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maybe you're just a dream

Kaleb & Calypso

It was a perfect illusion

La Mather House est vraiment une confrérie remplie de malades, de timbrés, de barjots, et peu importe tous les noms que je peux dire, cela revient à la même chose : ils sont tous fous. C'est une constatation qui est très rapide à faire. Tout à l'heure, quand je suis passée dans le bâtiment pour saluer Aaron avant d'aller à la bibliothèque, j'ai croisé des énergumènes déguisés de toutes sortes différentes. Je revois encore ce pénis géant, avec ses testicules et spermatozoïdes collés un peu partout sur le déguisement, qui me tenait la porte. Ou encore, celui qui ressemblait à un pingouin et qui faisait une sorte de levrette à un autre qui était habillé en poney. Tout ça pour dire qu'ils sont tous fous chez les Mather, et franchement ça fait du bien autant de bonne humeur. A n'importe quel moment de la journée quand on passe dans les dortoirs, c'est la fiesta ! De plus, à chaque fois que je croise ma bizutrice, @Lucky E. Burberry , elle me donne un paquet de fraises tagada. N'est ce pas gentil ? Bref, voici la raison pour laquelle je suis en train de manger des bonbons discrètement dans la bibliothèque en tentant de me concentrer sur ma dissertation de psychologie.

Je suis à bout. Si je ne me lève pas genre maintenant, j'explose. La psychologie, j'adore ça, c'est mes études mineures après tout, mais ce sujet de dissertation est tellement complexe et ambiguë que ça m'en donne un terrible mal de crâne. Je suis vraiment bloquée en plus, je n'arrive même pas à faire cette fichue introduction. Je pense que le seul moyen de remédier à cela est d'aller plonger ma tête dans quelques bouquins : je trouverais sûrement quelque chose. Je prends ma feuille, et en laissant mes affaires en plan, pars vagabonder entre les rayons à la recherche de ma future source d'inspiration.

Malgré la partie complètement détruite de la bibliothèque, cette dernière n'en reste pas moins immense. Je suis sûre que l'on pourrait y courir un marathon très facilement. Ça me donne d'ailleurs une idée pour une future connerie... j'en parlerai à Aaron. Je mets une bonne dizaine de minutes à trouver les deux rayons qu'il me faut. Il y a vraiment un choix très vaste de livres, alors si je ne me dépêche pas je serais ici encore à minuit. Armée de mon courage, je commence à parcourir les étagères. De nombreux livres pourraient correspondre à ce que je cherche, mais je ne pense pas que j'aurais le temps de tous les embarquer et même si j'en ai réellement le droit. Seulement, celui qui attire véritablement mon attention est bien évidemment le plus chiant à prendre : celui qui est tout en haut. Je m'imagine déjà la scène, de la pauvre étudiante trop petite pour atteindre son livre, et du beau garçon sexy qui débarque de nul part pour l'aider. Ça, c'est dans les films que ça se passe. Là je suis juste quasiment seule avec un livre beaucoup trop haut pour que je puisse l'atteindre. Je parle d'une petite voix pleine d'espoir : « Quelqu'un peut m'aider... s'il vous plaît ? A attraper un livre ? Allô ? ». Je ricane à mon initiative. Je fais assez pitié quand même.
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My mind is up and away
“Sometimes I believe that this less material life is our truer life, and that our vain presence on the terraqueous globe is itself the secondary or merely virtual phenomenon.”
I
l est des études qui rendent fous. La folie est une des déclinaisons de l’apparition d’un génie dans la vie. Bien sûr, en psychologie le cas est plutôt rare, ils sont souvent décelés justement par des psychologues comme étant des génies. La folie n’est pas si dangereuse pourtant dans la vie. Du moins, ça dépend de quel genre de folie l’on est atteinte. La rentrée le mois dernier a été quelque chose d’aussi chiant qu’oppressant, les allers-retours entre ici et New-York commence doucement à me rendre fou et je commence à ne plus pouvoir tenir la distance, mais je n’ai pas le choix, comme me l’a inculqué mon paternel, il ne faut jamais lâcher l’objectif de son regard, toujours aller de l’avant sans se soucier des aléas que la vie nous met en obstacle. C’est pour cela que je me retrouve dans un environnement qui permettra à mon esprit de se concentrer sur une seule chose, le travail. La bibliothèque m’offre ce havre de paix là où tous les étudiants peuvent s’échapper et se retrouver ou bien rester seul mais sans avoir à paniquer pour l’histoire d’aller chercher un bouquin car on est tout simplement dans ce milieu éducatif si riche. On n’est pas à la bibliothèque de Poudlard mais on y est presque. Quelques livres sous le bras, un bonnet sur la tête, il commence à faire frais à cette époque de l’année, l’automne est bien présent. La bibliothèque est rempli comme à son habitude à l’approche des premiers examens pour certains, moi je suis venu rendre les quelques livres que j’avais emprunté dont un en retard. Ce que la bibliothécaire n’hésite pas à me faire remarquer. Un sourire désolé et une petite moue suffirent à me faire pardonner et je lui propose même de les ranger moi-même, ce qu’elle accepte. Non, je ne la drague pas et ce n’est pas mon genre. Je me retrouve à farfouille entre les rayons, me mémorisant l’endroit des livres empruntés je n’hésite cependant pas à utiliser les ordinateurs de recherche mis à disposition. Ils sont tous sujet à la psychologie ce qui raccourci agréablement ma recherche. Arrivé dans la section, je trouve rapidement le premier, s’ensuive les trois autres, il m’en manque un. Une petite voix me sort de ma recherche, une sorte d’appel au secours. Je change de rangée et tombe sur une petite rousse ou plutôt une mini junkie aux cheveux rouges, son look lui va bien et m’arrache un sourire. Je regarde sa main tendu vers le dit livre et sourit car j’ai trouvé la section que je recherchais « Oh, parfait ! Merci. » Dis-je en osant la décaler puis en déposant facilement mon livre à côté du sien qu’elle désire. Puis je fis mine de partir et arriver à la sortie de la rangée je ris et fait volte-face avant de me faire potentiellement attaquer « Je rigole, je viens t’aider.Dis-je en allant vers le dit livre une nouvelle fois et en le prenant facilementEt voilà, bonne lecture. » Dis-je avant de la laisser tranquille et de chercher un livre à présent pour mon dossier sur la psychologie inversée entre hommes. Un cas très dur dans le milieu mais qui est totalement facile pour certains, c’est une affaire de feeling, de connaissance. Bref, un sujet chiant à expliquer avec des mots mais si facile à vivre.  
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Kaleb & Calypso

It was a perfect illusion

Et là, bizarrement, ironiquement, ou tous les adverbes d'étonnement qui peuvent vous convenir, un garçon surgit à côté de moi. Tel un prince charmant venu aider la pauvre étudiante à attraper son livre. J'esquisse un sourire, trouvant ça puérile et gnangnan, tout en reluquant le bel inconnu avec moi dans la rangée des livres de psycho. Il faut l'avouer, il est mignon, même beau gosse en fait. Et vu la carrure et la taille qu'il fait, il n'aura aucun mal à attraper le livre que je souhaite avoir depuis tout à l'heure. Il s'approche de moi et je lui souris. « Merc... » commençai-je sauf que, non, pas le temps de finir qu'il me remercie en me décalant grossièrement pour déposer un livre. A côté du mien. Sans y toucher. Sans m'aider. Juste, en s'éloignant comme ça. Je me retourne vers lui en grognant presque « Mais t'es sérieux toi ?! Tu pourrais m'aider, non ?! ». Ce p'tit con éclate de rire. Je trouve pas ça marrant, il ne sait pas ce que c'est d'être petit, LUI ! Il revient cependant vers moi, lentement, et j'en aurais presque le temps de le mater plus en détails. Puis il me donne mon livre tant désiré. Je rougis légèrement et le remercie d'un hochement de tête. Vaut mieux pas tenter le diable en tentant un petit « Merci » qui finirait en un bruit semblable à un couinement de raton laveur passant au mixeur. Bref je vous épargne les détails.

Je vois qu'il reste dans la rangée, à la recherche d'un autre bouquin sûrement. Mon cerveau fuse d'idées. Je dois lui reparler. Lui tomber dessus ? Non trop cliché. Lui éternuer dessus ? Non Calypso, trop dégueulasse. Peut-être un croche-pied ? Qui serait soit-disant involontaire ? Non faudrait pas abîmer ce délicieux visage. (Même si après tout, les beaux mecs y'en a la masse à Harvard. Mais faut pas commencer à les défigurer sinon on finira toutes avec des chats et des pelotes de laine. Donc non merci mais pas pour moi.) Je fais mine de cherche un autre livre, parcourant les étagères tout en me rapprochant lentement (mais sûrement) de lui. Quand il prend un livre, je saisis l'occasion pour parler encore. Sans aucune once de gentillesse pour l'instant, c'est pas drôle après. Si on ne joue pas, c'est inutile, et chiant. « Eh mais, c'est le livre que je voulais prendre ! Tu vas m'embêter encore longtemps comme ça ? J'espère que ce n'est pas ta façon, très étrange soit-elle, de m'aborder, car c'est vraiment très idiot ! » lui dis-je assez ironiquement avant de m'emparer du livre qu'il avait dans les mains.
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L
 'humour, c’est grâce à l’humour que les gens peuvent casser le mur qui les sépare d’un ou une inconnue, si tout le monde se lançait comme je viens de le faire, tout le monde se connaîtrait et l’amour pourrait atteindre le monde entier et faire disparaître les guerres, le rire est une solution radicale et à moindre prix. Malheureusement, de nos jours, peu de monde sont enclins à rire tout simplement avec quelqu’un qu’il ne connaît pas, trop de fossés séparent les gens : des fossés qu’ils se créent eux-mêmes. C’est pour cela que les psychologues font fureur aux États-Unis car trop de gens ne se comprennent pas et ne comprennent pas le plus important : l’humain. Nous sommes tous identiques à la base, nos choix font la personne que nous devenons par la suite, il ne faut tout simplement pas oublier les bases de notre humanité : l’amour, la paix, la gentillesse, l’innocence en somme. Peu de gens de nos jours le sont encore, rares dirais-je même, mais pas inexistant. Cette innocence que tout le monde a mais qu’il fait disparaître pour garder une image que la société désire de lui, une image propre et positive. Rien de tout cela n’est pourtant vrai, alors il faut tout simplement oser aller vers l’autre et s’ouvrir comme si c’est la dernière chose que l’on va faire dans la vie, on aura peut-être des regrets ou peut-être pas, mais on l’aura fait. Aller de l’avant est une des phrases qui m’a sorti du noir, encore aujourd’hui et inlassablement cette phrase vit aux tambours de mon cœur. C’est dans un rire assez bruyant mais pas trop quand même, on est dans une bibliothèque il faut savoir se taire mais l’expression du visage de la flamboyante jeune étudiante m’a littéralement tuer de rire, alors me retenir a été un peu dur, mais je me suis assez vite ressaisi avant de continuer mon chemin à la recherche du bouquin dont j’ai besoin. Un regard sur la demoiselle du coin de l’œil, me suit-elle ? Je ne sais pas, mais je reporte mon attention sur les rangées avant de trouver le fameux bouquin que je veux. Ma main s’en empare avant celle de la demoiselle qui surgit dans mon champ de vision. Ah, mince, elle le veut aussi. Je feins un sourire amical et désolé mais je ne pense pas que j’eusse réellement le choix. Après une déclaration de guerre digne des plus grands films de comédie ainsi qu’une finalité quelque peu romantique/érotique elle me vole mon sésame. Mon regard ne la quitte pas et elle ne semble pas s’enfuir. Tss, un compromis s’impose mais je laisse toujours planer le silence alors que je tourne autour d’elle doucement pour la jauger et aussi pour réfléchir. « Déjà, pour commencer, je ne drague pas de manière aussi peu classe, même si l’humour est un bon moyen pour draguer et que tu as l’air pas mal. De deux, j’ai besoin de ce livre alors tu vas me le rendre sauf si tu as besoin de bosser sur la psychologie inversée, dans ce cas on bosse ensemble et tu n’en as pas le choix. Et de trois, je t’ai rendu service, ce n’est pas très gentil de ta part d’agir ainsi envers ton sauveur, je n’ai même pas eu au baiser du héros. » Dis-je provocant sur la fin, comme à mon habitude, la provocation sert à sortir le vrai caractère de la personne, voir où sont ces limites et où l’on peut vraiment savoir qui elle est. « Alors ? » Insistais-je en la regardant, étant derrière elle à ce moment-là.
 
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Kaleb & Calypso

It was a perfect illusion

Quoi qu'on puisse dire, la première rencontre avec une personne joue un rôle important pour une quelconque suite. Quoi qu'on dise, l'apparence et le premier contact nous donne toujours une première impression sur quelqu'un. Même si je l'avoue, elle est parfois, ou même très souvent, loin de la réalité. J'aime séduire, ça oui. J'aime m'amuser, mais ce n'est pas non plus ce qui me caractérise. Ce que je veux dire par là, c'est que même si c'est cette apparence que je donne en ce moment même, ce n'est pas réellement moi. Mais j'aime bien jouer et taquiner pour autant, je ne suis pas une sainte-ni-touche loin de là.

Le beau brun laisse planer un long silence : je déteste ça. C'est malaisant et extrêmement dérangeant. On ne sait pas quoi dire, on a l'impression que le temps s'est arrêté, que tout le monde te regarde, que nos bouches sont scellées. Mais non, les étudiants continuent de travailler derrière les étagères, le temps s'écoule même très vite, personne ne s'intéresse à nous et il suffit de dire quelque chose pour briser ce silence intenable. Il esquisse un sourire en plantant ses yeux dans les miens, que je ne détourne en aucun cas. Il se déplace doucement, toujours sans aucun bruit. J'ai l'impression d'être dans un autre monde et une atmosphère étrange. Non, je ne suis pas envoûtée ou une autre connerie comme ça. Juste que le bruit du silence est très étrange. Il le brise enfin, de sa voix grave et sexy je dois bien l'avouer.

Je sais très bien que j'ai de l'humour, c'est d'ailleurs pas spécialité. Il est d'ailleurs assez spécial oui, mais c'est ce qui fait mon charme non ? C'est vraiment dommage qu'il ait besoin de ce livre, et même si moi je n'en ai pas du tout besoin en revanche, je le garde. Et c'est pour cela que je vais accepter sa proposition de travailler ensemble, on risque de bien rigoler. Enfin, surtout moi vu que j'en jubile d'avance. Mon sauveur ? Un héros ? Il peut toujours rêver celui-là. Je n'y crois pas, et n'y ai jamais cru d'ailleurs. Il me provoque, et j'aime ça. Je crois qu'il ne sait pas encore qu'à ce genre de jeux je gagne toujours. Je hausse un sourcil avant de lui répondre. « J'ai également besoin de ce livre, justement. Nous allons devoir travailler ensemble, j'espère que ça ne te dérange pas ? Même si j'en doute, je suis d'ordinaire d'agréable compagnie. Et pour ta gouverne, les héros ça n'existe pas. » dis-je de mon plus grand sérieux en collant le livre contre ma poitrine pour commencer à me diriger vers ma table, là où j'ai laissé toutes mes affaires. « Bon, tu viens ? » dis-je une fois arrivée au bout de la rangée.
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