Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilitycan't stop smoking 'bout you ( amathe )
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can't stop smoking 'bout you ( amathe )

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i can feel it in the way that you breathe

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Le nez cassé, un œil au beurre noir, la lèvre fendue, il avait pris cher. Franchement, mais quelle idée aussi d’aller s’en prendre à ce mec. Pourquoi d’ailleurs ? Parce qu’il a touché Agathe ? Tout le monde la touche, c’est presque un rite de passage à ce niveau. Amare le sait bien qu’elle n’est pas une sainte petite femme qui ne couche pas à droite et à gauche, mais ça l’énerve. Ça l’énerve de voir les mains d’un autre sur son corps. De la voir gémir sous le poids d’un autre. De voir ses lèvres caresser celles d’un autre. Bref, il est devenu ultra possessif avec une fille qui n’a rien d’une quelconque petite amie, meilleure amie ou même d’une vraie amie. C’est juste Agathe, aussi indéfinissable qu’elle peut être. Dans sa chambre de la Mather House, n’ayant pas eut envie de retourner à la solitude de son appartement en ville, il panse ses blessures dans la petite salle de bain de sa chambre. Pas la peine de faire un dessin, il a mauvaise allure. Au final, il aurait vraiment du aller à New York, ça lui aurait évité bien des désagréments. Mais non, il est là, avec son coton tâché de sang, sa bande de gaz et du sparadrap pour la touche finale. Un peu d’antiseptique et puis voilà, il est sur pied. Du moins, jusqu’à ce qu’il prenne ses médocs parce qu’il se sent faible, trop faible pour faire le fier. Il entend la porte de la chambre s’ouvrir mais ne sort pas de la salle de bain. A quoi bon ? Il a mauvaise tête, ce n’est pas la première fois. Il faut qu’il retourne sur le ring dès que son opération sera faite. Il est hors de question qu’il perde tout le savoir qu’il a eut avec son frère. Hors de question. Un vertige le prend. Il doit aller à l’hôpital vu son état mais sa fierté en a pris un bon coup alors c’est hors de question. S’aspergeant d’eau fraîche, il reprend peu à peu conscience de la réalité. « Mais qu’est-ce que j’ai foutu bon sang. » Il aurait pu faire ça pour quelqu’un comme Lola, Rhia à la limite, ou encore plus Romy, mais pour Agathe ? Non. Y’a un truc qui ne tourne vraiment pas rond. Prenant le joint qui est entreposé dans son armoire à pharmacie depuis des mois, il l’allume avec le petit briquet noir qu’il garde toujours dans sa poche. La première taffe le rend coupable. La deuxième retire la culpabilité et la douleur qui s’étend dans son corps. Mais la troisième le fait halluciner quand il voit Agathe sur le pas de sa porte.
@Agathe A. de Belgique-S
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Can't stop smoking 'bout you
— Amare & Agathe

J'avais fini la soirée chez Abel hier soir, malgré l'altercation qu'il y avait eu entre Amare et lui. Qu'est-ce qui lui avait pris de sauter sur Abel comme un enrager putain? Il me suivait maintenant? Je croyais que c'était clair entre nous, on couchait ensemble. Pas de sentiment, pas d'attachement. Hier soir, il n'avait pas agi en tant que sexfriend mais en tant que petit copain ou j'sais pas quoi. J'appartenais à personne, je couchais avec qui je voulais. J'étais énervée contre Amare qui avait frappé Abel en premier et j'étais pas désolée que ce dernier lui ait collé un coup de poing, c'était pas comme si Amare ne l'avait pas cherché. J'enfilais mes vêtements qui jonchaient le sol de la chambre d'Abel et je quittais son appartement, sans le réveiller. J'allais à la Mather House et j'espérais y trouver Amare pour discuter de ce bordel. Il m'avait mal parlé d'ailleurs, m'envoyant chier comme si j'étais sa pute. Il fallait que j'éclaircisse cette merde pour comprendre pourquoi il avait fait ça, le confronter s'il fallait. J'en avais rien à foutre. J'arrivais rapidement à la MH et je filais quelques billets au chauffeur de taxi, puis je sortais de la voiture en claquant la portière. Je pénétrais ensuite dans la confrérie et je montais les escaliers, j'espérais vraiment qu'il y serait. J'avais besoin de me défouler sur ce con et ce, même si c'tait mon pote. J'étais pas fière de son attitude. J'ouvrais la porte et je me faufilais dans sa chambre, la refermant derrière moi. Mes sourcils se fronçaient en le voyant en train de fumer un joint dans la salle de bain. Je croisais les bras sur ma poitrine, j'le regardais prendre des taffes. Finalement, ses yeux croisaient les miens, ah monsieur remarquait ma présence. « C'était quoi ce plan, tu m'expliques?! » Demandais-je sur un ton provocateur.    



mille excuses pour le retard :TT:
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C’est pas impossible. Pas impossible qu’il soit un idiot complètement fini et qu’il n’en ait fait qu’à sa tête. Pas impossible qu’il ait eu un élan de jalousie plus qu’intense en la voyant dans les bras de ce con tatoué qui faisait le double de son poids. Mais ce qui est fait est fait. Pas la peine d’avoir des regrets, c’est pour les cons, les faibles et les indécis de la vie. Il a fait un choix. Un choix idiot, mais un choix tout de même, alors pas la peine de revenir la dessus, pas la peine de se sentir coupable ou une autre connerie du genre. T’as pris ta décision Amare, assume là. Le coton sur son œil, le sang tâchant le blanc cassé du lavabo, il avait belle allure mais bon, passons là dessus. C’est plus le fait de voir qu’Agathe ait pris la peine de venir le voir qui le surprend. Oui, il a mal, mais pas autant qu’il le pensait. Voir Agathe rend juste l’événement plus réel, moins virtuel. « Je ne sais pas. Je t’ai vu avec lui, j’ai pété un plomb. Sans doute le traitement. » Ouais, autant blâmer le foutu traitement qui le rend aussi idiot qu’un âne. Mais non, il sait bien que ça n’a rien à voir avec les substances toxiques qu’on lui injecte encore et encore, jour après jour, semaine après semaine. « Je ne sais vraiment pas. J’ai agis, et puis c’est tout. J’ai pris une raclée et j’assume. » Prenant une bouteille d’eau dans son mini frigo, il se laisse tomber difficilement sur le lit. Chaque geste, chaque mouvement est douloureux. Il a l’impression d’avoir des millions d’aiguilles qui lui transpercent le crâne, une douleur sourde dans son estomac lui coupe le souffle. Bref, il est mal en point et ne peut que se blâmer pour son état. Mais qu’est-ce qu’il lui a pris aussi ? « Tu fais quoi ici ? Tu viens voir le résultat de mon passage à tabat ? »
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