Une fin de soirée surprenante. Diolya.

Quand je me suis, remis à nager tous mes potes de la natation étaient super heureux de me revoir dans le bassin, chose qui m'avait beaucoup touché, d'ailleurs on sort d'une grosse soirée en boite de nuit ils m'avaient invité pour mon retour à la natation je ne pouvais pas refuser cette invitation, ma mère était d'accord, je n'ai pas beaucoup bu, car je sais tout de même me contrôler sa  aurais été le Diogo d'il y a deux ans oui je me serais bourré la gueule, a pas d'heure, mais en deux ans je me suis calmée et je préfère largement ainsi. Je viens de quitter mes potes qui sont rentrés entre eux, pas de filles pour cette soirée c'était seulement une soirée entre mec à se marrer de tout est de rien, cette soirée m'a fait du bien cela m'a fait rappeler de pas mal de choses qui m'avaient manqué avec mes potes. Je suis en dehors de la boite de nuit dont j'aperçois une belle blonde qui a l'air un peu soule, puis-je me rends compte que je connais la jeune  femme en effet je l'avais rencontré une semaine plutôt à la piscine, je la rejoints pour voir si tout va bien ou si  elle avait besoin d'aide, car elle semble complètement ailleurs. Hey tout va bien ? Tu te souviens de moi ? C'est Diogo de la piscine. Elle ne marche pas droit, elle trébuche même plusieurs fois, je la retiens doucement. Laisse-moi t'aider, Toujours aucun mot, je sens qu'elle va m'envoyer balader, mais je ne pouvais pas la laisser ainsi.

Ces derniers temps, tu passais trop de temps au bar. Tu savais que ce n'était pas bon pour toi et que tu allais rentrer dans un état pas possible comme à chaque fois. Tu avais beau te retenir, mais le fait de boire te soulager. Disons que tu avais l'alcool facile. Après avoir bu tout le long de la soirée, tu payes tes consommations. En sortant l'air frais sur ton visage, tu inspires et respires doucement en sentant que tu avais la tête qui tournait et ne marchant plus droit. À chaque cuite, tu te disais que tu allais arrêter et puis finalement non. Tu regardais tout autour de toi comme si tu ne reconnais pas l'endroit tandis que tes pensées se mélangeaient. Quand une personne vient à ton secours. Tu mets un peu de temps à reconnaître jusqu'à ce que Diogo dise son prénom. Bien sûr, tu l'avais reconnu, mais tu n'étais pas sûre. Sentant tes jambes qui flanchaient. Tu ne réponds rien. « Non merci, je vais me débrouiller toute seule et ne me touche pas. » Dis-tu en te retenant de justesse au brun aux yeux bleus, car tu as encore failli encore tombé. Aussitôt, tu le lâches ne voulant pas avouer qu'en vérité, tu avais besoin de lui.

La fête était incroyable la musique était super bonne je me suis bien éclatée ce soir, mais potes essayer du mieux qu'ils pouvaient pour me faire boire, mais moi quand je dis non c'est non, sans alcool je me suis tout de même bien amusée comme quoi nous n'avons pas besoin d'alcool pour boire.  Un groupe de filles me regarder en me fessant des clins d'œil assez clair, mais j'étais avec mes potes, ils me disaient d'y aller, mais je ne voulais pas ce n'est pas que les filles ne me plaisaient pas, bien au contraire elles étaient toutes belles, mais ce soir j'étais là pour mes potes, même si eux de  leur côté j'en suis certain qu'ils m'auraient laissé tomber pour rejoindre le groupe de filles.  Je vais surement le regretter, mais tant pis. Je tenais la jeune femme par le bras, elle me disait qu'elle ne voulait pas que je la touche, je fais comme si je n'avais pas entendu,  Ne t'en fais pas je ne vais pas en profiter  pour te tripoter, je te viens seulement en aide c'est tout. Dis-je en la tenant bien contre moi. Tu es toute seule ? Je peux te ramener chez moi pour m'occuper de toi. Pour voir si elle arrivait toujours a marché nous marchons tous les deux un petit peu, mais la demoiselle à du mal, donc je l'accroche à moi du mieux que je peux, pour ne pas quelle tombe.

Ton bras était autour du cou de Diogo qui te tenait tant bien que mal parce que tu avais beaucoup de mal à rester sur tes deux jambes. « Oui, c'est que tu dis ça. Vu comme tu es dragueur, j'ai le droit d'être méfiante. » Tu le regardes un instant avant de soupirer. « Je peux m'occuper de moi-même toute seule et oui, je suis venue toute seule. » À peine, tu avais dit ça, que tes jambes flanchent et te trahissent en étant à genoux sur le trottoir. Tu avais eu la honte de ta vie. Mettant les mains sur ton visage, tu essaies de te remettre sur tes deux jambes, mais tu commençais à trembler. Putain, tu étais obligée de lui demander de l'aide. C'était bien la dernière chose que tu voulais faire. Alors la seule que tu trouves à faire, c'est de rester silencieux en observant le sol. Ta fierté ainsi que ta carapace sont bien trop fortes.   

Même si je ne la connais pas j'aurais gueuler si elle aurai était venu avec ses copines et qu'elle soit seule et bourrer en sortant de boite, mais ce n'est pas le cas c'est la deuxième fois qu'elle me parle de méfiance à mon égard je comprends tout à fait vu m'a réputation, mais cela ne va pas durer je suis un homme bien je le sais, elle va aussi le savoir vu que je lui propose mon aide. En effet j'aurais pu très bien prendre son téléphone portable et fouiller pour voir un contact qui aurait pu la prendre, mais non je lui propose de la ramener chez moi, dans ma maison chez les rouges dans ma chambre, avec mon ami est colocataire. Fort heureusement il ne sera pas là quand je vais ramener la jeune femme dans m'a chambre, arrête de te méfier tu devrais baisser la garde avec moi. Je sais que mes paroles sont dures, car je vois qu'elle en avais baver dans le passé, mais j'ai vraiment envie qu'elle ait confiance en moi. Oh oui ça se voit tellement, sans l'a lâché je baisse le regard en soupirant de plaisir. Bon sa suffit maintenant, ravale t'a fierté et accepte mon aide. Je la prends dans mes bras pour ne plus la lâcher, sans trop attendre on se rend dans m'a chambre avec la petite blonde qui est de plus en plus mal au point… Chose qui commence à me faire peur j'avoue, mais je garde le contrôle de la situation.

Tout ce que tu voulais, c'était ne plus souffrir, voir un être cher s'envoler pour le paradis. C'est pour ces raisons que tu rejetais tout le monde. Mais revenons au moment présent. Toi, Elycia tu étais complètement bourrée que tu refusais tout aide surtout venant de Diogo. En entendant que tu devais t'arrêter de te méfier et baisser la garde, tu te mets à rire. « Et si je n'ai pas envie ? Je te signale que c'est plus facile à dire qu'à faire idiot. » En sentant qu'il passait ses bras par sous tes jambes ainsi que sous tes bras, au début, tu te laisses faire, mais essaie au bout de quelques minutes de te débattre. Finalement, tu t'arrêtes en soupirant puis tu commences à ne pas te sentir très bien. Te sentant nauséeuse avec la tête qui tourne. Préférant fermer les yeux, tu laisses le vent te caresser le visage. Pour finalement t'endormir dans les bras du Winthrop. Quelques instants plus tard, pour ne pas dire une heure, tu te réveilles en réveil en sursaut ayant de la sueur sur le front. Grâce à la petite lumière, tu devines que tu étais dans une chambre, mais pas la tienne. Voyant le brun aux yeux bleus, tu soupires puis essaies de te lever pour aller aux toilettes, mais n'arrive pas à bouger tellement que tu avais mal à la tête. Alors, tu t'allonges en regardant le plafond.   

Tu n'avais rien remarqué puisque tu étais endormie dans les bras de Diogo pendant que ce dernier t'amenait jusqu'à son chez lui, c'est-à-dire chez les Winthrop. Chose que tu avais vu après t'être réveillée une heure plus tard. Franchement, tu t'en foutais des rumeurs tant que ça ne touchait pas ta famille. En voyant que le mal de tête était plus fort que tout, tu grimaces en passant tes mains sur ton visage ne pouvant pas te lever du lit. « M'en remettre, pas vraiment, j'ai mal à la tête. » Prenant le cachet d’aspirine, tu l'avales immédiatement avec un peu d'eau. Puis tu t'allonges à nouveau mettant la couverture sur la tête, car tes yeux te faisaient un mal de chien à cause de la lumière. « Si tu as des choses à faire fait le, ne t'occupes pas de moi. Fait comme si je n'existais pas. » Sentant tes paupières devenaient de plus en plus lourdes, tu ne luttes pas contre le sommeil. Bien au contraire, cela ne te faisait penser à rien.

Tu ne voulais pas dépendre qu'une personne et surtout d'un mec. Tu l'avais toujours été et ce n'est pas maintenant que ça allait changer. Faisant oui de la tête pour approuver ses paroles, tu t'endors une nouvelle fois pour te réveiller soixante minutes plus tard. Ouvrant tes jolis yeux bleus, tu te redresses en ayant beaucoup moins mal au crâne grâce à l'aspirine. Pendant quelques instants, tu poses ton regard sur Diogo qui semblait tellement occupé, qu'il n'avait pas remarqué que tu t'étais réveillée. Sortant du lit, tu te diriges à pas de loup dans la cuisine, car ton ventre commençait à crier famille. Versant dans un bol de céréale type corn-flakes sans lait. Voyant qu'il était toujours à fond dans ses occupations, tu lances une céréale ou deux pour attirer son attention, faisant coucou avec sa main avant de commencer à manger le contenu de ton bol avec délicatesse à l'aide de tes mains.