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i hate you × romary.

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I HATE YOU. DON'T LEAVE ME.
T'avais fini par accepter le fait que tout le monde sache pour ta leucémie, il faut dire aussi que tu n'as vraiment pas eu le choix. Ou plutôt, elle ne t'avait pas laissé le choix. Depuis cette soirée où tu as appris à la mépriser pour ce qu'elle t'a fait car c'était la seule à être au courant, tu as fait l'erreur de lui faire confiance et cela, aveuglément. C'était la dernière fois que tu la faisait, cette erreur. Cela fait un an et demi que tu te bats contre cette saloperie et qu'elle a quitté Harvard mais c'est toujours quand on s'y attend le moins, que les surprises font le plus d'effets. Tu pensais jamais la revoir, tu avais fini par tirer un trait sur toute cette histoire mais c'était sans compter sur l'avis de le jeune femme qui avait décidé de revenir à Harvard. Et chez les Quincy, en plus. crachas-tu en la voyant s'approcher de toi. Ton regard est plein de mépris mais surtout de pitié. Pauvre petite chose qui revient, espèrent se faire pardonner après tout le mal qu'elle a fait, qu'elle t'a fait. Comment oses-tu revenir ici ? Ton venin craché l'an passé ne t'a pas suffit ? Le timbre de ta voix est dur, froid, cassant. T'avais juste envie qu'elle parte loin de toi, t'avais vraiment pas envie de la voir. Surtout que tu as d'autres chats à fouetter comme étudier ta matière de physique et d'astrologie. Tu finis par t'assoir à une table sans un regard vers elle. Fais moi le plaisir de bouger ton cul hors de ma vue.
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crush your heart and say you’re never giving up.


les blessures les plus douloureuses sont celles que l’on s‘est causé à soi-même. il n’y a personne à blâmer, personne à ruer de coups. chaque jour est une épreuve de plus, un pont à franchir, une montagne à traverser pour se pardonner et pourtant, il est tellement plus simple d’accorder la clémence aux autres. depuis des mois, elle se contentait simplement de rester silence, d’être discrète. les regards insistants lui rappelaient qu’elle avait fait énormément de mal autour d’elle. et il n’y a que dans de rares lieux qu’elle se sentait un peu plus invisible. yeux rivés sur la couverture d’un livre sur l’astrophysique, c’est sa voix qui la fit sortir d’une illusion de tranquillité. Regard remontant le long de la silhouette qui lui faisait maintenant face, il lui avait simplement suffit d’être attentive au ton employé et aux courbures de sa voix pour reconnaître roman. ils ne s’étaient jamais retrouvé aussi proche physiquement depuis son retour et pourtant, il semblait se trouver à des kilomètres tant la torpeur de sa culpabilité la saisissait. « je ne suis pas revenue pour ça roman. » conversation stérile qui débutait et elle savait pertinemment que peu importe les mots qu’elle utiliserait, il ne l’écouterait qu’à moitié et elle ne pouvait lui en vouloir. elle comprenait beaucoup trop bien, elle était incapable de se pardonner à elle-même alors comment le pouvait-il après ce qu’elle avait osé lui faire ? cœur crucifié par ses yeux qu’il ne pose pas sur elle. c’est comme un coup de poignard répété sans interruption. chaque seconde qui passe est le temps qui passe et qui lui rappelle les souvenirs d’une soirée floue qui lui fut rappeler par les nombreuses vidéos postées sur internet après son scandale. il attaque de nouveau et ce ne sont pas les regards qui commencent un à un à se poser sur vous qui te heurte mais la froideur qu’il emploi, la dureté de ses propos. « ne t’en fais pas, je ne vais pas perturber ta vue plus longtemps. » elle s’accrocha à la tranche de son livre, doigts crispés et se contenta simplement d’aller à une table derrière, hors de la portée de ses yeux. elle aurait pu partir, elle aurait pu s’en aller mais elle n’en fit rien. paralysée par ses erreurs qui ne cessent de lui faire face, étouffée par sa gorge qui bloquait tous les mots qu’elle aurait voulu lui dire pour qu’il la pardonne, elle était incapable d’aller plus loin.
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I HATE YOU. DON'T LEAVE ME.
Si tu le dis. Tu n'entends pas ce qu'elle dit, tu en as que faire. Tu tenais à elle et quelque part, le fait de la revoir te fait réaliser qu'elle t'avait manqué malgré le mal qu'elle t'as causé mais trop aveuglé par la colère, tu ne t'en es jamais aperçu avant de la voir là, devant toi. Mais peu importe, ta fierté te dit de l'envoyer sur les roses. Tu n'es pas quelqu'un qui pardonne facilement, au contraire, il faut ramer pour avoir une seconde chance même si la personne se met à te manquer comme c'est le cas avec Rory. Elle finit par s'installer derrière toi, tu ne bronches pas, faisant semblant d’étudier mais une question plus que les autres te turlupines et ronge tes lèvres. Tu te retournes vivement vers elle, Pourquoi, Rory ? Tu veux des réponses comme tout le monde mais tu lui faisais confiance, tu pensais qu'elle était une amie sincère et jamais tu aurais pu lui faire une telle crasse. Pourquoi m'as-tu trahit de la sorte ? Que t'ai-je fait pour mériter cela ? Le ton que tu emplois est touours aussi méprisant mais plus doux à la fois. La colère et la douleur sont toujours présents mais tu voulais à tout pris savoir les raisons qu'ils l'ont poussé à faire une chose pareille.
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i miss you when i can’t sleep. or right after coffee. or
right when i can’t eat. i miss you in my front seat.


elle feint d’ouvrir son livre pour s’y plonger mais ce sont les pensées qui la noient. Submergée par la certitude d’avoir mal agit, elle ne s’est jamais remise de ce qu’elle lui avait fait. alors quand il se retourne vers elle, ses yeux se posent sur lui et c’est le vide. le néant. elle aurait voulu lui donner une explication, tout lui dire. lui avouer que la prise d’otage avait meurtri son âme et que durant des mois elle n’a pas dormi. elle aurait souhaité lui raconter le divorce de ses parents et à quel point c’était douloureux de voir sa vie s’effondrer sans pour autant avoir la possibilité d’agir. et surtout, elle voulait lui avouer à quel point elle se dégoutait, à quel point tout son être la repoussait au point qu’elle se fasse du mal en se gavant de nourriture pour oublier avant de se faire vomir et tout extérioriser à sa manière, sans avoir à mettre de mots, sans avoir à faire face aux regards pleins de jugement et de pitié. mais rien.. non.. rien ne pouvait excuser ce qu’elle avait fait. « j’avais trop bu. » et après tout, c’était peut-être plus simple de lui mentir. pour lui. pour qu’il ait une vraie raison de la détester. mais surtout pour elle. pour garder la forteresse de son intimité fermée pour toujours. elle prend une grande inspiration face à ses questions et son dos s’écrase sur la chaise avant qu’elle ne passe une main dans ses cheveux pour libérer son visage, pour libérer ses pensées, pour aérer son esprit. mais il n’y a rien qui sort. tout semble dérisoire, rien ne parait suffisant. chaque raison qu’elle trouve n’est pas valable, ne pardonne pas pourquoi elle lui a fait ça à lui. « tu ne m’as rien fait. j’ai trop bu et j’ai pété les plombs. » ses yeux se posent dans les siens et elle sent sa gorge se serrer, son ventre gronder et tout ce qu’elle voit dans ses yeux, c’est ce qu’elle redoutait d’apercevoir un jour. c’est aussi à cause de lui qu’elle était partit. elle avait fuit pour ne jamais avoir à vivre cet instant. « tu n’as pas à me pardonner. ce qui est fait est fait et j’assume les conséquences de mes actes. sache juste que je suis profondément.. sincèrement désolée.» elle ne lui avait jamais mentit et surtout, elle n’avait jamais été aussi sincère qu’à cet instant en prononçant ces quelques mots. il le savait, au fond de lui, que jamais elle ne serait capable de lui mentir, mais elle avait aussi bien conscience que jamais il ne serait capable de lui faire à nouveau confiance.
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I HATE YOU. DON'T LEAVE ME.
Tu n'assumes absolument rien, Rory. Tu sais pertinemment que l'alcool n'a fait qu’aggraver les choses, il y a bien plus que cela derrière. Il faut vraiment que les gens arrêtent de te prendre pour un con. Peut-être que quand tu te décideras à me dire la vérité, je te pardonnerai. Ce n'est pas une certitude mais au moins, elle aura plus de chance de son côté, déjà. En attendant, tu peux toujours aller voir ailleurs si j'y suis. Tu soupires, tu pensais vraiment qu'entre vous deux, c'était réel et que c'était une amitié solide comme rock malgré l’attirance qu'il y avait entre vous. T'en reviens toujours pas de ce qu'elle a fait et tu te demandes si un jour, tu pourrais réellement lui pardonner, en tout cas, il faudra parcourir un long chemin.
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