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Confidence sur confidence [Pv Nienke]

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Bruno se trouvait dans la dunster house et ne voulait pas partir en cours aujourd'hui. Non loin l'idée de sécher les cours aujourd'hui, mais il avait un souci de taille. Sous peu, il allait devoir transmettre une lettre à ses parents en suède afin de leur dire qui était sa petite-amie et la leur présenter. Le hic dans cette histoire, c'est qu'il n'en avait pas. Il avait pourtant eu plus de huit ans pour en trouver une. Et maintenant qu'il était dans sa dernière année, il devait absolument s'en trouver une. Seulement, bien qu'il aurait pu coucher avec n'importe qui pendant quelques mois, il s'y était refuser par principe. Selon ses principes, une femme, quelque soit son âge, mérite un respect profond pour ce qu'elle est et des égards. Bien entendu, cela devait être réciproque.

Ayant pris soin de se doucher avant et de s'habiller, Bruno avait décidé de se rendre dans la salle commune avec un peignoir par dessus ses vêtements. Son mode feignant était bien là et puis, le peignoir le tenait bien au chaud aussi. Ce qui n'était pas négligeable selon lui. Bien entendu, il aurait du ne plus être en peignoir, mais bizarrement, il se sentait bien. Sortant la lettre de ses parents qu'il avait mit au préalable dans sa poche de son peignoir, Bruno la relisait encore et encore avant de soupirer un bon coup. Décidément, ses parents l'étonnait toujours. Il voulait qu'il se trouve une petite-amie afin de la tester et voir si ce serait une reine convenable pour la Suède.

Bruno ne les comprenait vraiment pas. Certes, ils voulaient le bien du pays, mais ne pouvait-il simplement pas vouloir son bonheur au détriment de celui du peuple rien que pour une fois. Bruno savait pourtant que sa venue à Harvard était plus ou moins pour lui donner une chance. Cependant, il ne l'avait compris que bien trop tardivement. Toutefois, grâce à cela, il s'était forgé un bon caractère. Et il souhaitait de continuer à s'affirmer en suivant cette voie. Malheureusement, il stagnait un peu et n'y arrivait pas. Bruno devait trouver le déclic qui lui permettrait d'aller sur le prochain palier et de continuer sa route qu'il se traçait.

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Milan. Je ne fais que rêver de lui depuis des semaines. C'est impossible, douloureux, et chaque cauchemar retire un morceau de mon cœur. Je ne sais pas ce qu'il est devenu, il ne répond pas à mes messages, rien. Il a disparu du campus, disparu de ma vie sans explication. Ça me fait mal, affreusement mal. Et je crois que j'ai fait une erreur hier soir. Dans ce bar en ville, un bouquin à la main, il y a ce beau garçon qui m'a proposé un joint. Ma main s'est tendu vers la clope améliorée et j'ai testé. L'alcool aidant, les autres substances illicites flottant dans mon sang, j'ai craqué. Et on a couché ensemble. Je voyais le visage de mon magicien, je le voyais lui dans cette ruelle. Et forcément, ce matin, j'ai mal à la tête. Impossible d'aller en cours avec la gueule de bois. Je prends une douche rapidement et saute dans une robe noire à manche courte, celle qui est confortable, avec mes gros chaussons à tête de rennes que j'ai eu pour Noël par ma petite sœur. Quand je passe devant le grand miroir dans le couloir, j'ai peine à me reconnaître. J'ai les traits tirés, de belles cernes, les cheveux mouillés en bataille. Je ne ressemble strictement à rien. J'ai besoin d'un café et de m'affaler dans le canapé pour la journée, peut-être me plonger dans un livre pour me changer les idées. Et quand j'arrive dans le hall, je vois que ma place est déjà prise par Bruno. Lui... ça ne pouvait pas être mieux, ou pas être pire je ne sais pas. On se connaît depuis tout petit, il a toujours été présent pour moi, on s'est soutenu. Et là, je ne sais pas si j'ai envie qu'il me voit dans un état pareil. Je vois la lettre qu'il tient fermement. Ses parents sûrement. Je m'avance en tenant ma tête, elle me paraît tellement lourde. Je m'assois prêt de lui, pose un baiser sur sa joue. Je m'enfonce dans le canapé, la tête en arrière avant de parler. « Tes parents t'ennuient ? » J'ai une haleine à tuer, j'aurais dû me laver les dents c'est certain. Je bois une gorgée de café pour avaler un doliprane avant de poser la tasse sur la table basse. Il a l'air vraiment préoccupée.
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Bruno ne se rendait pas compte que Nienke arrivait. Il était beaucoup trop concentré sur les dires de ses parents pour s'en préoccuper et à vrai dire, cela ne le dérangeait pas trop. Il la connaissait et elle, le connaissait. Donc bon. Si elle souhaitait venir, il n'en ferait rien. Elle était une bonne amie pour lui et il la trouvait charmante. Jamais il ne tenterait quoi que ce soit et jamais cela ne lui est venu à l'idée.

Tout en continuant de réfléchir à la façon de régler ce souci de famille, il ressenti un poids s'asseoir à côté de lui et il se tournait un peu pour voir Nienke à ses côtés. Elle lui faisait par ailleurs un baiser sur la joue qui eut pour effet de le faire rougir assez fortement. Bien qu'il soit habituer à parler et interagir avec des femmes via son métier à mi-temps en tant que coach de fitness dans une salle, il n'en restait pas moins une personne assez timide qui a du mal avec ce genre de contact. Surtout venant de ses amies. Un geste de ce genre pouvait lui faire imaginer tout un tas de chose et tout tournait dans sa tête à une vitesse affolante. Toutefois, il n'en faisait nullement mention à aucun moment.

Il avait bien senti son haleine, mais il n'en disait rien pour le moment. La raison étant qu'elle ne voulait peut-être pas en parler. Bien qu'il ne fumait jamais, il avait déjà senti les différentes odeurs et pouvait en reconnaitre, surtout celle du cannabis qui se distinguait. " Et bien oui, je le suis. J'ai mis du temps à comprendre certaines choses et je n'ai jamais voulu y prêter attention avant. Mes parents veulent que je ramène au prochain rendez-vous ma petite-amie. Le souci est que j'en ai jamais eu et que si j'en ai pas, ce sera un mariage politique arrangé".

Bruno la prit alors contre lui et la calinait légèrement en lui massant le haut de son bras. " Et toi, qu'est ce qui t'arrive ?" Bruno lui posait juste la question au cas où elle souhaiterait en parler. Si elle ne le souhaitait en parler et bien soit.
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