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Sloathena || You're my person

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Sloan est toujours le bienvenue chez moi. C'est ma personne, ma moitié, lui et moi on se complète. Il a les clefs de chez moi et voilà. Il est un repère dans ma vie. En ce moment tous va bien pour moi. J'ai quelques tensions avec mon père surtout depuis que je sais que sa cruche attend un enfant mais à part ça, tous va bien. Ma vie est assez chargée j'ai l'impression de n'avoir pas de temps pour moi ni pour voir les gens qui comptent comme Emilia, Kyla, Madisson ou même mon Sloan. J'ai eu mes partiels, je me suis plongée dans mon boulot la semaine après le nouvel an. Cette année je suis rentrée en Suisse et je suis rentrée le 25 pour le faire avec Maxime parce qu'il y tenait et que j'y tenais aussi. Résultat ca fait un moment que je n'ai pas vu mes amis. Aujourd'hui, une nouvelle journée de cours est encore passée et je suis épuisée, la prof de droit international m'a tué. Ca a beau être intéressant, en ce moment j'ai pas mal d'insomnies alors la journée je n'arrive pas a assumer. Oui c'est la période je crois. Il y a environ 8 ans j'ai eu un accident de voiture à cette période et conduire alors qu'il neige, ça me fais vraiment peur. Je prends d'ailleurs très souvent le taxis ou je me fais conduire. Je ne veux pas mourir. Oui, j'aurais pu mourir il y a 8 ans j'ai eu de la chance. Mais résultat, que je le veuille ou non, je fais toujours des insomnies mais encore plus en ce moment. Ce soir Maxime retrouve ses amis et moi je vais en profiter pour passer une soirée au calme. Je vais à la salle de sport après mes cours pour aller travailler mes abdominaux et perdre ce que j'ai pris durant les fêtes. Je passe à la douche en sortant et je vais rapidement faire deux trois courses pour pouvoir manger ce soir avant de prendre le chemin de mon loft. J'ai un grand appartement sur deux étages en centre ville, pas de quoi me plaindre je dirais. Une fois chez moi je pose toutes mes affaires et je retire mon gros manteau. En ce moment il fait vraiment très froid. Mais je vois que quelque chose à changer. Je regarde mon duplex de long en large jusqu'à comprendre. Il y a une veste sur l'une de mes chaises et je sais déjà à qui elle est. Même pas le temps de ranger mes courses je le cherche. Qui ça ? Sloan évidemment. Il a du arriver et voir que je n'étais pas encore là alors rester et m'attendre. Je me dirige vers ma chambre et je pousse la porte pour le retrouver allonger sur mon lit. Je m'appuie sur l’encadreur de la porte pour reprendre "Bébé ! Je savais que c'était toi... Tu as bien fait de m'attendre" avec un grand sourire. Ca fait un long moment qu'on ne s'est pas vu mais je le vois dans ses yeux. Tous ne va pas bien pour lui. Je m'avance vers le lit et part m'installer près de lui pour le prendre dans mes bras et le retrouver, passer du temps avec. Il est mon meilleur ami depuis très longtemps et on se connait par coeur lui et moi. Sentir sa présence près de moi me fais du bien il faut bien le dire. Je le sers dans mes bras oubliant mes problèmes quand il est là. J'espère que ma présence apaisera aussi son esprit parfois un peu trop torturer.

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Athena V. Campbell & SLOAN BUSHNELL

Le froid glacial se plaquait violemment sur ses joues creusées. La démarche lente et hésitante, Sloan semblait errer dans les rues de Boston sans but précis, il se laissait guider par ses pas et par son moral plus qu'instable en ce moment. En pleine crise de bipolarité, cette fois-ci, la colère n'avait pas pénétré chaque partie de son corps. Non, c'était plutôt une phrase calme, s'apparentant à la déprime. Il avait perdu son sourire et semblait ignorer la procédure à suivre pour le retrouver. L'âme en peine, il accumulait les conneries et avait juste besoin de quelqu'un qui le canalise. Perdu dans ses actes, il était devenu ce petit garçon, avide d'attention et paumé. Tout simplement paumé. Alors qu'en temps normal, les conseils et les paroles de sa mère l'auraient remis dans le droit chemin, il était livré à lui-même sans la moindre personne pour l'aiguiller. L'Eliot refusait de l'aide et n'admettait pas avoir un problème. Prit dans un engrenage douloureux, il entretenait sa bipolarité sans même s'en rendre compte. Un cercle vicieux qu'il ne voulait pas lâcher. Certains parlerons de zone de confort mais à aucun moment il se sentait bien dans sa peau, dans sa vie. La seule parenthèse agréable à son existence fut la soirée avec elle. Mais évidement, il vint tout gâcher la semaine dernière. Il était irrécupérable et s'en mordait les doigts à chaque instant. Comme à son habitude, il se perdit dans ses émotions et laissa la colère, la haine le dominer. Sloan s'en voulait énormément de son geste mais le mal était fait. Marchant jusqu'à l'appartement de sa meilleure amie, sans doute la seule qui allait le comprendre et le soutenir, son regard était vide de tout bon sens. Pourtant il n'avait pas fumé aujourd'hui, pas encore du moins. Athena n'aimait pas savoir qu'il se droguait alors parfois il lui mentait, prétextant avoir arrêté et être sevré. C'était faux. Un putain de mensonge qui n'arrangeait rien à sa situation. Le jeune homme accumulait les erreurs, il attendait quoi pour se reprendre en main ? Un miracle surement. Une fois devant l'appartement d'Athe, il tapa à la porte avant de baisser la tête. Rien. Aucune réponse ne parvint à ses oreilles. Machinalement, il retenta l'expérience, en vain. La brunette n'était pas chez elle. Peu importe, il était trop mal pour repartir, il avait besoin de lui parler, cela devenait plus qu'urgent pour sa santé mentale. Sans chercher à comprendre plus loin, l'Eliot fouilla dans la poche de sa veste pour y sortir son trousseau de clés. Il en essaya plusieurs avant de réussir à ouvrir sa porte. Un fin sourire satisfait apparu alors sur son visage. Il entra chez elle et, bien évidemment, son chien immonde se précipita vers lui en remuant la queue. Au moins, il était content de le voir. « Bouge de là. » marmonna-t-il entre ses dents en avançant dans la pièce. C'était un secret pour personne, Sloan n'aimait pas les animaux, il ne leur fera pas de mal mais il les détestait. Il enleva sa veste qu'il balança sur le premier fauteuil venu avant de jeter un rapide coup d'oeil autour de lui. Il soupira. Athena n'était pas encore là pourtant, il se sentait déjà apaisé. Le silence régnait en maître dans son salon, un silence un peu trop pesant à son goût. Faisant comme chez lui, l'Eliot monta à l'étage et entra dans la chambre. Il rigola intérieurement en constatant qu'il n'allait pas interrompre une partie de jambes en l'air torride entre sa meilleure amie et son nouveau mec. Calmement, il se traîna jusqu'au lit où il s'affala de tout son long. Il ignorait pour combien de temps elle allait en avoir, dans le doute, un peu de repos ne pourra pas lui faire de mal. De toute façon il n'avait rien de mieux à faire, à part ruminer. Non vraiment, il déprimait en ce moment le pauvre, il avait besoin d'un coup de pouce, d'une motivation quelconque. Délicatement, ses yeux se fermèrent, le plongeant dans un état second, situé entre le réel et le rêve. Les minutes défilèrent ainsi, sans qu'il ne bouge d'un centimètre. Il n'entendit même pas l'arrivé d'Athena dans la chambre. C'est lorsqu'il sentit quelqu'un se coller contre lui qu'il daigna tourner la tête sur le côté. La brunette vint s'allonger à côté de lui et vint se blottir dans ses bras. Les yeux toujours fermés, Sloan se tourna pour lui faire face et vint l'enlacer tendrement. C'était ça, il avait besoin de tendresse et d'attentions. Les yeux toujours clos, il inspira profondément en sentant son doux parfum lui chatouiller les narines. Putain ce qu'elle pouvait lui manquer. « J'ai fait comme chez moi hein. » lança-t-il faiblement, la serrant toujours un peu plus dans ses bras. L'Eliot s'accordait une petite pause bien méritée. Sa respiration était calme et son esprit semblait s’apaiser, retrouver la femme de sa vie lui faisait un bien fou. Il avait envie de lâcher prise et de fondre en larme comme le ferait n'importe qui mais il n'y arrivait pas. Incapable de pleurer, il préférait nourrir une haine sans précédent contre lui-même plutôt que d'affronter ses problèmes. Les bras l'enlaçant tendrement, il se permettait même de lui faire quelques petites caresses affectueuses dans son dos. Cette fille représentait tellement pour lui, elle était toute sa vie. « C'est tout ce dont j'avais besoin. » avoua-t-il à demi mots. Athena n'était pas dupe, s'il rampait devant elle de cette manière c'est qu'il avait quelque chose à se reprocher, qu'il avait certainement atteint la limite de ce qu'il pouvait endurer tout seul. Il cherchait là du réconfort et du soutien. Coupant ce doux moment de complicité, il se mit à rigoler légèrement en lançant les quelques mots suivants « Athe, tu vas me tuer. J'ai merdé complet ! » mais ne bougea pas pour autant. Oh que non, ce câlin était délectable. Et comme un gamin de quatre ans, il restait dans ses bras pour lui avouer sa connerie. Espérons qu'Athena garde son calme et ne le bombarde pas de reproches car clairement, il n'était pas venu pour ça.
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Une longue journée enfin terminée je peux enfin rentrer chez moi. Je prends mon temps sur le chemin du retour. L'hivers bas son plein, beaucoup de monde déteste l'hivers mais pas moi. Non moi j'adore, la neige, le ski, tous ça me rappelle des souvenirs heureux, je redeviens le temps de quelques instants une petite fille quand il neige. Je regarde autour de moi, les rues sont pleines à craquer, les soldes sont là et tout le monde se précipite dans les magasins mais pas moi. Non, je veux rester à l'extérieur dans le froid. Je peux enfin respirer et oublier tous ça, les tensions avec mon père et sa cruche, les partiels qui sont passés. Je m'enchaine deux cigarettes en traversant une rue commerçante regardant un peu autour de moi dans les vitrines les belles robes, les belles chaussures, les beaux tous. Je ne fais pas les soldes simplement parce que je me dis que certains en ont plus besoin que moi alors je ne veux pas sentir que je prive des gens et quand bien même, à chaque fois je tombe sur des articles non soldés. Certains adorent mais moi les bains de foule comme ça et les folles furieuses qui tueraient pour une paire de botte c'est vraiment pas pour moi. Le cours de droit m'a achevé mais je vais quand même à pied jusqu'à la salle de sport. Je monte sur la machine pour courir musique dans les oreilles j'essaie d'oublier tous ce qui me mine en ce moment. Ce qui me mine le plus c'est mon père et cette femme qui porte un bout de lui, comment peut-il oser me faire ça ? Nous faire ça même ? Nous avons un équilibre et il est entrain de tous gacher. Moi je n'en veux pas de ce bébé, égoistement j'ai envie de rester la seule pour mon papa, j'ai envie de rester son bébé éternellement, sa fille unique, sa perle, la seule comme lui est le seul et sera toujours le seul pour moi. Mais non, il en a décidé autrement et ça me blesse, j'ai l'impression de le perdre. Alors je refuse de le voir ou même de lui parler. Le silence, voilà ce qu'il mérite, que je ne lui dise plus rien, qu'il fasse sa vie et moi la mienne. Je ne veux pas de ça dans ma vie, ni de sa cruche, ni de ce bébé alien qui va juste servir à amplifier l'emprise que cette suçeuse de sang, cette pompeuse d'aire à sur lui. Je cours pendant 20 bonnes minutes en me fixant toujours le même objectif, être la meilleure, être parfaite. Certains diront que c'est inutile, que je ne serais jamais assez bien, d'autres seront plus cléments en me disant que de toute façon la perfection n'existe pas. Mais j'ai besoin de ça. J'ai besoin de contrôler au moins ça. Je ne peux pas contrôler tous ce qu'il se passe dans ma vie aujourd'hui, je ne peux pas contrôler ce mal être permanent à cette période de l'année alors je dois au moins contrôler ça. Je finis par m'arrêter et changer d'activité avant d'aller me doucher coupant d'ailleurs cours quand l'eau est devenue glacée et je suis partie faire quelques cours après m'être séchée les cheveux et remaquillée. J'achète deux trois trucs simples à cuisiner parce que je ne suis pas un cordon bleu et je prends la direction de mon appartement, enfin de mon duplex en centre ville après avoir hélé un taxis. Je ne conduis pas en hivers, j'ai bien trop peur d'avoir encore un accident, déjà je monte dans un engin à moteur il faut être content c'est un progrès. Arrivée chez moi je remarque directement que quelque chose est différent, je balaye la pièce du regard alors que Chiwa arrive rapidement me faire un calin. Elle est calme, elle ne dit rien ce qui est étonnant, quand je rentre elle est toujours là a me sauter dessus surtout depuis que je suis rentrée. Oui parce que depuis que sa cruche est enceinte j'ai fais vider ma chambre chez mon père mettant tous dans un garde meuble et j'ai été checher Chiwa. Il peut me couper les vivres je m'en fiche. J'aperçois la veste, sa veste posée sur une chaise en vrac. Je sais à qui elle est sans même m'en rapprocher, il n'y a qu'une personne qui peut. Je le cherche partout avant de le trouver allongé dans mon lit. Je retire ma veste que je balance sur une chaise avec mon écharpe en allant ensuite m'installer sur le lit pour me blottir dans les bras de mon meilleur ami qui comate dans mon lit. Ca me fais du bien de le voir là, comme si il savait que j'avais besoin de le voir. Il n'ouvre même pas les yeux, il sait que c'est moi tandis que je sens son parfum rassurant, ça me fais du bien de le voir là. Il me dit qu'il a fait comme chez lui d'une voie faible. Je lui frotte doucement le dos faisant des dessins du bout des doigts dans son dos musclé avant de reprendre "Tu as bien fais ... C'est chez toi ici" oui toujours, même si il n'y vit plus régulièrement. L'homme de ma vie ne semblait pas pour autant trop bien même si je le sentais, il se décontractait un peu depuis que j'étais arrivé, je sentais son souffle calme dans mes cheveux tandis qu'on s'enlaçait. Sloan est ma vie, je ne vois pas un instant sans lui, jamais alors j'ai besoin de ça, sentir qu'on est encore nous, que je suis encore importante et un moment comme ça me fais du bien, je me sens mieux. Je sais pourtant qu'il n'est pas très bien, ne me demandez pas pourquoi, je le sais c'est tous. Il a quelque chose qui ne va pas. Sloan il est comme ça, il endure, il fait le mec qui ne ressent rien il prend sur lui et je le sais, là il est à bout de quelque chose, peut etre qu'il a encore fait des conneries, il me le dira de façon et je m'en fiche, il le sait qu'il pourrait même tuer quelqu'un, j'irais en prison pour lui, j'enterrerais le corps avec lui. C'est ça l'amitié au fond non ? Il me dit que c'était tous ce dont il avait besoin d'une petite voie, a demi mot et je reprends "Moi aussi tu sais ..." oui juste être avec lui contre lui, le retrouver il ne me faut pas plus pour être mieux. Je compte les secondes dans ma tête, parce que je le sais, il va craqué, il va me dire ce qu'il a fait c'est obligatoire, il est comme ça il ne peut rien me cacher comme c'est réciproque. Quand j'arrive à 30 secondes je commence quand même à me dire que je me trompe peut être mais 48 secondes après, le voilà qui prend la parole, il a merdé, je vais le tuer. Ca me fais sourire malgré moi, je le savais, je suis contente de le connaitre encore trop bien. Je reprends sérieusement "Raconte moi, je suis sure que c'est pas si terrible." oui ça ne peux pas être si terrible quand même ? Je le garde contre moi je n'ai pas envie de bouger et je me dis que de toute façon, ce qui est fait est fait non ? Et je suis trop bien là maintenant.

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Sur ce coup-là, Sloan était prévisible. C'était tout à fait lui. Impulsif à souhait, il avait agit sans prendre le temps de réfléchir et de se poser les bonnes questions. Résultat, aujourd'hui, il avait fait une connerie et ne savait pas vraiment comment réparer sa bêtise. Allongé confortablement sur le lit de sa meilleure amie, il n'osait même plus bouger. Athena s'était blottit dans ses bras pour un câlin sincère et appréciable. La seule chose qui lui vint à l'esprit à cet instant précis, fut cette question, aussi paradoxale soit-elle : pourquoi avait-il attendu tant de temps pour aller la voir. La brunette avait le don de le calmer et le canaliser, il aurait dû penser à elle avant d'agir comme le dernier des abrutis. Mais non, il avait voulu faire le grand à essayer de se gérer tout seul mais c'était peine perdu. La disparition de sa mère avait laissé un vide immense qu'il n'arrivait pas à combler. Il était perdu et n'arrivait pas à ne pas faire de conneries. C'était plus fort que lui, c'était sans doute sa seule façon d'exister. Sloan voulait attirer l'attention sur lui, il voulait de l'affection et Athena semblait être disposée à lui apporter. Un petit garçon paumé, voilà ce qu'il était, il ferait presque pitié. Comment un grand gaillard comme lui a-t-il pu dérailler à ce point là ? Il était urgent pour lui de revenir sur le droit chemin et pour ça, il comptait sur sa meilleure amie. Un fin sourire apparu sur son visage lorsqu'elle vint lui dire que chez elle était chez lui. Cette fille était d'une extrême gentillesse, il lui en était tellement reconnaissant. « Ouais, c'est ça qui est bon. » répondit-il faiblement, en la serrant un peu plus dans ses bras. Cette étreinte était tellement sincère et témoignait l'affection qu'ils éprouvaient l'un pour l'autre. L'Eliot ne voyait pas du tout sa vie sans elle et cela semblait être réciproque. Sa main délicatement posée dans son dos, son parfum frais et doux le rassurait. Ils restèrent ainsi quelques secondes, quelques minutes avant qu'il ne vienne tout gâcher avec sa révélation. Il avait besoin de parler avec elle, de tout lui raconter, d'avoir ses conseils, c'était vital. Athena avait les mots pour le raisonner et savait comment s'y prendre avec lui. La tendresse de ses propos, la sincérité de ses mots et la force de ses convictions suffisaient à lui faire entendre raison. Il avait besoin de la Cabot dans sa vie. Pas si terrible que ça ? Elle allait tomber de haut en sachant ça. Sloan avait presque honte de son comportement odieux avec cette fille. « J'te laisse juger. » lança-t-il en se reculant légèrement mais en gardant néanmoins une certaine proximité enivrante. « Tu vois il y a quelque temps il y a eu cette soirée où on devait finir habillé de la même couleur, j'sais pas si tu y étais mais bref. C'est là que je l'ai rencontré. Une petite blonde avec un regard troublant, putain Athé, tu verrais ses yeux. » Il rigola légèrement avant de reprendre son sérieux. « J'étais complètement bourré et je lui ai mal parlé. Pourtant je ne la connaissais pas, 'fin c'est pas mon genre, tu me connais, j'sais pas pourquoi je l'ai envoyé chier comme ça. » Il marqua une courte pause avant de déglutir difficilement, peut-être se rendait-il compte à quel point il avait merdé avec cette fille. Il l'avait surement perdue pour de bon. « Du coup je nous ai organisé une petite soirée pour rattraper le coup. Franchement, j'ai passé une soirée de dingue. J'me suis ouvert à elle et je lui montré que j'étais tout sauf un petit connard d'Eliot. Elle m'a fait tourné la tête, on s'est bien rapproché tu vois. Mais le week-end dernier, je l'ai croisé au cimetière, le jour de l'anniversaire de ma mère. J'te laisse imaginer le délire. » Il prit une grande inspiration, comme pour se donner le courage de continuer. Sloan se redressa légèrement et se recula pour prendre appui contre le mur froid de sa chambre. « J'ai abusé de la drogue et on s'est prit la tête. J'étais pas vraiment conscient de c'que je faisais. Elle était là, juste devant moi, j'ai cru qu'elle me suivait. J'ai déliré complet et une chose en entraînant une autre, j'ai levé la main sur elle. » L'Eliot s'arrêta net de parler. Il se pinça les lèvres, son regard se voulait vide de tout bon sens. Il ne regardait pas Athena, il avait merdé et se sentait con. Sa mâchoire se serra machinalement. « Maintenant, elle refuse d'me parler et ne réponds pas à mes appels. J'devrais m'en foutre mais je crois bien qu'elle me plait. » avoua-t-il enfin. C'était là tout le problème, Rhiannon lui plaisait et cette situation allait finir par le rendre complètement dingue. Athéna, au secours.
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Retrouver mon Sloan est un soulagement pour moi. Il est tellement important dans ma vie, je ne vois pas un seul instant sans lui. Il est l'eau qui sert a calmer l'incendie parfois trop présent dans mon esprit et je suis le sien. On est un repère l'un pour l'autre et ma vie sans lui serait bien fade et inutile. C'est vrai, qui serait là pour me faire sourire ou pour me raconter ses histoires tirées par la cheveux ? Là le temps n'est pas à la rigolade, je vais rejoindre mon ami dans le lit pour une étreinte qui dure, ça m'a manqué de ne pas l'avoir près de moi alors j'inspire, mes poumons s’imprègnent de son parfum et mon corps se réchauffe grâce au sien. Il ne le sait souvent pas mais il m'apporte un équilibre dans ma vie et j'ai besoin de lui. Je sais qu'il n'est pas là pour rien, il est minable il faut le dire mais je ne fais aucun commentaire là dessus, c'est vrai, on ne jette pas la pierre sur un homme déjà au sol. Et je suis quand même un peu croyante, assez pour aller à la messe et tous le barda, la bible dit que celui qui n'a pas péché lui lance la première pierre. J'ai déjà péché je n'ai donc rien a lui dire, je peux juste ... l'écouter et le conseiller au mieux sur ses actes et parfois rire quand même un peu de ses situations parfois cocasses dans lesquelles il se met. Je le garde contre moi, si il a envie de parler il le dira de lui même après tous mais lui comme moi je pense qu'on a juste besoin de ça un peu de tendresse dans les bras l'un de l'autre. Je lui dis alors une chose tellement vraie, chez lui c'est chez moi ... je serais toujours là pour lui même en plein milieu de la nuit si il faut enterrer un cadavre au fin fond du désert je le ferais pour lui tous simplement parce que j'en suis persuadée, il en ferait tout autant. Je reste contre lui et sens qu'il se décrispe un peu il sourit un peu c'est un début il est toujours plus beau quand il sourit et malgré l'éloignement ma présence lui fait toujours du bien. J'ai peur de ça au fond, qu'un matin il se réveil, que je ne lui manque pas, que sa vie soit la même avec ou sans moi parce que ce n'est pas le cas pour la mienne. "Ce sera toujours le cas d'ailleurs" avec un doux sourire pour le rassurer, je serais là ... quoi que tu fasses, quoi qu'il arrive ... c'est ça l'amitié non ? Il me le dit, il a fait une connerie une grosse d'après lui et franchement je sais que parfois il abuse mais je crois parfois au fond de moi qu'il est toujours aussi innofensif, après tous il ne serait pas capable de me faire du mal alors en faire aux autres, je n'y crois pas c'est tous mais il me dit que je vais pouvoir en juger par moi même. Je plonge mon regard dans le sien, je sais que ça ne peut pas être si terrible, c'est un mec bien mon Sloan. "Elle t'a tapé dans l'oeil dès le départ à ce que je vois avec ses yeux" non je n'étais pas à cette fête mais j'en ai entendu parler, une soirée de perdition ou on échange tous nos vêtements, ce n'est pas franchement mon truc et je suis tellement quelqu'un de stressée par ce que les gens peuvent penser de moi que je n'oserais jamais mettre les pieds dans un tel endroit. Et même Maxime, je n'ose même pas imaginer la tête qu'il aurait fait. J'ai des cotés sombres mais je ne peux pas me laisser aller a ma guise, je représente la cabot house après tous, j'en suis la présidente et je donne beaucoup pour que cette maison continue de briller comme elle l'a toujours fais. Sloan rigole, ça me fais sourire de l'entendre rire, une mélodie douce à laquelle il se laisse rarement aller. Il m'explique qu'il a envoyer pêtre cette blondinette comme ça après quelques verres, si ce n'est que ça c'est pas trop grave, si je la connais j'irais plaider sa cause sans mal c'est pas si terrible que ça honnêtement. Je le vois déglutir, peut être même pâlir un peu encore ... apparemment ce n'était pas tous. Je le regarde et j'attends la suite toujours avec un regard douc et compréhensif, parce que oui j'y crois moi que c'est pas si terrible. Il m'explique alors sa soirée avec elle, il en aurait presque des étoiles dans les yeux c'est trop mignon, je lui souris en l'écoutant jusqu'à ce qu'il en vienne au fait, c'était l'anniversaire de la mort de sa mère, je l'ai même appelé ce jour, je suis allée chez lui mais rien ... pas de Sloan alors je lui ai laissé de l'espace mais apparemment la blondinette n'en a pas fait autant. Grossière erreur de débutante. Je fais un signe de tête en me disant que j'imagine très bien, très très bien même. Il prend une grande inspiration pour ensuite continuer, je caresse son dos pour lui prouver que non, je n'ai pas bouger d'un cil, je suis toujours là avec lui. Il m'explique alors son geste, impardonnable si vous voulez mon avis. Il s'est drogué, il a levé la main sur elle. Je le sais qu'il est impulsif, et je le sais que mon regard sur lui compte alors je ne fronce pas un sourcil même si je désapprouve ce geste je sais ce que sa mère représentait pour lui et que parfois il peut perdre le contrôle. Malheureusement les circonstances ont fait que cette fille était là au mauvais moment au mauvais endroit et que peut être elle a dit un mot de travers. Sloan n'est pas quelqu'un de méchant, ni même violent seulement voilà ... la drogue ... ça change les gens je crois et on ne peut rien y faire. J'ai traversé ça, j'ai arrêté mais pas lui. Je le regarde toujours tendrement avant de reprendre calmement "Elle te plait vraiment ? ..." oui qu'il soit sure, que je ne fasse pas tous ça pour rien au fond. Je reprends ensuite "C'est qui cette fille peut être que je la connais ?" oui peut être que je peux lui parler sait-on jamais non ? Je parle alors du fond du problème. "Tu sais bébé ... ton geste c'est ... tu pourras jamais revenir en arrière mais ... t'étais pas dans ton état normal je veux dire ... ta mère c'est encore douloureux pour toi, c'est encore quelque chose qui te fais bondir malgré toi et voilà ... ça plus la drogue ... Si elle tient à toi elle pourra le comprendre mais va falloir que tu fasses des efforts tu sais ... Je veux dire là ... elle était juste là au mauvais endroit au mauvais moment au fond ... Ca arrive de perdre le contrôle tu sais ... Moi je sais que t'es pas comme ça ... mais va falloir lui prouver à elle et si tu veux mon avis ... c'est pas si terrible" pas de commentaires, il est mal et j'essaie de le faire dédramatiser c'est tous. Je lui fais un sourire, un bisous sur la joue pour lui montrer que je suis là, je vais pas me casser en courant, la dernière fois dans la chambre d'hôtel il était dans un état avec la drogue, la perte de sa mère et je sais ce que c'est ... quand mon père m'a emmené en centre de désintoxication, j'étais tellement en manque que j'ai pris un bout de miroir cassé et j'ai menacé de me tuer si il ne revenait pas me chercher. Tous ça pour ... de la drogue et je ne me rappelle pas franchement quand je me suis droguée mais ... Je ne me rappelle pas de grand chose. Mais je sais une chose, Sloan n'est pas violent de base, il s'en veut surement beaucoup.

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