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La soirée venait à peine de commencer et tu ne t'y sentais déjà pas à ta place. Ce n'était qu'un petit rassemblement d'étudiants en psycho, tous de ta promo, tu les connaissais, de vue du moins, pourtant tu te sentais comme à l'écart. L'alcool à flots, les rires sans retenue, tout ça, ce n'était pas vraiment ton monde. Oh tu voulais qu'il le soit, du moins pour toute la période où tu serais dans les murs d'Harvard, mais tu ne pouvais t'empêcher de corriger de ci de là quelques manières, ou de vouloir baisser la musique. En fait, c'était pas la psychologie qui avait besoin de toi, c'était toi qui avait besoin de la psychologie. Tu es seule au fond du bar, un petit établissement de Boston que tu ne connais que de nom, dans ta robe, que tu trouves horriblement courte à ton goût. Un petit bustier argenté prêté par une connaissance, abbatue par ta garde robe de none d'après elle. Entièrement faux, elles sont justes toutes noirs et descendant jusqu'aux chevilles. De vraies robes de soirées, que tu ne pouvait décemment pas porter pour ce genre de fêtes, ou le moindre verre pouvait faire des dégâts considérables. Soupirant, tes doigts pâles attrapent au vol un gobelet de tequila et tu parcours de ton regard glacé les gens autour de toi, tu les copies un peu, apprenant à te fondre dans la masse, du moins pour une nuit. Le goût âcre de l'alcool te fait grimacer et tu termines ton verre d'un coup, t'étourdissant pour quelques secondes. Tu ris légèrement, peut être le nectar te donnes t - il confiance ?  Les étudiants dansent, tu adores danser. Tu avances de quelques pas sur la piste, étonnée de ta propre audace, et sans plus d'avis tu commences à tournoyer, bouger les bras, te libérer un peu. Te libérer tellement que tu te cognes à quelque chose, ou plutôt, quelqu'un. Les joues rouges, tu lèves tes prunelles bleues vers celles, chocolat, d'un très charmant individu. Très, très charmant individu... Bégayant un « Excuse moi, je suis désolée, je ne t'avais pas vu... » tu libères tes épais cheveux blonds, histoire de cacher ton regard un peu trop brillant et tes joues carmin derrière un voile chaste. Chasteté qui disparaît quand tu les ramène sur tes oreilles afin de dégager ton visage. Tu es ridicule à être coincée comme ça et dans un élan de témérité que tu n'aurai jamais cru possible venant de ta part, tu demandes à nouveau au garçon au physique de manequins qui te fait face « Permets moi de t'offrir un verre, pour me faire pardonner ! » T'es à l'université, sans ta famille, ton carcan de perfection. Allez, lâche toi princesse...

@Kaleb Newman
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I catchaa u!
Bérénice & Kaleb
Ah ! S'il en est un dans les cieux qui ait jamais veillé sur toi, que devient-il en ce moment ? Il est assis devant un orgue ; ses ailes sont à demi ouvertes, ses mains étendues sur le clavier d'ivoire ; il commence un hymne éternel, l'hymne d'amour et d'immortel oubli.

   
Les fêtes de fin d’années donnent lieu à pas mal de soirées entre les confréries mais aussi avec les licences de chaque matière. La licence de Psychologie dont je fais partie a en effet organisé une soirée dans laquelle leurs étudiants sont invités dans un petit bar de Boston, tout simple et parfaitement à l’image de la profession qui analyse l’Homme. Tout est moins compliquer lorsqu’on n’oublie les notions et terme de la profession lorsque nous sommes dans un bar. Nous sommes les mêmes qu’en cours sauf que l’on se voit dans une circonstance autre que le sérieux que les cours nous y obligent. Des sourires se croisent de cette ambiance fêtarde que nous nous accordons. Il n’y a plus de confrérie ce soir, seulement des personnes ayant le même cursus qui passe et vont peut-être passer des moments plus que chaleureux ensemble, c’est ça la magie de la vie étudiante. Y trouver son âme sœur ou bien s’y trouver soi-même déjà. Tel est la question et la réponse n’est toujours pas donner même si on sort du cursus scolaire, la vie est un autre défi après tout, le défi de tout et rien. C’est comme ça que, petit à petit, chaque verrou que chacun s’offre pour garder le sérieux qu’il a, saute et laisse apparaître la personnalité de chacun comme il le veut sans réellement s’occuper du après, juste à profiter du moment présent, ainsi est la vie. Ma présence ici ne fait que raviver les souvenirs de mes débuts à Harvard et de mon université à San Francisco, Berkeley. Des soirées identiques voir plus folles, mais ce n’est que le début alors je ne vais pas me plaindre. Une veste noire, un haut blanc en V suivi d’un pantalon en chino noir qui suit, la seule couleur de mon t-shirt me sort de l’habituelle tenue de suite de corbillard. Une tenue simple mais qui a son effet vu la carrure athlétique que j’ai, le charme s’en ressort deux fois plus par cette simplicité qui me vaut les habituelles œillades que j’ignore. Je ne fais pas l’homme inaccessible et qui ne choisit que sa propre proie, je fais comme l’envie me vient tout simplement tout en suivant les préceptes qu’ont été mon éducation, même si pour vous avouer, je ne les suis pas tout le temps depuis que suis ici, tout est tellement.. fou quand on est dans une spirale étouffante que sont les études de psychologie. Un verre à la main, la vodka coca-cola a su délivrer un à un les verrous qui ne sont pas réellement présent chez moi, l’alcool n’est là que pour me faire oublier la rudesse des examens et la finalité de leur résultats s’ils sont mauvais, en d’autre terme : faire oublier la pression des résultats prochains. Le monde s’amuse et la soirée bat son plein et c’est dans la foule que m’a soirée commence. Une belle et douce blonde, le sourire aux lèvres l’euphorie brûlant ces joues me tombe dessus, du moins un carambolage en règle si l’on ose dire. Aucun blessé pour le coup, c’est parfait. Des excuses et.. une proposition ? Je ris doucement, rire couvert par la musique dans nos oreilles. Mon regard glisse doucement sur la blonde aux yeux clairs qui me semble si innocente et peut-être folle ou bien intelligente pour avoir trouvé ce stratagème pour pouvoir m’inviter à boire un verre. Peut-être, ou peut-être pas. Mon regard s’interroge sur cette personne avant de regarder son verre vide, puis le mien, bon, j’ai soif aussi. « Hmm.. Vu l’état de nos deux verres, il est sage d’accepter cette proposition en ce début de soirée mais il ne faudra pas en abuser pour m’aborder plusieurs fois, une fois suffit. Un verre à chaque fois que tu tenterais de me percuter ça ferait beaucoup pour le foie.Dis-je taquin, je sais bien qu’elle ne l’a pas fait exprès, cela se voit, mais pourquoi pas en jouerAllons-y alors très chère.. ? » Dis-je interrogatif alors que je glisse délicatement sa main dans la mienne et la tire hors de cette foule à la rencontre du comptoir, un signe de tête au barman pour lui dire de venir et voilà que je nous commande à boire. Je lui ai volé son rôle mais mon paternel me giflera pour laisser une dame me payer quelque chose à boire, la coutume veut que ça soit l’homme qui soit agréable envers la femme et qu’elle, le soit dans d’autres circonstances lorsqu’il aura acquis sa confiance totale et entière. Un jour, n’est-ce pas. Les hommes rêvent tellement, autant que les femmes. « Kaleb, moi c’est Kaleb. » Finissais-je par devancer sa question après que j’eusse demandé le sien sur la piste de danse. Cette petite blonde m’attire déjà, non pas par son innocente beauté mais par elle-même simplement, je n’arrive pas à l’analyser, pour l’instant, sonder les gens est une habitude que j’ai malheureusement acquise avec l’habitude mais qui m’aide pas mal. Hors, là, je n’ai rien, aucun signal sur mon radar, une femme unique ? Non quand même pas… si ? Non... .
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