Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityPanique à bord (Bambi)
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Panique à bord (Bambi)

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J’étais totalement déconcentré. En cours je n’écoutais que d’une oreille, mes notes ne ressemblaient à rien, des gribouillis sans sens que j’allais avoir bien du mal à déchiffrer lorsqu’il allait falloir réviser avant les partiels… Je devrais me reposer un peu plus sauf que voilà, depuis les révélations d’Ash, je faisais mon grand trouillard et j’avais opté pour ma solution préférée : la fuite. Tous les prétextes étaient donc pour sortir, pour rentrer à pas d’heure ainsi, ne pas avoir à la croiser… Sauf que manque de sommeil = fatigue, que fatigue = manque de vigilance et que manque de vigilance = accident du travail. Au garage comme tous les soirs après les cours, j’étais en train de réparer le moteur d’un quatre quatre lorsque je me coupai par mégarde le doigts. Sortant aussitôt ma main du cambouis, j’observai la blessure qui m’apparut aussitôt être d’une gravité alarmante. J’enroulai le bobo dans un torchon qui passait pour éponger le sang avant de me dire que ce n’était peut être pas le bon truc à faire, que j’allais me choper le tétanos ou une infection qui passait, et en plus, ça continuait de saigner. Ca y est, les pires scénarios envahissaient mon esprit, et comme toujours dans ces cas là, je dégainais mon téléphone pour écrire à ma doc perso. Je détestais les hôpitaux et les cabinets de médecins en général, alors si je pouvais éviter une vraie consult, j’étais partant. Et Bambi me connaissait bien, elle me sentit inquiet et me proposa de passer à la cabot house pour qu’elle puisse regarder. Je pris juste le temps de retirer mon bleu de travail et direction la confrérie de ma sauveuse. En arrivant, je fonçai directement jusqu’à sa chambre contre la porte de laquelle je toquai avec énergie : « Je me sens faible Bambi, je crois que j’ai perdu trop de sang… » Ou alors, j’avais une imagination trop prolifique. Autre explication plausible devant les frayeurs qui gagnaient mon esprit.  
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Après le bref échange d'avec Denys, l'italienne avait continué de réviser encore quelques minutes, s'attendant à le voir débarquer à la Cabot House d'une minute à l'autre. En prévision, elle avait tout de même sorti sa trousse de premiers secours, au cas où, histoire d'au moins désinfecter comme il faut la plaie et de la panser également pour ne risquer aucune infection d'aucune sorte. Ce n'était pas la première fois que Bambi rassurait le jeune homme sur un bobo qu'il se faisait. Le Mather avait une toute petite mini tendance à être hypocondriaque, mais elle préférait de loin qu'il la consulte elle plutôt qu'il n'aille se paniquer plus encore en surfant sur le net. D'ici à ce qu'il ne lui sorte que son bobo au doigt pouvait se transformer en gangrène, il n'y avait qu'un pas et là dessus aussi, la brunette ne voulait prendre aucun risque. Entre chou, entre et montre moi ça ! fit-elle d'une voix douce, comme toujours, une fois qu'elle eut ouvert la porte de sa chambre pour permettre à Denys d'entrer. Tu l'as passé sous l'eau quelque chose ?
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 Panique à bord devant le petit saignement qui s’échappait de mon doigts, je pris sur moi pour prendre le chemin de la Cabot House. Combien de litre de sang pouvait-on perdre avant de passer au stade hémorragie ? Et combien j’avais perdu de litre pour ma part ? Voilà les questions qui occupaient mon esprit lorsque je toquais à la porte de mon étudiante en médecine préférée. Peut être que c’était l’empressement que j’avais eu pour venir qui en était réellement la cause, mais j’étais un peu essoufflé, et je psychotais alors, me disant que je me sentais faible, sentiment dont je fis part à la demoiselle qui m’invitait à entrer. Brandissant mon doigts, encore un peu noirci par les huiles du moteur contre lequel je m’étais blessé, Bambi s’inquiéta des soins que j’avais déjà prodigué à mon index. « Non, je l’ai pas passé sous l’eau ? J’aurais du ? Je vais mourir c’est ça ? » soufflai-je en regardant mon doigts avant de commenter : « Le noir qui apparaît c’est signe que je vais le perdre ? » Non, c’était juste du cambouis qui restait. Je racontai ensuite : « J’étais en train de bosser au garage quand c’est arrivé, alors j’ai juste essayé d’arrêter le saignement en enroulant mon doigts dans un chiffon… »
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Avec Denys, il valait mieux choisir les questions à poser avec une extrême minutie en cas de bobo à moins de ne vouloir se retrouver avec un corps masculin de grande taille inanimé au sol. Par chance, à sa première interrogation, il paniqua juste, et l'italienne fut en mesure de gérer aussitôt : mais non tu ne vas pas mourir voyons ! Denys regarde moi, prends de grandes inspirations, t'es tout tendu là ! Bon Bambi n'allait pas lui dire qu'une respiration trop accélérée augmentait également le débit sanguin, hein ? Inutile de le faire baliser pour rien, surtout que la plaie semblait belle, peu profonde, et que le sang avait d'ors et déjà coagulé. Bonne nouvelle : le jeune homme ne souffrait pas d'hémophilie ! Mais ça non plus, la brunette n'allait pas se risquer à sortir le terme, car il aurait tôt fait de baliser avec, faire ses propres recherches et craindre à chaque fois qu'il aurait le malheur de se couper avec une petite feuille de papier. Par conséquent, elle se focalisa surtout sur la petite tache noire dont il lui parlait, et comme il travaillait dans un garage, elle approcha son nez. C'est rien, juste une trace de cambouis restante. Un petit coup de chiffon et il n'y paraîtra plus ! Ta plaie me semble belle, le saignement s'est déjà arrêté d'ailleurs. Je vais te désinfecter tout ça ! Il était propre ton chiffon par contre ?
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  Je réalisais que mes réflexes avaient été très mauvais. Et là ça y est, à cause de trop de temps passé sur doctissimo, les questions de mon amie provoquèrent les pires scénarios dans ma tête : pas de lavage de la plaie = risque d’infection = septicémie = choc septique = décès. Comment d’un petit bobo j’étais capable d’imaginer le pire. Heureusement, Bambi me connaissait, elle me commandait de m’inspirer, de me détendre. Et puis je détaillai un instant mon doigts, horrifié, essayant de ne pas céder à la panique. Mais le noir qui tâchait ma peau me dit envisager à nouveau le pire : nécrose. Ca y est, j’allais perdre mon doigts. Miss Corleonesi s’approcha alors pour renifler un instant ma blessure : cambouis. Voilà le verdict de la doctoresse en herbe. Elle souligna que la plaie était belle, que le saignement s’était arrêté, bref que des bons points. « Ca va piquer ? » grimaçai-je quand elle annonça la désinfection. Allez fais pas ton gosse Denys. Et puis de toute façon, mes craintes de picotements s’effacèrent quand elle évoqua l’état du chiffon. « Tu sais, c’est un chiffon qui trainait sur l’établi du garage, alors propre c’est un grand mot… » Là c’était sûr j’allais pas échapper à la désinfection.
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Une chance que justement, Denys ait un boulot dans un garage et que cette fameuse tache noire sur son doigt ne soit point une nécrose mais bien un vulgaire reste de cambouis. Rien qu'à l'odeur, difficile de se tromper. Bien qu'une plaie infectée soit extrêmement odorante, là Bambi aurait pu mettre sa main à couper - sans mauvais jeu de mots - que le cambouis soit le seul responsable de cette petite marque noire... outre le fait que pour une telle infection, il faille plus qu'une heure à peine. Tu veux un p'tit beusou pour faire passer ? Mais non ça ne va pas piquer, j'ai un désinfectant qui ne pique pas le rassura-t-elle aussitôt. La bétadine restait le meilleur antispectique du monde et, la plupart du temps, ne laissait aucune douleur sur la plaie. Continue à respirer profondément, t'en fais pas reprit-elle dans un petit sourire, alors qu'elle œuvrait sur le didi blessé. Toi qui me parle tout le temps de maladie grave, tu as pris le premier chiffon blindé de cambouis que tu as trouvé ? C'est cocasse !
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