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JEAN BUSHNELL ► Stella Maxwell

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feat. STELLA MAXWELL
avatar ©️mahself

 
Jean Bushnell
NomBushnell, la petite soeur de la tribuPrénom(s)JeanÂge 22 bougiesDate de naissance 12 mai 1994Lieu de naissanceNew York dans la "jungle du Bronx".Statut amoureuxpetit électron libreOrientation sexuellebien trop confuseClasse sociale aisée même si le mot lui pique la langueÉtudes majeuresJournalismeÉtudes mineuresArtJoboccasionellement chanteuse, dans un bar miteux ou une station d'autoroute presque déserteChoix de groupe #1Lowell HouseChoix de groupe #2Mather House

 
LOWELL HOUSE
    Avant d'être une éternelle rebelle, Jean est une artiste. Elle chante depuis qu'elle sait parler, danse depuis qu'elle sait marcher et dessinait bien avant de savoir écrire. Et des comptines sages au rock des plus sauvages, de la danse classique au déhanché des plus aguicheurs, des petits bonhommes dans la marge des cahiers d'écoles au tags recouvrant les murs du Bronx, Jean n'a jamais cessé de créer. Et si on observe ou écoute avec suffisamment d'attention, que ça soit dans ses raps ou ses gigantesques graffitis, se cache toujours sa signature : renegade.
   
MATHER HOUSE
    L'anarchie et le chaos, certainement tout ce qui conviendrait à la petite Jean. La jeune fille ne se sent vivre qu'en se rebellant sans cesse contre une société qui veut la conformer, l'oppresser, l'assagir. Et comme dire "non" n'est pas assez, depuis toujours, Jean a pris un malin plaisir à faire l'inverse de ce qu'on lui dit. Ainsi, elle fumait une clope dès la sortie de la prévention anti-tabac, engageait une beuverie après les campagnes sur les dangers liés à l'alcool et participait à des ébats des plus sauvages après les sensibilisations aux IST. Jean c'est la révolte et la fête.
APRÈS LA BOMBE.
  Jean n'avait pas encore intégré Harvard à l'époque, elle n'était donc pas sur le campus et n'a connu aucun dommage... physique. L'événement n'en était pas moins traumatisant pour la jeune femme : son cousin Hayden, qu'elle considère comme son propre frère fut gravement touché et interné à l’hôpital pendant quelques temps. Au départ, Jean l'avait même cru mort avant d'entendre des nouvelles de son rétablissement et la jeune femme a connu des terribles crisss d'angoisse durant cette période.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
    Tout d'un coup, la fête s'était arrêtée sur le campus. Aux festivités permanentes s'était substituée une ambiance morbide où les gens semblaient tous vouloir se parquer chez soi. Attirée par l'extérieur qu'importe la situation et absolument ignorante du danger, Jean continuait de sortir et le changement d'ambiance avait été radical : les bancs étaient inoccupés, les cafés presque vides... Quand à la fermeture des maisons, la petite n'en fut pas préoccupée le moins du monde, étant une jeune student libre comme l'air refusant de se formater aux principes des maisons qu'elle jugeait, à l'époque, absolument rigides. Néanmoins, Jean avait pris un entrain fou à participer à la manifestation contre cette décision de l'administration pour le plaisir pur et simple de contester tout et son contraire, le brandissage de pancarte et le scandage de slogans rebelles certainement inscrit dans ses gènes.
ITEM LIBRE.
petite soeur de la tribu Bushnell * même si elle n'aime pas l'avouer, son frère, c'est son meilleur ami * très proche de son cousin, Hayden, qu'elle considère comme un frère * déteste avouer ses sentiments aux personnes qu'elle estime vraiment * adore être en désaccord sur tout * rebelle * spécialiste des grandes beuveries et des fêtes qui dérapent * joue de la batterie et de la guitare * jamais sans ses bombes de graffiti * déteste sa nouvelle situation de "gosse riche" * anarchiste * ase donne à fond dans ses rêves de petite fille de connaître le succès dans la chanson * a un vertige monstrueux * la cuisine est sûrement le seul art qu'elle ne maîtrise pas * parle anglais, italien et arabe * de sang-chaud * impulsive * égo monstrueux * charismatique

 
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story of my life

La naissance de Jean, prématurée d'un mois, annonçait déjà la couleur : la petite était impatiente de vivre. Une vie qui rapidement, ne s'annonça pas des plus simples : à peine quelques années après sa naissance dans les quartiers défavorisés du Bronx, alors qu'elle n'avait pas plus de deux ou trois ans, son père décéda subitement, du jour au lendemain sans que personne ne l'ai vu venir. Pas de funérailles, pas d'adieu bien qu'elle aurait été trop jeune pour s'en souvenir : la mort de son propre père était un tabou, un tas de non-dits et sentiments refoulés. Et bien que sa mère soit une femme forte, Jean ne grandit à l'évidence pas comme les petites filles de son âge : rapidement prise sous l'aile de son grand frère Sloan, elle le suivit avec son caractère intrépide dans toutes ses aventures et ses bêtises. Et c'est ainsi qu'alors que ses camarades de classe jouaient à la dînette après les cours, Jean s'enfuyait loin de toutes les règles avec son frère et sa bande d'amis des moins fréquentables pour faire toutes les conneries possibles et imaginables. Ne reculant devant aucune idiotie pour se péter les poumons et se griller le cerveau, c'est bien trop jeune que la petite touche à tout un tas de trucs interdits en passant toujours entre les mailles du filet de la police. Entre le frère et la sœur, c'est d'ailleurs très vite devenu un lien très fort : unis tous les deux par le manque d'un père, la semi-absence d'une mère et ce désir fou de vivre vite parce que le lendemain est bien trop incertain, Sloan et Jean sont vite devenus absolument inséparables et connus dans tout le quartier comme les deux gosses insupportables hurlant dans les rues minuit passée. Pas des plus sociables dans les cours de récré, Jean a toujours vu Sloan comme son frère mais pas que, il est son confident, son allié et surtout son éternel meilleur ami même si elle est bien trop pudique pour le lui avouer.

C'est vers l'adolescence que les choses se sont gâtées, lorsque son grand frère s'est vu expédié comme on envoie une lettre à la poste, de l'autre côté de l'Atlantique dans une maison de redressement française. Et durant ces deux ans séparés, alors que Jean vivait dans la hantise de voir revenir son frère avec un terrible accent, une marinière et un béret, la petite s'est plus que jamais rapprochée de son cousin adoptif, Hayden. Les amis n'étant toujours pas son chic comme personne ne voulait traîner avec une gamine d'à peine dix ans et déjà alcoolique, Jean ne traînait plus qu'avec son cousin qui l'embarquait, comme son frère le faisait quelques mois auparavant, dans des centaines de plans foireux. Et Jean a grandi beaucoup trop vite. C'est à ses 13 ans, l'avant-veille du retour de son frère à la maison, que la petite se retrouva pour la première fois en garde à vue avec un type qui traînait avec son cousin et lui avait proposé de passer chez lui dans un pauvre appartement miteux du Bronx, il était un peu plus âgé, visiblement connu dans le coin. Jean n'avait pas même essayé de comprendre ce qu'elle avait fumé, ce n'est qu'en descendant de l'immeuble alors qu'elle avait les yeux explosés et lui les poches pleines de shit qu'ils se retrouvèrent embarqués par les flics. Mais grâce à ses yeux de biche et son sourire d'ange, la petite évita de justesse la maison de redressement, il était impensable qu'elle soit à son tour envoyée à l'autre bout du monde pour devenir une petite enfant modèle alors que son frère qui lui avait tant manqué allait tout juste revenir.

Mais quand Sloan revint, pour Jean ça ne faisait pas le moindre doute : son grand frère avait changé. Rien qu'à en juger sa coupe sans mèche rebelle et son petit polo, elle avait compris qu'il avait été "redressé". Mais elle ne voulait surtout pas d'un frère redressé elle ! Jean, elle voulait courir, ivre, dans les rues du Bronx à cinq heures du matin en chantant à tue tête du rock allemand. Et comme un malheur n'arrive jamais seul. A peine quelques jours après le retour de son frère à la maison, Jean eut l'heureuse surprise de rencontrer "quelqu'un de très spécial" comme l'avait annoncé sa mère : son beau-père Georges. Ce type était plein aux as, portait fièrement sa bedaine du bien nourri et bien sûr, comptait sortir la pauvre petite famille de cette "misère". Et hop ! ils étaient tous partis vers une nouvelle vie, déménageant dans une maison de la taille de son précédent quartier, allant dans une école de gens bien-pensants et n'ayant pour voisins que des grenouilles de bénitier, trop occupés à aller à la messe pour pouvoir faire la fête. Il ne fallut pas longtemps à Jean pour apprendre à détester l'odeur du fric et tous ses partisans. Et de plus en plus fréquemment au fur et à mesure qu'elle grandissait, Jean séchait les cours ou faisait le mur le soir pour aller se renfoncer dans les quartiers sombres du Bronx qui l'avait adoptée et aller faire la fête jusqu'à ce que la tête lui tourne. Et au fil que le temps passait, la petite sentait se raviver la flamme de folie qui habitait son frère, plus raisonnablement bien sûr mais elle était là, cette folie propre aux Bushnell.

Son beau-père la détestait, dans une relation réciproque de toute évidence.  Elle sentait sa mère s'éloigner d'elle au fur et à mesure qu'elle découvrait cette nouvelle vie pour laquelle elle semblait toujours avoir été faite. Alors Jean, pour oublier ce monde qui ne lui ressemblait pas,  a fait quelque chose qui lui ressemblait : elle s'est exprimée. Depuis toujours, la petite poussait la chansonette, sous la douche, le soir allongée sur les toits du Bronx complètement vannée ou quand elle était trop pompette pour se contrôler. Depuis toujours, elle gribouillait des petits bonhommes dès qu'elle avait un crayon sous la main et dansait dès qu'elle entendait la pluie qui battait sur les toits comme des tam-tams, mais c'est dans cet atmosphère précieux que s'est éveillé en elle le désir de créer. Alors quitte à dépenser de l'argent, ce qui constituait le hobby principal dans sa nouvelle vie, Jean s'acheta une batterie et une guitare avec lesquelles elle passa le plus clair de son temps à reprendre du rock, du jazz, de la pop ou même à composer ses propres morceaux dans un genre qui ne ressemblait à rien d'autre. Et c'est de là qu'elle se mit à chanter, pas simplement chanter d'une petite voix, Jean essaya toutes les fantaisies poussant toujours sa voix vers des notes des plus extrêmes, hurlant dans toute la maison peu importe l'heure du jour ou de la nuit. De là, elle planifia en cachette des petits concerts d'abord dans les bars chics du coin de la rue où personne ne semblait l'écouter vers des endroits plus "craignos" comme son frère aimait les appeler où des punks tatoués de partout l'approchaient d'un peu trop près à son goût. Mais c'est dans un de ces bars qu'elle le rencontra, Clemente. Tous les vendredis, quand elle était habituellement de passage, il était là, toujours adossé au même mur, la fixant droit dans les yeux alors qu'elle chantait. Elle avait 15 ans. Un soir, elle était descendue le voir et avait engagé la conversation sans obtenir la moindre réponse. Il s'était contenté de la fixer puis était parti en s'exclamant "Ciao bella !" Et elle l'avait suivi. Bien sûr, il s'en était rendu compte et au milieu de cette course-poursuite, il s'était arrêté net, retourné brusquement et avait déclaré dans une voix rauque : "Ci incontreremo qui. Domani alle tre" Sans parler italien, Jean avait compris l'inconnu et s'était rendue au rendez-vous le lendemain. Il était là, Clemente. Le jeune homme ne parlait pas anglais mais très vite, les deux réussirent à se comprendre. Il l’amena dans un coin où tout un tas de matériel de graff était amassé et il lui avait appris à peindre sur les murs. Et tous les soirs, ils se retrouvaient en ville, enfilaient des cagoules noires et comme des vandales, allaient recouvrir les murs gris austères de couleurs vives. Et Jean tomba follement amoureuse du graffiti, de l'italien, de sa façon de rouler les r, de sa vision anarchiste du monde, de ses désirs de révolution, de sa manière de la regarder, elle tomba follement amoureuse de lui. Et le jour de ses 16 ans, elle lui fit l'amour et décida que la vie n'était peut-être pas si terrible après tout. Et quelques mois après, un jour qui semblait ordinaire, elle vint dans leur sanctuaire et attendit Clemente toute la journée, s'endormit même près des murs colorés mais il ne vint pas. Et en passant devant les infos brièvement le lendemain, alors que sa famille zappait sur les faits divers, elle le revit : "Un jeune artiste de rue tombé du haut d'un immeuble alors qu'il repeignait le toit. Mort." Le lendemain, elle était toute vêtue de noir et ses yeux refusaient de s'ouvrir, fatigués d'avoir trop pleuré. Ils la piquaient terriblement. Pour ne plus jamais ressentir ce picotement affreux, Jean se promit de ne plus jamais pleurer.

Après cette tragédie dans sa vie, Jean enchaîna les histoires sans vrai amour, les histoires juste pour meubler un peu sa vie. Elle ne cessa jamais de peindre les murs de la ville, de chanter dans les bars miteux, mais seule. Et plus que jamais, elle se serra les coudes avec son frère et son cousin. A la vie à la mort pour ces trois là. Mais vint le moment de grandir, Sloan partir pour la prestigieuse université d'Harvard pour rendre ses parents fiers, rapidement suivi par son cousin Hayden qui l'intégra presque par hasard. Comme il était hors de question pour Jean de rester dans ce trou qu'elle haïssait de toute son âme, la petite n'eut plus qu'un objectif en tête : rejoindre sa vraie famille. Hors, Jean était intelligente sans le moindre doute mais certainement pas brillante. Elle qui avait séché les cours toute sa vie se sachant assez maligne pour rattraper le tout en quelques heures, et à raison, elle n'avait jamais vraiment laissé la place au travail dans sa vie. Seulement, le travail était désormais de rigueur. Pendant une année entière, Jean ne décolla le nez de ses livres de cours que pour réviser un nouveau morceau ou peindre un nouveau chef d'oeuvre éphémère mais elle laissa la fête en marge de sa vie. Pendant une année entière, elle apprit par coeur tout ce qui semblerait raisonnable d'apprendre par coeur. Et au bout de cette année qui lui avait semblé être une éternité : Jean passa l'examen d'entrée. Un an de révisions intenses associé à son esprit vif et à sa répartie cinglante lui valurent son entrée de justesse dans l'école renommée à son tour. Bien sûr, l'argent ne présentait plus un problème bien que Georges avait fait la grimace à la signature du chèque d'admission, non pas que sa fortune en soit véritablement diminuée mais parce qu'il abhorrait payer quoi que ce soit pour la sale môme qu'elle était.

En intégrant Harvard en début d'année, Jean s'inscrivit au cours de journalisme, désireuse de voyager pour laisser sa trace aux quatre coins de globe et décida de suivre des cours d'art en études mineures car elle savait que c'était un domaine dans lequel elle n'échouerait jamais. Et pour la première fois dans sa vie, Jean s'était jurée à son entrée à Harvard que cette fois-ci, elle n'échouerait pas.

Aujourd'hui, Jean a toujours son âme de rebelle, préférant toujours la zizanie à l'ordre et affichant son âme d'artiste comme une identité à part entière. C'est une vraie fêtarde qui se bousille la santé tous les jours un peu plus ne sachant plus comment profiter de la vie autrement. Jean ne sait plus vraiment aimer, elle couche mais se lasse rapidement. Loin d'être timide, elle n'en reste peut-être pas une des plus sociables ne tenant pas à être l'amie de tous, surtout pas de ceux qui ont tendant à attirer les niaiseries. Toujours très proche de son frère et de son cousin, la petite devient ridiculement jalouse pour les prétextes des plus ridicules, c'est sa façon de leur rappeler qu'elle les aime.

       
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je réserve le premier poste JEAN BUSHNELL  ► Stella Maxwell 387742012
BIENVENUE ma belle JEAN BUSHNELL  ► Stella Maxwell 2511619667 Encore merci de tenter mon scénario.
J'espère que tu vas te plaire ici, hâte de voir ce que tu vas en faire JEAN BUSHNELL  ► Stella Maxwell 3850463188
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Bienvenue chez toiiiii !! JEAN BUSHNELL  ► Stella Maxwell 1946740601 JEAN BUSHNELL  ► Stella Maxwell 1629110976 JEAN BUSHNELL  ► Stella Maxwell 1001568715
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Bienvenue parmi nous JEAN BUSHNELL  ► Stella Maxwell 3850463188
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Bienvenuuue. JEAN BUSHNELL  ► Stella Maxwell 2511619667
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Bienvenue sur ILH ! JEAN BUSHNELL  ► Stella Maxwell 1508216586 Excellent choix de scénario, courage pour ta fiche ! hanwii
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Bienvenue. JEAN BUSHNELL  ► Stella Maxwell 2109348208
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BUSHNELLL EN FORCE !!!!!!! JEAN BUSHNELL  ► Stella Maxwell 1688815589
Allez bonne chance pour ta fiche et kiss sur tes fesses JEAN BUSHNELL  ► Stella Maxwell 3850463188
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Bienvenue parmi nous JEAN BUSHNELL  ► Stella Maxwell 1365124802
Good luck pour ta fiche and have fun :omnomo:
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