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i really hate you ✔ justin

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Le propre des imbéciles est de détester tout ce qu'ils ignorent
Les pleurs, les larmes. C'est encore une fois de cette manière que tu te réveilles. Comme toutes les nuits, tous les jours. T'es fatiguée, à force, de l'entendre tous les jours pleuré sans que tu ne puisses faire quelque chose pour qu'il se calme. Tu t'es levée et tu l'as pris dans tes bras avant de sortir sur le balcon de ta chambre. Le soleil était entrain de se levé. Tu as posé tes yeux sur le ciel bleuet et orangé. C'est toujours aussi magique les levés de soleil. Ton fils s'est arrêté de pleurer alors que d'un mouvement doux et régulier tu le berces pour qu'il s'endorme à nouveau. Le retour à Harvard n'était peut-être pas une si bonne idée au final. Tu aurais préféré rester dans cet appart beaucoup trop grand pour vous deux. Celui que tu as aimé te manque, tu aimerais qu'il soit là avec toi, qu'il vienne t'aider avec votre fils. Tu caresses doucement son visage alors qu'il grimace dans son sommeil. Un sourire se dessine sur tes lèvres, attendrie par ce spectacle plus qu'adorable. Tu deviens pire qu'une enfant face à lui. Il t'apporte ce petit bout de magie qu'il te manque. Tu es mère célibataire, tu étudies loin de tes parents. Tu te débrouilles seule face à un monde qui ne cherche peut-être pas à t'aider à être heureuse. Tu vas bien. Y a pas de raisons pour que ça n'aille pas. Tu as ton fils, la danse. Tu as tout un tas de choses pour aller bien. Tu es heureuse uniquement parce que tu l'as, lui, ce petit être de simplement 2 ans qui est capable de te redonner le sourire même dans les pires moments.

Tu l'as laissé à la nounou pour la journée. Il faut que tu ailles t'occuper de ton programme de l'année. Il est habitué à passer la journée avec cette mère qui aime plus que tout au monde garder des enfants. Tu as complètement confiance en cette personne, même si les premiers jours ont été les plus durs que tu n'ai jamais vécu. Savoir qu'il allait passé du temps loin de toi, de tes bras, ne te faisais absolument pas plaisir. Tu sentais ton coeur se déchiré à chaque fois que tu le laissais dans les bras de sa nourrice. Mais les cours sont plus qu'importants à tes yeux. Beaucoup moins que ton fils, mais importants quand même. Tu passes le pas de la porte d'entrée d'Harvard d'un pas assuré. Tes talons claques contre le sol alors que le bruit des élèves envahissent les couloirs. Tu n'es pas seule, c'est une bonne chose. Tu as toujours trouvé Harvard imposant, tu as toujours eu peur de te perdre ou même de te retrouver coincé au fond d'un couloir parce que tu as tourné au mauvais endroit. Tu regardes le hall d'entrée et tu découvres Justin. Cet Eliot arrogant que tu ne supportes pas. Tu tentes de passer outre, de passer à côté sans le regarder. T'espère juste qu'il ne t'as pas vu. Tête baissée, tu passes à côté de lui. Pitié, ne me dis rien...
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Aloïse & Justin



Justin n'avait jamais eu autant mal à la tête, la cause ? Il l'ignorait parce que non, il n'avait pas bu la veille, il ne s'était pas couché très tard... Rien de tout ça, alors il était là dans son lit à se demander s'il était vraiment dans l'obligation d'aller en cours ce matin. Dans un élan de courage il se leva d'un bond, grosse erreur vu qu'il avait oublié qu'il dormait dans le lit du haut. Je vous laisse imaginer son humeur ce matin... Et puis le coup qu'il avait pris n'avait fait qu'accentué la douleur. Énervé il descendit quand même de son lit histoire de se préparer à cette journée qui s'annonçait lourde. Il sortit de la Eliot House avec d'autre de ses compères, comme ça de quoi ils avaient l'air ? D'un groupe d'élite que tout le monde envie. Enfin, c'est ce qu'ils pensaient ! Parce qu'au final, ce n'est pas vraiment ce que tout le monde pense ! Certains oui, certainement, ceux qui n'ont pas eu leur chance, ceux qui sont complexés de leurs vies, oui certainement ceux là ! Mais il y a les autres aussi, ceux qui s'en foutent, qui les ignorent. Mais ce genre de personne Justin ne peut pas les supporter, il estime qu'ils sont en tord. Pourquoi ? Hm... Très bonne question ! M'enfin, vous expliquer le raisonnement du petit Justin serait une grande perte de temps car rare sont ceux qui le comprenne. " L'argent ne fait pas le bonheur, mais je préfère pleurer dans mon hôtel particulier " C'est une phrase qui représenterait très très bien le châtain.

Comprenant un petit peu sa façon de penser, vous imaginez sa réaction quand sa cible en quelque sorte préférée commençait à s'avancer dans les couloirs d'harvard. Si elle l'avait remarqué ? Il l'ignore, mais une chose était sûr : lui, il l'avait bel et bien remarqué ! Elle passait à côté de lui, tête baissé. Il n'en fallait pas tant pour attirer Justin. « Qui vois-je ? Aloïse ! » Il s'approcha avec cet air hautain et une fois arrivé devant elle, il se posa de manière à l'empêcher de partir. « Tu baisses la tête ? Je suis sûr que t'es contente de me voir ! » Bien évidemment il ne le pensait pas.


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Le propre des imbéciles est de détester tout ce qu'ils ignorent
Le propre de la Quincy House et qui faisait de toi un bon membre c'était cette gentillesse qu'on te connaissait si bien. Trop bon, trop con, on te l'a dit et répéter et pourtant tu n'as jamais rien fais pour changer cette partie de ta personnalité. A quoi bon changer? Tu es bien comme tu es, tant pis si tu es trop gentille ou même si tu es trop naïve. Ce sont tes défauts à toi, tu ne cherches pas à les revendiquer, tu les acceptes tout simplement. C'est comme ça, on t'a élevé dans un climat qui t'as toujours habitué à donner sa chance à n'importe qui. Peu importe sa réputation puisqu'on ne juge pas un livre à sa couverture. Pour les Hommes c'est la même chose. Tu ne vas pas juger une personne parce qu'il parait qu'elle a telle ou telle réputation, qu'elle fait telle ou telle connerie. Ce n'est pas ton problème. Toi, tu veux découvrir les gens par toi même, tu veux découvrir les particularités de la personne sans qu'on ne te pousse à une conclusion trop hâtive et fausse. Tu sais très bien que l'avis des autres est faux. Ils ne font que suivre comme des moutons quand on leur dit que telle personne est mauvaise. Tu sais très bien que quand tu apprends à connaitre cette personne, elle s'avère être quelqu'un de bien et de respectable qui est loin de mérité un tel traitement. Justin ne te connait pas. C'est surement pour ça qu'il te traite de la manière dont il te traite. Il se prend pour quelqu'un de supérieur à toi et tente de te rabaisser. Son manque de confiance en soit est surprenant, surtout quand on voit la carrure imposante qu'il arbore. Tu n'es qu'une brindille frêle à côté de lui. Tu te sens minuscule face à lui. Il te fait te sentir inférieure rien qu'à d'être face à toi. Il fait tout pour que le malaise s'empare de toi. C'est l'un des rares que tu ne peux pas supporter, que tu n'aimes pas. Tu cherches toujours la raison, et pourtant c'est une évidence. Son caractère hautain, ses manières de bourge. Il n'est pas bon lui. Il n'a pas un bon fond, t'en es persuadée. Tu sais qu'il ne mérite pas ta sympathie. Pourtant, tu ne lui as jamais rien fais. C'est comme ça, c'est physique. Une connexion impossible entre vous deux.

Ta tentative de passer inaperçue fut vaine. « Qui vois-je ? Aloïse ! » Tu soupires, malgré toi. Tu lèves les yeux vers cette imposante personne qu'était Justin. Tes bras se croisent seuls sur ta poitrine alors que tu le fixes. T'es toujours aussi dérangée par sa présence. Il s'approche de toi avec sa façon habituelle. La tête haute, la poitrine bombée. Tu m'intimes, tu devrais être fier de toi. Tu fais comme si rien ne traversé ton visage mais ton coeur est serré, il s'emballe. Tu cherches un échappatoire mais c'est impossible, voilà qu'il te barre la route. « Tu baisses la tête ? Je suis sûr que t'es contente de me voir ! » Tu ne peux t'empêcher de rire alors que tes yeux se lèvent en sa direction. C'était toujours ce genre de choses. Toujours ce genre de petites piques. Il sait que tu ne l'apprécies pas, tu sais que c'est réciproque, pourquoi rester sur ça? Pourquoi ne peut-il pas simplement te foutre la paix, pour une fois? Tu lui souris, un peu à contre coeur. « Tu pourrais me laisser passer s'il te plait? J'ai autre chose à faire que discuter avec toi.. Tu n'en vaux pas la peine. » Tu n'es pas comme lui, tu ne sais pas y faire avec les piques. Tu dis juste les premières choses qui te passent par la tête, tu le pousses légèrement, il ne bouge pas. « T'as décidé de m'empêcher de vivre ou bien? ... » Oui, il avait décidé de te faire royalement chier, mais tu devais gardé ton calme. Le hall était légèrement rempli, pas assez pour passer inaperçue si jamais tu devais haussé le ton ou autre. Tu sais que dans tous les cas, tes actes n'ont aucune répercussion sur son comportement. Il ne lâchera pas l'affaire, comme toujours, et tu vas finir par céder face à lui. Il est plus fort que toi, c'est une évidence.
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Aloïse & Justin



La vie... La vie avait été si gentille avec Justin qu'au final elle l' pourri gâté. Jamais, jamais ses actes l'avait fait douté de lui, jamais ses parents ne lui avait reproché des choses. Alors c'est pour ça qu'il agissait comme ça, il se sentait supérieur parce qu'à lui, la vie lui avait tout donné. Enfant déjà lorsqu'il était venu au monde, la vie lui avait donné des parents merveilleux et riche en plus de ça. Certes ce n'est pas vraiment un point à soulever, mais soyons objectif si on avait eu la chance de pouvoir choisir, rare seront ceux qui aurait choisi de vivre dans la pauvreté. Ses parents étaient là pour lui, non il n'avait pas été éduqué par une gouvernante ou une nounou, madame et monsieur Sloan ne passait pas leur vie à voyager, ils étaient là profitant de leur moindre moment de liberté pour aller voir leur fils. S'en suivi la naissance de ses deux petites soeurs. Oublié ? Non, les petites n'étaient pas privilégiés ! Déjà à l'école il était flatté qu'on dise qu'on était en quelque sorte fière d'être proche de lui. Oui, proche de lui parce qu'il n'avait pas vraiment d'amis. Un point négatif ? Loin de là parce qu'en fait c'est lui qui avait choisi d'avoir cette réputation. Avec tout l'argent qu'il avait il aurait très bien pu en donner à des oeuvres caritatives ou quoi, mais non... C'était Justin, il ne fallait pas trop lui en demander non plus. Des films sur la persécution, il en avait vu des tonnes, mais comme je le disais précédemment : c'était Justin. Le mec têtue et hautain, qui n'estime recevoir de leçon de personne. Vous voulez vous le mettre à dos ? Donnez-lui un ordre, il se fera la joie de vous le faire regretter. M'enfin, au final certaines personnes arrive à l'aimer. Justin, il est gentil dans le fond. Faut creuser, creuser encore et encore pour le voir certes, mais une fois qu'on a trouvé ce petit Justin là, on est pas déçu. C'est pour ça qu'il avait un cercle assez restreint d'amis, c'était ceux qui avait eu la foie de creuser, même si pour certains cas Justin a aussi pris la pelle !

Mais il y avait des personne contre qui Justin avait quelque chose, comme cette Aloïse ? Non... Elle, il n'avait pas vraiment quelque chose contre elle. Alors là vous vous demandez : ouahh, mais qu'est-ce que ça doit être quand Justin a quelque chose contre quelqu'un. Et bien... Je vous montrerais sûrement un de ces jours ! « Tu pourrais me laisser passer s'il te plait? J'ai autre chose à faire que discuter avec toi.. Tu n'en vaux pas la peine. » Il n'en vaut pas la peine ? Peut-être, mais bon... ne croyez pas qu'il allait s'écarter. « T'as décidé de m'empêcher de vivre ou bien? ... » Justin ria à cette remarque, il introduit ses mains dans ses poches et commença : « Ah ouais, j'ai tant d'impacte que ça sur ta vie ? Bon alors je sais pas... Peut-être bien. » Il ne sait pas pourquoi, mais faire chier cette fille était extrêmement drôle, peut-être pas pour elle, oui, mais pour lui : c'était un passe-temps. Il passa sa main dans ses cheveux et ajouta toujours avec se sourire ; « Ahah je sais qu'au fond tu m'aime ! » Justin aimait l'ironie, ça ce voit non ? Oui... La vie, la vie avait peut-être été trop gentil avec lui : beaucoup trop.


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Le propre des imbéciles est de détester tout ce qu'ils ignorent
Tu n'as jamais compris pourquoi les gens aimaient tant la méchanceté gratuite. Maltraiter les gens et tout ça, est-ce quelque chose de jouissif ou bien? A croire que ça fait plaisir à certaines personnes d'en rabaisser d'autres, pour se sentir plus puissant, pour démontrer qu'ils sont bien présents, qu'ils sont là et que ce sont les meilleurs. Tu es de ceux qui subissent sans broncher, sans oser affronter l’adversité. Après tout, on peut bien dire que tu fuis la difficulté. Tu préfères jouer à l'autruche et enfoncé bien profondément ta tête dans un trou creusé dans le sol, à l'abris des regards ou même des jugements plutôt que de sortir les griffes et de renvoyer les insultes et toutes ses conneries à la figure des gens qui te les envoient. Tu ne sais pas faire ça. Tu sais pas être méchante. Même avec les pires ordures que tu pourrais connaitre. Tu as trop de coeur. Tu ne sais pas blesser les gens. Tu as trop peur qu'ils ressentent ce que toi tu ressens quand les insultes traversent ton esprit. Tu ne veux pas qu'ils souffrent pour des idioties. Ce qui est con, c'est que eux, ils ne se gênent pas pour te foutre dans tous tes états et toi tu fais des manières supposément parce que tu ne veux pas qu'ils aient mal. Tu penses pas que eux, ils s'en foutent d'avoir mal? Ils n'ont jamais mal puisque personne ne s'amuse à les défiés. Ca serait bien trop simple, bien trop dangereux pour ceux qui testeraient. Se faire descendre en flèche, le risque principal de l'affront avec une de ses personnes. Ils n'écoutent rien, ne font confiance à personne d'autre qu'à eux même. Des égoïstes, des égocentriques hautains. Tu ne les juges pas trop durement, bien au contraire, tu es même trop bonne avec eux. Surtout avec cet idiot de Justin. Tu as toujours cru en un semblant de gentillesse en lui. Alors qu'il n'est rien d'autre qu'une pourriture.

« Ah ouais, j'ai tant d'impacte que ça sur ta vie ? Bon alors je sais pas... Peut-être bien. » Tu soupires avant de croiser tes bras autour de ta poitrine. Tu ne sais pas quoi faire pour qu'il dégage, pour qu'il te foute la paix. Tu le regardes dans les yeux et tu soupires. Il aimerait trop qu'il soit au centre de ta vie, qu'il te terrorise ou autre. Il cherchera toujours à te pourrir la vie, que tu arrives à te défendre ou non. Peut-être un peu moins si tu rétorquais à ses conneries, mais c'est même pas sur. « Ahah je sais qu'au fond tu m'aime ! » Tu ne peux t'empêcher de rire. Toi l'aimer? Bien sûr. Tu roules des yeux avant de légèrement le pousser pour passer. « Moi t'aimer? Dans une autre vie peut-être.. Je préférerais un porc plutôt que toi vois-tu. » C'est gentil, c'est mignon. Tu sais pas trop mordre, alors tu te contentes de ses conneries à deux balles qui ne l'atteindront même pas. « Pourquoi tu me fous pas la paix Justin, sérieux? »
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