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MARLOES ♦ just a kiss on your lips in the moonlight.

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JUST A KISS ON YOUR LIPS IN THE MOONLIGHT

« - Hey Curls, attends-moi ! »... Je m'arrête net. Bon okay, je suis pressé de me barrer au plus vite de la salle de cours, mais Chuck semble avoir à cœur de me raccompagner... Étrange. Chuck ? C'est mon 'colocataire'... enfin le mec avec qui je partage ma chambre étudiante en attendant d'être accepté dans une confrérie. Je dis bien en attendant, parce que je suis bien décidé à entrer chez les Dunster... en plus, deux de mes sœurs y sont... Bon okay, j'avoue être vachement contradictoire comme mec. Je cherche de l'indépendance et je prétends à intégrer la maison dans laquelle mes sœurs sont... Mais à vrai dire, ce choix a été pris indépendamment de la présence de mes aînées. En fait, c'est la seule maison qui semblait me correspondre... Donc bon. Enfin bref, je range mes affaires dans mon sac de cours et sors de la salle aux côtés d'un Chuck assez silencieux... C'est pas normal ça... Mais bon, peut-être qu'il a compris que parler à tout va, ça sert pas à grand chose ? L’espoir fait vivre. « - Dis... je me demandais... En fait Marloes.... ». Okay, il parle de ma copine, j'aime pas ça... Je redoute presque la suite de sa phrase... Il doit sentir la tension envahir mes muscles et mes nerfs puisqu'il semble réfléchir à deux fois avant d'ouvrir la bouche. Bonne initiative. Non mais sérieux, pourquoi est-ce qu'il veut me parler de Marloes ? Elle est canon, je le sais, mais tout de même - moi jaloux ? Nooooon - ! « - C'est une cougar !!! ». Putain, mais qu'il est con... J'vous jure, des fois je me demande ce que je fais avec lui, pourquoi le sort à voulu que je partage ma chambre avec un abruti pareil. J'ai beau être en totale admiration devant le sens de l'humour de ce mec, parfois, il me fait un peu peur – comme quand il se met à parler sous la douche... alors qu'il est tout seul... oui, oui, ce mec est étrange -. Je soupire, presque soulagé qu'il ait mentionné ma copine pour dire une connerie pareille. C'est vrai quoi, il aurait pu m'annoncer un truc vachement plus grave ! Du genre « - hey Curls, des photos de ta copine à poil sont placardées dans les couloirs de l'université ! »... Ouais, bon okay, j'avoue que ça serait étrange. Mais bon, on sait jamais. J'ai beau avoir un respect et une confiance immense en Marloes, elle est libre de faire ce qu'elle veut, ce n'est pas moi qui vais l'empêcher de faire quoique ce soit... a part me tromper bien sûr... ou même aller voir l'une de mes sœurs... ouais, là, ça serait la catastrophe ! Pourquoi ? Parce que déjà que mes sœurs sont genre ultra-méga-beaucoup trop protectrices avec moi, en plus, telles que je les connais, je sais qu'elles en informeraient ma mère et là... ça serait le drame. Je vous jure ! Ça serait aussi catastrophique qu'un tsunamis. Je n'ai présenté qu'une seule de mes copines à ma mère par le passé... Grave erreur de ma part, mais j'étais si jeune et innocent à l'époque ! Du coup, je ne ferais pas cette erreur deux fois et pour préserver ma vie privée, mon couple ainsi que la protection de ma copine, vaut mieux que ma mère reste dans l'ignorance. Ouais, c'est pas facile tout ça, surtout qu'elle mène des petites enquêtes sur moi... C'est un peu une Totally Spies ma mère en fait... Enfin... en moins cool quand même... En fait, c'est Jerry, mais en version femme... ouais voilà ! Bref. « - T'es con mon gars... ». Certes, Marloes est plus vieille que moi, mais sérieusement, c'est quoi quatre ans ? On a plus six ans, merde, nous sommes deux adultes attirés l'un par l'autre. Faut pas chercher plus loin. Et puis avouons-le, sortir avec une fille plus vieille, c'est sacrément cool ! De toute façon, je sais que Chuck est jaloux parce que jusqu'ici, les seuls filles qu'il a réussi à ramener, c'est des petites saintes-ni-touches désespérées de ne pas trouver de mec... haha... Alors que moi, je sors avec la plus belle fille du campus... Si si, je vous jure ! Non mais sérieusement, vous avez vu Marloes ? Vous l'avez bien regardé ? Bah voilà !
Bref, une fois ma superbe altercation avec Chuck passée, je sors du bâtiment de sciences et me dirige vers la maison des Quincy, là où vit ma douce et tendre – pas si douce et tendre que ça d'ailleurs, mais c'est pour ça que je l'aime ! -. Aux dernières nouvelles, les Quincy ont donné une fête la veille au soir... du coup, ils doivent tous être en train de vomir leurs entrailles... haha ! Fête à laquelle je n'ai malheureusement pas pu assister puisque j'avais cours le lendemain, très tôt... Bon, j'arrive rapidement à la fameuse résidence, entrant comme si j'étais chez moi... Bah ouais, c'est tout comme avec le nombre d'heures que je passe là-bas finalement ! Très peu de Quincy sont réveillés et les seuls rescapés rangent la maison. Je les salue gentiment avant de monter l'escalier et me rendre au premier. Les couloirs sont interminables et pourtant, j'arrive rapidement devant la porte de la chambre de ma bien aimée. Je l'ouvre doucement constatant que la pièce est plongée dans le noir. Je sais pertinemment que Marloes a bu hier, puisqu'elle m'a laissé un message assez alcoolisé sur ma boite vocale, qui m'a d'ailleurs bien fait rire. Mais bon, elle ne doit plus s'en souvenir ! J'entre dans la chambre, fermant la porte derrière moi. Je pose mon sac dans un coin, ainsi que ma veste et enlève mes chaussures. J'ai beau être un chieur, cette fois, je viens en paix. Ouais, je suis le petit ami parfait – ou pas -. Je trouve à tâton le lit, mes yeux s'habituant tant bien que mal à l'obscurité avant de me glisser sous les draps, me collant au corps chaud de ma belle Marloes. Je la sens gigoter et je ne peux m'empêcher de sourire. Le silence est reposant et pourtant, au bout de longues minutes, je me rends compte qu'elle ne dort pas... Est-ce à cause de ma présence dans son lit ? J'espère que non. J'inspire alors longuement son parfum naturellement exquis et lui embrasse tendrement la joue, imprégnant doucement de toute sa personne. J'entoure ses hanches de mes bras et la serre un peu plus contre moi... « - C'est pas bien de boire... ». Je souris un peu plus. Ouais, c'est plus pour la faire chier qu'autre chose à vrai dire. On est jeune après tout, il faut profiter de la vie !

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J'avais pas vraiment bougé de la journée, j'avais squatter un des canapés de notre salon avec mon inséparable ami le jogging en coton. Non sérieux je vous jure que c'est mieux qu'un pyjama se truc là et en plus vu le froid qu'il fait en ce moment y a rien de tel pour pas trop se geler les miches m'enfin bref. Comme je le disais précédemment j'avais passé ma journée à zapper les chaînes, ouais parce qu'il faut le dire j'avais une sacrée gueule de bois.

La veille nous avions fait la fête et on va dire que j'avais pas mal abusé, enfin c'est pas comme si j'étais une sainte à ce niveau là mais bon. J'avais l'estomac tout retourné, la tête qui manquait d’exploser dès qu'un bruit désagréable se faisait entendre, en gros j'étais absolument pas apte à faire quoi que ce soit de bien passionnant.

D'ailleurs j'aurais vraiment aimé que Justin soit présent hier soir, c'était le petit truc qu'il manquait pour que la soirée soit parfaite. Ouais j'ai oublié de vous parler de Justin, honte à moi, il faut que je vous explique. Nous sommes ensembles depuis quelques mois maintenant. On est le genre de couple qui aime se taquiner, assez souvent d'ailleurs, mais on s'aime vraiment d'ailleurs cet amour ne cesse de croître à force que nous nous fréquentons. Justin est quand même plus jeune que moi, mais comme on dit l'amour n'a pas d'âge et sérieux ça me dérange pas, on a une telle complicité que je ne me vois pas avec quelqu'un d'autre que lui en fait.

Après cette petite parenthèse reprenons là où nous en étions. Il était vingt heure, je n'avais envie de rien d'autre que de dormir. Je montais alors dans ma chambre sans me douter une seconde que Justin aller me rejoindre plus tard. Je retirais mes fringues et les laissais en boule à côté de mon lit avant de me glisser dans les draps. Il ne me fallut que peu de temps avant de plonger dans un sommeil profond.

J'étais entrain de dormir quand je sentis une présence à côté de moi, je me réveillais à moitié. Avant de grogner -ouais parce que j'ai horreur qu'on me réveille- je me rendais compte que cette présence n'était autre que Justin, disons que c'était un mal pour un bien, il m'avait sans doute réveillais mais j'étais contente de sentir sa présence contre moi.

Il me prit par la taille, me rapprochant de lui, je passais alors mes bras autour de son cou logeant ma tête contre lui. Je souriais les yeux fermés, en effet j'étais dans un genre de semi-sommeil, j'étais réveillée mais mon cerveau était toujours endormie, c'était tout moi ça. Je marmonnais un truc à moitié compréhensible.

« Hmm.. s'en fou... »
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Marloes se blottit contre moi tout en râlant. J'aime bien quand elle fait ça. C'est comme si son cerveau n'est pas adéquation avec son corps. Comme si son cerveau me disait de me barrer et de la laisser tranquille, et que son corps réclamait un câlin. C'est marrant je trouve, non ? Enfin bref, je frissonne de toutes parts lorsque je sens son souffle venir se frotter dans mon cou. Cette fille a vraiment le don de me mettre dans tous mes états. Amoureux ? Je ne sais pas. Je pense oui, j'en sais rien en fait. Quoiqu'il en soit, Marloes, c'est la mienne et celle à personne d'autre... Ouais, j'suis un gros possessif et alors ? Je passe l'une de mes mains dans ses longs cheveux bruns, inspirant longuement le parfum délicieux qu'il s'en dégage. Même au réveil, toute endormie, avec une gueule de bois, Marloes est belle. Non mais sérieusement, je crois que toutes les filles de sa maison doivent en être jalouses. Pas besoin de tenues ultra sexy, de maquillage ou même d'une brosse à cheveux, Marloes est parfaite dans tous ses états. Chuck se fout de ma gueule en disant que je sors avec une vieille, mais je crois bien qu'en réalité, il donnerait tout ce qu'il a de plus cher pour être à ma place. D'un côté, c'est assez jouissif de se dire ça. Ma vie est cool en fait, si on oublie le fait que ma mère ne loupe pas une occasion pour me foutre la honte... Ouais... déjà pour mon anniversaire, elle s'est pointée à l'université pour me faire un gros câlin... devant tout le monde... la honte. Enfin bref, alors que je laisse mes pensées m'emporter, la chambre se plongeant dans un silence assez reposant, je sens du mouvement au niveau de mon estomac. J'ai faim. Ouais j'ai faim, la grosse dalle ! Cassy ne cesse de dire que la vie est injuste : je peux manger comme un gros tas, je ne prendrai pas un kilo. Haha ! Mickaël lui, il est un peu comme moi, ça doit être dans nos gênes, c'est un truc de mec chez les Rowling... Et puis sérieusement, on est des beau-gosses aussi, non ? Okay, je me tais !
Bref, j'ai faim. Du coup, je me mets à divaguer. Il faut tout de même que je trouve une solution, parce que quand j'ai faim, je deviens chiant. Vous savez, comme ces gosses dans la voiture durant les longs trajets. « - Mamaaaan, on arrive quand ? ». Bah moi c'est pareil. « - J'ai faim, j'ai faim, j'ai faim, j'ai faim... », jusqu'à ce que mon vis-à-vis n'en puisse plus et qu'on aille combler cette fameuse faim. Haha ! Je suis un génie, avouez-le ! Je me détache lentement de ma belle brune, me levant du pieu dans lequel j'étais confortablement allongé. La faim l'emporte sur le confort, c'est bien connu ! Je sors alors de la chambre, descendant les escaliers pour me rendre au plus vite dans la cuisine de la sonorité. En fait, ici, je suis vraiment comme chez moi, j'ai mes petites habitudes et tout... j'aurais peut-être du prétendre à cette sonorité finalement ? Non, c'est juste pour Marloes que je suis ici ! J'ouvre le frigo, trouvant avec joie cette fameuse tarte entourée de papier aluminium sur lequel le prénom de ma copine est inscrit. Heureusement, personne n'y a touché ! Victoire ! Cette tarte ? C'est moi qui l'ai fait... Si si, je vous jure ! En fait, hier, ma mère a insisté pour me donner des cours de cuisine par téléphone. Du coup, on a fait une tarte aux pommes... Heureux comme pas deux, je me suis empressé de l'amener à Marloes, mais on a oublié de la manger – on était trop occupés héhé - , du coup, je la lui ai laissé en inscrivant son nom sur le papier aluminium afin que tout le monde ici sache, que cette tarte lui était réservé. C'était une bonne idée puisque maintenant, cette tarte pourra finir dans mon petit estomac adoré. Mon dieu quel génie ! Bref, j'attrape le plat et enlève le papier aluminium lorsque... je m’aperçois qu'il manque une parts... IL MANQUE UNE PARTS !!!! Putain c'est qui ?!? Je laisse alors balader mon regard vers le salon, où quelques étudiants regardent la télévision et là... je le vois. Lui. LE MEURTRIER !!! enfin, le voleur de tarte ! Il a sa part dans les mains et bouffe comme un gros porc ! C'est un espèce de hippy bizarre qui me fait un peu peur, mais cette fois-ci, pas de pitié ! Je m'approche alors de lui, me posant en face afin de le gêner et faire décoller ses yeux de la télévision. Il me regarde, sans comprendre, je tends alors le papier aluminium devant ses yeux. « - Hey Tarzan ? Tu sais lire ou pas ? Y a écrit quoi là ? ». Marloes. M.A.R.L.O.E.S. Merde, c'est pas compliqué ! Il donne un autre croc dans sa part de tarte, m'arrachant un petit pincement au cœur, puis hausse les épaules. « - Marloes. ». Ouais, il me sort ça comme si c'était une évidence. Bon, je sais, vous devez me prendre pour un gros radin à cette minute précise, mais en fait, c'est juste que je me suis donné tellement de mal à faire cette putain de tarte pourrie – ouais la cuisine c'est pas trop mon fort, si vous voulez bien bouffer, appelez Cyril Lignac et faites moi pas chier – que c'était réservé à ma belle et tendre et pas à ce rasta avec ses dreads dégueulasses. « - Ouais et tu t'appelles pas Marloes à ce que je sache, alors qu'est-ce que tu fous avec cette tarte dans la bouche ?!? ». J'suis énervé, ça me soule ! Si ma mère m'entendait penser, elle me foutrait une bonne paire de baffes... avant de se confondre en excuses, ayant peur de m'avoir fait mal... « - Haaaa, mais je pensais que Marloes, c'était le prénom de la tarte... et puis elle me disait : Tim... viens.... manges-moiiiiii ». Attendez... Quoi ? Putain, mais il a fumé quoi ce matin ? Il est ravagé ce mec !!! Ma colère monte encore d'un petit degré, je suis prêt à exploser. Déjà de un, une tarte, ça ne parle pas. Non mais sérieusement, on le saurait si une tarte ça parlait... on communiquerait avec elle ! De deux, si ma tarte savait parler, elle ne lui dirait certainement pas de venir la manger... Elle aurait de meilleurs gouts et refuserait qu'un gars qui ne s'est pas lavé depuis quinze jour la mange. Ouais... c'est complètement idiot tout ça ! Je pince les lèvres et sans même m'en rende compte, je prends le plat et balance ma tarte en plein dans la figure de mon vis-à-vis. Il ne bouge pas... moi non plus. En fait, je ne comprends pas trop pourquoi je viens de lui enfoncer la tête dans ma tarte... à croire que mes gestes ont dépassé ma pensée... Roh et puis merde, il l'a bien cherché ! « - Et là ? Elle te dit quoi ma tarte, hein ? ». Haha ! Bon okay... c'est pas drôle ! Je serre les poings avant de quitter la pièce, retournant à l'étage où la belle au bois dormant est encore plongée dans son précieux sommeil. Bon, j'suis un peu à vif là, alors va falloir qu'elle se réveille. J'ouvre la porte beaucoup moins délicatement que quelques minutes plus tôt et entre dans la chambre. Je remplis un verre d'eau et le pose sur la table de chevet, à côté de Marloes, au cas où elle voudrait boire. Ensuite, je retourne sous les draps constatant qu'elle est belle et bien réveillée. Son regard azur se posant sur moi suffit à me calmer et je lui lance un petit sourire, mine de rien. « - Au fait, j'ai adoré le message que tu as laissé sur ma boite vocale ! ». Je ris intérieurement, sachant très bien qu'elle ne doit avoir que des souvenirs assez flous de ce moment là... Hahaha je suis le mal !!!

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He j'étais bien moi contre lui pourquoi il se casse d'un coup, à ouais mais j'entends des petits bruits s'échaper de son ventre il doit avoir la dalle. Justin sort du lui et descend pendant ce temps, je reste la tête sur l'oreiller, mes yeux commencent à s'ouvrir. Puis j'entends quelqu'un qui râle en bas, y à pas de doute c'est bien Justin je reconnais sa voix.

Je ris doucement dans mon lit quand j'entends quelques extraits de ce qu'il dit à un certain « Tarzan », oula, mon Justin va pas si bien que ça, qui est ce Tarzan, pourquoi il lui gueule après. J'entends des pas dans l'escalier c'est sans doute lui qui remonte, il ouvre la porte avec la délicatesse d'un éléphant.

Il rempli un verre et le pose sur ma table de nuit, en fait ce que j'aime avec Justin c'est que même si on s'envoie des vacheries, même si des fois il me fait chier ben il est toujours plein de petites attentions, bon j'irais pas jusqu'à dire qu'il est le petit ami parfait, mais pas loin. D'ailleurs j'ai justement soif, je tends le bras en direction de la table, attrape le verre et l'approche de ma bouche. Je suis encore trop dans le coltard pour me redresser et m'asseoir sur le lit alors je relève a peine la tête et porte le verre à la bouche.

Seulement voilà déjà que je suis pas douée pour boire et que je m'en fous partout quand je suis assise je vous laisse imaginer le carnage, l'eau froide à mouiller ma couette, enfin deux trois gouttes à la limite c'est pas grave, mais sentir de l'eau froide sur la peau toute rechauffée par la chaleur du lit ben c'est pas la même, je m'empresse de m'essuyer en rigolant.

Purée j'en ai foutu partout.. et c'est qui Tarzan ?

Une fois qu'il m'a rejoint je le prend à nouveau contre moi et le regard avec un petit air plein de malice. Et puis il commence a me parler de ce message sur sa boîte vocale, oh gosh qu'est-ce que j'ai bien plus lui raconter comme connerie encore.. J'arque un sourcil avant de prendre la parole.

Hum.. il disait quoi... ?
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