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this is a war zone + Elizabeth

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Elle arriva enfin à l'étage de son appartement tout en tenant dans ses bras le grand sac brun qui contenait son épicerie. Elle est idiote de ne pas avoir accepté l'aide si gentiment proposé par la sécurité de l'immeuble. Puisqu'il y avait un ascenseur, elle s'était dit qu'elle y arrivera sans problème, mais ses bras n'avaient pas vraiment la capacité de tenir un poids aussi lourd durant ce laps de temps. Elle se sermonnait elle-même de n'être pas retourné à la gym durant les fêtes, l'appel des plats concocter par sa mère lui avait été trop irrésistible. Bien que le sac était imposant, elle ne voyait pas qu'est-ce qui pouvait se retrouver dans son chemin, donc, ne pouvait pas éviter le pinceau laisser en plein chemin. En marchant dessus, son pied glissa et ce qui devait arriver, arriva. Atterrissant fesse première au sol, la douleur aiguë lui fit lâcher le sac et tous les items s'éparpillèrent sur le plancher. « Fait chier. » elle massa la zone endoloris tout en regardant autour d'elle pour savoir qui est la cause de sa chute. Apercevant le pinceau rouler vers elle, Riley n'avait aucun doute sur l'identité du coupable. Elle se leva précipitamment et cogna avec rage à la porte d'Elizabeth. Quand il ouvrit, elle lui balança à la gueule l'objet. « On t'as pas appris à ramasser derrière soi ?! Regarde ce que tu as fait » lui dit-elle folle de rage en pointant ses courses éparpiller parterre.
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Après des vacances passées à Washington pour permettre à la famille Parrish de se réunir à l'occasion des fêtes de fin d'année, Elizabeth goûtait à nouveau à la joie de retrouver sa vie. Il avait cessé il y a des années de se sentir chez lui dans la maison qui l'avait pourtant vu grandir, lui trouvant désormais bien plus des airs de musée que de véritable foyer. Son appartement (dont la surface totale ne devait pas égaler un vingtième de celle de la demeure familiale des Parrish) ne lui en apparaissait que plus délicieusement familier et confortable après des jours passés à Washington. Il y avait quelque chose d'extraordinairement doux et apaisant dans le fait de retrouver son petit chez-lui et il se délectait de ce sentiment. Il se trouvait sur son canapés, son ordinateur portable posé en équilibre précaire sur ses genoux lorsque quelqu'un frappa avec empressement contre sa porte. Fronçant les sourcils (il n'attendait personne et la nervosité des coups ne lui disait rien qui vaille), il referma l'ordinateur, le laissant choisir sur un coussin en fausse fourrure avant de se lever. Il craignait de voir sa porte défoncée, s'il se faisait trop attendre. Il avait à peine entrouvert la porte qu'il se pris un pinceau en pleine figure. Laissant ce dernier tomber sur le sol de l'appartement sans lui accorder le moindre regard, il préféra en fusiller sa voisine qui avait à cet instant-là l'air d'une véritable furie (en fait, non, elle avait toujours cette allure). « On t'as pas appris à ramasser derrière soi ?! Regarde ce que tu as fait » suivant son regard, Parrish observa rapidement le sol couvert de courses, une petite étincelle moqueuse s'allumant dans ses yeux bleus. Lorsqu'il ouvrit la bouche pour s'exprimer, il y avait dans son ton un air à la fois hautain et moqueur dont il se doutait qu'il allait encore plus mettre le feu en poudre. « Ta maladresse n'a d'égale que ton incapacité à t'exprimer calmement » si elle pensait qu'il allait se sentir coupable, elle se fourrait le doigt dans l'oeil. Dans d'autres conditions, il lui aurait semblé normal de s'excuser et il l'aurait fait tout naturellement, sans même qu'on ne le lui demande, mais Riley lui tapait sur les nerfs de façon prodigieuse. Et puis, elle n'était pas blessée, elle n'avait rien. Non, c'était juste une énième bataille dans la guerre qui se jouait entre eux depuis qu'ils avaient commencé à partager le même pallier.
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