Abel&Agathe&Amarel x Lick my tongue

abel & agathe & amare

lick lick lick lick lick

• Un dernier verre pour la route. Un verre parmi tant d'autres. Je ne sais pas combien j'ai pu en boire ce soir, où combien elle a pu en boire. On est loin d'être au stade où on s'amuse à compter combien de verre on a ingurgité, combien de litre d'alcool a pénétré dans nos corps. On est juste là pour s'amuser, on est là pour profiter de notre soirée, éviter de tout casser cette fois ci. Agathe, c'était un peu moi au féminin, elle me comprenait, elle avait les mêmes envies, les mêmes délires, la même façon de faire. Elle se moquait de demain, elle se moquait des gens, elle voulait juste vivre sa vie et s'amuser. C'est peut-être pour ça qu'on s'entendait aussi bien, c'est peut-être pour ça qu'on couchait ensemble, parcequ'on était conscient que mettre des mots sur une relation pouvait tout niquer comme une goute d'eau dans un verre d'alcool. Nous, on profitais tout simplement. Un dernier verre pour la route, un dernier verre avant de sortir de cet endroit. Je l'attrape par la main, ne lui laissant même pas le temps de finir son verre, je la tire vers moi, allant lui chuchoter à l'oreille pour qu'elle puisse m'entendre et que la musique trop forte ne l'empêche pas de m'écouter. "Vas'y putain vient on va fumer là!" Et je ne lui laissais pas vraiment le choix, elle avait pris ma main, elle m'avait suivit derrière ce bar, on pouvait entendre la musique retentir, comme si les murs tremblaient. Un léger sourire sur les lèvres, je la plaqua contre le mur, collant mon corps à elle, mes deux mains sur ces joues chaudes, et je l'embrassa, sauvagement, animalement. Pourquoi à chaque fois que je l'embrasse j'ai envie d'elle ? Il va falloir que j'apprenne à me contrôler putain, un jour ça va nous apporter des problèmes tout ça... •

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Lick my tongue
— Abel, Agathe & Amare

Je commençais à avoir la vision trouble, j'avais ingurgitée je-ne-savais combien de verre ce soir. Je savais que mon taux d'alcoolémie avait explosé. En fait, je n'avais même pas comptée les verres. Pour la première fois depuis quelques semaines, je n'avais pas envie de foutre le bordel. Tout ce que je voulais c'tait de profiter de la soirée au côté d'Abel. J'avais commencée par des shoot de vodka et je finissais par de la tequila. C'était tout à fait moi ça, faire de l'excès sur les boissons. Putain que j'en avais rien à foutre, je buvais l'alcool comme de l'eau. Puis, j'avais aguichée le barman pour avoir des consommations gratuites, j'aimais l'alcool mais voilà j'avais pas envie de payer au fur et à mesure, c'tait chiant au final. J'imaginais qu'Abel faisait pareil avec la barmaid plus loin. Lui et moi on avait la même façon de faire, c'était marrant. On se ressemblait sur beaucoup de points en fait. C'était l'une des raisons du pourquoi on couchait régulièrement ensemble. Parce qu'on s'entendait bien et c'était compatible entre nous physiquement. Nous n'étions pas fait pour être en couple définitivement et c'tait pas plus mal. L'amour c'tait pas pour moi. Rhiannon faisait partie des exceptions et c'était une autre histoire, puisque nous nous étions mariées à Las Vegas en étant complètement bourrées les amis. C'était mon âme-soeur amicale. J'allais prendre une gorgée de ma tequila mais voilà qu'Abel attrapait ma main pour l'attirer vers lui. Je titubais au passage, me retrouvant presque collée contre lui. Il me chuchotait à l'oreille qu'il avait envie de fumer. Malgré la musique trop forte, mon cerveau enregistrait que le mot fumer. « Je te suuuis. » Disais-je en hochant lentement la tête et en prenant sa main, on se dirigeait vers l'arrière du bar. On se retrouvait rapidement à l'extérieur du bar où l'air était un peu plus frais. Ma vision devenait de plus en plus trouble et je ne remarquais pas le léger sourire d'Abel sur ses lèvres. Il me plaquait soudainement contre le mur, collant son corps contre le mien. Oh putain, fallait pas me provoquer comme ça. J'savais ce que ça signifiait, même si j'étais hyper bourrée. Il prenait mon visage entre ses deux mains et son visage s'approchant du mien, ses lèvres se plaquaient sur les miennes. Un baiser brusque, sauvage, sensuel, passionnel. Ça voulait tout dire. Je prolongeais ce baiser, je posais mes deux mains sur ses hanches pour l'inciter à se rapprocher un peu plus. Chaque fois qu'il posait ses lèvres sur les miennes, je perdais la raison. J'étais loin de me douter du bordel qu'il y aurait dans quelques minutes, voir quelques secondes.

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La nuit avait été longue. Laissant la fille se rhabiller et sortir de sa chambre chez les Mather, il se leva difficilement, ayant de plus en plus de mal à se remettre d’un effort intense. Il l’avait baisé machinalement, juste pour se défouler, pour se vider, pour penser à autre chose. Romy qui se revient au risque de se faire arrêter, le regard qu’elle lui lance. La tristesse qu’il repousse au loin. Amare ne ressent pas la tristesse normalement, mais là, elle transperce. Mais en même temps, il est heureux, parce qu’elle est là, présente, à porté de main. S’habillant en vitesse, il sortit de sa chambre, voulant aérer son esprit. Il aurait bien payé une visite à Agathe, mais elle est introuvable. La connasse. Pour une fois qu’il veut la voir, elle n’est pas là. Il déambule, se rend en ville, respire la fumé des bard et les relents d’alcool qui s’en échappent. La vie nocturne à Boston est réelle, présente, toujours active. Entre les étudiants et les jeunes travailleurs, il n’y a rien de mieux pour les activités de nuit qui règnent sur la ville. Il aurait tué pour fumer une cigarette là, pour laisser ses soucis s’envoler avec la fumée acre de la nicotine. Mais rien à faire, il ne peut qu’enfoncer ses mains dans ses poches et observer les personnes qui l’entourent. Entre un mec bourré qui déverse son estomac sur le sol, une fille qui racole les mecs au coin d’une rue et le couple qui va presque baiser sur le mur d’un club. Couple qui comporte une blonde reconnaissable entre tous. Agathe. Mais qu’est-ce qu’elle fout là la connasse. « Agathe ! » Il ne crie même pas. Mais dire son prénom rend la situation plus réelle. Et c’est qui ce bouffon qui la bouffe comme si elle était un Big Mac de mes deux. La colère monte en lui en flèche et il sépare les deux jeunes gens sans même réfléchir. « Tu peux me dire ce que tu fous avec ce bouffon ? » Il agit comme un petit ami jaloux ce qui n’est vraiment pas le cas. Mais voir Agathe dans les bras d’un autre, ça le répugne, le met dans une rage folle. Elle n’est pas sa propriété mais c’est tout comme. Savoir qu’elle couche avec la moitié du campus est une chose, assister à une scène porno avec elle en personnage principal est différent. « Et t’es qui toi ? » qu’il lance au mec qui fait presque deux fois sa taille et est couvert de tatouage aussi différents les uns que les autres. Un mec sortit d’un gang, stéréotype du gars qui a quitté un gang et essaye de se refaire une vie. Dans quelle merde il s’est foutu ?

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• J'ai bu à en perdre la raison, à en perdre la tête. Une fois de plus, je me suis retrouvé dans un bar, buvant tout ce qui pouvait me passer sous la main, ma forte résistance à l'alcool m'empêchait d'être complètement bourré, j'étais juste... Joyeux dirons nous. Alors je buvais, je bougeais la tête au rythme de la musique qui était surement un peu trop forte pour les voisins, mais j'en avais complètement rien à foutre, on était là pour s'amuser, pour faire la fête, pour profiter du moment présent, et c'est ce qu'on savait faire de mieux en fait. J'étais pas bon dans un millier de domaine, mais les soirées en faisaient partie, j'étais au top dans ce milieu. Mas j'avais besoin de prendre l'air, j'avais envie de fumer, j'avais envie de me couper de tout ça l'espace de quelques secondes, de quelques minutes. C'est pourquoi j'avais attrapé Agathe par la main et je l'avais emmené avec moi, sauf que je n'alluma pas de clope, ou non, je lui avais sauté dessus, je l'embrassais sauvagement, et elle me répondait, que ça soit ces gestes, son corps, sa réponse était positive, elle prolongea ce baisé, et je voulais juste en profiter... Enfin... Jusqu'au moment où je sentis une main sur mon épaule venir me séparer de la jeune femme. Hein ? C'est quoi le bordel là en fait ? T'as un mec que je regarde de haut en bas comme si c'était une fourmis, un mec qui doit limite être anorexique, qui me traite de bouffon, et qui me demande qui je suis. Je soupire, putain, on peu pas être tranquille ? "Alors déjà l'abruti, tu vas te calmer d'accord ? Alors avant de répondre à ta question, tu vas me dire toi tu es qui, et qu'est-ce qui te permet de venir nous séparer en fait ?" Direct le mec il est venue il a niqué ma soirée en fait. Agathe côtoie des mecs vraiment chelou, encore un avec qui elle a couché et qui doit croire qu'elle est à lui. •

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fight back

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La colère de son impuissance le rend fou. Il voit rouge. Son corps tremble de rage et sa vue se perd sur le corps de la blonde collé à celui du mec couvert de tatouage. Il ne voit que ça, ne se concentre que sur ça et vole vers le « couple » afin de les séparer. Il s’en fiche si ce mec est important pour Agathe, ou dangereux, ou autre. Il veut juste les séparer. Voir la blonde avec lui lui avait retourné le coeur et ça, il ne comprend pas. Il ne comprend absolument pas parce que ce n’est pas comme ça entre eux. La jalousie ne fait pas partie du contrat. « Je me calme si je veux du con. Et j’ai pas à te répondre. » Il n’a pas de raisons valables pour faire ça. Pas de réelle raison en tout cas. Pas de raisons qu’il a envie de dévoiler. Il ne veut juste pas voir les mains de ce mec sur le corps de la jeune femme. « Et puis vu comment vous étiez, vous auriez baiser sur le mur que ça ne t’aurait pas déranger espèce de pervers. » L’exhibitionnisme n’était pas vraiment le kiff du jeune homme. L’intimité des toilettes d’un club était la seule exception.

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— Abel, Agathe & Amare

J'étais complètement bourrée, ma vision devenait de plus en plus trouble et au point où j'en étais, j'commençais à être désinhibée. Abel me coinçait entre le mur et lui-même, me sautant carrément dessus pour m'embrasser. Je répondais immédiatement à ce baiser, l'embrassant avec fougue. J'incitais Abel à coller davantage son corps au mien. On restait comme ça pendant un petit moment, puis je sentais une main sur mon épaule droit et le corps d'Abel se détacher du mien. Nos lèvres se quittaient et j'comprenais pas ce qu'il se passait, puis mes yeux croisaient ceux d'Amare qui nous dévisageait tour à tour. Ce dernier posait finalement son regard sur moi, en me demandant qu'est-ce que je foutais avec Abel. « Et toi, tu m'expliques ce que tu fouuus? » Demandais-je en lui retournant son regard. Qu'est-ce qu'il était en train de me faire? J'voyais qu'il était en colère mais je comprenais pas pourquoi en fait, ils se connaissaient? J'allais ouvrir ma bouche pour poser la question mais voilà qu'Amare lui demandait il était qui, Abel lui retournait la question. Okaay, ça répondait à ma question. Ils ne se connaissaient pas et les hostilités commençaient. « Calmeez-vous.. » Disais-je en tentant de calmer la situation. Mon cerveau retenait le mot baiser, pervers. Je secouais la tête. « T'exagères pas un peu Amare? » Demandais-je, putain qu'est-ce qu'il lui prenait!

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• Jamais je ne me suis retrouvé dans ce genre de situation digne d'un film de cul où ça finit souvent en petit plan à trois en pleine rue, classé dans la catégorie threesome exhib blablabla. Bande d'enculé vous avez vraiment cru que j'allais sortir ma bite et la mettre dans le cul d'un mec pendant qu'il s'amuse à bouffer le minou d'une fille ? Oh, réveillez-vous, ça ne va pas se passer comme ça. Ce mec là, qui sort de je ne sais où, il a débarqué comme une fleur en pensant pouvoir imposer sa loi. Sauf qu'il a aucune idée de sur qui il est tombé, j'en ai complètement rien à carré qu'il soit amoureux d'Agathe ou une connerie du genre, elle est libre, libre de faire ce qu'elle veut et niquer avec qui elle veut tant qu'elle ne vient pas me refiler de l’herpès ou des MST. Je l'écoute s'énerver tout seul, il se chauffe, il se chauffe, il pense avoir du pouvoir, avoir une emprise, mais sur moi, ça a aucun effet, encore moins quand ça vient d'un mec qui pèse quarante deux kilos et demi. "On serait allez chez moi, là juste on se chauffait un peu en fait." Répondis-je en haussant les épaules. On allait quand même pas baisé en pleine rue, enfin, pas qu'on soit pudique, mais voilà, j'ai pas trop envie qu'on vienne me déranger en pleine acte comme ce vers de terre vient de faire. "Ouais t'exagère pas un peu Amare? T'en as pas marre ?" Désormais, je connaissais son prénom, j'avais un point d'avance, et je m'étais même permis une petite blague, un petit jeu de mot bien pourri. Putain, l'alcool ne me réussis vraiment pas, déjà que j'suis un mec ui s'en bas les couilles quand il est sobre, alcoolisé, c'est pire en fait. Limite je vais lui mettre une pichenette pour qu'il disparaisse et nous laisse reprendre ce qu'on avait si bien entamé. •

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« Ce que je fous ? Je ne sais pas. Mais toi, tu fous quoi coller contre un mur en train de te faire rabotter la bouche par ce mec ? » Une crise de jalousie puissance mille mais dans son esprit, ce n’est qu’une raison de plus pour s’éloigner d’elle. Agathe regarde Amare avec des yeux grogis, complètement bourrée et défoncée. « Oh, toi, la ferme Agathe. » L’effet néfaste qu’elle a sur son entourage est impressionnant. Il provoque le gars tatoué, alors qu’il ne devrait vraiment pas. Mais il est dans un état second, complètement à l’ouest. « Espèce de connard. » qu’il grogne quand l’autre répond à ses attaques. Qu’est-ce qu’il croyait en même temps, qu’il allait rester là à prendre sans rien faire ? Il saute littéralement sur le mec, pas le moins du monde impressionné par la carrure de l’autre. Mais il est faible Amare. Faible et malade alors les chances pour qu’il gagne ce combat sont faibles, voir inexistantes. Lançant son poing dans la figure de l’autre, il l’atteint en pleine face. Mais la vitesse de son élan le fait se rattraper sur le mur, la fatigue de son traitement le laissant aussi faible qu’un oisillon.

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— Abel, Agathe & Amare

J'comprenais pas la réaction d'Amare à ce moment-là. Pourquoi il était en colère? Je voyais pas en quoi ça le regardait que je me fasse embrasser par Abel. Je couchais avec Amare mais c'était pourtant clair, ça ne changerait rien à notre relation tout ça. C'était un ami, rien de plus. C'tait pas mon truc les relations basées sur l'amour, j'étais instable sur ce point. Je faisais ce que je voulais quand je voulais, c'était simple. « Qu'est-ce que ça peut te faire d'abord? » Demandais-je, énervée à mon tour. Abel rajoutait son grain de sel, essayant de le provoquer. On était d'accord, on avait pas l'intention de coucher en pleine rue. Amare me disait de la fermer et ça voulait tout dire en fait. J'avais raison lorsque je lui disais qu'il exagérait, il contournait la question. Abel s'amusait à faire un jeu de mot avec le prénom de ce dernier mais, je ne faisais pas vraiment attention à ça. Puis, Amare sautait sur Abel. Je me poussais au même moment et me rattrapais aussitôt contre le mur, wtf qu'est-ce qu'il se passait là? Son poing dans la gueule d'Abel, Amare se rattrapait contre le mur. J'savais pourquoi, il était malade. « Est-ce que ça va? » Bien sûr que non Agathe, ça n'allait pas du tout. « Putain tu fais chier! » Hurlais-je à ce dernier.

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• C'est que ça en deviendrait limite gênant pour moi cette scène, j'voulais juste passer une soirée tranquille, et là, il y a fallu qu'un mec avec un physique de lépreux en phase terminale débarque et décide de casser notre délire. Putain, j'vais finir par en avoir marre de tous ces petits toutous qui sont au pied d'Agathe et qui n'attendent qu'une chose, l'avoir pour eux seul. C'est pas possible, quand est-ce qu'ils vont le comprendre ça ? Regarder, personnellement, je l'ai compris et putain, j'ai appris à vivre avec, ça me convient, c'est même parfait. Alors je le laisse s'expliquer, ou plutôt gueuler pour un rien, à vous de voir comment vous voulez appeler sa réaction. Il fait le mec énervé, le mec qui ne comprend pas, et le pire dans tout ça, c'est qu'il deviendrait limite agressif, va falloir le faire piquer ce petit chien, Agathe va pas pouvoir continuer de vivre avec un chien complètement dérangé qui peu partir en couille à n'importe quel moment de la journée sans aucune raison valable. Alors je soupire, je le laisse aboyer, car pour le coup, tout ce que j'entends, c'est pas des phrases construites ou autre, non, c'est des putains d'aboiements. Sauf que j'ai pas trop compris ce qui c'est passé, le mec là, ce gars qui ressemble à un coton tige, il lui vient l'idée d'écraser son poing dans ma gueule, et finir lui même par être projeter sur le mur derrière. Je me frotte le nez, j'ai pas senti grand chose, mais au moins, il a eu les couilles de le faire, et je le regarde de haut en bas. "Sérieusement ? T'as vraiment envie de jouer à ça avec moi ? Tu frappes et tu manques de te casser la gueule, tu ferais même pas le poids, alors excuse toi, pas envers moi, mais envers elle, et peut-être que pour cette fois, je laisserais passer ton manque de respect." Même moi qui est bourré et défoncé, j'arrive encore à tenir sur mes jambes. •

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