i wanna go back to the sweet begginings ( oksandra )

Quelques jours qu’Oksanna était revenue et déjà leur petite vie à deux était chamboulée. Parce que non, Oksanna n’était pas revenue seule de son voyage en Russie. Elle était revenue avec une adorable petite boule de poils blanche avec de grands yeux bleu. Un petit husky de trois mois qui les rendaient folles de joie et folles tout court. Alexandra aimait beaucoup de choses, et les chiens de ce genre en faisaient partis, mais là, elle n’en pouvait plus. Les cours et les révisions lui prenaient tout son temps et le chien, Iorek, rendait le calme de l’appartement inexistant. Heureusement que les deux jeunes femmes avaient une aide à domicile pour les aider à ses débarrasser des petits cadeaux qu’il laissait parfois dans l’appartement. Mais bon dieu, il la fermait jamais. Laissant ses cahiers sur le lit, elle utilisait rarement son bureau, elle sortit de sa chambre, la verrouillant pour ne pas qu’il ait l’idée de sauter sur la poignée et ouvrir la porte, lui donnant une nouvelle ère de jeu. « Oksanna, faut qu’on le sorte. Je pense qu’il a besoin de voir autre chose que l’appartement. Hein mon beau. » Sale cabot qui ne la ferme jamais. Prenant la laisse qu’elles lui avaient acheté cette semaine, elle l’attacha au beau collier en cuir qu’elle avait offert au chien quand il avait passé une journée sans mâchouiller les chaussures de la jeune femme. Il lui avait ruiné une paire de Louboutins et elle avait littéralement pétée une crise en voyant le crime. Sa paire de chaussure crème avait été réduit en lambeaux, le talon irrécupérable et le cuir vernis remplis de trou. En voyant la bouille de Iorek devant le crime, elle avait ravalé la rage qu’il lui inspirait, avait jeté la paire et l’avait ignoré tout le reste de la journée. Le chiot avait pleuré sur le pas de sa porte toute la journée, brisant le coeur de l’anglaise, mais elle avait tenue bon. Elle ne pouvait pas le frapper, ce n’était pas correct. Mais l’ignorer, ça, elle pouvait. « Oksanna, on y va. Iorek a besoin de voir d’autres chiens se comporter correctement. Et puis, ça va me sortir de mes bouquins pendant quelques heures. » Prenant son manteau, enfilant sa paire de bottes, elle attendit sa meilleure amie et elles finirent par partir en direction du parc le plus proche. Le dimanche était un jour en famille et Alexandra était avec la sienne. Oksanna, Iorek et elle. Le petit chien était comme leur enfant, elles en prenaient soin et en le voyant gambadé à côté d’elle, Alexandra fut heureuse. Depuis le départ de Milo, elle avait du mal à trouver des petites choses qui la faisait sourire. Tout lui rappelait le jeune homme. Mais petit à petit, elle relevait la tête. « Oh, je t’ai pas dit, Melchior m’a invité à dîner. » qu’elle révela à sa meilleure amie. Il était important que la blonde sache qu’Alexandra continuait à vivre afin qu’elle même continue. Elle voyait bien que Misha était toujours dans le coeur de la russe, et elle ne voulait pas qu’il parte en un seul coup de vent. Mais il fallait qu’elle se relève, parce qu’elle est forte et combative. « Alors, quand est-ce que tu te replonges dans le monde des hommes ? Et dis moi, comment se sont passées tes vacances en Russie ? »

Iorek avait beau être un adorable chiot, il était aussi chiant qu’elle. Si ce n’est plus. Alexandra avait fait preuve de beaucoup de dureté envers son entourage depuis son retour d’Europe où son nouvel an avait été aussi beau que tragique. Alors même si elle adore l’adorable bête, elle est aussi dure avec lui qu’avec les autres humains. A part peut-être Oksanna qui a droit à un free pass. « Ouais, mais il peut pas le faire moins fort, y’en a qui veulent bosser et il la ferme jamais. » Prenant une décision autant pour sa santé mentale que pour l’avenir du chien dans leur appartement, Alexandra emmène toute la petite famille faire une balade dans le parc juste à côté de leur appartement. Il est temps qu’elle prenne l’air après avoir passé toute la journée dans ses bouquins. Pressant tout le monde, elle était réellement sur les nerfs, voulant à tout prix voir le soleil et sentir la brise glaciale qui régnait sur Boston contre la peau de son visage. Mettant sa laisse au chiot, elle lui caressa légèrement le poils, appréciant la douceur de son poils et ses grands yeux bleus. « C’est bien, ça fait une semaine sans chaussure mâchouillée. T’aura droit à un nonos ce soir, mais ne dit rien à Oksanna. » Le petit chiot secoua sa queue dans tous les sens, comme s’il avait compris exactement ce qu’Alexandra venait de lui promettre. « Ouais, c’est à cause de moi, je suis trop mignonne. » répondit-elle à Oksa avec un petit sourire mutin. Les deux jeunes femmes ont toujours eut une complicité hors du commun, mais là, avec le petit chien, elles découvrent un autre aspect d’elle-même. Un côté maternel et protecteur envers quelqu’un d’autres que l’autre. Les deux blondes avec le petit chien partirent donc en direction du parc, emmitouflées dans leur manteau, se protégeant comme elles le pouvaient du froid. Alexandra lui annonça son rends avec Melchior et Oksanna hausse les sourcils. « Rien du tout. Enfin, il est adorable, on a passé l’après-midi avec les enfants à l’hôpital, à chanter et à rire. Ça m’a fait du bien. » qu’elle répond avec un petit sourire aux lèvres. Oksanna sait très bien que l’anglaise est une horrible chanteuse mais pour une fois, elle a pris du plaisir à pousser la chansonnette avec eux. Melchior a bien entendu rendu le moment encore plus agréable avec son rire communicatif et son attachement envers les petits garçons et petites filles qui leur faisaient face. « De toute façon, il est totalement différent de tous les mecs avec qui j’ai été alors ça ne peut être que bien. » Elle suit Iorek avec la laisse, le laissant courir après un petit chat qui passait sans qu’il ne soit à porter de patte. Elle pose alors la question fatidique à la russe. Sa réponse ne l’étonne pas. Misha a fait pas mal de dégâts en partant il y a quelques mois. Mais savoir qu’elle a passé de bonnes vacances en Russie donne un petit sourire à l’anglaise. Enfin un peu de bonheur dans sa vie. « C’est cool alors. Je suis contente que tu te sois bien amusée. » Elle tire un peu sur la laisse, voyant Iorek aller un peu trop loin. « Et bien, je suis partie avec Milo au début, on a passé Noël avec ma famille et Oswald, Ael et Cece au manoir Windsor. C’était bien jusqu’à ce que Milo pète une crise parce que Arthur a évoqué Hadès. » Se rememorer tout cela lui fait un peu mal mais c’est thérapeutique. « Et puis au final, on a passé, Milo et moi, le nouvel an à Rome. Mais il m’a annoncé quelques heures après minuit qu’il rentre en Norvège pour connaître sa vraie famille. » Sourire ironique et sarcastique, elle avait juste eut envie de lui en coller une quand il lui a annoncé la nouvelle. « Autant te dire que j’ai passé des vacances pourries. Mais maintenant tu es là, alors ça ira mieux. » Elles arrivèrent devant le parc, pleins d’enfants et de parents, de jeunes couples et de sportifs du dimanche. « J’aurais juste aimé pouvoir passer des bonnes vacances même si la fin était nulle. »

Sortir tous les trois, c’est exactement ce qui leur fallait. Même à Iorek. Leur vie sont chamboulées, remises en questions, en danger et en même temps, parfaites d’un point de vue extérieur. Alexandra, Princesse d’Angleterre, petite fille d’Elizabeth II, fiancé au prince Belgique. Sur le papier, elle est la fille parfaite. Belle, assez grande pour être mannequin mais pas trop pour être une perche, adorable, philanthrope, aimante et adorant les enfants. Un petit bijoux pour un bon nombre de personne. Un modèle pour les petites filles. Un fantasme pour les hommes. Mais sa vie n’est pas aussi parfaite que ça, et celle d’Oksanna non plus. Les menaces, elles en ont tous les jours. La peur d’être prise en otage revient constamment. L’envie de s’échapper d’une vie qu’elles n’ont pas choisie est bien présente en elle. Mais leur vie en décide autrement et elles doivent faire avec. « Beaucoup de bien. J’ai ris toute la soirée, j’ai chanté, t’y crois ça ? » Elle rit de bon coeur, le sourire aux lèvres. Pour une fois dans sa vie, elle est avec un mec bien. Avec un homme qui pense aux autres avannt sa petite personne, qui n’a pas peur d’être tendre et généreux sans pour autant pensé faire le faible. Il le fait avec une belle force, un sourire éclatant, et une grâce incomparable. « C’est un peu le mec parfait maintenant que j’y pense. Pour le moment, je ne lui vois aucuns défauts. Ce qui est rare chez moi. » Parce qu’elle est critique, juge très vite et n’hésite pas à le dire s’il le faut. Milo en a fait les frais, elle le sait bien. Elle se fait juge et bourreau très souvent, comme avec cette foutue Gabriella je ne sais quoi qui se croit princesse alors qu’elle n’est qu’une roturière. Mais la conversation dévie sur les vacances. Les désastreuses vacances d’Alexandra surtout. Elle lui confie tout. La crise de Milo, le Noël gâché, le Nouvel An magnifique qui tourne au cauchemar dès le lendemain. Elle se sent utilisée, c’est simple. Manipuler jusqu’à la fin et sans pouvoir y faire quoi que ce soit. « Dans le froid glacial de la Russie, je pense que j’aurais totalement ma place. Et puis, Iorek pourra gambader tranquillement dans la neige. Hein mon beau. » dit-elle tout en ébouriffant sa belle fourrure immaculée. « Et tu n’as pas à être désolée. C’est pas toi qui a joué avec moi comme une marionnette. » Elle pose sa main sur celle de la russe sur son épaule, souriant faiblement. « Ou moi un peu trop fleur bleue. J’ai une capacité à attirer les mauvais garçons. » Oksanna sait de quoi elle parle. Alexandra n’a pas un si grand tableau de chasse, mais les hommes qu’elle a fréquenté sont assez particulier tout de même. Melchior est le seul mec normal qu’elle a dans son entourage en ce moment. « Je crois que oui. J’ai hâte. Je pourrais souffler un peu avec les examens. J’ai l’impression d’être noyé par eux depuis mon retour. » Elle lève la tête au ciel, roulant des yeux. Elle n’en peux vraiment plus mais bon il faut passer par là pour accéder au succès. « Oh et en plus, je suis fiancée à ce bel Hadès. Quelle torture ! Je ne peux même pas m’afficher avec un mec si j’en ai envie. T’imagines ? » Elle est offusquée, révoltée, mais ne peut pas y faire grand-chose. « Je suis sûr que Melchior est au courant, c’est dans tous les journaux. Je ne veux pas qu’il pense que je suis le genre de fille qui coure après les mecs. »

Spoiler:

« Arrête, je suis quelqu’un de très souriant. » Bon, peut-être pas depuis quelques temps, mais Alexandra avait toujours le sourire au lèvre avant. Une joie de vivre contagieuse, et une lumière intérieure que l’on trouve rarement autre part. « C’est plus la partie chant que tu aurais du relever, fausse meilleure amie. Je chante comme une casserole qu’on lance sur un chat enragé. » Une vraie horreur. Mais une horreur dont elle est fière et qu’elle assume complètement. Alexandra se souvenait encore quand elle et Oksanna chantaient dans sa chambre au palais. Les majordomes mettaient des boules quies jusqu’à ce qu’elles aient fini leur massacre des plus grands classiques. Et ça durait du matin jusqu’au soir. Et c’était pire lorsqu’elles mettaient leur jeu de karaoké et qu’Ariel se joignait à elles. Trois voix aussi horribles les unes que les autres. Mais en voyant le sourire d’Oksanna quand Alexandra lui parlait de Melchior et de leur journée parfaite, l’anglaise était bien contente de chanter comme une casserole si ça pouvait faire rire sa russe préférée. « Maybe. En tout cas, c’est un parfait gentleman, tu n’as pas à t’inquiéter pour ça. » Il avait tout de parfait le Quincy. Que ce soit son apparence soigné mais pas trop, son rire adorable qui faisait fondre et sa carrure protectrice, mais aussi son coeur immense qui le rendait si attachant, il était parfait sous bien des angles. « Pour une fois que tu pourrais accepter un de mes mecs. » Parce que à part son propre frère, Oksanna n’a jamais aimé les hommes de la vie de l’anglaise. A commencer par Ben. Mais elle avait de bonnes raisons vu la fin tragique de leur histoire et les conséquences de ces quelques années de bonheur mensonger. Mais l’inverse était de même. Misha n’a jamais eut son approbation et jusqu’à maintenant, elle ne pouvait pas voir la tête du russe en photo sans vouloir lui arracher ses cheveux un part un et le jeter dans la fosse aux loups. Les vacances et leur tragique déroulement furent alors évoqués. Enfin, tragique que pour la princesse car Oksanna avait renoué avec sa famille et c’était une très bonne nouvelle. Alexandra faisait presque partie de la famille des Petrov d’ailleurs car elle passait autant de temps en Russie dans la demeure des Petrov qu’Oksanna dans la demeure des Windsor en Angleterre. « On a une autre sorte de malédiction nous. Celle d’une grand-mère qui contrôle ta vie dans les moindres détails. » répondit-elle avec un sourire jaune. Mais il est vrai que les russes ont connus leur lot de mort et d’attaques contre chaque membre de la famille. Alex avait eut peur de ne jamais revoir la jolie blonde lorsqu’elle est partie pour les vacances de Noël mais au final, tout est bien qui finit bien pour le moment. « Très bonne résolution. » Résolution qu’elles auraient du prendre depuis un très long moment, mais la vie en a décidé autrement. Elles ont le droit d’être heureuse, mais ce bonheur ne cesse de leur être refusé à mesure qu’elles grandissent et ont soif de liberté. Liberté qu’Alexandra n’a plus vraiment à cause de la bague au doigt que sa mère lui a imposé en la fiançant au prince de Belgique, Hadès. « Non mais j’en reviens toujours pas et ça va faire bientôt deux mois. Pas étonnant que Milo ait fuit. » Hadès et elle faisaient tout pour annuler le contrat, mais les avocats belges et anglais ont fait un contrat en béton que seul le meilleur du meilleur pourra briser. Pour le moment, ils se pliaient aux règles avec une patiente incompréhensible. De plus, Lisa-Rose, la pseudo copine d’Hadès s’est barrée alors l’ambiance est tendu chez les belges. « Pas encore. J’ai peur de le faire fuir. » Melchior ne sait rien de ce mariage arrangé. Ou alors, si, mais par les journaux. Pourtant, après leur rendez-vous au restaurant, elle aurait pensé que la question serait venue sur le tapis, mais non. Ils ont passé une trop bonne journée pour penser à ça. « Tu vas venir rejoindre l’équipe de briseur de mariage alors. Hadès, Abélard, Ariana et moi, on essaye désespérément de chercher un moyen de le briser mais c’est peine perdue pour le moment. » En parlant de peine perdu, un certain vice président devait être évoqué. « Au fait, t’as des nouvelles de Cole ? »

Elles rient, sourient, se promènent en ne pensant à rien d’autres qu’à leur petite vie qui revient dans la norme qu’elles ont fuis durant toutes leurs vies. Alexandra a le sourire jusqu’aux oreilles, le rire facile et serait prête à se tenir les côtes si Oksanna continuait à la charier ainsi. Mais c’est un jour où elles pensent à elle avant de penser aux hommes qui les ont brisé, et ça, c’est magnifique. Pour une fois, elles ne vont pas finir en larmes dans les bras l’une de l’autre à se demander comment demain sera. A se demander si elles auront la force de se lever afin d’affronter une journée d’inconnue. Alexandra avait été ainsi toute la première semaine de l’année, et là, elle s’était levée avec un léger sourire, pensant à celui qui l’avait fait rire aux éclats et émues aux larmes quelques jours auparavant. « Oui, un de mes mecs. J’ai eut des aventures tu sais. Genre, Abélard, Tate, Cole. Je suis populaire auprès de la gente masculine. » qu’elle répond avec un regard en coin en soulevant l’épaule, l’air de rien. Petite effrontée qu’elle est. Libre de ses actions et de son corps. Elle aurait pu rejoindre un club de féministe si son statut le lui permettait. Mais il faut garder les pieds sur Terre. Elle n’a pas la carrure, n’a pas autant de courage. Elle veut vivre sa vie, mais en même temps, ne veut pas faire quelque chose qui nuirait à son pays. Alors, pour le moment, elle marche droit, trébuche quelques fois, fait la rebelle, mais revient dans le droit chemin par la suite. Chose dont Milo a été victime à cause du mariage imminent d’Alex et Hadès. Mais comme dit Oksanna, il ne la méritait pas. Si il voulait être avec elle, il se serait battue pour elle, et n’aurait pas fuit comme un lâche. Ses paroles lèvent un poids des épaules de la jeune femme, la libérant d’une culpabilité dont elle ne pensait même pas avoir. « Tu as raison. » Elle prend la main d’Oksanna et la serre, consciente que quoiqu’il se passe, la jolie blonde sera toujours à ses côtés. Et elle espère que Melchior aussi. « Je lui dirais, le plus vite possible. Genre, avant le second rendez vous comme ça, on pose les bases directement. » Mais les mots de la russe avait réconforté le coeur de l’anglaise et s’est avec ce baume au coeur qu’elle allait parler à Melchior et lui dire la vérité. Elle avait envie pour une fois d’être heureuse en amour, d’être avec une bonne personne, une personne qui pensait autant à elle qu’elle ne pensait à lui. Qui ne piquait pas des crises de jalousie quand elle traînait avec des amis alors qu’il se tapait la moitié de Boston. Qui était gentil, en toute circonstance et pas seulement quand il voulait avoir sa part du gâteau. Si bien que l’opération briseur de mariage, Oksanna voulait y faire partie après la proposition d’Alexandra. « Bon dieu, avec autant de personnes sur le coup, il sera fini avant même de commencer. » dit la princesse en riant un peu. Mais autant sa vie commençait à redevenir un peu normal, celle de certains amis avaient basculé. Cole et sa paranoïa qui avait fait pas mal de dégats. « J’ai appris qu’il était entré à l’hôpital. J’irais le voir quand il ira mieux. Ce petit idiot me manque pas mal quand même au final. » Cole et son franc parler, sa classe et son charisme sont incomparable alors apprendre qu’il était malade avait à la fois étonné l’anglaise et en même temps non. Elle étudie la médecine, et de nombreuses maladies sont la cause d’un changement de personnalité, de paranoïa et de terreurs que peu de personnes ne voit comme quelque chose de physique au lieu de mental. « Il a une force qu’on ne soupçonne pas. Et je pense qu’il aura plus de soutient qu’on peut le croire. Même si c’est un idiot fini, il n’est pas odieux avec tout le monde non plus. On a bien couché ensemble, c’est qu’il y a une raison, non ? » Oups, ça Oksa n’était pas censé le savoir.