TYLER # On a tous des envies inavoués, et l'alcool vous aide à vous exprimer.

tyler & damian
C'était la rentrée, les devoirs à faire n'étaient pas vraiment trop conséquent. On pouvait donc faire la fête à fond chaque week-end. Pour ma part, je passais la soirée avec quelques potes dont mon colocataire de choc, Tyler. On avait pas mal bu dans la soirée, faut pas dire qu'on était très torché, c'était plutôt modéré, surtout que je me ferais tuer par mon amie d'enfance si elle savait que j'avais encore bu. Mais bref, je profitais un peu trop de la soirée, mais c'était tellement bon de revoir ses potes, de faire la fête quoi. Puis vint le moment où il fallait dormir, et c'est en tenant Tyler par les hanches que je revenais dans la chambre. Bah ouai, on était bourré, marcher droit était mission impossible, à deux on tenait mieux debout. Je rigolais à chaque connerie que lui pouvait sortir, ou alors à celles que je disais moi-même, je pouvais raconter n'importe qui, je rigolais comme une clef à molette. J'avais mis deux bonnes minutes à ouvrir la porte, je voyais deux poignets de porte voyez vous. Puis enfin on entrait, enfin, on tombait au sol avec moi en premier. Bien évidemment par réflexe, je le tenais contre moi pour éviter qu'il se fasse mal. outch, ça fait mal! La porte s'était presque refermé sous la force que j'avais mise pour l'ouvrir. Je regardais finalement Tyler, souriant bêtement. eeeh... Tyler... Je rigolais, l'alcool était encore dans le sang, ça se sentait vraiment. T'sais que tu me donnes chaud? dis-je en continuant de rire. En même temps, nous étions si proche l'un de l'autre, il me donnait chaud. Et pourtant, j'étais sensé être hétéro, mais avec de l'alcool, je n'en savais plus trop.
code by biscotte

En ce début d’année scolaire, les étudiants de Harvard organisaient des fêtes à gogo, profitant du peu de devoirs que les profs nous donnaient pour faire la fête. Et évidemment, qui disait fête, disait alcool à foison. Et j’avais beau ne pas être alcoolique – j’en étais même loin –, l’ambiance de la fête incitait toujours à boire encore et encore, jusqu’à ce qu’au final, on ne sache plus trop ce que l’on faisait là. C’était justement ce qui était en train de se passer en ce moment même, bien que, contrairement à mon colocataire Damian, j’arrivais encore à tenir sur mes deux pieds. Je lui servais d’ailleurs de guide, alors que nous retournions à notre chambre.

Après avoir mis trois heures à ouvrir la porte – oui, j’avais légèrement tendance à extrapoler –, Damian entra le premier et, à peine fit-il un pas, qu’il tomba comme une merde – l’expression décrivait parfaitement la situation actuelle – m’entraînant avec lui dans sa chute, qui n’était finalement pas si douloureuse puisque j’avais eu la chance que mon colocataire amortisse l’impact avec le sol. N’était-il pas adorable ? Par contre, lui, il se fit mal, mais j’étais sûr qu’il oublierait vite la douleur. L’alcool aidait à de nombreuses choses…

- Eeeh... Tyler... commença Damian complètement torché. T'sais que tu me donnes chaud ?

… Avais-je bien entendu ? Je lui donnais chaud ? Savait-il que j’étais 100% gay et que ce genre de déclaration me donnait le feu vert pour me permettre de faire n’importe quoi ? Oui, bien sûr qu’il le savait puisqu’il me connaissait bien. Mais il fallait que je sois fort et que je ne m’abaisse pas à mes pulsions, aussi intenses et animales étaient-elles. Damian était mon ami – mon coloc’ même ! – et il était hors de question que je gâche cette amitié importante à mes yeux uniquement en agissant comme je le faisais d’habitude, c’est-à-dire comme un con.

- C’est l’alcool qui te donne chaud, pas moi, déclarai-je d’une voix rauque avant de déglutir difficilement, sa proximité n’étant absolument pas une bonne chose pour mes hormones…

(Invité)

tyler & damian
J'étais vraiment un petit con des fois, je mériterais qu'on me tape en ce moment même. Boire ne me réussissait jamais, mais quand je dis jamais, c'est que je me retrouvais dans des situations aussi folles qu'amusantes. Oui, le coté amusant, c'est quand je suis saoule, parce que ça me fait rire, ça m'amuse, ça me plait, mais quand j'oublie, je ne crois personne car c'est tout bonnement impossible de faire faire ça sobre. Un peu comme là en fait. J'avais chaud, mais je ne pouvais définir à cause de quoi j'avais chaud.

Tyler était sur moi, ce fut le premier responsable du fait que j'allais peut-être commencer à transpirer, je lui avais fais même remarquer innocemment, sans me rendre compte de la gravité de mes paroles. C’est l’alcool qui te donne chaud, pas moi, m'affirma t-il. Mais je n'écoutais rien, je secouais la tête comme une cloche qui sonnait. J'étais sur de mes paroles. Hm... NAH ! Parce que je paris que toi aussi tu as chaud et gee-enre … t'avais que deux bouteilles en moins... hu.. c'pas beaucoup... Je rigolais comme un con, mais j'étais sérieusement lancer. Je continuais de m'amuser alors que les festivités étaient terminés depuis longtemps.

Sans vraiment me rendre compte de mes actes, je me reculais légèrement pour enlever mon tee-shirt, parce que j'avais réellement chaud. Je le jetais sur mon lit alors que je reposais mon regard sur Tyler. HEY tu vas mourir de chaud si tu l'enlèves pas! Je ris puis je prenais les pans du tee-shirt de Tyler pour lui retirer, mais j'avais plus de mal étant donné que c'était pas sur moi, j'avais presque failli lui déchirer mais je lui enlevais à temps. Mais je soupirais, déçu! hm nah j'ai encore chaud, Tyler! C'est toi qui me donne chaud! Parce que ça se trouve... je suis gay! Du coup, toi contre moi, ça fait les chaleurs digne d'un volcan! Ah non … bi, vu le nombre de filles que je me suis tapé quand même... Je ris encore.

Je croyais fermement être bisexuel, même si c'était mon état qui me faisait dire ça. Tyler me donnait vraiment chaud, et le pire dans tout ça, c'était qu'en étant légèrement saoule, ça ne me gênait pas du tout. Je prenais même goût à mon délire de fantasme sur Tyler, posant irrémédiablement mes mains sur ses fesses.
code by biscotte

Dim 2 Sep 2012 - 22:24

- Hm... NAH ! refusa-t-il de croire, parlant à la manière d’un mec totalement torché – ce qu’il était. Parce que je paris que toi aussi tu as chaud et gee-enre… t'avais que deux bouteilles en moins... Hu… C'pas beaucoup...

Il rigola comme un idiot – ce qu’il était en ce moment même (et je n’étais pas méchant, je disais juste la vérité !) –, avant d’enlever son T-shirt, ce qui me fit écarquiller les yeux de terreur car, qui disait mec à demi à poil, disait mec gay totalement incontrôlable. Et pourtant, il fallait que je me contrôle. Je ne pouvais pas laisser mes hormones prendre le dessus et baiser Damian, là, sur le sol, alors que l’on allait devoir partager une chambre tous les deux pendant toute une année – et peut-être plus encore si j’arrivais à penser à autre chose que le torse nu de mon colocataire. Je devais penser à… à une fille, voilà ! Une fille nue qui n’aurait pas énormément de poitrine et un pénis énorme à la place du vagin… ARGH ! Il était impossible de me concentrer, le corps de Damian était beaucoup trop proche du mien et sa cuisse était en train de frotter indécemment mon entre-jambe.

- HEY ! Tu vas mourir de chaud si tu l'enlèves pas ! s’exclama-t-il, avant de prendre les choses en main et de m’enlever à mon tour mon T-shirt.

Et j’étais tellement dans un état de choc que je ne pensais même pas à l’arrêter, me retrouvant tout aussi dénudé que lui. La peau nue de nos torses se touchait de manière tout à fait indécente, et je déglutis, rassemblant mes dernières forces pour rester stoïque face aux charmes de mon très cher colocataire.

- Hm… Nah ! J'ai encore chaud, Tyler ! se plaint-il de nouveau sur un ton aguicheur. C'est toi qui me donne chaud ! Parce que ça se trouve... Je suis gay ! Du coup, toi contre moi, ça fait les chaleurs dignes d'un volcan ! Ah, non… bi, se corrigea-t-il lui-même. Vu le nombre de filles que je me suis tapé quand même...

Cela m’étonnait beaucoup que Damian soit gay, ou bi, comme il l’avait lui-même spécifié. Mais le nombre important d’hormones que je contenais en cet instant même eut raison de ma… raison, et je fis l’erreur de succomber à mes pulsions.

- Et merde, eus-je le temps de dire, avant de me jeter sur les lèvres de Damian et de forcer l’entrée à sa bouche avec ma langue.

Mes mains, quant à elles, vagabondèrent sur le torse nu de mon coloc’, et l’une d’entre elles osa même s’aventurer sur l’entre-jambe de Damian dans le but de le lui caresser. Pourrais-je un jour résister au charme d’un bel homme ?...

(Invité)

Mar 4 Sep 2012 - 0:19

tyler & damian

code by biscotte

Sam 8 Sep 2012 - 23:07

Damian ne mit que quelques secondes seulement à me répondre, sa langue dansant un ballet avec la mienne et ses mains glissant le long de mon dos dans une caresse légère, avant qu’elles passent sous mon pantalon dans le but d’aller caresser mes fesses fermes, ce dont je fus passablement étonné. Après tout, je ne savais pas Damian aussi entreprenant, alors qu’il était en train d’embrasser un mec. D’ailleurs, en le voyant agir de la sorte, je me doutais que mon colocataire n’était pas du tout en mesure de refuser que ça aille plus loin. C’était donc à moi d’agir et vite, car il venait de quitter ma bouche pour faire danser ses lèvres sur la peau de mon cou, et au rythme où cela allait, nous allions bientôt nous retrouver tous les deux à poil.

Mais je n’arrivais pas à bouger, appréciant chaque caresse, chaque baiser que Damian était en train de me faire. Et j’étais comme drogué face à sa chaleur qui m’enrobait de partout. Heureusement pour moi, un de nos camarades de maison entra dans notre chambre sans crier gare et, bien que choqué par ce qu’il était en train de voir, ce fut mon échappatoire à cette grosse connerie que j’aurais très certainement faite sans même empêcher quoi que ce soit. J’étais très faible lorsque cela concernait le sexe…

- Allez, Damian, relève-toi, dis-je en le tirant par un bras, après que je m’étais moi-même mis debout.

Je le forçai à regagner son lit et le bordai tel un petit enfant ayant besoin de sa maman.

- Maintenant, dors ! Et ne fais pas de conneries durant la nuit ! l’avertis-je, effrayé à l’idée qu’il vienne dans mon lit pour me violer – enfin, on ne pourrait pas appeler ça un viol, étant donné que je serais consentant.

(Invité)

Lun 10 Sep 2012 - 23:31

tyler & damian
J'étais bien lancé, trop bien lancé même. On pourrait faire une vidéo de moi à ce moment là, puis me la remontrer une fois sobre, je n'y croirais pas, je dirais que c'est un montage. Je n'avais jamais été attiré par un homme jusqu'à aujourd'hui, j'en surprenais plus d'un possiblement. Mais cette aventure avait déjà une fin, un garçon de notre confrérie venait nous rapporter quelque chose qu'on avait oublié, mais sur le coup, il avait juste posé sur la table la plus proche avant de s'en aller sous le spectacle hallucinant. Allez, Damian, relève-toi. Tyler en profita pour s'écarter de moi et m'aider à me relever. Je me laissais tomber sur le lit, j'étais complètement raide. Je rigolais comme un con alors que Tyler enchérissait à nouveau. Maintenant, dors ! Et ne fais pas de conneries durant la nuit ! - D'ACCORD, CHEF ! Je me mis à rire avant d'attraper ce que je pouvais de Tyler, soit sa main pour le faire tomber sur le lit. Cette fois-ci, je n'étais pas d'humeur à faire des cochonneries même si c'était amusant mais je me servais de Tyler comme d'un oreiller. Je ne faisais que suivre les ordres. Une fois qu'il fut enfin correctement posé à mes yeux, je posais ma tête sur l'oreiller. Bonne nuit, Pikachu... dis-je avant de m'endormir raide. Cette situation craignait pas mal, étant donné que je m'étais carrément étalé à moitié sur Tyler, me servant de lui comme ci je tenais une peluche grandeur nature. Au moins, on pouvait pas me reprocher d'être ivre, j'étais devenu calme bien que toujours inconscient de mes actes. Ces derniers allaient sûrement me retomber sur la tête le lendemain, étant donné que j'étais le pire déchet du monde sous l'effet de l'alcool, d'où le fait que j'avais essayé d'arrêter pour les yeux d'Andrea. D'ailleurs, c'était à elle que je pensais dans mon rêve. Oui, je rêvais que j'étais à la plage et qu'on se tenait l'un contre l'autre en faisant des roulades dans le sable humide, jusqu'à atteindre la mer. C'était à là que s'arrêterait mes souvenirs avant de m'endormir profondément.
code by biscotte

Dim 16 Sep 2012 - 15:59

- D'ACCORD, CHEF ! s’écria-t-il à la manière d’un soldat, mais au moins, il paraissait être d’accord pour m’écouter bien sagement.

Du moins, c’était ce que je croyais jusqu’à ce qu’il attrape tout à coup ma main dans le but de me faire tomber dans son lit. Mais heureusement pour moi – et pour lui –, il n’avait semblait-il pas l’intention d’aller plus loin que de s’allonger sur moi telle une baleine échouée sur une plage – bien qu’il était sans le moindre doute bien moins lourd qu’une baleine. Il n’avait que pour but de se servir de moi comme d’un oreiller et, bien que cela me mettait extrêmement mal à l’aise – je n’avais jamais dormi aussi collé-serré avec qui que ce soit, pas même avec l’une de mes conquêtes –, je préférais ne rien dire, ni ne rien faire, sachant que de toute façon, bourré comme il l’était, il allait très certainement s’acharner en insistant jusqu’à ce que je craque.

- Bonne nuit, Pikachu...

- Bonne nuit… Salamèche, répondis-je avant d’essayer moi aussi de trouver le sommeil.

Je n’avais aucune idée de pourquoi il m’avait surnommé Pikachu, mais son surnom à lui avait une signification toute particulière puisqu’il avait été un véritable dragon de luxure ce soir…

(Invité)

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