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feat. Romee Strijd
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Nom CartierPrénom(s) Oxane NoélineÂge 21 ansDate de naissance 22/11/1995Lieu de naissance ParisStatut amoureux CélibataireOrientation sexuelle HétérosexuelleClasse sociale Très aisée. Études majeuresLangues étrangèresÉtudes mineures Relations internationalesJob Je suis déjà étudiante et je ne compte même plus les zéros sur mon compte en banque. Le travail viendra après mon diplôme.Choix de groupe #1 QuincyChoix de groupe #2 Cabot
Quincy House
S'il y a bien une chose qui me caractérise, c'est de toujours vouloir faire en sorte que tout le monde se sente bien. Il est vrai que parfois je me fais un peu marcher sur les pieds mais ça ne m'a pas découragé à toujours aider mon prochain. Je ne pourrait plus me regarder dans un miroir si je refusais de tendre la main à quelqu'un sous prétexte qu'une autre personne avant lui se serait comportée sans le moindre savoir vivre. Je fais d'ailleurs partie de bon nombre d'associations pour les personnes dans le besoin et même pour venir en aide aux animaux ou encore préserver la nature. C'est ma petite contribution pour rendre le monde un peu meilleur et je pense que c'est une valeur que je partage très bien avec la Quincy House.
Cabot House
Je ne suis peut-être pas une féministe à part entière mais je déteste l'injustice et les inégalités que peuvent parfois subir les femmes me mettent hors de moi. Je partage également avec la Cabot House les valeurs que sont la loyauté et l'esprit de famille. Je suis toujours là pour les gens à qui je tiens et je rend toujours la pareille à ceux qui m'ont un jour tendu la main, je peux donc me considérer comme quelqu'un de fidèle. Et ayant grandi entourée de mes quatre frères et sœurs dont je suis très proche, l'esprit de famille ça me connaît.
S'il y a bien une chose qui me caractérise, c'est de toujours vouloir faire en sorte que tout le monde se sente bien. Il est vrai que parfois je me fais un peu marcher sur les pieds mais ça ne m'a pas découragé à toujours aider mon prochain. Je ne pourrait plus me regarder dans un miroir si je refusais de tendre la main à quelqu'un sous prétexte qu'une autre personne avant lui se serait comportée sans le moindre savoir vivre. Je fais d'ailleurs partie de bon nombre d'associations pour les personnes dans le besoin et même pour venir en aide aux animaux ou encore préserver la nature. C'est ma petite contribution pour rendre le monde un peu meilleur et je pense que c'est une valeur que je partage très bien avec la Quincy House.
Cabot House
Je ne suis peut-être pas une féministe à part entière mais je déteste l'injustice et les inégalités que peuvent parfois subir les femmes me mettent hors de moi. Je partage également avec la Cabot House les valeurs que sont la loyauté et l'esprit de famille. Je suis toujours là pour les gens à qui je tiens et je rend toujours la pareille à ceux qui m'ont un jour tendu la main, je peux donc me considérer comme quelqu'un de fidèle. Et ayant grandi entourée de mes quatre frères et sœurs dont je suis très proche, l'esprit de famille ça me connaît.
APRÈS LA BOMBE.
Je me demande comment certaines personnes arrivent encore à me poser la question de si je me souviens de l'épisode de la bombe à Harvard. Évidemment que je m'en souviens, je ne suis pas encore amnésique. Je n'y étudiais pas encore c'est vrai mais je me souviendrais toujours du moment où on m'a annoncé ce qu'il se passait. Mon frère jumeau, Timéo, et moi-même étions à la cafétéria de notre lycée privé de Boston. C'était notre dernière année et nous avions tous les deux l'ambition d'être admis à Harvard l'an prochain tout comme Louison, notre frère aîné qui y étudiait déjà depuis quatre ans. Je ne me retirerais jamais de la tête le visage de cette pauvre fille qui avait joyeusement montré les évènements à toute la tablée depuis son téléphone. Je me souviens aussi de mon regard croisant celui de Timéo et de son poing allant s'abattre dans le visage de cette pauvre greluche qui avait osé prononcer un "cool, ça va mettre un peu d'animation dans cette ville". Il m'avait ensuite attrapée par le poignet et m'avait entraînée à l'extérieur de l'établissement avant que le personnel bloque les sorties pour éviter que trop d'élèves se rendent sur les lieux. Ça s'est passé très vite. Timéo nous a trouvé un taxi par je ne sais quel miracle et on a filé vers l'université. Assise sur la banquette arrière, je n'arrêtais pas de harceler Louison d'appels téléphoniques mais je ne recevais aucune réponse. Je me rappelle aussi très bien de la panique qui s'était emparée de moi et des larmes qui avaient commencé à rouler sur mon visage. On est ensuite descendus tous les deux du taxi en courant. Je ne me souviens plus très nettement mais je crois bien que sur l'agitation du moment, nous n'avons pas payé notre course. Timéo m'avait attrapé par la main et on avait essayé de se faufiler à travers la foule pour essayer de trouver notre frère. On a pas pu aller très loin. Les autorités présentes ne laissaient personne passer. On pouvait très nettement voir que les explosions avaient fait des dégâts et il y avait encore beaucoup de fumée ainsi qu'une très forte odeur de brûlé. Les secours ressortaient avec des blessés et aussi avec des civières sur lesquels on pouvait voir des sacs fermés par une fermeture éclair. J'ai serré très fort la main de mon frère quand j'ai réalisé qu'il s'agissait de cadavre. Puis le téléphone de Timéo s'est mit à sonner. J'ai vraiment espéré que ce soit Louison, mais il s'agissait de nos parents, inquiets, qui voulaient savoir si nous étions tous à l'abri. Je me suis mise à pleurer de plus belle. Non, nous n'étions pas tous à l'abri. Il en manquait un à l'appel. J'ai vaguement entendu mon jumeau hurler dans son téléphone. Je crois que mes parents voulaient que lui et moi retournions chez nous en attendant d'avoir des nouvelles. Mais il était clairement hors de question que je bouge avant de savoir où était mon frère aîné. J'ai eu l'impression d'attendre une éternité avant de le voir sortir du bâtiment. Il n'avait que quelques égratignures mais il était accompagné de deux secouristes qui transportaient une de ses camarades sur une civière. Elle avait de graves brûlures sur tout le corps et elle ne pouvait quasiment plus bouger. Timéo et moi n'avons même pas eu le temps d'arriver jusqu'à lui qu'il partait déjà dans l'ambulance avec la blessée. Je n'ai jamais su si il était attaché à elle, il n'a jamais voulu nous en reparler. Mais quand on est allés le retrouver à l'hôpital, nous l'avons retrouvé en pleurs. Je crois bien que c'était la première fois que je le voyais pleurer. La fille ne s'en est malheureusement pas sortie, ses brûlures étaient trop graves. Mais l'important pour moi, même si c'était égoïste, c'était que Louison soit désormais en sécurité.
Je me demande comment certaines personnes arrivent encore à me poser la question de si je me souviens de l'épisode de la bombe à Harvard. Évidemment que je m'en souviens, je ne suis pas encore amnésique. Je n'y étudiais pas encore c'est vrai mais je me souviendrais toujours du moment où on m'a annoncé ce qu'il se passait. Mon frère jumeau, Timéo, et moi-même étions à la cafétéria de notre lycée privé de Boston. C'était notre dernière année et nous avions tous les deux l'ambition d'être admis à Harvard l'an prochain tout comme Louison, notre frère aîné qui y étudiait déjà depuis quatre ans. Je ne me retirerais jamais de la tête le visage de cette pauvre fille qui avait joyeusement montré les évènements à toute la tablée depuis son téléphone. Je me souviens aussi de mon regard croisant celui de Timéo et de son poing allant s'abattre dans le visage de cette pauvre greluche qui avait osé prononcer un "cool, ça va mettre un peu d'animation dans cette ville". Il m'avait ensuite attrapée par le poignet et m'avait entraînée à l'extérieur de l'établissement avant que le personnel bloque les sorties pour éviter que trop d'élèves se rendent sur les lieux. Ça s'est passé très vite. Timéo nous a trouvé un taxi par je ne sais quel miracle et on a filé vers l'université. Assise sur la banquette arrière, je n'arrêtais pas de harceler Louison d'appels téléphoniques mais je ne recevais aucune réponse. Je me rappelle aussi très bien de la panique qui s'était emparée de moi et des larmes qui avaient commencé à rouler sur mon visage. On est ensuite descendus tous les deux du taxi en courant. Je ne me souviens plus très nettement mais je crois bien que sur l'agitation du moment, nous n'avons pas payé notre course. Timéo m'avait attrapé par la main et on avait essayé de se faufiler à travers la foule pour essayer de trouver notre frère. On a pas pu aller très loin. Les autorités présentes ne laissaient personne passer. On pouvait très nettement voir que les explosions avaient fait des dégâts et il y avait encore beaucoup de fumée ainsi qu'une très forte odeur de brûlé. Les secours ressortaient avec des blessés et aussi avec des civières sur lesquels on pouvait voir des sacs fermés par une fermeture éclair. J'ai serré très fort la main de mon frère quand j'ai réalisé qu'il s'agissait de cadavre. Puis le téléphone de Timéo s'est mit à sonner. J'ai vraiment espéré que ce soit Louison, mais il s'agissait de nos parents, inquiets, qui voulaient savoir si nous étions tous à l'abri. Je me suis mise à pleurer de plus belle. Non, nous n'étions pas tous à l'abri. Il en manquait un à l'appel. J'ai vaguement entendu mon jumeau hurler dans son téléphone. Je crois que mes parents voulaient que lui et moi retournions chez nous en attendant d'avoir des nouvelles. Mais il était clairement hors de question que je bouge avant de savoir où était mon frère aîné. J'ai eu l'impression d'attendre une éternité avant de le voir sortir du bâtiment. Il n'avait que quelques égratignures mais il était accompagné de deux secouristes qui transportaient une de ses camarades sur une civière. Elle avait de graves brûlures sur tout le corps et elle ne pouvait quasiment plus bouger. Timéo et moi n'avons même pas eu le temps d'arriver jusqu'à lui qu'il partait déjà dans l'ambulance avec la blessée. Je n'ai jamais su si il était attaché à elle, il n'a jamais voulu nous en reparler. Mais quand on est allés le retrouver à l'hôpital, nous l'avons retrouvé en pleurs. Je crois bien que c'était la première fois que je le voyais pleurer. La fille ne s'en est malheureusement pas sortie, ses brûlures étaient trop graves. Mais l'important pour moi, même si c'était égoïste, c'était que Louison soit désormais en sécurité.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
Les prises d'otage... A croire que les explosions deux ans auparavant n'avaient pas suffit. On dirait bien qu'Harvard attirait les fous furieux ces temps-ci. Il est vrai que toutes ces agressions avaient mit une sale ambiance sur le campus. J'ai au moins eu la chance de ne pas subir moi-même d'agression. En même temps, avec Timéo et César, mon frère cadet d'un an, qui me collaient aux fesses à longueur de journée, ça aurait été difficile pour eux. Mais le pire de tous, c'était Louison. Il séchait régulièrement ses cours pour pouvoir m'accompagner absolument partout où je me rendais. Oui, partout ! Il me suivait même jusque devant la porte des toilettes du campus et il poussait jusqu'à me parler à travers la porte pour vérifier que tout allait bien. Je vous dit pas la honte quand il y avait d'autres filles à l'intérieur. Je sais bien qu'ils faisaient ça pour moi mais je vous assure que c'était pas facile à supporter tous les jours. Je ne pouvais plus respirer et j'étais ultra tendue à longueur de temps. Je m'énervais pour un rien et je vous assure que j'ai maudit les auteurs de ces agressions sur au moins dix générations. Et puis la fameuse prise d'otage est arrivée. Je dois dire que je ne m'attendais pas à ce que ça dégénère à ce point. J'étais avec César ce jour là, on était en train de bosser à la bibliothèque. Je n'ai pas vu ce taré rentrer, à vrai dire j'étais tellement concentrée dans mes révisions que j'étais loin de prêter attention aux allées et venues de tout un chacun. Ce n'est que quand je l'ai entendu hurler en agitant son arme un peu partout que j'ai réalisé qu'il se passait quelque chose de grave. Mon cœur s'est mit à battre à tout rompre. J'avais peur pour la fille vers qui il braquait son arme, j'avais peur pour tous ceux qui se trouvaient dans la pièce, j'avais peur pour ma propre vie mais surtout, j'avais peur pour mon petit frère. Il avait veillé sur moi pendant des mois mais c'était moi l'aînée, c'était à moi de faire en sorte qu'il ne lui arrive rien. Tous les otages s'étaient rassemblés au centre de la bibliothèque et j'avais fais en sorte de rester près de lui en me positionnant de façon à ce qu'il se retrouve derrière moi et un autre étudiant qui ne se trouvait pas loin. Au moins, il était un peu caché et ne se retrouverait pas sur la trajectoire d'une balle. Par je ne sais quel miracle, je ne m'était pas encore effondrée en larmes. Quand les premiers coups de feu sont partis, j'ai poussé encore plus mon frère derrière moi et je serrais très fort mes mains sur ses bras. Je ne voulais pas qu'il fasse quoi que ce soit qui pourrait le mettre en danger. C'était peut-être lâche mais je ne voulais pas que le preneur d'otage tourne son attention vers lui. Je serrais les dents, je me demandais si ce que j'étais en train de ressentir ressemblait à ce qu'avait vécu Louison deux ans auparavant. Et surtout, je priais pour que le schéma ne se répète pas et que César ne prenne pas la place de cette fille qui avait succombé à ses brûlures. Plusieurs personnes ont essayé de s'interposer et beaucoup ont reçu des balles. Plus les balles fusaient, plus le chaos se faisait ressentir. La plupart des étudiants essayaient de s'enfuir et mon sang bouillonnait dans mes veines. Je tentais de rassembler mes forces, il fallait que je sorte mon frère de là. Au milieu de l'agitation, je réussis à l'entraîner derrière une étagère avec d'autres otages. J'avais laissé mon téléphone sur une table au milieu de la pièce et il serait vraiment suicidaire de vouloir aller le chercher pour appeler des secours. J'espérais au moins que quelqu'un avait réussit à appeler la police. Les blessés se faisaient de plus en plus nombreux et je me mis à serrer César très fort dans mes bras. Les larmes que j'avais retenu jusque là commençaient à me monter aux yeux. C'était un vrai carnage. Je détestais voir les gens souffrir et là, je les voyais se faire tirer dessus les uns après les autres. Puis finalement, une fille réussit à prendre l'arme de ce cinglé et mit fin à ce cauchemar. Quand j'ai réalisé qu'on allait s'en sortir tous les deux, j'ai enfin lâché César et je me suis empressée d'aller porter secours aux blessés comme je le pouvais. En tout cas une chose est sûre, je n'oublierais jamais ce que j'ai vu ce jour là. J'en fais encore des cauchemars la nuit où je me réveille en hurlant. J'espère ne plus jamais avoir à revivre une horreur pareille.
Les prises d'otage... A croire que les explosions deux ans auparavant n'avaient pas suffit. On dirait bien qu'Harvard attirait les fous furieux ces temps-ci. Il est vrai que toutes ces agressions avaient mit une sale ambiance sur le campus. J'ai au moins eu la chance de ne pas subir moi-même d'agression. En même temps, avec Timéo et César, mon frère cadet d'un an, qui me collaient aux fesses à longueur de journée, ça aurait été difficile pour eux. Mais le pire de tous, c'était Louison. Il séchait régulièrement ses cours pour pouvoir m'accompagner absolument partout où je me rendais. Oui, partout ! Il me suivait même jusque devant la porte des toilettes du campus et il poussait jusqu'à me parler à travers la porte pour vérifier que tout allait bien. Je vous dit pas la honte quand il y avait d'autres filles à l'intérieur. Je sais bien qu'ils faisaient ça pour moi mais je vous assure que c'était pas facile à supporter tous les jours. Je ne pouvais plus respirer et j'étais ultra tendue à longueur de temps. Je m'énervais pour un rien et je vous assure que j'ai maudit les auteurs de ces agressions sur au moins dix générations. Et puis la fameuse prise d'otage est arrivée. Je dois dire que je ne m'attendais pas à ce que ça dégénère à ce point. J'étais avec César ce jour là, on était en train de bosser à la bibliothèque. Je n'ai pas vu ce taré rentrer, à vrai dire j'étais tellement concentrée dans mes révisions que j'étais loin de prêter attention aux allées et venues de tout un chacun. Ce n'est que quand je l'ai entendu hurler en agitant son arme un peu partout que j'ai réalisé qu'il se passait quelque chose de grave. Mon cœur s'est mit à battre à tout rompre. J'avais peur pour la fille vers qui il braquait son arme, j'avais peur pour tous ceux qui se trouvaient dans la pièce, j'avais peur pour ma propre vie mais surtout, j'avais peur pour mon petit frère. Il avait veillé sur moi pendant des mois mais c'était moi l'aînée, c'était à moi de faire en sorte qu'il ne lui arrive rien. Tous les otages s'étaient rassemblés au centre de la bibliothèque et j'avais fais en sorte de rester près de lui en me positionnant de façon à ce qu'il se retrouve derrière moi et un autre étudiant qui ne se trouvait pas loin. Au moins, il était un peu caché et ne se retrouverait pas sur la trajectoire d'une balle. Par je ne sais quel miracle, je ne m'était pas encore effondrée en larmes. Quand les premiers coups de feu sont partis, j'ai poussé encore plus mon frère derrière moi et je serrais très fort mes mains sur ses bras. Je ne voulais pas qu'il fasse quoi que ce soit qui pourrait le mettre en danger. C'était peut-être lâche mais je ne voulais pas que le preneur d'otage tourne son attention vers lui. Je serrais les dents, je me demandais si ce que j'étais en train de ressentir ressemblait à ce qu'avait vécu Louison deux ans auparavant. Et surtout, je priais pour que le schéma ne se répète pas et que César ne prenne pas la place de cette fille qui avait succombé à ses brûlures. Plusieurs personnes ont essayé de s'interposer et beaucoup ont reçu des balles. Plus les balles fusaient, plus le chaos se faisait ressentir. La plupart des étudiants essayaient de s'enfuir et mon sang bouillonnait dans mes veines. Je tentais de rassembler mes forces, il fallait que je sorte mon frère de là. Au milieu de l'agitation, je réussis à l'entraîner derrière une étagère avec d'autres otages. J'avais laissé mon téléphone sur une table au milieu de la pièce et il serait vraiment suicidaire de vouloir aller le chercher pour appeler des secours. J'espérais au moins que quelqu'un avait réussit à appeler la police. Les blessés se faisaient de plus en plus nombreux et je me mis à serrer César très fort dans mes bras. Les larmes que j'avais retenu jusque là commençaient à me monter aux yeux. C'était un vrai carnage. Je détestais voir les gens souffrir et là, je les voyais se faire tirer dessus les uns après les autres. Puis finalement, une fille réussit à prendre l'arme de ce cinglé et mit fin à ce cauchemar. Quand j'ai réalisé qu'on allait s'en sortir tous les deux, j'ai enfin lâché César et je me suis empressée d'aller porter secours aux blessés comme je le pouvais. En tout cas une chose est sûre, je n'oublierais jamais ce que j'ai vu ce jour là. J'en fais encore des cauchemars la nuit où je me réveille en hurlant. J'espère ne plus jamais avoir à revivre une horreur pareille.
ITEM LIBRE (FACULTATIF).
Oxane est née dans la richissime famille Cartier, célèbre dans le monde de la joaillerie - Elle a un frère de quatre ans son aîné, Louison, un frère jumeau né quelques minutes avant elle, Timéo, un petit frère plus jeune d'un an, César, et une petite soeur plus jeune de trois ans, Alycia - Elle est très proche de tous les membres de sa fratrie mais est surtout très fusionnelle avec Timéo - Enfant, elle était très casse-cou et doit une petite cicatrice sur la hanche droite à une chute de vélo - Elle n'a ni tatouage ni piercing (sauf les oreilles percées) et ne compte pas s'en faire faire - Elle joue du piano et chante depuis toute petite - Elle a une véritable passion pour les voyages. Elle aime tout ce qui touche à la nature, aux animaux, aux cultures étrangères et à l'Histoire - Elle porte également un grand amour au chevaux et pratique l'équitation - Elle ne peut pas démarrer une journée correctement sans son café du matin - Elle a beaucoup de mal à s'affirmer face aux autres et ne sait pas dire "non" - Elle se donne toujours à fond pour sa famille et ceux qu'elle aime - Elle ne regarde pas souvent où elle pose ses pieds et il lui arrive très fréquemment de trébucher sur des objets - Sa sœur est sa partenaire de shopping préférée - Elle ne se sépare jamais d'un pendentif en or représentant le signe de l'infini, cadeau de sa meilleure amie d'enfance avant qu'elle ne parte étudier aux Etats-Unis. C'est d'ailleurs le seul bijou qu'elle porte qui ne vienne pas de chez Cartier - Elle a commencé à étudier à Boston à partir du lycée - Elle retourne à Paris presque à chaque vacances - Elle a reçu une éducation stricte et ses études lui prennent la majeure partie de son temps libre - Elle accorde une grande importance au regard que les autres peuvent porter sur elle et est toujours très soignée - Elle est un peu timide mais est d'un naturel très enjoué avec ceux en qui elle a confiance - Elle ne quitterait pour rien au monde son train de vie confortable mais fait tout ce qu'elle peut pour aider les gens dans le besoin.
Oxane est née dans la richissime famille Cartier, célèbre dans le monde de la joaillerie - Elle a un frère de quatre ans son aîné, Louison, un frère jumeau né quelques minutes avant elle, Timéo, un petit frère plus jeune d'un an, César, et une petite soeur plus jeune de trois ans, Alycia - Elle est très proche de tous les membres de sa fratrie mais est surtout très fusionnelle avec Timéo - Enfant, elle était très casse-cou et doit une petite cicatrice sur la hanche droite à une chute de vélo - Elle n'a ni tatouage ni piercing (sauf les oreilles percées) et ne compte pas s'en faire faire - Elle joue du piano et chante depuis toute petite - Elle a une véritable passion pour les voyages. Elle aime tout ce qui touche à la nature, aux animaux, aux cultures étrangères et à l'Histoire - Elle porte également un grand amour au chevaux et pratique l'équitation - Elle ne peut pas démarrer une journée correctement sans son café du matin - Elle a beaucoup de mal à s'affirmer face aux autres et ne sait pas dire "non" - Elle se donne toujours à fond pour sa famille et ceux qu'elle aime - Elle ne regarde pas souvent où elle pose ses pieds et il lui arrive très fréquemment de trébucher sur des objets - Sa sœur est sa partenaire de shopping préférée - Elle ne se sépare jamais d'un pendentif en or représentant le signe de l'infini, cadeau de sa meilleure amie d'enfance avant qu'elle ne parte étudier aux Etats-Unis. C'est d'ailleurs le seul bijou qu'elle porte qui ne vienne pas de chez Cartier - Elle a commencé à étudier à Boston à partir du lycée - Elle retourne à Paris presque à chaque vacances - Elle a reçu une éducation stricte et ses études lui prennent la majeure partie de son temps libre - Elle accorde une grande importance au regard que les autres peuvent porter sur elle et est toujours très soignée - Elle est un peu timide mais est d'un naturel très enjoué avec ceux en qui elle a confiance - Elle ne quitterait pour rien au monde son train de vie confortable mais fait tout ce qu'elle peut pour aider les gens dans le besoin.
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Cam et j'ai 21 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à un top-site. Ça a l'air d'être un forum qui bouge bien alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Romee Strijd comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par google. Je fais environ 350 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
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