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Le plan - Denleigh

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Si Ash voulait me faire oublier Gabrielle, elle avait plutôt réussi son coup. J’avais passé ces derniers jours obnubilé par les révélations de ma coloc, travaillé, tracassé, soucieux de ne pas entretenir ses sentiments, mais désireux de continuer à me comporter normalement, fier de ma promesse de tout oublier et ayant à cœur de préserver notre amitié telle qu’elle. Bref, c’était des belles foutaises tout ça car concrètement cela c’était traduit par un seul et unique comportement : la fuite. Je l’avais soigneusement évitée et je dois dire que cette situation me bouffait. La blonde me manquait, nos intrusions mutuelles dans la chambre de l’autre pour parler de tout et de rien me manquaient, nos soirées chichon me manquaient, nos sorties jusqu’à pas d’heure me manquaient. Bref elle me manquait et il fallait que j’agisse. Bon au moins, avec tout ça, je ne pensais plus trop à mon ex et à mes sentiments toujours existants pour elle. J’avais même arrêté d’harceler mes proches pour qu’ils m’obtiennent son numéro. Mais, je continuais de pianoter activement sur mon smartphone : cette fois c’était pour échanger avec Lucky. Si Ashleigh me faisait une bonne blague, Lucky me le confirmerait. Or la brune avait plutôt alimenté la théorie folle selon laquelle Ash ressentirait des trucs pour moi… MAIS, fait étrange, Lucky en était très étonnée, Ash ne lui avait donc rien dit. Je n’étais pas beaucoup plus avancé, toujours entre deux eaux, hésitant entre une énorme plaisanterie ou un vrai et incompréhensible coup de cœur de sa part. Et c’est à force d’y penser et d’y repenser que j’avais eu cette idée, ce plan. Fallait que je lui parle, c’était aussi le conseil de Lucky, mais moi je n’étais pas le roi de la parlotte. J’étais un gars d’action, et le meilleur moyen d’être fixé, ça allait être de la tester. J’avais entendu la porte d’entrée claquer puis celle de sa chambre, m’indiquant qu’elle était rentrée donc, et sans attendre, je me levai pour pénétrer sans frapper dans la pièce en annonçant directement : « Ash, faut que je te parle. » Je refermai la porte derrière moi, et sans lui laisser le temps d’en placer une, j’enchainai : « Je sais que je t’avais dit que j’allais oublier ce que tu m’as dit l'autre jour, mais j’arrête pas d’y penser… Et je crois que le meilleur moyen de tirer un trait sur tout ça, de repartir sur de bonnes bases, c’est de le faire… » Et histoire de donner du crédit à mes mots, j’attrapai le bas de mon T shirt, le soulevai en le faisant passer par ma tête pour l’ôter et le balancer dans un coin de la pièce, venant me planter désormais torse nu devant mon amie en poursuivant : « Passons à l’étape supérieure… » Mon regard planté dans le sien, tout le plan résidait là. Ce moment clé où je lui proposais qu'on couche ensemble... Si elle blaguait vraiment elle allait se raviser non ? Elle n’allait pas pousser la plaisanterie jusque là ?
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D'un petit rien, d'une taquinerie habituelle avec Denys, tu en étais arrivée à lui faire croire que tu ressentais plus que de l'amitié pour lui. Tu aurais pu lui avouer que c'était faux, mais non. Quand tu lui avais dit, tu avais joué la comédie jusqu'au bout, en faisant la jalouse envers Kacy et une potentielle idylle entre eux. Tu avais clôturé le tout en lui disant de tout oublier et tu avais quitté sa chambre. C'est vrai, tu avais hésité à revenir le voir pour lui dire que tu plaisantais et te foutre de lui qui avait marché dans ta connerie. Cependant, tu voulais voir si votre amitié allait vraiment en payer les frais. S'il allait vraiment prendre des distances ou non. En effet, comme tu le supposais, Denys t'avais évité au maximum ces derniers jours. C'est là que tu regrettais un peu ce stupide jeu et défi que tu t'étais donnée. Le mather te manquait. C'est pas comme si tu le voyais jamais. Tu vis avec lui chez les verts comme en coloc. Puis c'est un de tes meilleurs amis, tu avais cette envie de lui parler, de rire à ses côtés, de boire des bières ensemble ou de partager un joint. Mais non. Grâce à toi tu étais privée de tout ça. Pas question de tout stopper. Tu voulais continuer un peu le "jeu", t'attendant pas à ce que ça se retourne contre toi au final. Apres une journée de cours bien remplit, tu rentres à la coloc direction ta chambre. Ton sac tombe sur le sol et toi tu te laisse tomber sur ton lit. Épuisée. Pas le temps de souffler, la porte de ta chambre s'ouvre pour laisser apparaître Denys qui ferme la porte aussitôt. Son "faut qu'on parle" te laisse comprendre qu'il va enfin relancer le sujet de tes aveux. Tu t'appuie sur sur tes avants bras pour l'écouter, sans dire un mot. Il commence et il évoque bien votre dernière discussion. La fin par contre, te fait ouvrir les yeux bien ronds. Il est pas sérieux ? Eh bien si. A peine il finit sa phrase qu'il enlève son haut pour apparaître torse nu sous tes yeux. Puis sans pression il te propose de coucher avec lui. Il croit vraiment que c'est ça la solution ? Tu te retrouves légèrement coincé mais pas question que la joueuse en toi n'abandonne si facilement. Il doit chercher à te tester. Impossible que le Denys que tu connais s'apprête à coucher avec toi. Impossible qu'une telle idée lui vienne alors que juste concernant un baiser il t'a évité toute la semaine. Tu te mets dans ton rôle et tu fais la fille perturbée de le voir ainsi. Faut l'avouer le Zacharias il est sacrément bien foutu. Et tu comprends vraiment pas comment t'as fait pour ne pas l'avoir mis dans ton lit tout ce temps. Chapeau à toi. Denys arrête. R'habille toi. Je ne coucherai pas avec toi. Voix sèche et autoritaire, tu veux montrer que c'est un non catégorique. Tu m'évites depuis des jours et là tu viens me proposer ça ? Tu crois pas que tu vas encore plus m'éviter si on couche ensemble ? C'est pas la solution. C'est pas un jeu. Je veux pas être une de plus sur ta liste et ta voix se brise en disant les deniers mots. Tu fais la fille vraiment accro, qui a vraiment des sentiments, qui le veut oui mais que pour elle et non à partager ou juste pour du cul. Tu te lèves et tu attrapes son tee shirt qu'il a balancé. Tu avances vers lui et tu déposes ta main sur son torse, le tee shirt séparant le contact avec sa peau. Tu m'ignores assez comme ça, n'aggrave pas la chose. Je ne veux pas te perdre définitivement. Là tu lui sors la carte de celle qui veut pas le perdre. La carte de la fille qui préfère cacher ce qu'elle ressent pour lui plutôt que sacrifier votre amitié. Tu le laisses attraper son haut et tu te retournes pour retourner te mettre sur ton lit. Allongée sur un côté, face au mur et dos à lui. Sors Denys. La carte de la fille triste et au cœur brisé, voici ce que tu tentes de faire en cet instant. Puis tu espères aussi qu'il prendra ça tellement comme de la sincérité qu'il en perdra son idée de coucher avec toi. Tu espères qu'il reprendra le chemin de la porte pour te laisser seule.
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Je m’approchai du lit où elle était allongée et j’annonçai la couleur en faisant voler mon T shirt, me dévoilant ainsi, torse nu, me plantant devant elle, accrochant son regard pour essayer de paraître le plus crédible possible mais surtout pour analyser sa réaction. Elle va pouffer, elle va rire, elle va enfin flancher et me dire que je suis bête… Mais non, rien de tout cela ne se produisit, elle eut l’air… troublée ? Et elle répliqua un peu sèchement, blessée, qu’elle ne coucherait pas avec moi, que je pouvais me rhabiller, me reprochant ensuite de l’avoir éviter ces derniers jours… « Attends, t’es pas venue me voir non plus à ce que je sache… » Je voulais bien plaider coupable, avouer que j’étais loin d’être à l’aise avec tout ça, mais son comportement à elle aussi avait changé… Et depuis quand Ashleigh Strauss baissait les yeux et fuyait mon regard ? Je m’en voulus un peu d’arriver avec ce plan bidon, mais c’était la seule idée que j’avais eu… Le test final, voir jusqu’où elle pouvait aller.  Sauf qu’elle s’imaginait que je voulais l’ajouter à « ma liste ». « Arrête, non, c’est pas ça… » commençai-je à me justifier alors qu’elle se levai et ramassai mon vêtement, me le plantant sur le torse. « T’es pas comme les autres, t'es pas qu'un flirt, encore moins qu'une simple nana qui m'aurait embrassé en soirée, Ashleigh : t’es mon amie avant tout. Quoiqu'il se passe, ça changera jamais. » Ma main alla agripper le coton du tissu qu'elle me tendait, effleurant au passage ses doigts… Et pour le coup, ce fut mon tour d’être troublé, par ce contact, quelques secondes. La sincérité de la jeune femme me perturbait plus que de raison.... Je repris le fil des mes pensées ensuite : « Ash… J’suis désolé, ne le prends pas comme ça… » Nouvelles reproches de mon amie sur le fait que je l’avais ignorée, qu’elle craignait de me perdre, et sur ses mots elle retourna s’allonger sur son lit en me tournant le dos et en me demandant de sortir… « Non. » annonçai-je alors fermement. « Non, je reste là Ash… » Je m’assis au bord du lit, près d’elle, lâchant mon T shirt sur le sol dans la manœuvre. Posant ma main sur son épaule pour la faire doucement se retourner vers moi, je repris mon argumentaire. « Moi non plus je ne veux pas te perdre c’est bien pour ça que je suis ici, pour ça que je te propose cette option. » expliquai-je avant d’avouer : « Tu me manques. » Elle était pas partie, je n’étais pas parti, on était toujours colocs, mais c’était la vérité : elle me manquait. « On peut pas rester sur ce malaise faut qu’on avance… » repris-je alors, mon visage avançant lentement vers le sien, la distance entre nos lèvres se réduisant petit à petit. Si elle avait vraiment un truc pour moi, elle me repousserait pas, trop dur… Si par contre c’était une plaisanterie, elle allait surement essayer d’échapper à ce baiser volé…
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Tu t'attends vraiment pas à ce retournement de situation. Tu t'attendais pas à ce que Denys vienne se pointer ici, devant toi, et te propose que vous couchez ensemble. Selon toi c'était un test ou alors il espérait vraiment que partager ce moment allait tout arranger ? Impossible. Tu as pas l'habitude de donner dans les sentiments mais tu imagines bien que coucher avec quelqu'un qui a des sentiments pour toi n'aidera en rien à ce que la personne ne pense plus à toi. Tu comprenais donc pas son raisonnement. Puis tu te trouvais piégé. Ou à moitié, parce que pas question de lui sauter dessus. Même s'il est loin d'être repoussant, ça n'avait jamais été comme ça entre vous. Y a jamais eut cette ambiguïté que tu partages pourtant avec quasi tous tes autres amis mecs. Tu jouais donc la carte de la fille bien trop intéressée, qui ne voulait pas être une de plus sur sa liste, ni juste de passage pour une partie de sexe. Pourtant dieu sait que c'était clairement pas ton problème d'être une de plus sur la liste d'un mec étant donné que toi même tu en avais une longue de liste. Tu lui expliques donc ce que la toi en crush sur lui ressent et que c'est pas la solution et qu'il t'évitera encore plus comme il l'a fait les derniers jours. Tu as juste droit à un revers de balle car t'es pas venue non plus. Toi tu voulais juste le tester et la toi en crush faisait celle qui l'évite bien trop honteuse de ses révélations. Tu ne répondis pas à sa réponse, tandis qu'il tente de se justifier par la suite. La première chose qui te frappe c'est le "t'es pas qu'un flirt" puis le fait qu'il évoque que vous êtes amis et que ça changera jamais. T'as envie de sourire, soulagé de l'entendre parce que tu voudrais pas non plus que ce petit jeu, cette russe que tu lui fais, vienne tout changer entre vous pour de bon. T'as pas envie qu'il le prenne mal et que ça foire toute votre amitié. Alors ça te rassure. Si des pseudos sentiments de ta part peuvent pas changer ça, c'est pas une petite plaisanterie qui le fera non ? Pas qu'un flirt ? Qu'entent-il par ça ? Est ce qu'il t'a vu comme un flirt ou bien est ce qu'il tente d'essayer de blesser le moins possible la Ashleigh qui a un crush sur lui ? Tu lui laisse son haut entre les mains et tu retournes sur ton lit, lui disant ne pas vouloir le perdre plus que tu ne l'avais déjà fait en lui faisant tes aveux. Dos à lui, tu lui demandes de partir, parce que c'est une bonne façon d'éviter son ultimatum de coucher avec lui et ça montre ainsi que la toi en crush est vraiment touchée qu'il veuille juste du sexe et pas plus. Alors que bon sang, la vraie Ash' serait amplement contente d'obtenir juste une partie de jambe en l'air avec un mec et non plus. Tu entends pas un bruit. Tu pries pour entendre ses pas et puis le couinement de la poignée de la porte. Ses pas se font bien entendre mais à la place du couinement de la porte, c'est celui de ton lit. Tu sens un poids derrière toi, puis une main sur ton épaule. Il t'incite à te tourner et tu le fais, espérant peut être qu'il va te dire quelque chose du genre "je suis désolé, c'était débile comme proposition". A la place, t'as le droit à une petite déclaration de sa part. Tu lui manques et là c'est la vraie Ash' qui est contente. Au moins tu sais que t'es pas la seule à ne pas aimer le fait de pas passer du temps avec l'autre, ne pas rire et faire les andouilles ensemble. Au moins tu vois que votre amitié est sincère et forte malgré le peu de temps que vous vous connaissez. Et si ça te fait plaisir à voir et à entendre, tu constates qu'il ne compte pas revenir sur sa décision. Il ne va pas te dire que c'était bête comme idée, non, il s'approche juste de toi, petit à petit, dangereusement. Le drame. Quoi faire ? Ca se bouscule dans ta tête à toute vitesse. Soit tu le repousse en feintant encore une excuse, soit tu joues le jeu et tu le laisses t'embrasser. Après tout ça sera pas le premier, bien que le précédent c'était toi qui lui avait donné sans qu'il s'y attende, sans qu'il puisse vraiment y répondre et pour faire chier la Gabrielle. Tu le laisses donc avancer vers toi, ne faisant rien, telle une fille en crush qui ne sait pas comment agir et qui est prise au dépourvue. Puis soudainement, tes mains agrippent sa nuque et vos lèvres se touchent. Tu prends les devants afin de faire comme pour le baiser de la rubi-x cube, que ce soit toi qui lui donne, sans qu'il puisse vraiment réagir, montrant ainsi pour le coup que la fille en crush en a plus qu'envie. Mais, tu te recules ensuite rapidement, libérant le contact entre vos lèvres et celui de tes mains avec sa nuque. Tu aurais pas dû. C'est pas comme ça que le malaise va se rompre. Je peux pas coucher avec toi et ensuite qu'on redevienne amis. Si on couche ensemble, je vais encore plus penser à toi. Vaut mieux rester sur rien du tout, ça me passera. Puis quoi si je dis oui ? Si je veux qu'on couche ensemble ? Tu vas vraiment le faire ? Tu vas vraiment vouloir alors que tu sais que je te veux plus qu'un ami ? Tu peux pas me proposer ça et ensuite dire non si jamais je dis oui. T'as pensé aux conséquences si j'accepte, si je craque, et que t'es incapable de le faire ? C'est pas ton genre de penser aux conséquences. Toi tu fonces habituellement. Mais là tu en profites, tu joues sur les conséquences de ses paroles et ses actes. Car oui, dans l'hypothèse ou tu aurais accepté, ou tu aurais craqué face à sa proposition, il n'aurait pas eut d'autres choix que de tenir ses paroles ou alors de mettre un stop. Cette dernière solution étant clairement pas cool à faire à une fille qui a des sentiments pour toi. Tu joues donc sur ça, sur les conséquences. Tu sais que le mather est gentil, trop gentil et qu'il n'aime pas faire du mal ni être méchant. Tu te dis donc qu'en pensant à ça, il reviendra sur ses paroles. Si lui ne ressent rien pour toi, tu le vois mal coucher avec toi pour un malaise. Tu te mets alors assise, en tailleur, comme pour l'affronter. Puis parce que étant allongée sur ton lit, c'est bien plus facile pour en arriver au but de sa proposition. Décidément, tu t'es mise dans une belle galère.
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 Le piège se refermait sur Ash, et sur moi, parce que je ne réalisais pas vraiment mais j’allais vite me retrouver dans une impasse. Pour le moment, j’exposais mon raisonnement, ou comment coucher ensemble allait selon moi tout solutionner, plan débile selon la blonde, et surtout qui risquait d’empirer la situation. Elle parut blessée, ne voulant pas n’être qu’un numéro parmi tant d’autres, une conquête sur une trop longue liste. Je m’embourbais un peu dans mes justifications… Mais le point à retenir c’est qu’elle ne serait jamais relayée à un statut de simple nana d’une nuit, de simple flirt ou statut du genre. « Non, t’es pas qu’un flirt Ash. Sinon, on n’aurait pas gardé contact comme ça, on aurait pas passé des soirées ensemble à rigoler comme on l’a fait, et surtout j’aurais jamais emménagé avec toi. C’est bien parce que t’es mon amie, parce que y’a ce truc fort entre nous qu’on est devenus colocs… » expliquai-je, enfin c’était mon point de vue à moi. Elle me rendit mon T shirt avant de filer vers son lit à nouveau, me tournant le dos. Je restais un instant là, immobile, songeur… Et puis non, je n’allais pas abandonner aussi vite. Je n’étais toujours pas persuadé… Alors m’asseyant sur le bord du lit, je fis doucement tourner la demoiselle vers moi et lentement, mon visage approcha du sien. Tenter de l’embrasser à nouveau, voilà qui devrait me permettre d’être fixé. J’eus l’illusion de la déstabiliser, quelques secondes uniquement, lorsqu’elle me jeta un regard perdu, et puis l’instant d’après, je sentis ses mains dans ma nuque, m’attirant à elle pour que nos lèvres s’unissent, me prenant alors un peu au dépourvu. Ash reprenait le dessus, reprenait le contrôle, comme lors de cette fameuse soirée. Quelques secondes de surprise, qui me permirent de réaliser que le piège était également pour moi. Parce que je faisais quoi, moi, maintenant que j’étais torse nu, sur son lit, penché sur elle, nos lèvres accolées… Mon pouls s’accéléra, bien sûr que c’était agréable, ce baiser… Bien sûr qu’elle était séduisante, que je n’avais pas à me forcer pour l’embrasser, mais de là à passer véritablement à l’étape supérieure… Finalement, c’est miss Strauss qui me sauva en se reculant ensuite, relâchant ma nuque, se mettant en position assise. Je n’aurais pas du faire ça selon elle. « C’est toi qui viens de m’accrocher le cou… » me défendis-je alors avec mauvaise foie. C’est pas moi, c’est toi. La réplique digne d’un gamin de trois piges. Denys Zacharias dans toute sa splendeur. Ash m’expliquait sa version des choses : coucher ensemble, ça voudrait dire pour elle penser encore plus à moi. « Sauf si je fais exprès d’être très très mauvais… » pouffai-je, l’humour en guise de seule défense, comme toujours. Mais je repris mon sérieux, un peu pour poursuivre cette mise à plat : « Alors c’est quoi ton plan à toi Ash ? Je déménage ? Je change de confrérie ? Non parce que si c’est pour qu’on joue à cache cache pendant tout le restant de notre scolarité à Harvard, moi je ne supporterais pas. » annonçai-je, ma main allant attraper la sienne pour l’attirer de nouveau à moi et être cette fois l’initiateur de ce nouveau baiser. Mes doigts se perdant dans ses cheveux, mes lèvres se pressant sur les siennes, je me fis la réflexion sur j’aurais peut être eu besoin d’un plan B, car là pour le coup, le piégeur allait finir piégé. Mais y’avait pire comme piège que les lèvres d’une jolie blonde…
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Comme si c'était pas suffisant cette plaisanterie, ce petit piège que tu lui faisais, voilà que vous alliez partir dans des déclarations. Voilà que Denys avouait que tu n'étais pas qu'un flirt, que tu étais son amie et qu'il y avait même un truc fort entre vous. Que c'était pas pour rien que vous êtes venus colocs. Il avait raison, y avait ce lien fort entre vous qui ne s'explique pas. Surement pour ça que tu t'étais décidée de lui proposer une coloc ensemble alors que tu le connaissais à peine. Tu avais senti qu'entre vous y avait cette connexion qu'il n'y avait pas avec les autres. Que ça n'allait pas être un simple ami parmi d'autres. Il était devenu un de tes meilleurs amis et si rapidement. Tu ne répondis pas et tu te contenta de le laisser prendre son haut pour finir sur ton lit, lui tournant le dos. C'était plus simple pour lui dire de s'en aller, plus crédible et puis tu n'avais pas a affronter son visage. Visage qui semblait peiné par tes réactions. Tu le connais assez pour savoir qu'il ne cherche pas à te blesser, qu'il essaye juste de trouver la meilleure des façons pour te dire que tu comptes mais que c'est qu'amical. Même si sa solution n'est clairement pas la bonne. Coucher ensemble, va mettre de l'huile sur le feu, tu le sais, c'est évident. Déjà car t'es pas vraiment en crush sur lui et car même si tu l'étais comme tu lui fais croire, lui ne l'est pas donc il ne va pas aller jusqu'au bout, ni même ça changera quelque chose. Tu tentes comme tu peux de te sortir de cette galère dans laquelle tu t'es mise toute seule au départ. Ainsi, quand il t'incite à te tourner et que tu le vois s'approcher de ton visage, tu décides de prendre les devants. C'est lui qui a fait les trois quart du chemin, mais ce sont tes mains qui l'agrippent et tes lèvres qui se posent sur les siennes. Tu espères le prendre encore au dépourvu. C'est le cas, il a pas vraiment le temps de répondre au baiser que tu t'éloignes et coupe tout contact. Tu pars alors dans un discours expliquant qu'il ne faut pas, que c'est une mauvaise idée, que ça n'arrangera rien, que tu l'oublieras et que façon si tu acceptes il va se retrouver coincé dans son propre plan. Tu lui ouvre toi même la porte pour qu'il puisse sortir de son idée foireuse. Tu te dis qu'il va sauter sur l'occasion et se rendre compte que oui c'est totalement débile comme idée. Surtout plus quand il a vu que tu l'avais embrassé de toi même, sans attendre qu'il fasse vraiment les choses lui. C'était ta faute, toi qui venait de l'embrasser selon le mather. Tu levas les yeux au ciel devant cette remarque enfantine qui cachait sa surprise et son manque de paroles. Quant à tes propos, tu avais seulement droit à une taquinerie et ce fut plus fort que toi, un sourire se dessina sur tes lèvres devant sa bêtise, avant de reprendre ton sérieux. Je te veux pas que pour le sexe dis tu du tac au tac comme si tu étais tellement rentrée dans ton rôle que les paroles sortaient d'elles mêmes. Il reprit lui aussi son sérieux et même un peu trop. Il voulait connaître ton plan face à la situation. Il parlait de déménager et de changer de confrérie. Non ! lâchas tu aussitôt de façon sèche et un peu déçue. Non tu ne voulais pas d'une coloc sans Denys, ni moins d'une mather sans lui. Tout avait commencé à ses côtés pour toi dans cette confrérie. C'était la mather house la raison de votre rencontre, de votre complicité et de votre lien. C'était grâce au fait d'avoir Wade comme même bizuteur que vous êtes venus à discuter ensemble et à voir qu'entre vous ça passait comme une lettre à la poste. Pas question qu'il s'en aille. Pas question qu'il quitte la coloc. C'était avec lui que tu avais voulu être coloc à la base et Kacy puis Macsen avaient été les personnes vous permettant de réalisé ceci. Tu les adore oui, mais ça sera jamais comme avec Denys, avec eux. Tu pouvais vraiment constater que entre vous y avait une forte amitié, lui t'avouant ne pas vouloir passer la fin de sa scolarité à éviter l'un et l'autre. Lui t'avouant ne pas le supporter. Et si ça te touchait, fallait avouer que toi non plus tu ne le supporterais pas. Sauf que toi tu savais que ça serait pas le cas, que tu allais lui dire prochainement que c'était une plaisanterie, que tout rentrerait dans l'ordre et que vous ne vous quitterez pas. Qu'au contraire vous finirez votre scolarité ensemble, vous soutenant, faisant des conneries l'un avec l'autre et passant des bons moments ensemble, encore et encore. Ou peut être que tu avais fait la conne. Peut être que tu avais tout niqué avec cette blague, parce qu'à peine les paroles terminées du jeune homme, sa main attrapa la tienne et il t'attira à lui une nouvelle fois. Sans rien que tu vois venir, tu te retrouves à nouveau tes lèvres contre les siennes. Cette fois c'est toi qui est prise au dépourvue. Ses doigts vont dans tes cheveux et emportée par le moment, comme une conne, tu réponds à son baiser. Tu penses plus vraiment que c'est Denys ton meilleur ami, tu penses surtout que c'est un homme, un bel homme, torse nu sous tes yeux. Tes démons de croqueuse d'hommes ne pensent pas à la plaisanterie que tu lui a faite, ni à tout ce que vous venez de dire. Ton corps tout ce qu'il voit c'est un mec bien foutu. Cependant, t'as un cerveau aussi, un cerveau qui devrait te dire stop, mais qui ne le fait pas. Tu renverses Denys sur le lit et tu le suis dans sa descente, toujours tes lèvres collées aux siennes. Tes mains attrapent ton haut pour le faire valser. Le contact entre vos lèvres se brisent et tes yeux croisent les siens. Tu réalises alors... Tes pupilles passent des siennes au haut de ton corps qui est seulement recouvert d'un soutien gorge. Les cheveux en bataille, tu bloques au dessus du brun. Denys... tu dis d'une voix basse mais plus forte qu'un murmure. Serait ce le moment de lui avouer ? Pour la première fois de ta vie, tu te retrouves désarmée. Tu sais pas quoi dire ou faire. Lui avouer la vérité ou continuer le jeu mais trouver un moyen d'esquiver ? Ou bien ne rien lui dire et ne pas esquiver ? Là pour le coup, tu es piégée. Tu ne sais pas ce qui est le mieux à faire. Puis ton regard se pose sur son corps et faut avouer qu'il est sacrément bien foutu. Tu espères une dernière fois qu'il va se réveiller, qu'il va plus avoir la tête sur les épaules que toi et qu'il va se barrer de ta chambre en courant. Tu espères qu'il va se rhabiller et prendre la porte. Denys pense plus aux conséquences que toi, alors oui, tu comptes sur lui pour ne pas rentrer encore plus dans ton jeu. Tu comptes sur lui pour être raisonnable...
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  Lorsqu’elle s’était rallongée en me tournant le dos, voilà le moment où j’aurais pu fuir, voilà la porte de sortie que j’avais évité, préférant me rapprocher de son lit, m’assoir au bord et l’inviter avec douceur à se retourner vers moi pour que l’on continue cette discussion. On l’avait essayé, la solution -on oublie tout et on fait comme si de rien n’était- mais clairement, ça n’avait pas fonctionné parce que l’un comme l’autre on avait passé notre temps à être mal à l’aise puisqu’évitant de se croiser. Alors, prenons le taureau par les cornes, et c’est ce que je fis en m’approchant doucement d’elle pour lui voler un baiser, que finalement ce fut plutôt elle qui me vola. Ses mains dans ma nuque, ses lèvres qui se pressèrent soudainement et de manière imprévisible contre les miennes, lorsqu’elle prit les commandes de ce rapprochement que j’avais amorcé, cela me déstabilisa un peu, me faisant douter du bien fondé de mon plan. Mais quelques secondes plus tard, elle s’écartait, s’asseyant sur le lit en se justifiant. C’était pas bien, il ne fallait pas… Ca allait envenimer les choses, elle aurait encore plus de mal à m’oublier disait-elle ce qui me fit aussitôt répliquer avec un peu d’humour que je pouvais être très mauvais, histoire de bien la guérir de moi. Et Amen, un sourire se dessina sur ses lèvres. Parce que c’était étouffant, ces discussions trop sérieuses. Ca ne nous ressemblait pas. Un peu de légèreté… Mais ça ne dura pas, quasi aussitôt elle reprit sur un ton plus sérieux qu’elle ne me voulait pas que pour ça, que pour le sexe. Je plongeai alors mon regard dans le sien, sondant ses yeux, complètement troublé par tout ça, par ses révélations qui s’enchainaient. Je la connaissais Ash, je l’avais vu tout prendre à la légère, se moquer de moi quand je m’accrochais à certaines filles, à Veïa ou à Gabrielle. Ash c’était la fille anti-attachement alors forcément de la découvrir sous cet autre jour, c’était déboussolant. Mais alors quelle autre solution avions-nous ? Puisque mon plan, elle le trouvait si foireux, qu’est-ce qu’elle avait en tête ? Je suggérais le changement d’appart et de confrérie et j’eus le droit à un non direct et immédiat qui me fit quelque peu sourire. « Tu vois, on n’a pas d’autre choix… » La démonstration par A + B façon Denys. Et puis, joignant le geste à la parole, ma main s’empara de la sienne, l’attirant à moi, ma bouche capturant alors la sienne pour un nouveau baiser. Mes doigts se perdirent ensuite dans ses cheveux. En la sentant répondre à la pression de mes lèvres contre les siennes, le baiser s’approfondit un peu plus, s’enflammant quelque peu… La demoiselle me poussant alors, je me retrouvais dos au matelas, nos lèvres toujours scellées dans ce fiévreux baiser. Ce n’est que lorsqu’elle s’écarta un peu, les mains sur son propre T shirt, que je réalisais ce qu’il s’était passé, ce qui était en train de se passer… Ce n’était plus un plan, ce n’était plus de la comédie. C’était bien mon cœur qui battait la chamade dans ma cage thoracique, c’était bien mon torse qui était pris de frissons alors qu’elle m’avait poussé à m’allonger en plein baiser, c’était bien mes yeux qui détaillèrent avec envie les courbes de son corps, son ventre plat finement musclé, sa poitrine galbée joliment habillée de dentelle, et c’était bien mon entre jambe que je sentais réagir, là, un peu plus bas, sous mon pantalon... Elle prononça mon prénom alors que nos regards se connectaient quelques secondes et alors je réalisais un truc… J’en avais envie. J’avais envie d’elle. Et finalement, ce constat était encore plus troublant que toutes les révélations qu’elle avait pu me faire jusqu’à présent. D’ailleurs, je chassais de mon esprit ces réflexions, mettant mon cerveau en off pour ne plus écouter que mon instinct. Je me redressai alors juste un peu pour venir m’emparer de ses lèvres à nouveau. Mes doigts courant dans son dos, remontant doucement jusqu’à l’attache de son soutien gorge pour le lui retirer, pour la sentir complètement contre la peau de mon torse.  
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Tu t'étais embarquée dans un sale plan et dans des problèmes. Si au départ c'était une petite plaisanterie pour taquiner Denys, c'était devenu ensuite un rôle, un test mais aussi un exercice pour lui. Mais là ça dépassait tout ça. Là ça devenait bien trop sérieux et ça partait en sucette. Il voulait coucher avec toi. Tu essayais comme tu pouvais de le convaincre que c'était une mauvaise idée et de le faire changer d'avis, sauf qu'il est têtu. Puis y avait eut un baiser, une approche de sa part que tu avais contré pour le dissuader, mais rien. C'était parti dans un autre baiser, encore de sa part et qu'il avait cette fois prit tous les devants. Vos lèvres collées, tu suis le mouvement du baiser et tu fais chavirer vos deux corps sur le lit. Lui sur le dos, toi au dessus de lui. Tu prolonges le baiser et tu en retires même ton haut. C'est là que tu captes tes gestes. Et les siens. Là que tu prononces son prénom ne sachant pas quoi faire. C'est lui qui prend la décision. Lui qui revient à tes lèvres pour un nouveau baiser. Tu le suis à nouveau et ses mains qui se baladent dans ton dos pour venir défaire ton soutien gorge, lancent des frissons en toi. Emportée par le moment, par l'excitation, tu continues votre baiser avec intensité. Quant à tes mains, elles se baladent du haut de son torse jusqu'au début de son bas. Tes doigts jouent avec les boutons de son jean... Tu réalises alors que ça devient vraiment sérieux et chaud. Le haut de ton corps est dénudé sur lui, tandis que tu t'apprête sur à lui enlever le bas. Qu'est ce que vous êtes en train de faire ? Tu rompes à nouveau le contact entre vos lèvres. Tes doigts ne s'agitent plus. A la place tu regardes à nouveau Denys dans les yeux. Tu lui donnes un court baiser sur les lèvres, comme si ça sera le dernier. Comme si ça sera le dernier contact que vous partagerez. Je peux pas.... Je peux pas... Tu te recules de dessus lui et tu couvres ta poitrine de la couette sur laquelle vous êtes. J'en ai envie, mais... je veux pas te perdre... alors tant pis si tu m'en veux, ça sera moins grave que si tu le sais après qu'on soit allés trop loin... T'es hésitante. Là tu as peur. Vu où les choses sont allées, tu crains qu'il le prenne mal, qu'il s'énerve et pire qu'il ne veuille plus t'adresser la parole. Et rien qu'y penser, ceci te déchire le coeur. S'il t'en voudra, y aura toujours possibilité d'arranger les choses. Mais si tu couches avec lui sans rien lui avouer, pour toi y aura surement plus rien à faire pour sauver votre amitié. T'es joueuse, mais pas au dépend de votre amitié. Pas à ce point là. Tu tiens bien trop à lui. Laisse moi parler et finir d'abord s'il te plait. Tu sais qu'on se taquine souvent, que j'aime te faire chier, te charrier et quand j'ai vu que tu me croyais l'autre fois, j'ai continué le jeu... C'était marrant au départ de voir comme tu marchais, puis après j'ai voulu voir si ça allait vraiment impacter sur notre relation. Et tout ce que je t'ai dit tout à l'heure c'est vrai. Tu m'as manqué tout ce temps où tu m'as évité. C'est nul de pas partager des moments rigolades, à boire des bières, a fumer ensemble. Ou bien à te remonter les pincettes à cause de ton eliot. Tu m'as vraiment manqué. Entre nous y a vraiment cette connexion, ce lien fort, que je partage avec personne d'autres. Tu te lances dans une déclaration, toute émue, toute sincère, vidant ton coeur, dans l'hypothèse où ça sera la dernière fois que tu lui parles... Je tiens énormément à toi, beaucoup plus que tu le penses, et... c'est pour ça que pour une fois dans ma vie je pense aux conséquences. Je veux pas que tu crois que je t'ai piégé ou que j'ai joué avec toi. Je suis franche, tu le sais, et j'assume tout, alors voilà, oui j'en ai envie, mais c'était faux, je n'ai pas de crush pour toi, ni de sentiments autre qu'une forte amitié. C'est une bonne nouvelle du coup non ? Tu fais un sourire comme pour essayer de le convaincre. Ca devrait être une bonne nouvelle que tu n'aies pas de sentiments, que tu ne sois pas jalouse de Kacy non ? Là tu le regardes sans savoir quoi t'attendre. Est ce qu'il va rire ? Se barrer ? Te dire qu'il t'en veux pas ? Viens tu de gâcher votre amitié ? Dans tous les cas ça peut pas être pire que si vous aviez couché ensemble et que tu lui avoues après. Tu avales ta salive. Les secondes te paraissent des heures. Tu veux pas le perdre mais tu le sens mal pour toi. Puis tu repenses aux minutes avant ton discours. Il t'avais embrassé à nouveau. Il t'avais défait ton sous vêtement... Il avait eut lui aussi envie de ce qu'il se passait entre vous. Ou alors il était juste emporté ne pensant pas que c'était toi. Mais il te semblait avoir vu son regard, un regard pas d'un mec ailleurs, mais qui le voulait. Et ton coeur manqua un battement. Tu étais troublée par toute la situation. Tu flippais de le perdre et cette idée te faisait bien de la peine. Bien beaucoup de peine. Tellement que tu n'arrivais pas à sourire. Tu pouvais pas faire semblant.

Hj : Ash' la flippé, Ash' avec un coeur xD
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 Je réalisais d’un coup que si Ash voulait plus, au final, peut être que c’était ce que moi aussi je voulais. Il n’y avait qu’à voir la façon avec lequel mon corps réagissait à chacun de nos rapprochements. Je ne voulais pas trop penser au sens de tout cela, à ce que ça signifiait pour moi, pour nous. Je voulais simplement mettre mon cerveau en sourdine pour profiter alors que notre baiser reprenait. Nos lèvres pressées, mes mains sur sa peau, glissant dans son dos, s’activant habilement sur les agrafes de sous vêtement qui ne tardèrent pas à céder, ouvrant ainsi l’accès vers sa poitrine, que mes doigts effleurèrent. Les siens eux, caressaient mon torse, électrisant un peu plus ma peau, provoquant de nouvelles vagues de frissons en moi, affolant un peu plus ma fréquence cardiaque à mesure que ses caresses descendaient… Doucement, lentement, plus bas. Lorsque ses doigts arrivèrent au bouton de mon jean, l’excitation était à son comble… Et d’un coup, plus rien. Ses doigts cessèrent de s’activer et elle s’écarta. J’étais à deux doigts de sortir une vanne, de la taquiner sur le fait qu’elle devait en avoir vu d’autre, que j’étais surpris qu’elle flanche devant de malheureux boutons un peu résistants mais quand mes prunelles accrochèrent les siennes, je sus à son regard que son mouvement de recul n’avait rien à voir avec la résistance que pouvait lui faire ma braguette. Y’avait cette lueur de sérieux, un truc avait changé là, dans ses yeux. Elle déposa très furtivement ses lèvres sur les miennes et laissa échapper qu’elle ne pouvait pas. Poursuivre, coucher avec moi, étant la fin sous entendue de sa phrase, très certainement. Je la regardais s’éloignant, se couvrant la poitrine avec la couette du lit, avant de me redresser un peu, intrigué de ce frein soudain, l’écoutant me livrer qu’elle en avait envie mais qu’elle avait peur de me perdre, parlant d’un truc à savoir avant. Je commençai d’abord par essayer d’en placer une en essayant d’attraper sa main à nouveau, cherchant à nouveau son contact : « Ash, tu vas pas me p… » Mais elle annonça alors que je devais la laisser parler, et finir. « Ok. » soufflai-je, me taisant docilement, ma main se ravisant alors, cessant son avancée sur les draps pour aller chercher la sienne. Elle parla donc, et j’écoutais. J’écoutais quand elle évoqua nos taquineries habituelles, comprenant rapidement que ce que j’avais pris pour des aveux en faisaient en fait partie. Une taquinerie. Ce n’était que ça. Je me redressai un peu plus, me reculant au passage à mon tour, me décalant sur le matelas pour me retrouver à l’opposé d’elle sur le lit. Et à partir de ce moment, maintenant que j’avais la certitude que c’était faux, qu’elle m’avait simplement fait une blague, je ne pus m’empêcher de me repasser les dernières minutes qu’on venait de passer, les baisers assez poussés qu’on venait d’échanger, l’effet qu’ils avaient eu sur moi… J’attrapai alors un oreiller pour le mettre devant moi, cachant au passage la bosse qu’on devinait très certainement sous mon pantalon, me sentant tout d’un coup très con. Elle me déclara alors me voir comme un ami, un ami précieux, qu’elle était sincère lorsqu’elle disait que je lui avais manqué, toutes ces choses qui auraient du me rassurer, me faire plaisir, me faire largement sourire. Après tout, ce plan dans lequel je m’étais lancé c’était pour ça à la base ? Pour découvrir le vrai du faux. Alors pourquoi je n’arrivais pas à sourire quand elle, elle le fit en me demandant si ce n’était pas une bonne nouvelle ? Pourquoi je restais d’abord silencieux, là, laissant un silence pesant et gênant s’installer entre nous. Allez bordel, reprends toi Denys. « Si, très bonne… » acquiesçai-je, sur un ton qui manquait probablement de conviction. « Je savais que tu blaguais… » mentis-je alors, histoire de sauver la face. Un sourire crispé se dessina alors sur mes lèvres. « C’était pour te forcer à l’avouer, tout ça… » Ouais ouais ouais, fallait pas trop regarder sous l’oreiller hein, parce que ça trahissait tout autre chose en fait. « Je… Je vais te laisser hein. Je viens de me rappeler que j’avais un truc à faire. Pour les cours. » Denys studieux ? Ouais, j’aurais peut être du trouver une meilleure excuse plus plausible pour m’éclipser rapidement. J’abandonnai son coussin pour me lever, fis quelques pas dans la pièce pour ramasser mon T shirt et me dirigeai vers la porte. « On se voit plus tard. » Pas un regard, ne pas se retourner surtout et filer vite vite, prendre une douche bien froide pour se calmer. Voilà mon véritable programme. « Bonne nuit Ash. » soufflai-je avant de claquer la porte de sa chambre derrière moi, en me retrouvant dans le couloir.  


HJ : ha j'adore Le plan - Denleigh  1881463262  L'autre facette d'Ashleigh Le plan - Denleigh  1001568715
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Parfois tu étais conne, tu étais vraiment conne. Parfois tu te lançais dans des jeux, des taquineries où tu devrais réfléchir à deux fois avant de le faire. Sauf que tu réfléchis pas aux conséquences de base. Tu fonces et puis advienne que pourra. Voilà pourquoi tu en étais arrivée là. A ce moment où tu te rends compte que tu vas coucher avec ton meilleur ami. Meilleur ami avec qui tu n'as encore jamais couché. Meilleur ami à qui tu as fait croire que tu as un crush pour lui. Si habituellement ça te dérange pas de te taper tes potes, là c'est différent. C'est Denys et votre relation taquine soit-elle n'a jamais représenté autre que de l'amitié. Pas d'ambiguïté, pas de sous entendus. Rien. Pourtant une chose entraînant une autre, un mensonge après un autre, te voilà au dessus de lui quand tu réalises que non tu peux pas faire ça. Ta conscience, oui tu en as une pour une fois, te rattrape. Votre amitié représente bien trop à tes yeux. Le mather a une trop grande place pour que tu lui fasses croire que tu te joues ou te serre de lui. Quitte à jeter un froid ou bien de la distance, tant pis, mais tu veux être honnête. Tu veux lui dire la vérité sur ce crush, sur ce que tu ressens et si vous devez coucher ensemble alors ça sera pas pour un test ni pour autre chose. Tu te redresses et tu entends sa phrase pour te dire que tu le perdras pas. Il l'a fini pas car tu lui demande de t'écouter jusqu'à la fin. Tu ne veux pas être interrompu, t'as besoin de tout lui dire, tout lui expliquer et tout détailler. Tu te jette donc à l'eau. Et tu vois qu'il comprend petit à petit, qu'il se redresse, se recule et se met bien face à toi. Pourtant il reste silencieux. Son regard tu es incapable d'y lire dedans. Habituellement, tu sais faire, tu sais ce qui le tracasse, tu sais lire en lui. Mais là, c'est le vide. Est ce qu'il t'en veux ? Est ce qu'il est en colère ? Tu ne sais absolument pas, mais tu continues. Tu prends sur toi et tu lui dis tout. Non sans expliquer combien tu tiens à lui et ce qu'il représente pour toi. Tu veux pas l'attendrir, juste être sûre qu'il le sache, qu'il l'entende et qu'il pense pas que tu as joué avec lui. Tu veux être sincère et tu ne peux pas l'être sans lui dire combien il compte. Mais tu vois à son visage, à ses expressions que tu t'es mise dans un beau pétrin. Tu finis par lui demander si c'est pas une bonne nouvelle, comme pour te rassurer et pour qu'il pense à ça plutôt qu'à la colère ou déception qu'il doit avoir à ton égard. Si sa phrase se veut positive, sa voix est tout autre. Tu le connais suffisamment pour comprendre que même s'il est content, il est pas d'humeur à te sauter dans les bras. Et qu'il le sera surement plus jamais. Parce que les paroles qu'il te sort comme quoi il te croyait pas, tu n'y prête pas attention. Tout ce que tu vois, c'est ton meilleur ami qui te regarde d'une autre façon. Ton meilleur ami qui se trouve une excuse pour partir et te fuir. Toi qui cherchait à ce qu'il s'en aille depuis le moment où il t'avait proposé de coucher avec lui, il ne l'avait pas fait, et là tu voulais qu'il reste mais lui voulait juste s'en aller. Den'... Reste... dis tu d'une voix troublée, peut être même tremblante. Une voix qui trahissait la peine que tu ressentais. Tu venais de faire du mal à ton meilleur ami. Tu venais même de le perdre. C'est ce que tu pensais en tout cas, parce que tu savais que sa façon de réagir n'était pas normal. Denys était pas méchant, mais au lieu de te dire que ça se fait pas, que tu es allée trop loin, que tu n'aurais pas dû, au lieu de te faire une leçon, un minimum, il était silencieux. Et le silence n'était jamais une bonne chose. Tu t'en voulais, tu t'en mordais. Si bien que tu ne le rattrapas pas. Ton regard suivit son corps en mouvement vers la porte de ta chambre. Tes yeux se perdirent sur son dos musclé; la seule chose qu'il te laissait voir. Même pas un regard en arrière pour te dire bonne nuit. D'ailleurs son bonne nuit t'arracha le coeur. Froid, distant et vide. Tu venais sérieusement de te mettre dans des énormes problèmes avec ton meilleur ami. Le son de la porte qui claqua te fit sursauter. La pièce silencieuse et vide te fit repenser aux dernières minutes, à vos corps l'un collé à l'autre, à vos baisers, vos caresses. Tu comprenais pas comment ça avait dérapé ainsi. Tout ce que tu comprenais là c'est que tu te sentais vide et impuissante. Tu sentais comme un trou dans ton coeur. Mal et blessée, tu pris possession de ton smartphone, créa une conversation de groupe avec Ivy et Lucky, afin de leur raconter ta connerie et ton mal être. Pour une fois, tes meilleures amies allaient te voir pas bien, vraiment pas bien.

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