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Ne me fais plus autant peur (James)

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❝ Ne me fais plus autant peur ❞
@James Fox-Anderson

Tu avais appris la nouvelle, c’était tombé sur toi comme ci c’était la chose la plus normale dans ce monde alors que pas du tout. Tu serras les dents avant d’enfiler tes chaussures et de partir de la chambre que tu occupais actuellement, tu n’y croyais pas. Tu avais cette impression d’être dans un mauvais rêve, comme ci ta vie de merde s’étendait sur ceux qui étaient proche de toi, ceux que tu aimais plus que tout et ce fut le cas avec James. Harley venait de te prévenir de cette nouvelle que tu n’aimais pas, que tu n’appréciais pas. Les larmes étaient déjà en train de couler le long de tes joues alors que tu étais en train de descendre en vitesse les escaliers pour rejoindre ta voiture et prendre la direction de l’hôpital. Tu ne supportais pas de savoir que ton grand frère de cœur, que celui qui avait été de nombreuses fois là pour toi était à l’hôpital. Non, mais sérieusement pourquoi il avait vécu une telle chose ? Malgré la peur qui était en train de prendre place dans ton corps tu essayais de rester le plus calme possible surtout au volant de ta voiture. Ce n’était clairement pas le moment d’avoir un accident à ton tour, franchement c’était bien la dernière chose qu’il devrait se passer dans la vie. Tu te garas avant de courir vers l’hôpital, ce n’était peut-être pas grand-chose, mais à tes yeux c’était la pire chose au monde. Tu ne pouvais pas supporter ça, tu ne pourrais jamais le faire parce que tu voulais seulement voir tes proches bien et heureux. Tu pouvais être malheureuse comme un chien, mais pas les autres autour de toi. Tu continuas de courir avant de t’arrêter devant la porte de la chambre où était James à l’heure actuelle. Tu essayas d’enlever le plus de larmes possible, tu ne voulais pas qu’il se sente mal non plus de te voir comme ça, putain que c’était compliqué dans ta tête. Tu soupiras une dernière fois avant de toquer et de rentrer dans la chambre. Tu laissais un petit sourire se dessiner sur tes lèvres en le voyant sur le lit, tu détestais ça, cette vision était horrible. « Heey. » Tu parlas doucement tout en continuant de le regarder, tu ne savais pas quoi faire et tu n’aimais pas te sentir aussi inutile qu’actuellement.

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Tu es là.
Personne n'est propriétaire du bonheur, on a parfois la chance d'avoir un bail, et d'en être locataire. Il faut être très régulier sur le paiement de ses loyers, on se fait exproprier très vite.

Le plus difficile dans tout ça c’était d’être éloigné D’Harley. Surtout que lui et moi, étions en froids. Pas seulement à cause des événements mais je n’arrivais pas accepter le fait qu’il se soit laissé aller. Sans prendre les médicaments, manger. C’était pour moi une erreur et c’était dur de passer outre. Je lui avais demandé de rentrer à la maison, le temps de se reposer même si c’était quelque chose qu’il ne ferait certainement pas. Mais au moins, il serait ailleurs qu’entouré de quatre murs blancs. Je me retrouvais donc seul, avec ma putain de conscience qui m’envoyait à la gueule sans s’arrêter quel minable j’étais et que peut-être dans le fond, le gars n’aurait pas dû me louper. J’ai réussi à envoyer quelques messages pour signaler à mes proches que j’allais bien, qu’il n’y avait pas besoin de se déplacer pour venir me voir. De toute façon si c’était pour me regarder me tordre de douleur et d’être la plupart du temps shooté des médicaments, je n’y voyais pas la nécessité. Mais au fond, ce n’était pas vraiment ça. Je ne désirais pas qu’on me voit dans cet état, je ne mangeais pratiquement pas et l’image d’Harley se faisant touché me répugnais au plus haut point. Je n’arrivais pas à m’ôter cette image de la tête et je sentais qu’elle viendrait à me hanter encore longtemps. Je sors de mes songes, quand j’entends la porte s’ouvrir mais également des pas plus léger que ceux du médecin et de l’infirmier. Tous les deux avaient un pas lourd, comme s’ils traînaient de nombreux soucis sur leurs épaules. Allongé, sur le lit. Les paupières lourdes par les médicaments, je tournais péniblement mon visage vers le silhouette qui s’élançait en ma direction. Je reconnais ce visage, parmi mille. Je fronce les sourcils en essayant de redresser mon buste pour ainsi frotter mes yeux et y voir davantage plus claire. C’était Carter, cette personne qui m’avait tant touché, qui avait su prendre une place si énorme dans ma vie et qui finalement est disparue. Sans un mot. Sans l’ombre d’un regard. Je ne sais pas si je dois lui en vouloir, ou au contraire. Remerciais le ciel qu’elle soit à nouveau présente. Mais, un sourire s’incruste sur les coins de mes lippes. Un sourire sincère, un sourire qui venait du fond du cœur. « Tu n’arrivais pas à te passer de moi, n’est-ce pas ? » Ma voix est fine, très légère. Quasiment inexistante. Je n’ai pas beaucoup de force, et pourtant. J’en cherche encore plus en ce moment.
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❝ Ne me fais plus autant peur ❞
James Fox-Anderson

Tu n’aimais pas savoir qu’un de tes proches étaient à l’hôpital, qu’il était mal et que toi, toi tu pouvais profiter de ta vie comme ci de rien était. Tu détestais ça, tu ne pouvais pas supporter une telle chose parce que merde, ce n’était pas juste du moins à tes yeux. James était un grand frère pour toi, il était en quelque sorte un confident dans ta vie et surtout quelqu’un que tu aimais, beaucoup. Tu ne le disais pas tout le temps parce que ce n’était pas utile pourtant c’était le cas, tu ne voulais que son bonheur et ce bonheur était loin de se trouver dans un hôpital, dans un lit en train de souffrir ou même shooter à cause des médocs. Tu connaissais les hôpitaux, tu y avais été tellement de fois durant ton adolescence que c’était une routine pour toi, tu étais bien heureuse de ne plus être dans ce genre de période. Tu allais venir à l’hôpital pour autre chose, pour la suivie de ta grossesse ou pour ton avortement. Quoi qu’il arrive ce n’était clairement pas pour prendre soin de toi, prendre soin des bleus que tu pouvais avoir. Tu rentras dans la chambre, les yeux encore rouge face à ta réaction. Tu te sentais comme une idiote, ton départ avait été une des plus grosses erreurs que tu pouvais faire et putain, tu ne faisais que de les enchaîner depuis un petit moment, c’était horrible. « Tu me manqueras toujours. » C’était le cas, il ne se rendait pas compte à quel point il était important dans ta vie. Tu ne pouvais pas résister, tu ne pouvais pas être loin de lui, loin de ceux qui avaient une grande place dans ta vie. Tu finis par te rapprocher de lui, ne pouvant pas faire autrement, tu finis par t’installer sur un fauteuil avant de prendre sa main pour la prendre dans les tiennes. « Je suis désolée d’être partie comme cela. » C’était le cas, tu étais désolé de toute la peine que tu avais été capable de faire subir à toutes ses personnes que tu avais laissé derrière toi. Tu laissas un sourire se dessinait sur tes lèvres avant de reprendre la parole encore une fois, tu allais poser la pire question, la question la plus idiote que tu pouvais posé mais tu avais besoin d’une réponse honnête de la part de James, tu ne voulais pas qu’il te mente pour ne pas te faire de la peine parce que tu en aurais juste un peu plus dans le fond. « Sinon tu vas comment toi ? » Juste, juste dis moi que tu vas bien, que tu sortiras bientôt de cet enfer et que tu reviendras celui que tu étais, que tu seras capable de revoir ton sourire présent sur tes lèvres.

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J’avais du mal, à vraiment réaliser qu’elle était là. Je ne sais pas, j’ai d’abord crus que c’était ma conscience qui me jouait des tours ou même des hallucinations à cause des médicaments que je prends contre la douleur. Mais, non. Sa silhouette élancée. Ces cheveux clairs, et son minois que je connais parfaitement. Je la regarde, et j’oublie à quel point je suis dans une merde pas possible et à quel point. J’allais devoir m’expliquer auprès de l’université. Je n’ai pas l’habitude de pardonner, je me suis toujours dit qu’à force de le faire les gens viendraient à nous piétiner. Sans doute parce qu’ils savaient qu’on pourrait toujours les pardonner. Et cette idée, je ne pouvais l’accepter. C’était différent, on parle d’une jeune femme pas commune. On parle d’une femme qui a été là, qui m’a toujours soutenue dans les pires épreuves. Mais on parle aussi de celle qui m’a lâchement abandonné lorsque j’en avais le plus besoin, quand mon mariage est arrivé et que je n’ai plus eu de nouvelle d’elle. C’était ça, la vérité. Je prends sur moi, pour ne pas exploser de nerfs, de colère ou même de tristesse. Je préfère m’assurer qu’elle va bien, et qu’elle a choisie de rester plutôt que de fuir. Parce que ce n’était pas ce genre d’image que j’avais d’elle. Je redressais mon visage, quand elle vint à s’excuser de son départ.
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Personne n'est propriétaire du bonheur, on a parfois la chance d'avoir un bail, et d'en être locataire. Il faut être très régulier sur le paiement de ses loyers, on se fait exproprier très vite.
Ce fut d’abord un soulagement et puis tantôt une sensation nouvelle qui réapparut. Celle d’être en joie de la voir, de voir à quel point elle était présente. Et qu’elle est venue, dès qu’elle a su. « C’est du passé, je préfère penser au présent. » Mon présent, n’est pas le mieux pour le moment. J’ai l’impression que tout se casse la gueule, et encore. Ces mots sont gentils. Je me dispute avec Harley et les causes sont d’une idiotie que je ne pourrai même pas expliquer. Et d’ailleurs, je ne voulais pas en venir là. Elle n’avait pas besoin de savoir ça. « Je vais bien Carter. Je suis en forme. Demain, je vais pouvoir sortir un coup. Fumer me manque beaucoup. » J’aborde un sourire, en inclinant mon visage sur l’une de mes épaules. Je la scrute le plus attentivement possible en serrant sa main destinée à être dans la mienne. Je n’ai jamais compris le sens de l’amitié, mais heureusement que cette ville m’a appris la définition. Je racle ma gorge, en essayant de me tourner en sa direction, mais une faible douleur m’emprisonna. Une légère grimace que j’effaçais bien vite en laissant un sourire s’appliquer sur mes chaires. « Je suis heureux, de te voir tu sais. Tu comptes partir ou rester ? » Je veux la vérité. Je veux savoir si dans ces projets elle veut partir ou rester. Parce que je ne pense pas supporter qu’elle puisse partir une nouvelle fois. Pas encore.
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❝ Ne me fais plus autant peur ❞
James Fox-Anderson

Tu entendais ton cœur frapper dans ta cage thoracique, tu te demandais ce que tu devais faire, tu étais perdue, totalement perdue et surtout tu avais peur, peur que quelque chose de grave ne soit arrivé à James. Tu étais devant lui, mais cette peur n’était pas prête de disparaître parce que..parce que tu étais dans un hôpital et généralement, ce n’était clairement pas une bonne chose. Mais tu essayais de rester le plus positive possible, tu ne pouvais pas l’aider de suite et tu espérais que cela changerait dans quelques jours. De plus, tu ne savais pas si James était en colère ou pas contre toi, tu ne savais pas et tu te doutais bien que tu ne sauras pas aujourd’hui. Dans tous les cas, tu t’en voulais de tout ça, tu t’en voulais d’être partie comme cela, mais tu n’avais pas eu le choix. Tu devais le faire, tu devais partir pour te rendre compte que ta vie ne partait pas totalement en bordel. Pourtant si, elle partait bien totalement en bordel parce que ce n’était pas un rêve, ce n’était pas un putain de rêve tu étais bel et bien enceinte. Tu te taisais sur ça, préférant garder cette chose pour toi et ce n’était clairement pas le moment, ni l’endroit de lui dire une telle chose. « Je ne sais pas si le présent est mieux que le passé. » Tu ne pouvais dire autre chose alors qu’il était dans un lit d’hôpital ayant pris différents médicaments, sans réellement se rendre compte de ce qu’il se passait autour de lui. Tu gardais sa main dans la tienne ayant besoin d’avoir un contact avec lui, ayant besoin d’un léger contact comme pour te rassurer, comme pour le rassurer en quelque sorte. Tu ne savais pas, tu ne savais plus pourquoi tu faisais certaines choses, tu faisais en sorte de les subir, tu ne voulais plus réfléchir, tu ne voulais juste pas te prendre la tête dans le fond. « Tu vas pouvoir prendre un peu l’air, ça sera bien pour toi. Ça doit être horrible de se retrouver enfermé comme ça. » Tu connaissais que trop bien cette situation, tu connaissais cette chose pour toutes les fois où tu étais obligé de rester dans un lit à attendre que le temps passe, souriant à ta famille qui venait te voir mais bon, ce n’était pas toujours facile. « Je… » Tu ne pouvais pas promettre que tu resterais, ce n’était clairement pas une chose que tu pouvais faire parce que tu n’en savais rien, tu ne savais plus rien, tu étais perdue dans cette vie, dans ta vie. « Je compte rester pour le moment. » Ouais, ça tu pouvais le dire parce que c’était vrai, tu avais l’envie et tu allais rester dans cette ville, mais tu ne savais pas si les choses allaient changer avec le temps. Tu devais faire en sorte de prendre une décision importante pour toi, importante pour la vie que tu étais en train de créer.

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