Destiny & Sheryl : le début d'une grande amitié ?

Destiny & Sheryl

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Le lendemain de mon arrivée à Harvard, je devais passé ramassé tout mes manuels scolaires au secrétariat. Arrivée à celui-ci, une pile d'au moins onze ou douze livres m'attendait et la secrétaire à côté avec un grand sourire. J'avança de quelques pas et me mit devant elle lorsqu'elle engagea tout de suite la conversation : "Bonjour ! Vous devez être la nouvelle, Sheryl ... Sheryl Brittany Costner. Voici donc vos manuels de politiques ainsi que d'architecture. Avez-vous quelques choses à dire ?" A dire, non, pas vraiment. Mais à pensé : oui. Horrible était l'un des seuls mots qui pouvaient d'écrire cette femme. Elle semblait toute aigrie, elle avait une coupe afro et les cheveux rouge. Des lunettes sur des yeux marrons, un nez de perroquet, une cicatrice sur le menton et des pommettes sur-botoxés. Quand à son style vestimentaire ... Voilà quoi, on ne pouvait rien en dire. Ça devait être une assez belle femme il y a trente ans. Elle a du avoir un accident ou autre. En tout cas, je ne souhaitais à personne de lui ressembler. "Euh ..." Elle me coupa la parole comme si elle était pressé : "Bon veuillez m'excuser mademoiselle mais il n'y a pas que vous qui voudrait me voir, donc vous êtes priez de pendre vos nouveaux manuels scolaires et de partir le plus vite possible." Elle m’attrapa par les épaules et me fit tourné les talons. Puis me tapota le dos en me poussant. Lorsque je fini enfin par avancé malgré les livres, elle me rappela : "Au fait mademoiselle, bienvenue à Harvard !". Elle m'énervait. Celle-là, je l'avais dans le collimateur. Moi qui suis d'habitude plus poli avec les adultes, celle-là, elle allait me le payé. Mais bon, autant ne pas ruiné la bonne humeur qui s'était emparé de moi au début de la journée ! Je décida donc d'oublier ce petit incident, pour aujourd'hui, et de me concentré sur mes nouveaux manuels : je n'arriverai jamais les portés jusqu’à ma chambre. Je regarda aux alentours et pria de tout mes forces pour trouver un chariot ou quelque chose qui aurait pu m'aider à transporter douze livres. Mais, apparemment, Dieu n'était pas de mon côté car il n'y avait rien. Je me dirigea donc vers le grand hall où il fallait passé pour accéder a la Eliot House. A l'entrée de celui-ci se trouvait une marche pour qui, une fille transportant douze livres avec des talons était invisible. Je me prit donc cette fameuse marche et tomba, encore, devant tout le monde. Décidément, quelque chose ou quelqu'un s'acharnait contre moi. A cet instant précis passait par là une jeune fille qui vint immédiatement vers moi et m'aida a me relever. "Merci, c'est vraiment dur de circuler avec tous ces livres et je n'ai pas vraiment l'habitude de me débrouillé toute seule. Qui doit-je remercier ?"