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we used to rule the world ✩ lucas

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Y avait rien à comprendre, rien à saisir, rien à expliquer. C’est l’hiver, il fait froid, noël est passer, la nouvelle année aussi, on essaie de chopper les bonnes résolutions, se dire que cette fois-ci on ne va pas tout foirée. Ce donner bonne conscience, un nouveau départ pour une nouvelle année. Cette fois-ci on va faire les choses bien, promet le à toi-même, dit toi  qu’y a encore de l’espoir. Y avait rien à expliquer, c’est mardi matin, tout le monde reprend sa routine, t’es à New York, tu traine, tu glandes, tu sais ce que tu veux, tu sais ou le trouver, mais t’ose pas, tu tourne en rond, tu fais trois fois le tour du pater de maison. Tu sais ce que tu aimerais faire, ce que tu aimerais dire, mais ses mots si compliquer reste scotcher sous ta langue, incapable de sortir. Alors tu fonce dans le tas, d’entre dans le studio. Tu sais ou le trouver, ce qu’il fait, comment il est. Tu l’as vu, plusieurs fois, sans oser lui parler. Des mois passer à l’effleurer sans jamais le percuter, tu t’es dit : c’est mieux comme ça, mais mieux pour qui ? tu t’es laisser bercer par l’idée que sa vie serais mieux sans toi, mais la tienne était bien fade depuis. Un livre écris à la va vite, l’université mis de côté, la galère des fins de mois, la maladie, toujours la même chose, toujours le même train train. Mais c’est 2017, tu peux changer, tu peux rallumer la flamme qui continue de palpité sans jamais s’embraser. Alors t’entre dans son studio, à lui, fait face à la femme de ménage qui te préviens tout de même qu’il est interdis de venir ici sans permission. Tu fais style de comprendre, d’être prudente, tes pas sont lent jusqu’à sa cabine. Puis tu restes devant, les murmures de sa guitare qui résonne contre la porte, le son s’arrête, un ingénieur du son sors et te salut poliment alors que tu te glisses doucement dans la cabine. « Hey. » les mains dans tes poches, un peu sur la traîne. « Happy New years buddy. » Alaska qu’est-ce que tu fou là ?


@Lucas J. Watson we used to rule the world ✩ lucas 1001568715
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Cambridge, mon dieu, c'est fou comme cette ville m'a étrangement manqué. Il y a quelques mois, je l'ai quitté pour partir à New-York avec Alaska, laissant derrière moi Asia et tout mes amis. Oui, j'ai fait le con, j'ai abandonné Asia même si nous n'étions pas à 100% un couple. Je m'étais tout de même attaché à elle, mais il faut croire que mon cœur n'en a qu'une en tête. Granger. Elle aussi je l'ai quitté, enfin, on a mit fin à notre relation encore une fois. J'étais perdu à tout les niveaux, j'avais besoin d'être seul. Aujourd'hui, alors que je suis de retour, je sais seulement deux choses : je reprend mes études, et je me cherche un groupe. Je suis d'ailleurs en studio, à faire passer un casting à plusieurs jeunes de la ville. Honnêtement ? J'ai envie de pleurer en voyant le temps que je perd.

Bref, mon petit carnet de note entre les mains, je les écoute, saigne des oreilles, espérant voir la fin de cette journée au plus vite. Watson, on va faire une pause d'accord ?, bon dieu, parfois, mon manager -oui un nouveau- a de bonnes idées parfois. Me retrouvant seule dans le studio, j'attrape ma gratte, jouant une mélodie qui me passe par la tête. Vapor. Sur le coup, je ne m'en rend même pas compte. J'ai tellement joué cet air de nombreuse fois, qu'au final, il me vient naturellement. Soudain, une fois familière retentit dans l'enceinte du studio. ALASKA ?, je hurle machinalement, arrêtant de suite le son de ma guitare, me rendant enfin compte de l'air que je jouer. Qu'est-ce que....que...tu fais là ?, je lui demande, me levant puis tombant en me mélangeant les pieds dans ma chaise.
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La musique ralentis doucement, tu reconnais les accords de Vapor, murmure quelques paroles sans faire sortir de son de ta bouche avant de te décidée à l’interrompre. Il hurle sur le coup, ne se rendant pas compte du son qu’il doit faire avait le casque géant sur son crane. Tu lâche un rire quand il se redresse et retombe aussi tôt, qu’elle boulet alors. Les joues un peu rose à cause du froid, tu déroule l’énorme écharpe qui protège ton cou et poses ton sac pour ouvrir un peu plus la porte de la cabine et l’aider à se relever. « T’es vraiment un boulet, Watson. » dis-tu en l’aidant à se relever. Bon y avait pas mal de bordel par terre, ça se comprenais, tout les fils de tout les instruments se mélanger entre eux, comme une cage de vivarium remplis de serpent rampant. Qu’est-ce que tu fais là, Alaska ? Tu hausses les épaules. « Je sais pas, je passait pas là et.. Je voulais dire bonjour. » pas très honnête tout ça, mais tout le monde connais Granger et son honnêteté approximatif. Et tu te rappel que Alaska doit changer, que la nouvelle année dit nouveau départ, que si tu ne commences pas à être celle que tu veux être maintenant, tu ne le sera jamais, alors tu traines un peu des pieds entre les files pour évitée de tomber et te met assise sur un siège qui traîner entre le piano et les dizaines de micro éparpiller sur une table. « Pour être honnête je t’ai vu rentrée ici à plusieurs reprise depuis que je suis rentrée et j’voulais te voir. Pour te souhaité une bonne année et avoir de tes nouvelles. » c’est un peu mieux, beaucoup mieux même. Vous aviez quittez Cambridge en même temps, vous quittez pour les mêmes raisons, pensez l’un l’autre que la vie sans l’autre serait mieux, vous donnez un peu d’air et de temps pour réalisé vos projets. Et maintenant ? quatre mois après ? vous en êtes où ?
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J'ai toujours cette fâcheuse tendance à jouer cet air, même après un an. Ce n'est pas comme si j'en avais d'autres, une dizaine voir même une centaine. A croire que je l'ai toujours en tête, elle, Alaska. L'oublier, j'ai essayé plusieurs fois mais à chaque fois, je revenais vers elle. Je suis peut-être faible, ou bien peut-être trop amoureux. Mon premier vrai je t'aime, je lui ai dit dans un bain. C'était pas ce que j'avais prévu mais bon...Notre première fois dans un jacuzzi, pour le nouvel an et...Non, même aujourd'hui je n'arrive pas à l'oublier. En même temps, même en étant de retour en ville, je sens sa présence. Dans la rue, il m'arrive de la voir mais je l'évite. En cours, je ne porte pas trop mon attention sur elle, je lui souris mais évite toute conversation. Sauf que voilà, aujourd'hui, je dois lui faire face. Surpris par sa présence, j'en viens à tomber à terre, me mélangeant les pieds dans ma chaise et les câbles qui l'entour. Je jure comme un cochon, alors que sa voix se rapproche de moi. Merci du compliment !, je lui répond, attrapant sa main pour me relever. Je la questionne sur sa présence, mais à sa réponse, je croise les bras, haussant un sourcil pas très convaincu parce qu'elle me dit. Je la regarde alors s'asseoir et reprendre la parole, tandis que j'essaye de reprendre place sur ma chaise, essayant cette fois-ci de ne pas me casser la gueule. Tu m'espionne donc ?, je lui demande, amusé tout de même par cet aveux qui me touche. Je vais bien...enfin...j'essaye, je m'occupe pour ne pas trop penser à...certaines choses, comme nous, comme elle, ses yeux, ses cheveux, son corps, sa bouille d'hamster, ses lèvres que j'ai envie...woah stop Lucas ! Je secoue ma tête, reprenant la parole. Et toi, comment vas-tu ? Tu es de retour depuis longtemps ?, je la questionne, attrapant mon crayon que je fais tapoter à vive allure sur le bureau.
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« c’est tout à ton honneur. » tu lâches un rire avant de t’assoir. C’est vrai qu’habituellement les gaffes, c’est toi qui l’est fait, mais ça se choppe vite ce truc là, et ce soir c’est lucas qui sait pas tenir debout. Tu fais preuve d’honnêteté, toi qui aime préserver certaine chose pour ta personne, tu as décidée de faire preuve d’un peu d’honnêteté, un rire s’échappe de tes lèvres quand il te parle d’espionnage. « Tu devrais me connaître assez pour savoir que si je t’espionne ce serai à un tout autre niveau. » bah oui attend, on parle bien d’alaska granger la reine du piratage, la meuf qui arrive à réceptionner les messages d’un portable à un autre sans que la personne ne s’en rende compte. Et il a déjà été victime de ta jalousie abusive pour savoir ce que le vrai stalke représente. « à certaine chose ? » ces mots sorte de tes lèvres comme un murmure, tu n’es même pas sure qu’il t’entende, tu racle ta gorge pour parler plus clairement. « Et la musique ça avance ? j’ai vu que t’avais changer de manager. » non pas que Madisson que tu veille lancer le sujet madisson sur le tapis, ni le sujet est-ce que c’est encore ta meilleure amie ? est-ce que tu couches encore avec ? non pas du tout, juste parler de musique, de commerce, de comment ça s’en sors, sujet neutre pour une discussion neutre. « Je suis rentrée après le nouvel an, charline était à New York et elle avait des problèmes, comme d’hab. » on change pas les bonnes vielles habitudes.
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