NOA-LEEN ROXANNE BLACKWOOD ► Jenna Dewan

Je n'ai jamais cru que la vie était simple, mais j'ai su que la vie serait simple, si je décidais de me battre pour qu'elle le soit ou que j'en ai l'impression. Je m'apelle Noa-Leen mais je préfère simplement Noa, ça me donne un style en mode garçon manqué, voyez-vous? Je suis née dans la ville de Roswell au Nouveau-Mexique mais je n'ai jamais eu de figure maternelle car ma maman est décédè en m'ayant à la suite de la maladie qu'elle avait pendant qu'elle me portait : la galère quoi! Mon papa, Alexander Blackwood, m'a donc élevé seul et s'est toujours bien débrouillé faisant face au malheur d'avoir perdu son grand amour : Et je suis certaine que cela n'est en rien facile. Amoureux de musique, il m'a très tôt inculqué les principes fondamentaux du solfège mais sans jamais l'imposer et surement, avec naturel, j'ai accepté et me suis montrée très assidue. Ainsi, très jeune, j'ai appris à jouer de la guitare et du piano. Plus tard, j'ai commencé les cours de danse et j'avais un planning de princesse, je dois dire ! Ce ne sont que de merveilleux souvenirs bien qu'un dur labeur pour une jeune enfant ! Je retrouvais mon coté garçon manqué en compagnie de mon compagnon de route ; Wyatt, mon meilleur ami depuis l'enfance, depuis la maternelle, nous faisions tout ensemble, il se tapait parfois même mes cours de danse, faisant le pitre pour me faire rire et me déconcentrer.  

A mes 14 ans environ, nous avons quitté les états-unis pour rejoindre la terre d'enfance de mon papa ; la belle Angleterre, non loin d'Oxford et j'en étais heureuse car je rêvais d'étudier un jour là-bas. J'ai poursuivi la danse, mes cours et surtout, c'est en Angleterre que j'ai lancé mon blog qui évolua au fur et a mesure du temps en un grand site et une chaine youtube. Si d'abord, elle devint un succès fou en Angleterre, le monde le connut ensuite et ce fut pour mon plus grand plaisir de donner mes astuces, conseils et raconter des parcelles de ma vie à de petites jeunes filles ou garçons comme ça sur ma propre page. J'étais heureuse même si je devais continuer une vie normale parce que je voulais pas devenir quelqu'un d'autres ou m'inventer des vies.

A mon entrée aux études supérieures, j'ai donc choisi le journalisme, c'était une évidence ! Je suis entrée avec plaisir à l'université d'Oxford où j'ai aussi beaucoup étudié l'Histoire dans mon option car je dois avouer que j'en suis une grande passionnée! J'ai eu mon diplome de journalisme avec joie ! A mes 20-22 ans, je crois que c'est là que ça a commencé à devenir bien plus sérieux... Mon blog a décollé, les marques voulaient des partenariats, j'eus des compliments sur mes articles et sur mes vidéos, j'ai commencé à avoir un nombre de followers fidèles ; ce fut fou ! J'avais du mal à allier mes études universitaires et ce truc fou, grandissant alors j'ai du prendre quelques années sabbatiques pour savoir ce que je devais faire... j'avais alors 24 ans et si c'était surement une erreur de couper d'un coup mes études, je ne le regrette finalement pas car j'ai compris que les études étaient un bon booster de vie. En septembre 2016, j'ai donc passé les portes de la célèbre université Américaine, enfilé mon pull et bien sur, cela n'est pas passé inaperçu... afin de reprendre un peu les cours mais pas à temps pleins, une petite spécialisation, des petits cours, rien de bien méchant car j'avais un boulot et un bagage. Ma spécialisation serait donc Histoire de l'Art pour compléter mon diplôme de journalisme ! Je repartais pour une petite aventure d'au moins deux-trois ans ...