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it's okay, i can survive (jusia)

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Un cauchemar, voilà ce que ça devenait. Venir à cette soirée était une erreur. Je n'avais jamais été.. Non. Je n'étais plus une fêtarde. Disons qu'autrefois, je ne m'attachais à personne et sortir ne me dérangeait en rien. Désormais, j'étais à une soirée, seule, à m'ennuyer et pour finir, je me retrouvais dans une situation que je n'avais pas voulu. Face à Jules qui me déteste et ses amis, qui me détestent. Il était blessant et ce à chaque fois que j'avais à lui adresser la parole. À tel point que je venais de quitter le centre commercial pour la fête du nouvel an en essayant de ne rien laisser paraître. En fait, ma robe de soirée, c'était la seule chose positive ce soir et là, je m'apprêtais à rentrer en taxi pour passer ma fin d'année toute seule. Ce n'était peut-être pas plus mal. Après avoir appelé de quoi venir me chercher, j'allais m'asseoir sur un banc, grelottant sous mon manteau et surtout, essayant d'essuyer mes larmes sans faire de traces de maquillage. J'étais au bout de ma vie et j'avais hâte de rentrer chez moi, de me mettre dans mon kimono et de me goinfrer devant une bonne série.
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Jules n'aurait pas pu rêver mieux comme fin d'année, vraiment. Déjà que Noël, il n'aimait pas ça et ne le fêtait plus depuis longtemps, fallait en plus que cette toute dernière soirée de 2016 soit gâchée avant qu'il n'ait pu en profiter. Et avec tout ça, le mather n'avait même plus de quoi prendre un peu d'herbe puisque une blonde le lui avait pris sans lui en demander l'autorisation. Blonde qu'il avait revu ce soir d'ailleurs. Et c'est à partir de ce moment que tout était parti en vrille. Pas tellement par sa faute mais plus par celle d'Agathe qui s'immisçait toujours là où elle n'avait pas à le faire. Enfin bref, Jules était sorti des lieux pour aller fumer et surtout pour s'éloigner un peu de tout ce chahut. Et alors qu'il rangeait son briquet dans sa poche, le jeune homme repéra une silhouette blonde assise seule sur un banc. Ana, sans aucun doute. Mais qu'est-ce qu'elle attendait là, dans le froid et le noir ? Ok, c'était plus fort que lui mais leur échange de tout à l'heure ne lui convenait pas du tout. Laissant la fumée sortir de sa bouche, Jules s'avança d'un pas hésitant vers la demoiselle. Puis il resta là,  immobile à la regarder pendant un instant jusqu'à ce qu'elle ne tourne la tête et qu'il ne voit enfin son visage. Bien sûr qu'elle était belle, plus particulièrement dans cette robe d'ailleurs mais, est-ce que c'était des larmes sur ses joues ?  Est-ce qu'elle pleurait à cause de lui ? Rien que cette pensée le rendait fou. Rien que de la voir comme ça le rendait fou en fait. Elle ne devrait pas pleurer par sa faute, il ne le méritait pas. Rien n'aurait dû se passer de cette manière mais maintenant, il était trop tard. Et Jules s'en voulait, Jules se détestait. Parce qu'il ne devrait pas la mettre dans un état pareil, personne ne devrait. Et pourtant, c'était le cas. Peut-être qu'elle était partie, c'est vrai et qu'il lui en voulait mais en la voyant ainsi, la seule chose qu'il désirait, c'était de mettre toute sa rancœur de côté  et de dire fuck. Détournant le regard, il finit par se poser à côté d'elle, toujours en silence, avant de lui tendre sa cigarette. Ca n'allait pas l'empêcher d'avoir froid, mais c'était déjà ça.
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J'espérais seulement que le taxi allait arriver rapidement. Le comble serait de devoir mourir de froid sur ce banc, ce serait la honte ultime je pense. Surtout que j'étais là en train de pleurer, incapable de retenir mes larmes, faisant au mieux pour les effacer sans faire de trace avec mon maquillage. Qu'est-ce que j'allais devenir ? J'étais de plus en plus solitaire, je m’engouffrais dans cette solitude et je donnais certainement l'impression que je n'avais aucune envie de faire quoi que ce soit pour m'en sortir. Je venais de découvrir l'amour et je me comportais comme une adolescente depuis ce moment. Je n'arrivais pas à contrôler mes pulsions, faisant n'importe quoi alors que dans le font, j'étais capable de faire preuve de maturité. Mais l'amour c'était tellement complexe que ça en était totalement différent. Puis, être amoureuse d'un homme qui vous repousse sans cesse, c'était difficile. J'en venais à me demander si je faisais bien de m'accrocher tant que ça à lui. Est-ce que j'allais avoir un signe d'espoir un jour ? Des pas derrière moi se firent entendre. Je préférais attendre en restant dans ma position, ne voulant pas attirer les regards. Puis, quand je n'entendis plus rien pendant des longues minutes, je me retournais finalement pour regarder si j'étais de nouveau seule. Jules était là. Il fumait sa cigarette et il m'observait. Mon regard soutenait le sien en silence et un grand nombre de questions vint tout de suite se poser dans ma tête. Depuis ces quelques minutes, il était là à me regarder ? Pourquoi il n'était pas partie ? Le pire, c'était de le voir s'approcher de moi. Mon regard le suivit et ma respiration s'arrêta. Qu'est-ce qu'il faisait au juste ? Il s'asseyait à mes côtés et rien que ça, c'était la manière la plus sincère que Jules avait de me réconforter et c'était plus spontané que n'importe qu'elle accolade gênante que l'on aurait pu me faire. Sa main se tendit et mon regard se posa sur sa cigarette que j'acceptais. Je ne fumais pas, pas tellement. Disons que parfois, ça pouvait m'arriver. Mais je restais une petite fille dans l'âme une gamine qui ne faisait que des bêtises tout en prônant qu'elle était une sainte. Je portais la cigarette à ma bouche, tirant dessus et la lui rendais. « Merci » que je bredouillais tout doucement en détournant le regard. D'un main maladroite, j'essayais de sécher mes larmes en espérant naïvement qu'il ne remarque rien de mon désespoir.
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Fêter la nouvelle année, c'était l'occasion de retrouver tous ses amis et de passer un bon moment ensemble en s'amusant. Et pourtant ce soir, Jules n'avait rien envie de tout ça. Enfin, il n'en avait plus envie. Plus depuis cette altercation qui lui laissait un goût amer. Et voir Ana ici, toute seul, était loin d'arranger les choses. Dire que ça ne lui faisait rien, qu'il pourrait l'ignorer et simplement retourner à l'intérieur était faux. Parce que c'était tout le contraire. Ça le laissait pas indifférent, elle ne le laissait pas indifférent. Et la voir pleurer encore moins. Ça l'ennuyait aussi, parce qu'il ne savait pas quoi dire ou même s'il devait simplement dire quelque chose.  C'était pas le domaine de Jules, ça, mais vraiment pas. Alors il se contentait de la regarder, soutenant son regard en lui passant sa cigarette. Ana ne fumait pas et il le savait mais... il réfléchissait trop là. C'était un véritable combat dans sa tête et peut-être pas que là d'ailleurs. Il n'était plus énervé, plus du tout même. Toute sa colère était retombée à l'instant où il l'avait vue et là, seul le silence régnait. Baissant les yeux vers la cigarette qu'il tenait à nouveau entre ses doigts, il écrasa cette dernière sur le banc tandis que la blonde séchait ses larmes. Serrant la mâchoire, Jules hésita encore un instant avant de reporter son attention sur la jeune femme et de lui lancer : "Je suis désolé." Pour ce soir, pour Agathe, pour lui, pour tout. Ce devait être la première fois de sa vie qu'il s'excusait de vive voix ou du moins, la première fois depuis très longtemps. Et le pire, c'est qu'il le pensait.
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La surprise, c'était de le voir derrière moi. On avait beau se déchirer tous les deux, je remarquais avec le temps que malgré tout, Jules avait toujours été observateur, prêt à me venir en aide, à me remettre dans le droit chemin. Il le faisait sans le vouloir, de manière froide et avec des distances de sécurité qui faisaient comprendre que je ne pouvais rien tenter. Mais il était là, au loin. J'étais certaine qu'il était venu me raccompagner à la soirée dans le manoir, mais qu'il s'était arrangé pour tomber sur moi, tout comme j'étais certaine qu'il m'observait en ligne pour voir ce que je faisais. Je ne dis pas qu'il était toujours derrière mon dos et à l’affût. Je disais simplement que quand j'étais dans les parages, il veillait à ce que tout se passe bien et en s'arrangeant à ce que ça se fasse par hasard ou même en s’arrangeant à ce que ça soit moi qui vienne à lui. Certainement que ce soir, il était sortie pour fumer, mais une fois que j'étais apparu dans son champ de vision, j'étais devenu une sorte de priorité, venant même jusqu'à s'asseoir à mes côtés et me proposer sa propre cigarette. Même si je ne fumais pas, je ne pouvais pas refuser. Je tirais dessus un fois avant de la lui rendre pour qu'il l'a termine, l'écrasant finalement contre le banc. Je profitais de ce silence pour me ressaisir et sécher mes larmes. Ce n'était pas facile de savoir comment agir, je crois que c'était la première fois depuis des mois que Jules faisait enfin de premier pas et tel un animal sauvage, je n'osais pas bouger de peur qu'il s'en aille à nouveau. « Je suis désolé. » Mon souffle se coupa. Est-ce que j'avais rêvé ? Je tournais la tête vers le mather pour soutenir son regard. Vous savez quoi ? J'avais envie de l'embrasser. J'avais envie de lui sauter dessus tellement j'étais heureuse de l'entendre dire. Mais, c'était Jules dont on parlait. « Moi aussi, je suis désolée » que je lui répondais alors en le regardant toujours. J'étais désolée pour tout et aussi pour ce qui allait suivre. « Je suis amoureuse de toi » que je bredouillais sans trop réfléchir. Fallait que ça sorte de toute façon et il avait l'air prêt à l'entendre ce soir.
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Sans véritablement comprendre ce qui lui arrivait, Jules venait de s'excuser. C'était pas du tout le genre de choses qu'il aimait faire et c'est d'ailleurs pour cette raison qu'il avait cette mauvaise réputation de toujours tout foutre en l'air. Dire qu'il était désolé, c'était peut-être simple pour certains mais pas pour lui. Le mather avait l'impression qu'il venait de déclarer quelque chose, le quelque chose. Le fameux truc qu'il ne pourrait jamais dire tellement cela lui semblait ridicule. Sorti de sa bouche du moins. C'était tellement exceptionnel pour lui de s'excuser que ça lui semblait déjà de trop. Mais c'était sorti comme ça, parce qu'il n'aimait pas la voir comme ça et encore moins par sa faute. Et elle, pourquoi elle s'excusait ? Parce qu'elle était partie ? Pour ce soir ?  Ou pour la drogue peut-être ? Jules ne savait pas trop en fait mais il n'eut de toute manière pas le temps de prononcer un seul mot qu'elle reprenait déjà la parole et cette fois, c'était pire qu'un "Je suis désolée." Amoureuse. De lui. Ok, c'était certainement la première fois qu'on lui disait les choses aussi cash et Jules n'était clairement pas prêt. Il était censé faire quoi, là tout de suite ? C'était tout ce qu'il ne désirait pas entendre, tout ce qu'il craignait, tout ce qu'il avait toujours parvenu à éviter jusque là. Pourtant, dire que ça ne lui faisait rien serait mentir. Le mather avait beau rejeter toute forme d'amour et de tendresse, prétendre être mieux tout seul, Anastasia était loin de le laisser indifférent. Encore moins en cet instant précis avec ce qu'elle venait de lui déclarer. Peut-être qu'il ne souriait pas, peut-être qu'il ne bougeait pas mais à l'intérieur, elle venait de raviver quelque chose. C'était Jules alors ça n'avait absolument rien de surprenant à ce qu'il reste impassible. Silencieux, le jeune homme continuait de la regarder, ses yeux verts détaillant le visage de la blonde pour finalement dévier vers ses lèvres. Jules hésitait, Jules ne savait pas mais Jules devait agir. Alors, pour seule réponse, il s'empara des lèvres de la Reynolds. L'embrasser avec envie, passion... et pas que. Ça faisait tellement longtemps qu'il n'avait pas fait ça que c'était comme la redécouvrir une seconde fois. Et putain, qu'est-ce que ça faisait du bien.
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Alors que jusqu'ici tout avait semblé très compliqué, ce soir tout se passait de manière spontanée. Le voilà qu'il s'installait auprès de moi après avoir certainement songé à la situation durant des longues minutes. Nous étions l'un à côté de l'autre à partager sa cigarette dans le plus grand silence, me laissant simplement le temps qu'il me fallait pour sécher mes larmes et songer à la suite. Quelle suite! Il était désolé et il fallait entendre pour cela, je suis désolé pour tout. Cela me réchauffait le cœur, je ne pouvais pas le nier. J'avais attendu tellement longtemps qu'un moment comme celui-ci se présente qu'en réalité, j'étais presque surprise qu'il arrive enfin. Il était désolé et je l'étais aussi. Bien sûr que je l'étais, après être partie comme une voleuse, après mon retour chaotique, je me mordais les doigts. Ce soir, il ouvrait une porte et je devais saisir ma chance. Comment ? En parlant avec sincérité. J'étais amoureuse de lui et je venais de le lui dire sans même me forcer. C'était le bon moment pour avouer ce genre de chose. Mais il n'avait aucune réaction. Je ne savais pas si je devais rester sur place et pleurer ou bien partir en courant en espérant mourir de honte. Dans tous les cas, à cet instant, en ne voyant aucune réaction dans son visage, j'avais juste envie de disparaître. Puis finalement, alors que son regard scrutait mon visage, je le sentais se rapprocher de moi. Mon cœur s'arrêta avant de s'emballer dans une chute libre vertigineuse, j'avais des... papillons dans l'estomac. Jules venait de poser ses lèvres sur les miennes, il m'embrassait et j'étais tellement surprise que je crois que j'avais du mal à profiter du moment. Alors pour le retenir un peu, ma main vint glisser sur sa joue en espérant alors faire prolonger ce baiser tant attendu. Il m'avait terriblement manqué et je voyais en ce baiser de l'espoir pour retrouver notre relation d'antan. Je n'osais plus parler, ni bouger. J'aurais aimé que ce moment dure une éternité. J'aurais aimé goûter une nouvelle fois à tant d’intensité, mais mon taxi venait tout juste de se garer en face de nous. Qu'est-ce que je devais faire ? Rester, partir ? « Mon taxi est arrivé.. » Qu'est-ce que lui il voulait ?
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Pour Jules, l'amour était surtout synonyme de faiblesse. C'était peut-être d'ailleurs pour cette raison qu'il n'avait jamais souhaité se mettre en couple avec qui que ce soit ou bien, tout simplement parce qu'il n'en voyait pas l'intérêt. Alors avoir Ana, juste là, devant lui, en train de sécher ses larmes, ça lui faisait prendre conscience qu'elle était celle qui le rendait vulnérable. Parce que Jules avait beau faire de son mieux pour rester le mec aussi je m'en foutiste et désintéressé qu'il ne l'était habituellement, cette vision de la jeune femme lui était plus que détestable. Et cette déclaration, pas si inattendue que ça mais à laquelle il ne s'était pas préparé, jamais. Encore moins actuellement alors que tout allait au plus mal entre eux. Répondre par les mots ? Impossible. C'était de Jules que l'on parlait là. Et puis, il ne saurait même pas dire ce qu'il fallait, ce qu'elle attendait, désirait. Agir, c'était plus dans ses cordes, par contre. Alors il l'embrassa, pour la rassurer, la réconforter mais surtout, parce qu'il en avait envie, besoin même. C'était en quelque sorte sa manière à lui de lui répondre et de lui faire comprendre quelque chose, aussi, il n'en savait trop rien. Il ne réfléchissait même plus, ses lèvres se perdant sur celles de la Reynolds tandis qu'il sentait la main de celle-ci venir délicatement se poser sur sa joue. Cet instant paraissait si... exceptionnel que le temps semblait comme s'être arrêté. Jusqu'à ce que le taxi de la blonde n'arrive, jusqu'à ce que cet échange ne prenne fin. Et bien sûr que Jules aurait voulu la retenir, lui dire de rester, la retrouver pour de bon, mais il ne pouvait pas. Parce qu'il ne savait pas ce que tout cela signifiait, qu'il n'oubliait pas tout ce qui avait pu se passer jusque là et surtout, parce que c'était Jules. "Tu devrais y aller." Alors comme d'habitude, il se faisait plus de mal qu'autre chose, et à elle aussi.

FIN DU RP.
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