais cependant, je n’ai pas été mis au courant, tout comme je ne l’étais pas forcément des choses qui se passait dans le monde à cette période.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
    Là aussi, j’étais très jeune lorsque c’est arrivé, et dès lors, je n’ai pas vraiment été mis au courant de ces histoires. Généralement, lorsque des adultes parlent d’agression et qu’un enfant apparaît dans la pièce, les adultes se taisent. Ma mère n’a pas fait différemment avec moi et j’ai donc beau chercher, je ne me souviens pas d’avoir entendu parler des agressions vécues sur Harvard. Et encore moins des prises d’otages. Je n’étais pas vraiment fan des écrans de télévision lorsque j’étais petit, et je ne le suis pas beaucoup plus aujourd’hui. Et j’étais trop jeune pour m’emparer d’un journal avec l’envie de le lire. Donc voilà, je suis encore une fois ignorant de toutes ces histoires, mais je suis sûr que si j’en entendais parler à présent, cela me toucherait énormément.  
ITEM LIBRE (FACULTATIF).

    - Levi n'a pas été habitué aux marques d'affection: sa mère n'étant pas très maternelle avec lui, il ne sait pas trop ce qu'est un câlin. Certes, il a déjà vu certains de ses camarades en faire à leurs parents lorsque ces derniers venaient les reprendre ou bien lorsqu'ils les amenaient dans la cour de récréation, mais lui, la seule fois qu'il a essayé d'en faire un à sa mère, elle l'a repoussé et depuis, il n'a plus jamais tenté l'expérience.

- Il a toujours vécu seul avec sa maman et n'a jamais connu son père. Et pour cause: sa mère l'a eu jeune, Levi est le résultat d'une histoire d'un soir, et s'il est là, c'est parce qu'elle a fait un déni de grossesse... Et tout ça, elle ne l'a jamais caché à son fils. Levi sait donc qu'il est un accident, seulement, lui, il aimerait bien connaître son père, savoir qui il est, mais sa mère refuse systématiquement de lui en parler, ce qui est très difficile pour le petit garçon, car immanquablement, son père et un exemple masculin lui manquent beaucoup.


- C'est un vrai estomac sur pattes, heureusement pour lui, il peut manger ce qu'il veut sans grossir et il en profite. En revanche, comme sa mère le laissait souvent manger tout et n'importe quoi lorsqu'il en avait envie, Levi n'a pas vraiment un bon régime alimentaire: il est capable de déjeuner avec un paquet de gâteaux, de dîner avec un paquet de chips et de déguster des bonbons pour le goûter.

- Lorsqu’il vivait avec sa mère, Levi avait deux personnalités : une pour la maison, et la seconde pour l’école. A la maison, il semblait être un jeune garçon complètement introverti, qui ne parlait pas vraiment avec sa mère, et qui pouvait passer des heures à jouer dans sa chambre les jours où il n’y avait pas école ou bien, dans le jardin. Il semblait être en permanence dans sa bulle et refusait que sa mère y entre. Il s'est toujours braqué contre elle et aimait particulièrement lui dire non à un point tel qu'elle n'en tirait jamais rien et qu'elle a fini par baisser les bras et le laisser faire  tout à sa guise, pour ne plus se "battre" avec son fils. En revanche, lorsqu’elle le conduisait à l’école, à peine arrivé dans la cour de récréations, il ne manquait jamais de courir vers ses camarades, ravi à l’idée de les retrouver, et en leur présence, sa mère n’existait plus. L’école, c’était son échappatoire, l’endroit où il pouvait être lui-même, et cela semblait parfaitement lui convenir. Aux yeux de ses copains et de ses institutrices, Levi a toujours donné l’impression d’être un enfant pleinement épanoui, plein d'énergie, très sociable, et avec un petit caractère bien trempé mais adorable. Tout le contraire de ce qu’il était chez lui, en somme.

-Jusqu'à l'âge de cinq ans, il a eu quelques petites histoires avec des petites camarades de classe, jamais rien de très sérieux évidemment, un jour c'était l'une, le lendemain c'était l'autre, bref, vous savez comment sont les enfants, ça ne dure jamais très longtemps. Cependant, les filles ont vite commencés à l'ennuyer et il préférait nettement s'amuser avec ses copains à des jeux de garçons. En grandissant, il n'est plus jamais tombé vraiment amoureux d'une fille et ne se posait pas plus de questions que cela. Jusqu'à il y a quelques mois, lorsque Ezra, un nouvel élève, est arrivé dans sa classe, en cours d'année scolaire. Levi a très vite ressenti une sorte d'attirance pour lui, sans comprendre pourquoi cela lui arrivait. Il a cependant fait comme si de rien était et s'est arrangé pour faire de ce nouveau camarade, un ami. Très vite, ils sont devenus inséparables, pour le plus grand bonheur de Levi. A présent qu'il est sur Cambridge, il garde contact avec lui grâce à son portable et les réseaux sociaux.

- Il se mets très vite sur la défensive, paraissant presque susceptible. Et malheureusement, il est très rancunier, à un point tel qu'il ne pardonne que très rarement. S'il se trouve que Levi soit en froid avec une personne, il prendra un malin plaisir à l'ignorer totalement, même s'il s'agi d'un ami avec qui il était inséparable.

- Levi fait du Breakdance depuis qu'il a six ans, c'est une véritable passion pour lui. Il aime aussi beaucoup faire du skate et du roller et très casse-cou, il ne voit pas toujours le danger. Il s'est déjà plusieurs fois fait bien mal dans ces deux disciplines, mais ne renonce jamais à recommencer.

- Il est très protecteur envers les personnes qu'il aime et réagi au quart de tour si on s'en prends à l'une d'entre elles.

     
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story of my life
Londres, le 14 janvier 2017

Je m’appelle Levi et j’ai eu douze ans aujourd’hui. Je pensais ne jamais écrire dans un journal intime, mais notre voisine a eu l’idée de m’en offrir un pour mon anniversaire en me disant que sa fille adorait glisser toutes sortes de choses et certainement une multitude de secrets dans le sien, et elle a dû songer que j’aimerais faire pareil. Honnêtement, ça me fait un peu bizarre d’écrire tout en sachant bien que personne d’autre que moi, je l’espère, ne lira ces lignes. Peut-être que dans quelques années, je jetterais un œil dans ces écrits pour me rappeler certaines choses et explorer les vestiges de mon passé.

Je suis né à Londres et ma venue au monde a été une surprise pour ma mère. Je ne pense pas par contre qu’elle ai été très heureuse de me voir arriver : à dix-huit ans, apprendre qu’elle avait fait un déni de grossesse et se retrouver avec un bébé sur les bras n’a pas dû être des plus évidents pour elle. Elle aurait pu me confier à l’adoption, et pourtant, pour une raison que j’ignore, elle ne l’a pas fait. Mon père, je ne l’ai jamais connu autrement que par les médisances que lançait ma mère à son sujet. Selon elle, c’était lui qui avait brisé son couple. Elle n’était pas avec mon père biologique à la base, mais avec un autre homme, dans une relation qui durait depuis un an déjà. Et qui aurait sans doute pu continuer, à ses yeux, si mon père n’avait pas été clamer haut et fort à son compagnon qu’elle l’avait trompé avec lui dans les vestiaires du lycée. Quand je suis né, il paraît qu’elle a tenté de faire croire à son ex que j’étais son fils, mais ce dernier, méfiant et n’ayant plus vraiment confiance en elle, a demandé à passer un test de paternité. Et le verdict est tombé : je n’étais pas son fils, et pour lui, c’était hors de question qu’il s’occupe d’un enfant qui n’était pas le sien. Il l’a donc laissé se débrouiller seule avec moi.

Je n’ai jamais vraiment eu de relation fusionnelle avec ma mère. Et j’ai sû très tôt que je n’étais qu’un accident. A la maison, j’ai tendance à faire ma vie de mon coté, et elle du sien, et à vrai dire, cela ne me dérange pas étant donné que j’ai toujours été habitué comme cela. Je crois qu’on en est venu à cela car je me suis très vite opposé à elle. J’aimais faire ce que je voulais quand je le voulais et je n’aimais pas qu’elle vienne s’en mêller pour interrompre mes plans. J’ai toujours été très têtu et j’avais la fâcheuse habitude de toujours vouloir avoir le dernier mot avec elle. Ce qui me laissait souvent entendre de sa part que j’avais certainement dû hériter ce sale caractère de la part de mon père, car elle, bien évidemment, elle était parfaite. Je n’en étais pas certain pour ma part et je ne me gênais pas pour lui clamer ses défauts. Je crois qu’au fond, j’aurais aimé avoir une mère telle qu’en avait mes camarades de classe. Mais j’étais loin d’avoir cette chance : avec ma mère, on se disputait tout le temps, on était jamais d’accord, et je finissais souvent par me sentir las d’être avec elle. Dès lors, pour être tranquille, je m’enfermais dans ma chambre et il n’était pas rare que j’y passe mes journées lorsque je n’avais pas école. Et lorsque venait le moment de se mettre à table, c’était devant la télé que je prenais mes repas. C’était pour moi une meilleure distraction que d’être avec elle. Très vite, on est devenu un peu comme deux étrangers vivant sous le même toit : elle me laissait faire ce que je voulais pour ne pas déclencher un scandale et moi, je faisais ma petite vie de mon coté.

A l’école par contre, j’étais complètement différent. J’aimais sans cesse me faire de nouveaux amis et j’étais tout sauf solitaire. Si mon institutrice me faisait une remarque, j’acceptais, sans discuter. Contrairement à ma mère, elle n’a jamais eu à lever la voix pour que je lui obéisse. J’ai toujours aussi beaucoup aimé rendre service à mes camarades en classe surtout lorsque l’un d’entre eux ne comprenait pas quelque chose Dans ces moments là, je ne renonçais jamais à l’aider à faire ses exercices en lui expliquant comment le réussir. J’aimais bien me sentir utile. A la maison, je n’avais pas l’impression que je l’étais, pour ma mère. C’est sans doute pour cela que je préférais être à l’école plutôt que chez moi. L’école, c’était mon échappatoire. Là-bas, j’avais l’impression de pouvoir être qui j’étais vraiment.

Contrairement à mes amis qui avaient au moins chacun une fille sur laquelle ils craquaient, je dois reconnaître que pour ma part, elles me laissait complètement indifférent. Certes, certaines d’entre elles étaient jolies, c’est vrai, je ne pouvais pas dire le contraire… Mais je n’en suis jamais vraiment tombé amoureux. J’aimais leur compagnie, mais cela s’arrêtait là. Ma mère a souvent dû penser que j’avais des sentiments pour ma meilleure amie, une fille que je connaissais depuis la maternelle. Oui, c’est vrai j’avais été amoureux d’elle à un moment, mais je n’avais que quatre ans. On était toujours l’un avec l’autre, main dans la main, c’était mon ombre, j’étais la sienne, on a fait les quatre cents coups ensembles. Maintenant , on est un peu moins proches. Mais on fait toujours les quatre cents coups ensembles et on était complètement inséparables. Du moins, je le croyais.

J’ai commencé à comprendre que j’étais différent lorsque Ezra, un nouvel élève , a fait son arrivée dans ma classe en cours d’année il y a deux mois. Il venait d’Australie et d’après ce qu’il avait expliqué sur lui, c’était à cause du métier de son père qu’il s’était retrouvé à Londres. Pendant tout le temps où il avait parlé, je n’avais pu en détacher mon regard. Mais je devais certainement le regarder avec un peu trop d’insistance car par moment, j’avais l’impression qu’il faisait tout pour ne pas m’accorder de l’attention. J’ai cru comprendre alors que je devais certainement le mettre mal à l’aise et j’ai fini par en détourner les yeux, pour gribouiller sur mon carnet de notes, tout en l’écoutant cependant d’une oreille attentive. Au fond de moi, j’avais l’impression de ressentir une certaine attirance pour lui. Mais c’était un garçon, dès lors, je savais que ce n’était pas normal. Du coup, je me remettais pas mal en question et je me disais que je ne pouvais pas me permettre de ressentir ce genre de choses à son égard. Dès lors, je tentais de me reprendre, cependant, je n’ai pu m’empêcher de vouloir m’en faire un ami. Et très vite, il est devenu mon meilleur ami.

Pour mon plus grand bonheur, on passait beaucoup de temps ensemble, il s’intéressait à ce que j’aimais et j’en faisais de même à son égard. Puisqu’il habitait à seulement deux rues de chez moi, c’était très courant qu’il vienne à la maison les jours où il n’y avait pas école, on faisait nos devoirs ensembles, on jouait aux jeux vidéos,  on parlait de tout et de rien. On est rapidement devenus très proches. Peut-être trop parce que parfois, ma mère nous adressait des regards suspects. Je voyais bien qu’elle se posait quelques questions. Mais je faisais comme si de rien était et j’emmenais toujours Ezra loin d’elle lorsqu’elle faisait cela. Je n’avais pas envie qu’elle le mette mal à l’aise étant donné que c’était le seul garçon que j’aimais réellement inviter à la maison. Je n’avais pas envie qu’elle gâche tout. Et pourtant c’est ce qu’elle a fait.

Je n’oublierais je pense jamais ce jour là. Ezra était venu à la maison pour m’aider à faire mes devoirs, dans ma chambre et à peine ces derniers terminé, on a discuter, et je ne sais plus trop comment on en est arrivé là, mais on a fini par s’embrasser… Et c’est là que ma mère est rentrée, comme un cheveu dans la soupe, nous faisant nous interrompre, pour la regarder, complètement gênés de s'être fait prendre. Ezra a alors pris ses affaires et a prétexté devoir rentrer chez lui. Ma mère n’a rien fait pour le retenir, elle était trop furieuse contre moi. J’étais furieux contre elle également. En temps normal, elle ne rentrait jamais dans ma chambre. Pourquoi avait-elle décidé de changer ses habitudes ce jour là ? Je ne comprenais pas pourquoi elle s’était mise autant en colère après qu’Ezra soit parti. On avait rien fait de mal après tout. Seulement, je n’ai pas pu en placer une… Elle a parlé, parlé et parlé encore, se demandant ce qu’elle avait bien pu faire pour mériter ça, entre autres… A ses yeux, je lui faisais honte. Elle ne voulais plus assumer. Et c’est là qu’elle a prononcé la fameuse phrase : fais ta valise, je t’emmène chez ton père. Evidemment, j’ai essayé de protester. Certes, je lui avais souvent dit que je voulais savoir qui était mon père, mais je n’avais pas envie, maintenant qu’il y avait Ezra, de partir. J’aimais Londres, j’aimais être ici, mais encore une fois, elle n’a rien voulu entendre et a fait les choses comme elle les avait décidées : trois jours plus tard, nous nous retrouvions dans un avion, destination Cambridge. Ma mère avait retrouvé la trace de mon père grâce aux réseaux sociaux. Elle avait même discuter un peu avec lui, en prenant soin de cacher sa réelle identité, et c’est comme ça qu’elle a appris dans quel coin il résidait.

A peine arrivés sur Cambridge, c’est chez lui que nous nous sommes rendus. Enfin, nous étions à quelques mètres de chez lui lorsqu’elle m’a dit avoir oublié son sac à mains dans le Taxi que nous avions pris. Ce dernier semblait prêt à repartir et au vue du regard inquiet de ma mère, je n’y ai vu que du feu. J’ai commencé à marcher jusqu’au lieu de résidence de ce dénommé Julian dont j’allais prochainement faire la connaissance, puis, je me suis retourné pour voir ce que ma mère trafiquait… Pour la voir confortablement installée dans le Taxi qui reprenait la route. Estomaqué, je n’ai même pas songé à lui courir après. Au final, je crois que je m’en fichais un peu. Elle m’avait emmené pour vivre chez mon père, elle m’avait prévenu, j’aurais dû me douter qu’elle n’avait pas été très honnête avec son histoire de sac oublié. Je pensais tout de même qu’elle m’aurait accompagné jusqu’à la porte, ne serait ce que pour s’assurer que mon père était bel et bien chez lui. Mais non, sans le moindre remord, elle venait de me laisser seule dans un pays inconnu, chez un parfait inconnu, avec une valise contenant à peine des vêtements pour une semaine. Et c’est à peine si je l’entendais me dire « Débrouilles-toi. » Et d’un coté, heureusement que j’étais débrouillard. C’est d’ailleurs en prenant mon courage à deux mains que je m’avançais jusqu’à l’adresse qu’elle m‘avait donnée pour sonner à la porte. Je ne sais pas ce qui allait arriver : si Julian allait me croire, s’il allait me foutre dehors, s’il me garderait, s’il allait être cool. La seule certitude que j’avais, c’était qu’à présent, j’étais complètement perdu, et qu’il était à présent le seul sur lequel j’allais devoir compter à partir de maintenant.


       
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mon fils LEVI N. BURBERRY ► Levi Miller 1001568715 LEVI N. BURBERRY ► Levi Miller 3850463188
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Mooooh, ca fait plaisir de voir autant d'amour de la part de Juju :love2: LEVI N. BURBERRY ► Levi Miller 2659158125 :feldt: Je vais en profiter ici, avant que ça se termine dans nos rps ^^
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Rebienvenuuuuuuuuuuuue avec ce trop meugnon bout d'chou LEVI N. BURBERRY ► Levi Miller 1946740601
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Rebieeeenvenue LEVI N. BURBERRY ► Levi Miller 3850463188
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Merciiii beaucoup Bambi LEVI N. BURBERRY ► Levi Miller 3850463188

Je te retourne le compliment, Barbara est juste sublime LEVI N. BURBERRY ► Levi Miller 2438915920

Merciii à toi aussi Sloan LEVI N. BURBERRY ► Levi Miller 3850463188
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rebienvenue LEVI N. BURBERRY ► Levi Miller 2511619667
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(re)Bienvenue sur ILH et bon courage pour ta fiche LEVI N. BURBERRY ► Levi Miller 3850463188
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Profte en parce que Jul' va t'en faire voir de toute les couleurs
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