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 Cole Widingham débordé. On était début janvier 2016 et ça faisait une semaine que j’étais à Harvard, et je n’avais pas le temps de m’ennuyer… Pas que je sois dépassé par mes cours, non, mon intelligence innée faisait tout, assister aux cours étaient presque une option pour un étudiant aussi brillant que moi, Harvard avait vraiment de la chance de mon compter sur les bancs de ses élèves désormais. Non, ce n’était pas cela qui me prenait tout mon temps mais plutôt les révélations que ma sœur m’avait fait à peine avais-je atterri sur le sol américain. Ma jumelle m’avait en effet appris toutes les horreurs que ce cher Forbes, étudiant également entre les murs de la prestigieuse faculté, lui avait fait endurer… Et depuis, c’était devenu MA priorité : faire de la vie de ce bâtard de Wade un enfer, et ce par n’importe quel moyen. Voilà donc ce qui occupait toutes mes pensées, pas mal de mon temps libre aussi puisque cela impliquait de me renseigner sur le garçon, sa confrérie, ses fréquentations, de qui il était proche, de manigancer contre lui et de trouver les failles qui me permettraient de chambouler son existence. Chronophage tout ça, surtout que je devais dans un même temps m’acclimater à Boston, réaliser mon bizutage à la Eliot, même si vu la sulfureuse bizutrice entre les mains de qui Victoria m’avait confié, cette étape qui me rebutait tant allait sûrement être un vrai plaisir, et puis il fallait que je me fasse à l’Amérique et aux américaines… Ou que je me fasse des américaines, cela pouvait marcher aussi dit ainsi. Mais fallait croire qu’inconsciemment, je souffrais du mal du pays puisqu’aujourd’hui, mes pas me menèrent tout droit vers une anglaise. La tête ailleurs, marchant d’un pas pressé sur le campus en direction du parking où ma Rolls et mon chauffeur devaient m’attendre, téléphone en main et yeux rivés sur l’écran, surfant sur les réseaux sociaux en quête d’infos supplémentaires sur Wade, je ne vis pas la brunette qui fonçait tête baissée et arrivait sur ma droite. Le choc m’en fit lâcher mon portable qui s’écrasa au sol et bingo je commençai à pester, avec mon air outré, sourcils froncés, humeur massacrante : « C’est pas vrai ça ! » m’énervai-je d’abord mon regard se posant sur l’appareil en morceaux sur le bitume avant de me tourner vers l’inconnu avec qui je venais de me télescoper en continuant sur le même ton d’abord : « Tu pourrais pas… » Blocage. Ce n’était pas un étudiant lambda. C’était une petite brune canon, incroyablement sexy, qui eut l’effet magique de faire aussitôt s’effacer mon air ronchon. Mon ton changea également d’un coup, alors que ma fin de phrase ne fut pas celle initialement prévue : « …Tu ne pourrais pas me faire du rentre dedans de manière plus plaisante ? » Je me fis taquin, ma voix se teintant d’ironie alors. L’effet Lucky… Et ça ne faisait que commencer.  
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La journée interminable que j'ai envie de finir et que je prolonge moi-même par obligation. C'est le genre de jour où nous sommes de mauvaise foi, désagréable avec tout le monde et où la moindre petite chose peu nous contrarier. En réalité, je commence la journée avec un gros problème, mais ce qui me met vraiment à bout de nerfs ce sont les choses comme les cris d'un supérieur d'une salle voisine. Ce que j'aimerais maintenant c'est que quelqu'un comme ça spontanément me fasse un gros câlin sans rien ajouter. Je me lève trente minutes plus tard sous la voix hurlante d'un de mes professeurs face au travail que je refuse de faire. Excédée par ce connard, je décide de prendre une pause. En ignorant ses menaces, je glisse dans mon sac mes affaires, puis, je me lève en lui lançant un bref regard noir avant de quitter la salle. Voici ce que j'appelle un début de journée merdique. Marchant dans les couloirs, la tête baissée sur mon ipod, écouteurs dans les oreilles, je tentais de choisir une musique, mais face à l'objet qui bug soudainement, je grogne en ignorant la personne qui fonçait droit sur moi. Ce fut la bousculade de trop, la goutte qui débordait le vase et mon ipod qui s'écrasait au sol. Prise d'une colère noire, je m'accroupis vers l'objet à moitié brisé. « Bordel, mais t'es aveugle ou quoi ma parole  !. » Ignorant les propos de l'homme en question puisque c'était une voix masculine, je continue sur ma lancée. « Trouduc va  !. » Que je pestais en ramassant mon ipod et en me relevant. « Je te préviens tu.... » Bug total, je crois que je viens de faire pire que mon Ipod. Yeux dans yeux, je suis comme pétrifiée. « Je retire ce que je viens de dire... » Un sourire s'étend sur mes lèvres. Qu'il est canon ce mec. Je ne l'avais jamais croisé ici, sinon je crois que j'en aurais déjà fait mon quatre heures. « Je n'fais pas du rentre dedans de manière plus plaisante aux inconnus. » Rangeant l'objet, je croise mes bras contre ma poitrine en laissant mon regard le détailler de la tête aux pieds. « T'es nouveau  ? Un costard  qui plus est  ? T'es sûre d'avoir la bonne tenue  ?. » Même s'il est super canon, je ne peux m'empêcher de faire ma petite peste, pourtant, je ne suis pas plus haute que trois pommes. Quoi que ce costume lui va très bien pardi.
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D’abord je rageai, ensuite… Je ravalai mes propos. La demoiselle semblait d’abord aussi en pétard que toi, me traitant d’aveugle, s’énervant en me qualifiant de trouduc avant de croiser mon regard en se relevant, et d’elle même retirer ses mots. Mes prunelles la détaillèrent un peu plus alors qu’elle se redressait, j’avais modifié la fin de ma phrase, initialement prévue pour être une réflexion désagréable et qui se termina tout compte fait en taquinerie plus chaleureuse, presqu’une invitation au flirt, tout comme les regards assez explicites que je pouvais lui lancer. Elle répliqua alors qu’elle n’était pas du genre à pratiquer le rentre dedans plaisant avec les inconnus. « Va falloir qu’on apprenne à se connaître très vite alors… » Sourire salace alors que mes pensées s'enflammaient sauf que mon esprit se calma bien vite. En effet, ses yeux m’analysèrent un instant, de haut en bas, et elle reprit la parole, mettant l’accent sur ma tenue d'une manière piquante. « Je suis arrivé il y a une semaine. Et ce n’est pas parce que les américains ne savent pas s’habiller que ça doit être le cas de tous ceux qui viennent étudier ici… » soufflai-je alors, avec un petit ton vexé, ne supportant pas qu’on s’attaque au costard qui faisait office de tenue quotidienne pour m’habiller. Jamais sans mon costard, ou presque, c’était une règle d’or. Je lissais d’ailleurs les pans de ma veste avant d’ajuster nerveusement le nœud de ma cravate, levant le menton avec un petit air impérieux pour expliquer : « Ca, mademoiselle, ça s’appelle le charme à l’anglaise. » Après ce court échange, je n’avais pas encore deviné que la nationalité de mon interlocutrice était la même que la mienne, je pensais encore faire face à une étudiante du coin, ce qui aurait peut être excusé un peu son manque de délicatesse pour parler de mon allure…   
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Finalement, ma journée n'était peut-être pas si mauvaise que ça. Je dirais même que cet inconnu venait la rendre un peu plus jouissante. Les bras toujours croisés contre ma poitrine, je l'écoute me faire carrément du rentre dedans. « Ça marche toujours cette façon de faire du rentre dedans  ?. Je veux dire, elles se laissent vraiment berner aussi facilement  ?. » À l'observer, je l'imagine bon acteur et qui saurait parfaitement revêtir n'importe quel rôle pour séduire. Je passe rapidement ma langue sur ma lèvre supérieure, un geste qui traduit le fond de mes pensées, car je vais enfin pouvoir m'amuser. « Ne t'emballes pas aussi vite, rien ne me dit que je vais apprécier l'intérieur. L'extérieur est pas mal, mais je ne suis pas du genre à me stopper là. » Regard provocateur, je détaille son accoutrement très inhabituel pour un étudiant non  ? Mais original en même temps. Seulement, je ne compte pas le lui dire, je pense que ça flattera un peu trop son ego. Oui oui, je le sens bien à des kilomètres celui-là, car après tout, j'ai un bon flair. Pouffant de rire, je ne me contrôle pas face à son petit numéro de charme. J'ai côtoyé beaucoup d'hommes, mais des comme lui, je crois n'avoir encore jamais croisé et toute suite, le jeu devient plus intéressant. « Pour ta gouverne, je suis anglaise. » J'arque un sourcil et je laisse retomber mes bras le long de mon corps, puis dans un rire, je lui tends une main. « J'pense qu'avant de faire un numéro de charme, la courtoisie passe avant tout chez un anglais. Moi c'est Lucky. Lucky Elsa Burberry et tu es  ?. » Je suppose qu'il fera rapidement le rapprochement avec la célèbre marque et maison Burberry. J'attends avec impatience qu'il me serre la main, car je veux voir ce que ça va donner à ce niveau-là. Si au premier regard ça a fait un bug, je n'imagine pas ce que pourrait être le premier contact.
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 C’était limite même plus des sous entendus. C’était une invitation claire et nette à la débauche et la façon indécente avec laquelle je la regardais ne devait pas aider à cacher mes intentions perverses à son égard. « D’habitude ça marche plutôt bien… Même avec les petites résistantes dans ton genre… » Elle avait beau me regarder bras croisés et l’air sceptique, y’avait quelque chose dans ses yeux, une étincelle, la façon qu’elle avait de m’observer, un truc qui me faisait penser qu’elle était plus réceptive à mes avances que ce qu’elle voulait laisser paraître. Elle fit une réflexion sur mon costard, grave erreur : on attaquait pas un anglais sur sa tenue. Surtout quand cet anglais s’appelait Cole Smythe Wildingham. Vexé, piqué au vif, j’ajustais ma veste, mon nœud de cravate avec un air pincé en répliquant sur la classe à l’anglaise, visiblement absente chez les étudiants américains qui préféraient revêtir des sweat shirts à capuche, horribles et informes à l’effigie de leur faculté. Une mode qui me dépassait et que j’avais clairement pas adopté. Elle me stoppa, taquine, révélant qu’elle aimait l’extérieur, c’est à dire ce charme à l’anglais qui résidant dans mon costume, mais que pour l’intérieur elle demandait à voir. « Ca peut s’arranger très vite ça… » Ma voiture n’était pas loin, je l’embarquais quand elle voulait pour une petite virée dans l’hôtel le plus proche si elle voulait découvrir ce qui se cachait sous ces vêtements haut de gamme. Une révélation me fit alors perdre le fil de mes pensées salaces, dans lesquelles je m’imaginais déjà en train de la déshabiller. L’inconnue devant moi était anglaise. « Ca explique tout… » Le charme, la répartie, le charisme… Toutes ces qualités qu’avaient les gens de notre fière patrie. Chauvin le garçon, vous noterez. Deuxième surprise lorsqu’elle annonça son patronyme anglais, imposant des présentations avant toute chose. Elle laissa un –tu es- en suspend, tendant sa main vers moi. Mes doigts allèrent alors à la rencontre des siens, tout en lui faisant cette réponse : « …enchanté de te rencontrer. Lucky Elsa Burberry. » Le contact entre nos paumes était électrisant, et sans la lâcher du regard, sans retirer ma main de la sienne, faisant perdurer un peu cette connexion totale entre nous : tactile et visuelle, je poursuivis : « Cole Smythe Wildingham. » Un nom qui ne lui était surement pas étranger non plus, ayant une certaine notoriété en terres anglaises et étant donné que ma sœur jumelle était l’actuelle présidente Eliot. « La courtoisie anglaise me pousse à t’inviter prendre un verre… Pour me rattraper de t’avoir bousculée et parce que c’est toujours agréables de converser avec un autre expat’. »   
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Je lâche un rire non voulu sur sa remarque. Les résistantes dans mon genre ? On voit que monsieur était vraiment nouveau ici. « Qui te dit que j'suis du genre à résister ? Hum, j'te pardonne parce que t'es nouveau. Tu t'y feras très vite à ma réputation. » D'éternelle allumeuse. Je suis de celles qui ne se prennent pas la tête et si je trouve de la chair à mon goût, je me ferai un plaisir de le déguster. Mais à ce que je peux voir, il n'était pas si différent, je peux voir son regard qui m'invite carrément à une partie de jambes en l'air puisque j'ai le même regard à son encontre. Mais j'aime jouer avec la patience, j'aime faire languir. Plus je l'écoute parler, plus il me plaît et plus il me donne envie de le mettre dans mon lit. Lorsque nos mains s'enlacent amicalement, je ne peux m'empêcher de frissonner. J'ai comme l'impression qu'un feu d’artifice vient d'exploser dans mon corps. Tant j'en reste bouche bée et je n'ose même plus retirer ma main, voulant encore sentir cette sensation si... Étrange, mais si plaisante. Allô ici la terre, Lucky revient !. Je sors soudainement de mon état de choc en l'écoutant se présenter à son tour. « Enchantée, Cole Smythe Wildingham... Comme la présidente de la Eliot c'est ça ? » Donc j'imagine que ce sera un futur bleu ? J'ose espérer le contraire en tout cas. « Et moi ma courtoisie anglaise me demande de vérifier quelque chose avant d'accepter de te revoir. » Je l'attire vers une salle vide et je croise les bras. « Allez, baisse ton pantalon ! J'veux voir si la taille de ton pénis mérite que je te passe mon numéro. » Et en plus, j'étais sérieuse, je ne jugeais pas sur ça, mais ça me plaisait de jouer avec les nouveaux et surtout si ce sont des eliots. Je m'approche de lui pour défaire son pantalon et le descendre emportant son boxer au passage, sans son autorisation. « Ah ouai carrément... » Immobile face à son entre-jambe, je ne peux m'empêcher de sourire et de sortir un marqueur de mon sac. Drôle de façon de donner son numéro n'est-ce pas ?. Juste au-dessus de son membre, j'écris mon num. « S'il s'efface avant que tu retiennes, tant pis, cela voudrait dire que nous ne sommes pas faits pour finir dans le même lit. » Je range mon marqueur et le laisse remettre son pantalon, zieutant ma montre. « J'dois aller là. Au plaisir de te revoir... Cole. » Petit clin d'œil en rajustant mon sac sur l'épaule et quittant la salle en laissant le jeune homme se remettre de ses émotions, persuadée que nous nous reverrons.


Hj: j'ai pensé que clore le rp comme ça serait bien comme première rencontre. :giggle:
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Je l’avais cataloguée trop vite apparemment, puisque s’entendre qualifiée de résistance amusa grandement la jeune femme. « J’imagine que tu entendras très vite parler de la mienne… » L’homme qui croyait davantage aux coups de reins qu’aux coups de foudre. Si à Oxford, Cole SW était synonyme de serial baiseur, ici à Harvard, on ne m’avait pas encore collé cette étiquette. Mais les réputations se faisaient et se défaisaient très vite alors ce n’était qu’une question de temps. Peut être que la brunette m’aiderait à consolider la mienne. Et puis une Burberry en plus, le collectionneur de jolies prises que je suis la voulait aussitôt sur son tableau de chasse. Nos doigts restèrent un instant connectés, tout comme nos regards, comme si nos corps s’appelaient mutuellement là où nos esprits nous poussaient encore à nous tenir, nous maintenant sur la réserve. Il se passait quelque chose clairement… Et puis, on reprit le fil des présentations, l’air de rien, chacun de nous s’appliquant à faire comme si il n’avait pas ressenti cette électricité qui avait circulé à travers nos paumes. « Tu peux aussi dire comme le futur président Eliot de l'an prochain. » J’annonçais la couleur, j’annonçais mes ambitions : passer cette fichue étape du bizutage que m’imposait ma frangine et puis monter, monter, monter et finir à la tête de la confrérie. Ca aurait été peut être le moment de me montrer moins prétentieux, quand on savait qu’à la fin c’était ma demi sœur qui présiderait et que je ne serais que le numéro deux à la EH. Je notai un léger changement chez mon interlocutrice lorsque je parlais de la célèbre confrérie bleue. « Quoi ? Il y a un problème ? » Je ne pouvais pas savoir moi, pas encore très coutumier de cette étrange querelle qui animait le campus entre les deux rivaux de toujours de la fac. Pourtant, j’allais vite l’apprendre, la connaître, la vivre cette guerre mather/eliot. Surtout quand j’allais savoir que c’était l’étendard de mon guignol de demi frère. Pour le moment, elle m’embarqua dans une salle de classe vide et un petit air ravi s’afficha sur mes traits, me réjouissant déjà, et trop vite, de ce que j’imaginais pouvoir obtenir d’elle dans cette salle… Sauf que ce n’était pas une étreinte passionnée qui m’attendait, mais son numéro et elle annonça la couleur : je devais déballer la marchandise avant. « Tu déco… » Pas le temps de finir c’était elle même chargée de mon pantalon et de mon boxer au passage. Elle eut un commentaire flatteur auquel je répliquai avec un sourire en coin : « Et encore, tu ne l’as pas vu en action… » Et elle était sérieuse là avec son marqueur ? J’avais la peau sensible moi, surtout à cet endroit là… Je devais vraiment avoir envie d’elle pour la laisser apposer l’encre sur moi à cet instant précis. Prions pour que je fasse pas une réaction allergique. C’était que j’avais un rencard moi ce soir. Il fallait que ça s’efface d’ailleurs, parce qu’elle risquait de mal réagir, ma future conquête de la nuit en découvrant le numéro d’une autre à cet endroit très stratégique. Je remontais ensuite mon pantalon en commentant : « T’es toujours comme ça Lucky ? » Elle semblait vouloir remettre les clés d’une potentielle future rencontre simplement sur ça, l’hypothèse que les chiffres n’allaient pas s’atténuer sur ma peau. « Je ne suis pas trop fan des jeux du destin et autre théorie du genre… » Mais miss Burberry était pressée et m’annonçai qu’elle devait partir, me saluant sur un clin d’œil, me plantant là, dans cette salle, comme un con, la braguette même pas refermée encore… Alors là, celle là, je la voulais à tout prix. Ce fichu marqueur avait intérêt à tenir la route…   
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