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ne m'effraie plus jamais comme tu l'as fait.

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ne m'effraie plus jamais comme tu l'as fait.
lundi 9 janvier, 10h. La nouvelle était tombée, il y a plusieurs semaines, et cela avait été comme une bombe. Cole était malade. Il avait une tumeur au cerveau. Tout revenait à Feryel comme le jour où elle avait appris pour Charlie et sa tumeur. Quand on pensait que les choses ne pouvaient pas devenir pire, la terre entière tombait sur la tête de la jeune fille. Entre ses deux propres accidents, et la disparition de sa soeur, Feryel avait l’impression de perdre toute raison. Cependant, elle continuait d’avoir la tête haute pour son petit ami. Feryel restait là pour lui, ne montrant pas qu’elle souffrait intérieurement. Hier, elle avait reçu un message de Cole, un bon signe, il allait mieux, et cela l’aidait déjà beaucoup avec cette situation. Si leur couple n’était qu’une stupide charade pour une histoire de photos. La jeune présidente Quincy avait accepté de se mettre en couple avec lui pour l’aider, l’innocenter face aux accusations de sa liaison avec Lucky. Il y avait encore des questions qu’elle se posait encore face à tout cela. Toute fois, ce n’était pas le moment. Feryel avait simplement trop sur l’esprit dont elle devait s’occuper. Romy fit surface hier également, avec un appel du poste de police. Elle avait été arrêté à cause de cette histoire de l’incendie des Eliots, et tout cela était à cause de Cole. Une histoire sans fin, mais elle ne pouvait pas lui demander maintenant de laisser tomber ses charges. Comme ci Feryel n’avait pas déjà assez de choses dont elle devait s’occuper. Elle décidait de mettre tout cela de côté et de rendre visite à son bien aimé à l’hôpital. Les visites étaient autorisées comme tout se passait bien post-opératoire. Bouquet de fleur à la main, la jeune afghane se rendit jusqu’à la chambre de l’anglais, entrant doucement pour ne pas faire trop de bruit. « Bonjour le prince au bois dormant! » Dit-elle en s’approchant de lui pour lui annoncer sa présence, se rapprochant petit à petit du lit du malade.
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 Opéré. Réparé. Je me sentais bien. Un peu fatigué. Un peu douloureux. Mais comme libéré d’un poids. Il n’y avait plus ce sentiment oppressant qui m’avait étouffé ces derniers mois, cette impression qu’on me persécutait, qu’on cherchait à me nuire. J’avais retrouvé ma raison, ma logique, mon bon jugement. Je pouvais de nouveau penser. Alors oui, l’opération était un succès à mes yeux. Je ne savais pas encore que le lendemain, j’allais me retrouver dans un état bien plus inquiétant, en soins intensifs. Pour l’heure, je me sentais bien et j’étais déjà en train d’entrevoir ma sortie. Les soins du matin étant faits, j’en profitais pour me reposer en attendant Feryel. La quincy m’avait en effet promis qu’elle passerait me voir. Elle ne tarda pas à arriver, bouquet en main, m’arrachant de mon petit somme en m’attribuant le sobriquet amusant de –prince au bois dormant- Mes paupières s’ouvrirent, un petit rire s’échappa e mes lèvres et je répliquai : « Alors c’est le moment où t’es censée me réveiller d’un doux baiser non ? » Je n’étais pas très callé en dessin animé alors je n’étais pas très sûr de moi. « Merci de passer me voir, t’as eu des nouvelles des autres ? » Abé, Hadès, mes amis et mes camarades de la Eliot m’avaient-ils complètement rayé de leur vie ? Je me doutais qu’en apprenant mon hospit, c’était vers Feryel qu’ils allaient chercher à récolter des infos, et c’était pour cela que je la questionnais. Je regardais le bouquet dans ses mains : « C’est pour moi ? Fallait rien amener. » soufflai-je avant de reprendre : « Comment ça va toi ? » Je n’oubliais pas qu’avec mes crises, ma paranoïa, la miss avait morflé aussi. Le détective privé que je lui avais collé aux basques, notre dispute lors du bal qui avait entraîné ensuite son accident, ça et mes accusations d’en avoir après mon argent, je méritais bien la palme du plus mauvais fake boyfriend de la fac.
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lundi 9 janvier, 10h. La maladie de Cole avait été un choc pour la jeune afghane, comme l’annonce de celle de sa meilleure amie. Elle avait l’impression d’être aveugle, de ne rien avoir vu, ou alors de simplement être trop égoïste pour remarquer ce genre de choses aux personnes qui lui sont proches. Feryel s’en voulait beaucoup. Il y avait eu beaucoup de signes, ses psychoses, ses moments de paranoïa. Tout cela devait indiquer que quelque choses n’allaient pas, mais à la place de vraiment agir, elle se disait qu’avec tout ce qu’il avait vécu, il était simplement un peu sensible. Au final, elle avait fermé un oeil, et cela aurait pu lui goûter la vie. Quelle mauvaise petite amie était-elle en fait? Clairement, elle devait être bien bas dans la liste. Toute fois, la jeune femme préféra laisser ses regrets dehors la porte de cette chambre. Cole allait mieux. L’opération avait été un succès, et la tumeur extraite sans complications. Tout cela voulait donc dire qu’une fois qu’il était sorti, tout pourrait retrouver le cours normale des choses. Un petit sourire lui échappa son visage quand il la taquinait par rapport à sa référence prince au bois dormant. Contrairement aux autres enfants, Feryel n’avait connu le dessin animé et conte que plus tard dans sa vie. « Ca dépend si tu as été sage avec les infirmières. » Lui dit-elle, posant ses affaires sur une des chaises de la chambre. « Oui, les jumeaux m’ont contacté hier soir. Je pense qu’ils sont trop fières pour venir te voir ou te contacter directement, mais ils s’inquiètent tout de même. Juste…non laisse, c’est rien. Ils sont cons, ces deux-là parfois. » Elle voulait lui parler de la petite altercations avec Abélard, mais décidait de ne pas en parler pour ne pas l’inquiéter. C’était stupide, et puis au fond, leur couple était faux, donc pourquoi est-ce que cela devrait la blesser de se faire appeler « petite amie de Cole ». Enfin bon, Feryel prit place sur une des chaises à coté du lit, déposant les fleurs sur la table de chevet. « Je voulais te faire plaisir, donner un peu de couleur à cette chambre maussade et froide. Je n’aime pas trop cela. » Il y avait une certaine atmosphère froide et macabre dans les hôpitaux que Feryel n’aimait que trop peu, d’où ses nombreuses visites chez les enfants pour leur remonter le moral, les aider dans leur peine. La jeune femme lui prit la main. « Moi? Ça va…je pense…mais de toute façon, on est pas là pour parler de moi. Toi comment tu vas? Comment tu te sens? » Feryel était toujours du genre à éviter les questions la concernant, se plaçant bien trop souvent au deuxième rang.
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L’opération avait été un succès. Je me sentais plus léger, même si les douleurs post op étaient bien là, je n’avais plus ces angoisses, ce truc dans ma tête qui me poussait à imaginer des choses, à envisager le pire, ce sentiment oppressant d’être sans cesse menacé. Alors oui, j’avais un fichu mal de crâne, mais ce n’était rien comparé à ce que j’avais enduré ces dernières semaines. L’entrée de ma petite amie fit se dessiner un sourire amusé sur mon visage alors que je rebondissais sur la comparaison qu’elle avait utilisé. Y’avait un truc de baiser pour réveiller la belle au bois dormant non ? Enfin, forcément, moi, je ne perdais pas une occasion pour réclamer un peu d’affection, même si je pouvais potentiellement me tromper dans mes références, vu ma culture limitée en terme de dessins animés. Feryel me répondit alors que le baiser dépendrait surtout de mon comportement avec les infirmières. « Bah, je plaide coupable, j’ai peut être un peu engueulé ma soignante. Mais c’est parce que j’en ai marre d’être dans cette blouse là. T’as vu l’allure que ça me fait ? » Encore heureux, y’avait pas de fleur sur ma chemise d’hospitalisé, mais bon le machin informe en coton qui ne cachait même pas votre postérieur dès que vous vous mettez debout, c’était quand même immonde comme tenue. « Mais elle n’a pas voulu que je mette mon costard. Elle a dit que c’était pas pratique avec la perf. » expliquai-je avec un air boudeur de gamin vexé. Feryel installait ses affaires et me répondit ensuite, sur un ton plus sérieux, concernant mes meilleurs amis. Ou ex meilleurs amis.  Ils n’étaient pas venus, Fe avait sa théorie, elle pensait qu’ils étaient juste trop fiers. Elle voulut ajouter autre chose et se ravisa. Mais trop tard, ma curiosité était aiguisée : « Si, dis moi, qu’est-ce qu’il y a ? » Je la regardais fleurir ma table de chevet, lui soufflant qu’elle n’aurait pas du. « Je vais pas rester longtemps, je me sens déjà mieux. » soufflai-je, assuré que j’étais de ne pas m’éterniser ici, à l’hôpital. J’allais très vite déchanter avec la septicémie qui allait me coucher d’ici quelques jours. « Merci » fis-je quand même avec un sourire, touché de son attention à mon égard pour me faire sentir un peu mieux ici. Elle s’assit finalement près de moi, ses doigts s’emparant des miens, répondant bien vite à ma question concernant son état à elle, pour me la retourner et se centrer sur moi. Du Feryel tout craché. Parce qu’entre son agression et son accident de voiture, la question –comment tu vas ?- pouvait lui être tout aussi légitimement destinée. « Bah tu sais, j’arrête pas de repenser à toutes ces dernières semaines, comme avec le sentiment de revivre une sorte de rêve… Ou de cauchemar plutôt… Je ne sais plus tout à fait ce qui était le vrai du faux dans mes délires, mais je me dis qu’ils vont tous m’en vouloir terriblement. » D’ailleurs, elle aussi, elle aurait pu m’en vouloir. Je relevai les yeux vers elle : « Je suis désolé, j’ai du être invivable… »
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