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Jaley

Je dois avouer que c'est un peu la merde en ce moment, niveau thunes. Le job de barista ne paye pas assez, et surtout, mon augmentation me passe sous le nez à cause du connard de Julian. Putain il m'a foutu les boules celui-là, mais je préfère ne plus y penser pour éviter de me retrouver une nouvelle fois de mauvaise humeur. La vie est belle. Ben oui, la vie est belle. Je sors à peine du travail, et même si James me dit qu'il s'en sort tout seul, parce qu'il est sorti de l'hôpital il y a seulement quelques jours, je préfère rentrer pour prendre soin de lui. Néanmoins, je voulais faire une escale à la banque d'abord. Histoire de demander un petit découvert. J'ai du matériel à acheter pour mes peintures et je n'ai plus une thune. Bien évidemment, hors de question de demander le moindre sou à mon mari.. Trop de fierté peut-être. Certainement. Mais ça me mettrait mal à l'aise. Alors j'avais pris rendez-vous avec mon conseiller financier, et une fois installé à son bureau, je lui impose ma demande. Il cherche dans son ordinateur, fronce les sourcils. « Mais monsieur Fox-Anderson, vous avez plus de 100’000$ sur votre compte. Et 20'000$ sur votre nouveau compte épargne. Vous n'avez pas besoin d'un découvert. » Wut ? Il a dit quoi là ? Plus de 100'000 dollars sur mon compte ?.. Mais.. D'où ? Je le regarde avec des yeux ronds, un peu choqué. « Vous devez être sur le compte de mon mari. Je suis à sec, moi. » Il vérifie de nouveau, mais me confirme que non, qu'il ne s'est pas trompé de nom, et qu'il s'agit d'une transaction faite par mon mari justement. Ah, ok.

Je me dépêche alors de rentrer à la maison. Mais je suis encore choqué. Par tant d'argent sur mon compte, oui mais surtout parce que James l'avait fait dans mon dos. Ce n'est pas rien, 100'000 $.. C'est énorme. Je rentre à la maison, posant ma veste sur le porte manteau, je retire mes chaussures et m'avance dans le salon jusqu'à poser mon sac à dos sur la table basse, et m'affaler dans le canapé, à côté de James. « Salut bébé, ça va ? » demandais-je en m'allumant une cigarette. Je ne sais pas trop comment réagir sur le moment, c'est surtout parce que je suis encore tout choqué, et que je ne comprends pas tellement pourquoi il a fait ça. Enfin.. J'ai besoin d'argent, oui. Mais il sait parfaitement comment je fonctionne.


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Surtout de rien.
“Trois choses sont absolument nécessaires : premièrement de l'argent, secondement de l'argent, troisièmement de l'argent.”


Je crois que le plus compliqué dans tout ça, c’est de ne pas réellement bouger comme je le veux. On m’a conseillé de rester la plupart du temps allongé, et je dois vous dire que ça m’emmerde plus qu’autre chose. Je ne vais plus en cours, et non plus à l’hôpital. Il faut croire que les emmerdes ne cessent de m’envahir. Installé sur le divan, depuis bientôt de nombreuses heures. Je regarde rapidement mon téléphone en voyant qu’Harley ne m’a pas envoyé de message depuis un bon moment. Il sait que depuis la soirée il est obligé de me prévenir, qu’il ne doit pas être silencieux parce que ça peut me rendre cinglé. Je prends sur moi pour ne pas lui envoyer un message ou l’appeler, il doit sans doute être déjà en route en direction de l’appartement. Oui, c’est ça. Je ne sais pas pourquoi je m’inquiète. Il ne va rien se passer. Je soupire, lourdement. J’ai l’impression que le temps passe tellement long que la journée à mes yeux ressemble à une semaine entière, et ce. Sans déconné. Je me lève, et j’essaie de m’occuper l’esprit. Je vais boire quelques verres d’eau, je mange quelques petits trucs que la femme de ménage à laisser pour nous. Je prends des livres et j’essaie d’étudier les prochains examens en priant que je puisse être présent et ne plus louper autant de jour. Parce que merde, l’air de rien en une semaine c’est un chapitre que je dois apprendre. Et si on compte combien de temps je suis soi à l’hôpital et en plus de ça à la maison. J’essaie de compter vulgairement dans ma tête et quand j’arrive au stade de me dire que je vais devoir rattraper environs 6 chapitres j’ai limite le vertige. Alors, j’étudie chez moi. J’apprends le maximum sans avoir de retour des profs. Et même si mes camarades me donnent quelques informations ce n’est jamais comme le vrai cours.

Assis sur le canapé, caressant mon ventre. J’entends la porte s’ouvrir et les deux chiens courir en direction d’Harley. C’est comme un soulagement. Sauf que je sens que quelque chose ne va pas. Il a peut-être eu une mauvaise note, ou bien une mauvaise journée. Je lui souris tendrement. « Salut bébé, bien et toi ? » Je le regarde quelques instants, avant de parcourir mes livres d’un regard rapide. Je n’aime pas vraiment étudier quand il est là, je préfère largement être à ces côtés et profiter de ce moment. Alors je renferme les livres, les papiers qui trainaient sur la table basse. Et je me colle contre Harley en venant lui piquer la clope afin d’y tirer une simple bouffée. « Alors, t’a journée ? » Je glisse sa cigarette entre ces lippes mais avant tout cela, je vins lui piquer un petit baiser en mordillant son inférieure en tirant dessus comme un sauvage tout en restant doux. « Tu m’as manqué. »

©zelda
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Jaley

J'avais un peu de mal à avaler la pilule en fait. C'était compliqué dans ma tête, en même temps j'avais besoin d'argent, mais d'un autre côté, je ne voulais pas qu'il vienne de James. C'est mon mari pourtant, on est censé tout partager, même le fric. Ce qui est à moi est à lui, et ce qui est à lui est à moi. Mais non, je ne pense toujours pas comme ça. Et ça me gêne profondément, ce don d'argent. Surtout cette somme. Ca aurait été dix dollars, je n'aurais rien dit, j'aurais pu les lui rendre le mois suivant. Mais cent mille dollars. Putain de merde, c'est énorme ! C'est normal que j'en sois choqué, en plus qu'il m'ait ouvert un compte épargne pour y placer vingt mille dollars, ça me donne le tournis tout ça. Alors une fois rentré, je m'affale sur le canapé à ses côtés, après avoir rapidement caressé les chiens. M'allumant une cigarette, je remarque qu'il étudiait, mais il délaisse bien vite ses occupations pour se concentrer sur moi. Je tire sur ma cigarette en haussant les épaules en réponse à sa question, puis souffle la fumée vers le plafond en le laissant me piquer ma cigarette. Habituellement je déteste qu'on me prenne ma cigarette. Mais c'est James, je ne détesterais jamais ça avec lui. Bien au contraire, je veux tout partager avec lui. Et ce sont des pensées assez contradictoires, puisque je suis gêné du geste qu'il a fait. Ma main part quand même sur sa cuisse et je grimace à sa seconde question. « Pas terrible. Mon patron me lâche pas d'une semelle. J'ai foiré mon exam et j'ai rien avalé de la journée. » Ouais bon je me plains un peu, mais il m'a demandé. Je n'allais pas le lui cacher quand même, même si je sais qu'il va se mettre en colère en sachant que je n'ai rien mangé. Enfin, j'ai quand même piqué un muffin au boulot, pendant ma pause.

Posant ma main sur sa joue, je le rattrape pour avoir un baiser plus long, et lui mordiller la lèvre en retour, souriant légèrement à ses paroles. « Toi aussi tu m'as manqué. Tu t'es pas trop ennuyé ? T'as pas eu trop mal ? » Lui demandais-je inquiet. Je n'aimais pas le savoir dans le mal alors toute la journée, je lui envoie quelques textos pour savoir comment il va, et aussi l'informer de ma position et de mes activités. Je tire quelques fois sur ma clope pendant qu'il me répond avant d'enchaîner avec la question à cent vingt mille dollars. « Dis, t'as pas quelque chose à me dire ? Un truc dont tu voudrais me parler..? »
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Il y a des choses que je ne comprends pas, comme par exemple le fait qu’il n’aille pas manger. Alors qu’il sait très bien qu’il doit manger avec ces médicaments. Ça me met hors de moi, mais je préfère tout garder à l’intérieur pour ne pas l’engueuler comme je le fais d’habitude. Il est conscient que c’était une erreur, et que j’espérais qu’il ne la refasse plus. Je détourne le regard sur les alentours, ou plutôt sur la télévision qui diffusait une émission plutôt stupide. J’essaie de me calmer, de prendre sur moi. De me convaincre que s’il n’a pas eu le temps c’est qu’il était très occupé. Même si manger un sandwich ne prend que quelques minutes et bien c’est qu’il n’a rien eu de tout cela.  Après le baiser que nous nous offrions, il m’avoue que je l’ai manqué et c’est comme un automatisme. J’aborde un faible sourire alors que je le remercie en venant embrasser le sommet de son front. J’aime le manquer, c’est sans doute la plus belle chose qu’il puisse m’avouer. Mordillant l’intérieur de ma joue, en scrutant les lignes de mes papiers. Fait à l’arrache évidemment, je fronçais les sourcils par la question de mon époux. Je réfléchis, aux choses que j’ai pu faire, ou non sans qu’il sache ou que j’aille simplement oublier de lui signaler. « Non, pourquoi ? Enfin, la femme de ménage ne sera pas là la fin de cette semaine. Mais je crois que je te l’avais dit non ? » Je ne sais plus vraiment si ce fut le cas ou non, cependant je n’estime pas que cette information soit si importante que ça, du moins pour en avoir comme sujet de conversation. Je souris à Harley, avant de me redresser pour m’avancer vers l’intérieur de la cuisine où je versais un verre de coca mais aussi un verre d’eau tout simple pour moi. Il avait besoin de sucre, et ce genre de boisson était parfaite pour ça. Je ramenais le tout sur la table basse en poussant mes propres affaires vers le coin et quelques libres sur le canapé afin d’avoir la place suffisante.

« Pourquoi ton patron n’a pas arrêté de te suivre ? » C’est curieux, mais c’était la première fois qu’il me parlait de ce fameux patron. De ce que j’en sais, ils sont satisfaits du boulot d’Harley, alors je trouve ça étrange que du jour au lendemain ce dernier le suive avec insistance. « Ils vont virer des gens ? C’est pour ça qu’il est derrière toi ? » C’était souvent ça, enfin bon. Je haussais les épaules. Parce que de toute manière Harley serait bon partout. Donc, à mon avis il trouverait facile un boulot plus élevé que celui-ci. Mais encore une fois, je ne préfère pas débattre. J’essaie de me déplacer, lentement pour m’installer à califourchon sur les cuisses de mon époux. Mes mains sur ces épaules, d’une faible grimace par les quelques douleurs au niveau de mon ventre. « Alors bébé, on fait des bêtises au boulot ? »


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Je savais parfaitement qu'il serait en colère à l'entente de ces paroles, comme quoi je n'ai rien mangé. Je n'ai simplement pas eu le temps de le faire, et je sais aussi qu'il le sait bien. Il a raison, c'est important que je mange, c'est pour ça que j'avais pris un peu de sucre au boulot, un muffin pendant ma pause. Histoire de ne pas faire de malaise. Enfin, ce n'était pas le sujet qui me trottait en tête de toute façon. Je pensais plus à l'argent qu'il venait de mettre sur mon compte sans me demander mon avis. Sans même m'en parler. Et je sais bien pourquoi il ne l'avait pas fait. Je l'aurais refusé. Mais j'avais besoin qu'il m'en parle quand même, même pour faire face à un refus. Mais je n'étais pas en colère, j'étais simplement.. Mal à l'aise. Je n'ai pas l'habitude qu'on prenne soin de moi de cette façon et ça me mettait un peu dans une position désagréable. Il me répond alors qu'il ne sait pas et je secoue la tête pour lui indiquer que ça n'était pas ça. « Oui, tu me l'as dit amour. » Il se relève et je fronce les sourcils, je ne sais pas trop ce qu'il va faire, mais quand je vois les deux verres je soupire légèrement. « Merci bébé.. J'aurais pu y aller tu sais. » Je voulais le ménager, mais ça n'était pas très réussi. Alors je me relève aussi pour ranger un peu le bazar sur la table basse, me déplaçant même jusque dans son bureau pour les ranger et revenir ensuite avec Lucky et Héros sur les talons. Je me repose sur le canapé en prenant mon verre, buvant quelques gorgées rafraîchissantes, puis observe mon mari qui me pose des questions.

« C'est à cause de Julian. Tu te souviens ? Je t'en avais parlé. Quand il m'a renversé son café chaud dessus dans mon mauvais jour. » Je soupire. Cette histoire me gonfle honnêtement, il ne s'était même pas excusé putain. Alors qu'il avait commis la faute. Et c'est moi qui ai tout pris dans la gueule. Le client est roi, peut-être, mais il n'était pas mon client à proprement parler. J'écrase ma cigarette dans le cendrier avant qu'il ne vienne sur moi, et je pose mes mains sur ses hanches que je caresse délicatement, grimaçant par mimétisme. « Ne bouge pas trop. Tu vas avoir mal.. » Je déteste le voir souffrir, peu importe la manière. Je déteste simplement ça, ça me fait beaucoup de mal. Je me rapproche de lui, je pose ma tête contre son épaule et l'entoure de mes bras, blotti contre lui, comme un enfant pas très à l'aise tout de même. « Je suis passé à la banque avant de rentrer, pour demander un découvert. »
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