Dear diary, a chipmunk asked me my name today. I told him it was Bastard | Carter

Dear diary, a chipmunk asked me my name today. I told him it was Bastard
— with Gabylyne

13 Janvier 2017 Boston. Qu'est-ce que la classe à la Eliot ? C'est simple. On se venge mais, autrement que notre ennemi pourrait le faire je m'explique. Le petit bâtard de demi frère de Cole s'est permis de faire des horreurs dans mon loft rien que ça ! Au début, je pensais que c'était Ashleigh mais, j'ai très vite réfuter cette idée puisque ce n'est pas son genre de se cacher derrière des bizuts ou ne pas signer son oeuvre. Après une conversation par message avec ce petit idiot, il m'a dit des choses qui m'ont très vite fait comprendre que ce petit cadeau empoisonner venait de lui. En quelques heures, j'ai trouvé la façon dont j'allais me vengé mais, ça va me prendre du temps et un petit chantage envers le paternel. Père a donc décidé pris contact avec le propriétaire du logement du bâtard et lui a offert d'acheter l'immeuble deux fois son prix à condition de faire affaire immédiatement. C'est vraiment affligent de voir ce qu'on peut faire juste avec de l'argent. Ah les gens de bas étages sont tellement prévisible. Par la suite, j'ai contacté un serrurier pour qu'il me fasse le double du logement où je me suis rendue ces derniers jours histoire d'y faire quelques repérages afin de mettre mon plan à exécution. Pour ce faire, j'ai demandé l'aide d'une personne qui le hait presqu'autant que moi. Dès que j'ai abordé le sujet, elle a tout de suite accepté de m'aider à me venger. Il faut que je remercie Abélard pour m'avoir parler de cette personne. Cole aurait voulu en être mais, son état ne le permet pas. Bien évidemment, j'ai dû calmer ses hardeurs trop excité par cette idée de pouvoir se venger de ce virus qui lui pourris la vie depuis un long moment maintenant. La clé en main, j'entre avec quelques amis dans l'appartement prenant soin de regarder ici et là, prendre mes marques mais aussi, des photos. Prends les mesures, photos de ses vêtements et fais bien attention aux taches, accro ainsi que sa marque de lessive pour qu'il ne se doute de rien. dis-je en allant dans son réfrigérateur. Bien, j'ai ce qu'il faut pour mettre mon plan en action. Merci les cours de chimie. Après avoir mis des gants chirurgicaux, j'ouvre les bouteilles déjà consommées pour y mettre de l’œstrogène. Quant à celles qui sont encore fermer, j'ai ma petite méthode bien à moi. Prenant bien soin de ne laisser aucune trace je remets tout exactement à sa place avant de quitter ce taudis. Je suis impatiente de voir comment monsieur va gérer ces changements en lui dans une dizaine de jour.

@Carter E. Reed

Dear diary, a chipmunk asked me my name today. I told him it was Bastard
— with Gabylyne

18 Janvier 2017 Boston. Une nouvelle journée pour moi dans le cratère du demi frère de Cole. Le but de cette visite est de remettre une petite dose d’œstrogène et d'installer une sorte de virus sur le pc portable de ce cher Wade histoire d'avoir ses codes bancaire pour que je puisse m'amuser avec son esprit de temps à autre. Plus précisément, c'est mon colocataire, un ami de longue date qui fait des merveilles en informatique au point qu'il va réussir à faire croire à ce pauvre béotien de mes deux que son compte est vide, de bloquer sa carte bancaire pour ensuite tout remettre à la normal. J'ignore comment il va s'y prendre mais, c'est tout simplement du pur génie. Il n'y a rien de pire que de jouer avec l'esprit et je compte bien m'amuser avec celui de ce petit con. Merci le stage en psychiatrie.

@Carter E. Reed

❝ Dear diary, a chipmunk asked me my name today. I told him it was Bastard ❞
Aymalyne K. Stauss

23 Janvier 2017, Boston. Tu étais dans une limousine, elle ne faisait rien à moitié, mais bref. Tu avais tous ce que tu avais besoin pour ta chère mission qui te faisait rire d’avance. Autant dire que tu ne détestais pas autant Wade que ça, que tu passerais sûrement pour une connasse sachant qu’il ne t’avait rien fait de ce genre, mais ça te rendait quand même heureuse de faire ça. Tu pouvais te dire que tu vengeais en quelque sorte Ivy, ce mec lui faisait vivre des misères, il était plus qu’horrible avec elle alors autant faire un petit quelque chose pour le faire réfléchir. Même si tu te doutais bien que ce ne serait pas assez pour son cerveau, mais bon comme on dit l’espoir faisait vivre. Passant ta langue sur tes lèvres, tu sortis de la limousine pour prendre le carton qui était à côté de toi et tu montas l’étage. Tu ouvris la porte avant de tout laisser tomber dans un bruit sourd, tu savais que l’appartement était vide alors tu pouvais faire ce que tu voulais. Tu visitas un peu, tu étais curieuse sur les bords, tu e savais pas comment un mather pourrait vivre et surtout comme un mather qui était papa pourrait vivre. Tu étais surprise de ne pas retrouver des clopes, des joints un peu partout, il avait peut-être une conscience. Tu souris en coin en voyant la chambre de sa fille, tu n’avais pas envie qu’il lui arrive quelque chose et dans un geste totalement dingue, tu posas ta main sur ton ventre tout en soupirant un peu. Tu te demandais si Roman serait pareil. Tu secouas la tête ce n’était pas le temps de penser à ce genre de chose et sans attendre, tu pris la direction de la chambre avant d’ouvrir l’armoire et de tout vider sans aucune douceur, tu foutais tous sur le lit avant d’ouvrir les cartons pour remettre les vêtements en place, tu faisais attention aux moindres millimètres parce qu’il fallait être réellement précis dans ce genre de chose et tu n’avais surtout pas envie d’avoir une eliot de plus sur le dos. Tu faisais déjà affaire avec elle, il ne fallait pas non plus demander la lune quoi. Tu continuas de t’occuper de ses affaires avant de tout remettre dans les cartons pour repartir. L’affaire était réglée, tu souriais en imaginant déjà sa réaction quand il se rendra compte qu’il avait sûrement pris un peu de poids, que tous ses vêtements n’étaient plus à sa taille. Ce serait tellement triste pour lui, ou pas. Tu finis par fermer la porte à clé avant de prendre ton téléphone pour envoyer un message à la jeune femme pour lui dire que l’affaire était réglée. « Done. » Tu rangeas ton téléphone avant de repartir faire ta vie comme ci de rien était, étant mentalement très fière de toi.

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