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The light appears in the worst moments (alade)

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Je détestais ses lieux à mesure que je les arpentais. J'y avais passé du temps depuis mon arrivée à Boston, que ce soit pour moi ou bien pour mes proches. Encore une fois, je me trouvais ici à déambuler dans les couloirs, la boule au ventre. Un mal pour un bien que Wade avait dit. Il avait raison, enfin nous avions trouvé ce qui n'allait pas dans la tête d'Osean, ils l’opéraient et ensuite tout allait rentrer en ordre. Il souffrait donc d'une encéphalite à un stade avancé. Autant vous dire que malgré mes brillantes études à Harvard, ça restait du chinois pour moi. Je retenais surtout que tout allait rentrer dans l'ordre et qu'ensuite, j'allais pouvoir souffler. J'étais à la fois soulagée de me dire que ça arrivait avant la naissance de notre fille, mais j'étais tellement stressée à l'idée qu'il y ait un problème. L'idée de me retrouver seule, d'affronter une perte telle que celle d'Osean pourrait être me faisait terriblement peur. Me connaissant, je supposais que je serais incapable de surmonter une épreuve pareille. Je déambulais jusqu'à retrouver la salle d'attente et c'est là que tel un choc, je m'arrêtais et je me réveillais, en quelque sorte. En face de l'entrée se trouvait assis mon père. Est-ce que les nouvelles vont si vite que ça ? Je ne supportais pas tellement ce genre de rendez-vous imprévus, surtout avec Alcibiade. Cela pouvait aussi bien que mal se passer et c'était ni le moment, ni l'endroit pour ce genre de mésaventure. Je détournais le regard avant de me remettre en mouvements, allant m'asseoir deux chaises plus loin afin de mettre des distances raisonnables.
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  Alcibiade avait des yeux et des oreilles partout, à l'instar d'une immense toile d'araignée sur laquelle fileraient les informations en direction d'un même centre. Lui... Ainsi, lorsqu'il avait apprit la présence de sa fille au sein de l’hôpital, il n'avait guère hésité à annuler ses rendez-vous pour rejoindre le bâtiment en question après s'être assuré qu'elle n'y était pas pour elle. Cette réaction pouvait paraître étrange, mais Alcibiade y voyait une opportunité pour discuter, se rapprocher d'Alaska sans que cette dernière ne puisse fuir d'une quelconque manière que ce soit. Arrivé à l'hôpital, le quinquagénaire s'était dirigé vers la salle d'attente, prenant place sur l'une des chaises mises à disposition. Il attendit patiemment durant plusieurs minutes, ses mains jointes sur ses jambes croisées, son regard balayant la pièce jusqu'à s'arrêter sur une silhouette familière, celle d'Alaska.Alcibiade avait sans nul mal remarqué l'étonnement sur le visage de cette dernière,  avant qu'elle ne détourne le regard et prenne place sur une chaise un peu plus loin.

« Tu aurais au moins pus faire semblant d'être heureuse de voir ton père... »

 Sa voix ne trahissait aucune émotion, mais un sourire amusé venait étirer ses lèvres. En réalité, la réaction d'Alaska ne l'avait pas tant étonné, cela faisait un moment que leur relation tendait vers le négatif et cela faisait déjà plusieurs semaines qu'ils ne s'étaient pas vu.

 « ... Surtout lorsqu'il vient prendre de tes nouvelles. »

C'est sensiblement plus sérieux qu'il avait ajouté la raison de sa présence en ces lieux. Il avait prit sa journée pour s'assurer qu'elle allait bien autant physiquement que moralement, son regard ambré la détaillant alors avec attention.

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Je m'attendais à tout sauf à voir mon père dans la salle d'attente de l'hôpital. Qu'est-ce qu'il faisait là au juste ? J'étais assez stressée comme ça, je n'avais pas besoin de subir une quelconque pression venant de sa part. Moi qui ne voulais pas rester dans la chambre vide qu'occupait Osean, j'aurais finalement dû. Enfin bon, j'étais certaine qu'il aurait réussi à me trouver, même dans un placard à balais. Finalement, quand Osean disait "Alaska saura parce qu'Alaska sait tout" concernant les potins, fallait croire que j'avais pris ça de mon père qui généralement arrivait toujours à ses fins de façon saine ou malsaine. M'asseoir plusieurs chaises plus loin, sans rien dire, c'était ma protection à moi. Je n'avais pas envie de lui parler, je voulais juste qu'il fasse comme si je n'existais pas. Puis, il faisait quoi ici au juste ? « Tu aurais au moins pus faire semblant d'être heureuse de voir ton père... » Je roulais mes yeux au plafond, préférant rester silencieuse encore une fois. Je n'avais pas envie d'exploser dans un endroit comme celui-ci. Ce n'était pas bon pour le bébé non plus. Je m'affaissais dans ma chaise, regardant droit devant moi, posant mes mains sur mon ventre pour le caresser doucement. « ... Surtout lorsqu'il vient prendre de tes nouvelles. » Je me mettais à rire toute seule sur ma chaise. Prendre de mes nouvelles ? Il ne pouvait pas le faire plus tôt ? « Tu aurais pu faire ça avant, non ? » Ça faisait combien de temps que nous n'avions pas discuté ? J'avais traversé tellement de choses et ses derniers temps, les seules personnes à avoir vraiment été là pour moi c'était Osean, Feldt, Wade et Declan. Il n'en faisait clairement pas partie.
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  En vérité, Alcibiade adorait voir l'étonnement sur le visage d'autrui lorsqu'il apparaissait de manière totalement inattendus comme en ce jour au sein de l'hôpital. Mais si la plupart du temps il accueillait des réactions positive de la part de ses proches, il savait pertinemment que sa chère fille ne sauterait pas de joie en le voyant. Hypothèse confirmé lorsqu'elle l'ignora royalement pour son plus grand déplaisir. Il est vrai que leur relation n'avait rien de celle qu'un père et sa fille entretienne habituellement, mais il n'avait pas imaginé qu'elle puisse avoir aussi peu d'intérêt en son égard, et s'il n'avait rien laissé paraître, souriant même de la situation, il en demeurait sensiblement vexé. Mais il ne comptait pas s'arrêter là, il avait bien la ferme intention de mettre les choses au clair avec cette dernière et surtout savoir comment elle se sentait à quelques semaines de l'accouchement. Mais visiblement, à ses yeux, le fait que son père puisse faire le déplacement pour s'informer de son état était particulièrement drôle puisqu'elle en avait laissé s'échapper un de ces rires sans joie.

« Tu aurais pu faire ça avant, non ? »

 Évidement, aucune conversation ne pouvait être simple avec Alaska et voila qu'elle lui reprochait de ne pas être venue la voir plus tôt. Il aurait pu certes, mais s'était contenter de prendre des nouvelles via Declan, gardant un œil lointain mais présent sur sa fille sans qu'elle ne le sache réellement, sans intervenir. Il avait voulu attendre le bon moment mais à priori chez les Hamilton ça n'existait pas. Se laissant retomber sur le dossier de la chaise, c'est en croisant les bras qu'il rétorqua sur un ton balançant entre douce moquerie et reproches silencieuses...

« Dois-je comprendre que tu aurais voulu me voir ? Car dans ce cas, tu aurais pu venir à la maison... »


Sa porte lui était grande ouverte, et pourtant elle n'était pas venue une seule fois voir son père. Charles en avait donc déduit qu'elle ne voulait pas le voir, encore une fois, il ne savait pas sur quel pied danser avec Alaska.
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Ma relation avec mon père m'avait toujours parue étrange. Je n'avais jamais accepté de me faire abandonner à l'âge de cinq ans, tout comme je n'avais jamais accepté que jamais il ne prenne de mes nouvelles. Puis, arriver à Boston et se prendre un vent glacial par son propre père, obliger de le faire culpabiliser pour se faire accepter, c'était horrible. Notre relation avait toujours était qu'un mauvais souvenir et aussi triste que cela puisse paraître, je n'avais jamais réussi à passer outre.  En entrant dans la salle d'attente, en le voyant assis dans la pièce, je ne savais pas comment réagir à la situation. C'était un eu comme "rire ou pleurer ?". Je choisissais l’entre deux : le j'm'en foutisme. Evidemment, avec Alcibiade, rien ne se passait jamais comme prévu. Il fallait toujours qu'il arrive à ses fins et je savais d'avance qu'il m'aura à l'usure. « Dois-je comprendre que tu aurais voulu me voir ? Car dans ce cas, tu aurais pu venir à la maison... » Je laissais échapper un soupir avant de tourner la tête vers mon père. Prête à partir dans l'un de mes traditionnels monologues. Faut dire que j'étais douée pour ça. « Nous n'arriverons jamais à nous apprivoiser. C'est un fait et je pense que tu ne pourras pas arranger les choses. Nous sommes les mêmes personnes sur certains points et aucun de nous deux ne fera le premier pas vers l'autre. Même dans les pires moment que j'ai pu traverser, je n'ai jamais réussi à trouver du réconfort à tes côtés et j'ai toujours pensé que de toute façon, je n'avais aucun intérêt à tes yeux. Tu es détestable même quand tu te montres gentil et je suis bien trop têtue et mélancolie pour te pardonner tes écarts. Je ne viendrais pas.. à la "maison", parce que ça n'a jamais été une "maison" pour moi et j'ai ce côté fier que tu connais si bien qui fait que jamais je n'aurais pu mettre les pieds dans TA maison. » C'était toujours comme ça. Quand j'étais submergée par la mélancolie ou que je sentais que j'allais être triste, je parlais trop. Parfois, ça n'avait ni queue, ni tête mais la plupart du temps, c'était sincère. « Pourquoi es-tu là ? Tu profites de ma faiblesse pour m'approcher ? Tu veux me prendre par les sentiments ? » J'avais tellement des a priori sur mon père, que finalement, je ne le connaissais pas si bien.
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  L’hôpital n'était guère l'endroit le plus approprié pour des retrouvailles père-fille, il n'y avait qu'à voir la tension palpable entre les deux Hamilton pour se rendre compte de la gravité de leur relation. A tout moment la conversation pouvait dérivé, pour le pire, et Alcibiade le savait parfaitement. Malgré ça, l'homme demeurait assis dans cette salle d'attente, vêtu d'un de ces costumes luxueux réservé qu'à une poignée de riches, l'air sérieux et quelque part, involontairement supérieur, comme s'il se trouvait dans son bureau face à un client récalcitrant. Mais Alaska, contrairement aux hommes et aux femmes que l'Hamilton pouvait croisé dans tel ou tel endroit, ne se laissait jamais mener si facilement, et n’hésita par ailleurs guère à exprimer ce qu'elle ressentis vis à vis de son propre père, sans aucune retenue.

« Nous n'arriverons jamais à nous apprivoiser. C'est un fait et je pense que tu ne pourras pas arranger les choses. Nous sommes les mêmes personnes sur certains points et aucun de nous deux ne fera le premier pas vers l'autre. Même dans les pires moment que j'ai pu traverser, je n'ai jamais réussi à trouver du réconfort à tes côtés et j'ai toujours pensé que de toute façon, je n'avais aucun intérêt à tes yeux. Tu es détestable même quand tu te montres gentil et je suis bien trop têtue et mélancolie pour te pardonner tes écarts. Je ne viendrais pas.. à la "maison", parce que ça n'a jamais été une "maison" pour moi et j'ai ce côté fier que tu connais si bien qui fait que jamais je n'aurais pu mettre les pieds dans TA maison.  »

Durant ce bien triste monologue, Alcibiade était resté de marbre, ses yeux ambrés encrés dans ceux de sa progéniture, rien n'aurait pu trahir ses émotions sinon ce regard sensiblement assombris, silencieusement blessé dans son ego. Il ne niait pas avoir commis quelques erreurs de parcours, mais refusait d'endosser l'entière responsabilité de ce qui avait tant détérioré leur relation.

« Pourquoi es-tu là ? Tu profites de ma faiblesse pour m'approcher ? Tu veux me prendre par les sentiments ? »

 Il est clair qu'Alaska sous-estimait l'image qu'elle avait aux yeux de son père, certes ses attentions n'avaient pas toujours été des plus louable, mais cette fois ci il n'en était rien. Cette réaction insensé avait le don d'agacer l'homme d'affaire qui tenta pourtant de garder son calme apparent. Néanmoins offusqué, c'est d'un ton grave et autoritaire qu'il répliqua dans un claquement de langue.

« Ne fais pas comme si je n'avais jamais rien fais pour toi Alaska ! Si tu n'avais aucun intérêt à mes yeux, détestable que je suis, je ne serais pas ici ! »


C'était bien connu, l'Hamilton ne se déplaçait jamais sans raisons valables. Et en ce jour, il avait mit en pause son statut d'homme d'affaire à l'emploie du temps chargé, pour retrouver sa fille dans l'enceinte de l'hôpital. Si ça ce n'était pas un premier pas des plus inattendus de sa part, surtout pour un homme que cette dernière qualifiait de détestable. Alcibiade avait beau savoir manier l'art de refouler toute émotion, il n'appréciait pas une seconde la manière dont sa fille avait réagis, et sans doute cela put se voir à travers son ton sensiblement plus ferme et catégorique lorsqu'il reprit la parole.

« L'idée que je puisse me faire du soucis pour toi et le bébé te sembles à ce point inimaginable ?! Quoi qu'il en soit, je n'ai pas envie de me battre avec toi aujourd'hui, alors si tu ne veux pas me voir dis le moi tout de suite, ça m'évitera de perdre mon temps. Mais ne viens pas me reprocher de ne pas faire le premier pas ! »


A ces mots, l'Hamilton avait reprit toute sa hauteur en quittant sa chaise, son regard perçant ancré dans celui de sa jeune fille, prêt à partir à toute instant. Cependant, il laissait encore le choix à cette dernière, du moins de ce qu'il en laissait paraître. S'il avait réutilisé les propos de la jeune femme dans un but clairement définit, il n'en restait pas moins imprévisible et étrangement sincère en cet instant.
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Me retrouver dans la même pièce que mon père, ce n'était jamais quelque chose de facile. Je n'arrivais pas à le pardonner pour ce qu'il m'avait fait quand j'étais enfant et adolescente. Il ne m'avait jamais frappé, pas comme ma mère, mais il avait contribué à ce triste destin en m'abandonnant. Je n'arrivais pas à trouver un terrain d'entente, à me détendre en sa présence et à la seconde où il avait mis les pieds dans la salle d'attente de l'hôpital, mon humeur avait changé. « Ne fais pas comme si je n'avais jamais rien fais pour toi Alaska ! Si tu n'avais aucun intérêt à mes yeux, détestable que je suis, je ne serais pas ici ! » Ma mâchoire se contractait, légèrement entrouverte. Je savais qu'il avait raison. Mais c'était plus fort que moi. C'était difficile d'admettre pour moi que mon père avait pu se rattraper, comme me payer mes études à Haravrd ou mes frais d'hôpitaux par exemple. Mais je ne lui avais jamais rien demandé, je n'avais jamais fait mon enfant gâtée. Je ne disais rien, ne le regardais pas, caressant mon ventre rond. « L'idée que je puisse me faire du soucis pour toi et le bébé te sembles à ce point inimaginable ?! Quoi qu'il en soit, je n'ai pas envie de me battre avec toi aujourd'hui, alors si tu ne veux pas me voir dis le moi tout de suite, ça m'évitera de perdre mon temps. Mais ne viens pas me reprocher de ne pas faire le premier pas ! » Et voilà. C'était le meilleur moyen de me faire plier : la culpabilité. Mon père s'était levé, prêt à partir, me demandant à moi ce que je voulais qu'il fasse. Je le regardais finalement. « Tu peux rester... » lui confiais-je dans un haussement d'épaules. Qu'est-ce que je pouvais faire d'autre ? J'avais l’impression d'être horrible par moment et je n'aimais pas ça. J'avais un père et on allait me dire que c'était de ma faute de ne pas vouloir le laisser entrer dans ma vie. Il essuyait d'avantage le négatif que le positif.
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Alaska ne voulait pas voir son père, le message était suffisamment clair. Seulement, Alcibiade n'était pas le genre d'homme à faire des déplacement en vain. En somme, il ne comptait guère partir, et tous les moyens étaient bon pour faire plier sa fille. Quel vil talent que de savoir ttourner une situation à son avantage, particulièrement avec sa propre famille, mais voilà qu'Alcibiade, à défaut d'être tendre et pleins d'affection, faisait naître la culpabilité chez la jeune femme. Il fallait admettre que l'Hamilton avait eu un instant d'hésitation devant l'absence de réaction chez Alaska, mais finalement, lorsqu'elle reprit la parole ses doutes s'envolèrent.

« Tu peux rester... »

A la bonne heure ! Voilà qu'Alcibiade souriait désormais de ses lèvres pincées, pleinement satisfait de ce choix final. Il reprit finalement place assise juste à côté d'Alaska, sans trop lui laisser le choix, il reprit finalement, sans réellement la regarder, comme si cette soudaine attention qu'il lui portait était trop dur à assumer pour un homme depuis si longtemps distant avec elle.

« J’espérais t'entendre dire ça. »

Il s'accorda une seconde de silence avant de reprendre d'une voix naturellement plus assuré.

« Alors, ça se passe bien avec le bébé ? Pas de problème notable ? Est-ce que Ethan... ou Sean.. ? Peu importe... Le garçon, s'occupe bien de toi ?! »

Non, Alcibiade ne portait pas Osean dans son cœur. Comme à peu près tous les hommes et femmes que côtoyaient ses enfants. Mais au moins avait-il la décence de ne pas faire de commentaire désobligent.
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Je me sentais faible. J'avais l'impression d'ailleurs que cette faiblesse, elle venait de lui. Comment je pourrais choisir du départ de mon père (peu importe le contexte) alors que toute ma vie, j'avais justement souffert de cela. Non, je ne voulais pas qu'il m'abandonne et lorsque j'avais cinq ans, s'il m'avait posé cette question, j'aurais réagis sans aucune hésitation. Non, je ne voulais pas qu'il parte. Peu importe que ça soit difficile entre lui et moi. Mais en même temps, j'avais l'impression qu'il sera toujours plus fort que moi à ce petit jeu, il sera celui qui me fera plier malgré tout et que je continuerais à détester pour cela. « J’espérais t'entendre dire ça. » Je supposais que c'était gratifiant pour lui. Mon regard allait droit devant moi, je ne le regardais pas, car je ne voulais pas voir son air satisfait qu'il devait certainement aborder. « Alors, ça se passe bien avec le bébé ? Pas de problème notable ? Est-ce que Ethan... ou Sean.. ? Peu importe... Le garçon, s'occupe bien de toi ?! » - « Peu importe ? » demandais-je en étant surprise. « Si je suis ici, c'est parce qu'il est à l'hôpital, en train de se faire opérer, tu ne peux pas avoir un minimum de respect ? » Parce que j'étais certaine que le coup du prénom, c'était totalement fait exprès. « Osean s'occupe très bien de moi, malgré qu'il soit malade et le bébé se porte à merveille. » Et moi, j'étais à cran.
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