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h. kobby archcroft
Nom archcroft de par adoption, sinon la jeune fille se nommait kariskiva à la naissance. elle a toujours préférée le nom qu'elle a obtenu à ses cinq ans, parce qu'elle le trouvait plus facile à écrire et à prononcer. Prénoms haïdivina koberlaine aussi nommée kobby. si ses prénoms sont de lourds fardeaux à ses yeux, elle les porte tout le de même avec fierté parce qu'ils sont la preuve de son histoire familiale chargé en retournement de situation. Âge vingt-et-un ans de souffrance, de pleurs, de crises, mais vingt-et-une années de passées avec force dans l'espoir de devenir moins sentimentales et plus dur dans le futur. Date de naissance elle est née selon les papiers officiels, un quatre août. il paraît que la journée était pluvieuse et peu chaleureuse. sans doute a-t-elle pris son caractère de cette dernière.Lieu de naissance Saint-Pétersbourg, Russie. sous les larmes, les regards mal placés et l'amour peu flagrant d'une mère beaucoup trop impuissante pour s'occuper de son propre enfant. le jeune femme considère sa ville d'adoption comme celle de naissance, soit Sidney en Australie. Statut amoureux célibataire, elle n'a jamais été douée pour garder ses relations sur le billard, elle n'a même jamais su rester avec quelqu'un plus d'un mois après leur premier baiser. on va dire qu'elle a certains défauts qui font souvent la donne se retourner contre elle.Orientation sexuelle hétérosexuelle, elle aime les hommes, que ce soit grâce à leur musculature, leur sourire, leur mâchoire carré, c'est une grande passion. il n'y a rien de mieux après tout qu'un bel homme pour nous accompagner dans le restant de nos jours. Classe sociale aisée, même si ça pourrait être dur à croire, ce faire adopter par une famille qui a des moyens financiers plus qu'acceptable, ça a de bons côtés quand on y repense. Études majeures droit. il n'y a rien de plus vrai que ça.Études mineures danse, c'est toute sa vie depuis toujours, alors si elle peux l'exercer, ça lui va pleinement.Job aucun, elle préfère que son temps libre le reste. Choix de groupe #1 quincy house Choix de groupe #2 students
QUINCY HOUSE.
Les Quincy, les gentils. La vraie vie quoi. Être chez les Quincy, ce serait comme un pure rêve qui se réaliserait. Que ce soit par rapport au fait d'être enfin entouré de personnes qui sont simplement gentille et non intéressé, et soit-dit en passant adorable aux yeux des gens que j'ai questionné lors de ma ronde à Harvard. Ou le fait que je puisse enfin me sentir chez moi à leur côté, libre d'être une seule et unique personne, sans cacher ma véritable personnalité. On pourrait qualifier ça d'idylle. Il est vrai que je ne suis jamais réellement moi-même à cause de mon passé, que j'ai toujours des secrets étonnamment bien enfouies, mais si je finissais par vivre à leur côté, je suis sur de pouvoir arriver à me dépasser. Et j'espère en tout cas que je serais à la hauteur de leurs attentes, je ferais tout pour.
STUDENTS.
Quitte à ne pas faire partie des Quincy, je préférerais rejoindre les simples Students, car je ne pense pas pouvoir trouver ma place ailleurs. Même si certains penseraient aux Lowell en voyant que je suis une fan de l'art de la danse, il est hors de question pour moi de rejoindre une confrérie autre que ceux qui font l'unanimité par leur gentillesse et leur dévotion. À mes yeux, il n'y a qu'un seul réel choix de maison par personne, on sait où l'on veut aller un point c'est tout, et cela est mon cas. Alors que le choix soit fait, que les fleurs soient lancées, je laisse le sort décider.
Les Quincy, les gentils. La vraie vie quoi. Être chez les Quincy, ce serait comme un pure rêve qui se réaliserait. Que ce soit par rapport au fait d'être enfin entouré de personnes qui sont simplement gentille et non intéressé, et soit-dit en passant adorable aux yeux des gens que j'ai questionné lors de ma ronde à Harvard. Ou le fait que je puisse enfin me sentir chez moi à leur côté, libre d'être une seule et unique personne, sans cacher ma véritable personnalité. On pourrait qualifier ça d'idylle. Il est vrai que je ne suis jamais réellement moi-même à cause de mon passé, que j'ai toujours des secrets étonnamment bien enfouies, mais si je finissais par vivre à leur côté, je suis sur de pouvoir arriver à me dépasser. Et j'espère en tout cas que je serais à la hauteur de leurs attentes, je ferais tout pour.
STUDENTS.
Quitte à ne pas faire partie des Quincy, je préférerais rejoindre les simples Students, car je ne pense pas pouvoir trouver ma place ailleurs. Même si certains penseraient aux Lowell en voyant que je suis une fan de l'art de la danse, il est hors de question pour moi de rejoindre une confrérie autre que ceux qui font l'unanimité par leur gentillesse et leur dévotion. À mes yeux, il n'y a qu'un seul réel choix de maison par personne, on sait où l'on veut aller un point c'est tout, et cela est mon cas. Alors que le choix soit fait, que les fleurs soient lancées, je laisse le sort décider.
APRÈS LA BOMBE.
« Je ne sais pas pourquoi c'est arrivé. Je ne comprends même pas pourquoi quelqu'un voudrait organiser un tel évènement ici. Harvard est un lieu de paix, je ne vois pas qui serait assez tourmenté pour s'efforcer à faire une telle chose. Tout ce que je sais, c'est que je suis reconnaissante d'être encore en vie. On a perdu bon nombre de personnes, et c'est sans doute ça qui nous marquera le plus. Enfin, c'est, ce qui me marquera le plus. J'ai eu de la chance. Beaucoup de chance. Mais qui sait combien de temps encore ma chance me suivra jusqu'au bout du monde. Il y a des fous sur terre. La vie humaine est si précieuse, je ne comprends pas comment on veut pouvoir l'abréger. » déclaration de mademoiselle Archcroft pour les évènements de janvier 2013 à Harvard.
« Je ne sais pas pourquoi c'est arrivé. Je ne comprends même pas pourquoi quelqu'un voudrait organiser un tel évènement ici. Harvard est un lieu de paix, je ne vois pas qui serait assez tourmenté pour s'efforcer à faire une telle chose. Tout ce que je sais, c'est que je suis reconnaissante d'être encore en vie. On a perdu bon nombre de personnes, et c'est sans doute ça qui nous marquera le plus. Enfin, c'est, ce qui me marquera le plus. J'ai eu de la chance. Beaucoup de chance. Mais qui sait combien de temps encore ma chance me suivra jusqu'au bout du monde. Il y a des fous sur terre. La vie humaine est si précieuse, je ne comprends pas comment on veut pouvoir l'abréger. » déclaration de mademoiselle Archcroft pour les évènements de janvier 2013 à Harvard.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
« J'ai déjà été victime d'agression sexuelle par le passé. Je sais comment ça se passe. Je sais qu'on est qu'une cible parmi tant d'autres, et qu'on ne représente rien pour eux, si ce n'est un trophée d'orgueil. Je ne pensais pas pouvoir le revivre. On pense toujours que ça n'intervient qu'une fois et qu'après on ne risque plus rien, comme si nous sommes vaccinés. Mais ça… Je ne m'y attendais pas. Si ce jeune homme n'était pas là lors de cet action pour intervenir et faire fuir ce monstre, je ne sais pas si je serais toujours apte à parler à une autre personne. Rien que la première fois, j'étais devenue asociale, et personne à tendance suicidaire. Je suis passée outre, mais je n'ai aucune envie de retomber, parce que je sais que cette fois-ci je ne saurais pas comment me relever. » déclaration de Kobby Archcroft au cabinet du psychologue associé à l'affaire pour les victimes.
« J'ai déjà été victime d'agression sexuelle par le passé. Je sais comment ça se passe. Je sais qu'on est qu'une cible parmi tant d'autres, et qu'on ne représente rien pour eux, si ce n'est un trophée d'orgueil. Je ne pensais pas pouvoir le revivre. On pense toujours que ça n'intervient qu'une fois et qu'après on ne risque plus rien, comme si nous sommes vaccinés. Mais ça… Je ne m'y attendais pas. Si ce jeune homme n'était pas là lors de cet action pour intervenir et faire fuir ce monstre, je ne sais pas si je serais toujours apte à parler à une autre personne. Rien que la première fois, j'étais devenue asociale, et personne à tendance suicidaire. Je suis passée outre, mais je n'ai aucune envie de retomber, parce que je sais que cette fois-ci je ne saurais pas comment me relever. » déclaration de Kobby Archcroft au cabinet du psychologue associé à l'affaire pour les victimes.
ITEM LIBRE (FACULTATIF).
« J'aime la danse, c'est une de mes plus grandes passions. » Kobby a toujours été du type à ce laisser emporter par des morceaux de Mozart. Elle danse sur les sons et non sur les paroles. Elle laisse son corps aller dans des vas et viens. Elle ne cherche pas à plaire, elle cherche à communiquer de sa manière la plus pure au monde. + « Et si demain on vous dit que vous ne pourrez plus jamais vivre normalement. » Et si demain, le médecin qui est censé vous guérir vous dit ceci. Vous laisse croire que vous ne valez plus rien. Que vous êtes un cas sans lendemain. J'ai été victime d'abus, et la seule chose qu'on m'a conseillée, c'est d'entrer dans une maison spécialisée afin que je ne me fasse pas de mal. Heureusement que certaines personnes croyaient tout de même en moi, sinon, où serais-je en ce moment. + « Son nom sera Fidji. » Mon chien, mon ange, ma vie, mon cœur à moi. Mon petit husky trop mignon qui est aussi une véritable terreur quand il le veut, quand il se laisse emporter par ses pulsions d'ours polaire. + « Tu es mon Ohana Maamé. Je ne t'oublierais jamais. » Perdre un membre de sa famille c'est dur, mais quand cette famille n'est pas réellement la vôtre malgré que vous la considériez comme telle, et que le membre phare de ces membres meurt, vous essayez tant bien que mal de partager avec son corps inerte le souhait que vous formuliez depuis votre rencontre. Ceci était mon fardeau. Pleurez cette femme dont le sang ne correspondrait jamais au mien comme si c'était le cas. + « Tu n'es qu'une erreur de la nature, tu as de la chance que ton père soit respectez ici, sinon ça ferait longtemps que je t'aurais mis derrière les barreaux ma p'tite. » Premier jour dans une salle d'interrogatoire, ainsi que le dernier. Quand mon père avait enfin terminé par venir me prendre, il avait demandé au poulet de bas étage de me ramener directement chez moi si jamais je me faisais encore arrêter. Mon père était compréhensif. Il savait que je n'étais pas la jeune la plus conviviale du monde, mais il connaissait aussi les merdes qui m'étaient arrivés et ne voulait pas que je m'autodétruise pour ça. C'était mon exemple, mon meilleur ami.
« J'aime la danse, c'est une de mes plus grandes passions. » Kobby a toujours été du type à ce laisser emporter par des morceaux de Mozart. Elle danse sur les sons et non sur les paroles. Elle laisse son corps aller dans des vas et viens. Elle ne cherche pas à plaire, elle cherche à communiquer de sa manière la plus pure au monde. + « Et si demain on vous dit que vous ne pourrez plus jamais vivre normalement. » Et si demain, le médecin qui est censé vous guérir vous dit ceci. Vous laisse croire que vous ne valez plus rien. Que vous êtes un cas sans lendemain. J'ai été victime d'abus, et la seule chose qu'on m'a conseillée, c'est d'entrer dans une maison spécialisée afin que je ne me fasse pas de mal. Heureusement que certaines personnes croyaient tout de même en moi, sinon, où serais-je en ce moment. + « Son nom sera Fidji. » Mon chien, mon ange, ma vie, mon cœur à moi. Mon petit husky trop mignon qui est aussi une véritable terreur quand il le veut, quand il se laisse emporter par ses pulsions d'ours polaire. + « Tu es mon Ohana Maamé. Je ne t'oublierais jamais. » Perdre un membre de sa famille c'est dur, mais quand cette famille n'est pas réellement la vôtre malgré que vous la considériez comme telle, et que le membre phare de ces membres meurt, vous essayez tant bien que mal de partager avec son corps inerte le souhait que vous formuliez depuis votre rencontre. Ceci était mon fardeau. Pleurez cette femme dont le sang ne correspondrait jamais au mien comme si c'était le cas. + « Tu n'es qu'une erreur de la nature, tu as de la chance que ton père soit respectez ici, sinon ça ferait longtemps que je t'aurais mis derrière les barreaux ma p'tite. » Premier jour dans une salle d'interrogatoire, ainsi que le dernier. Quand mon père avait enfin terminé par venir me prendre, il avait demandé au poulet de bas étage de me ramener directement chez moi si jamais je me faisais encore arrêter. Mon père était compréhensif. Il savait que je n'étais pas la jeune la plus conviviale du monde, mais il connaissait aussi les merdes qui m'étaient arrivés et ne voulait pas que je m'autodétruise pour ça. C'était mon exemple, mon meilleur ami.
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle meemo et j'ai vingt ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à bazzart. le forum a l'air très accueillant et j'ai vraiment hâte de pouvoir m'y plonger tête la première et ne jamais le quitter, alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise mimi elashiry comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par outoftownicons. Je fais environ 300 à 1300 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
Mot de la fin ? ▲
Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
x adhérer un flood d'intégration (?)
x je veux être parrainé si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)
Je recense mon avatar ▲
si personnage inventé:
Mot de la fin ? ▲
Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
x adhérer un flood d'intégration (?)
x je veux être parrainé si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)
Je recense mon avatar ▲
si personnage inventé:
- Code:
[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u6936]►[/url] ► <span class="pris">MIMI ELASHIRY</span>
“ H. Kobby Archcroft ”[/size]
(Invité)
Une naissance difficile, c'est une naissance où votre mère est accusée de meurtre et où elle est forcée d'accoucher entre les murs d'une prison. Si tout le monde croit que cette femme est celle que je considérais comme ma mère, ils avaient tous tort. Bien au contraire, je ne la vois que comme une inconnue, une pure cinglée qui n'était même pas capable d'attendre avant de commettre son crime. D'attendre que j'ai dix ou douze ans. Non. Il fallait qu'elle tue mon père pour soit disant nous protéger selon mon dossier et sa déposition. Même si elle se décrivait comme la victime des addictions de cet homme, parfois je me demande si elle n'était pas simplement victime de sa bêtise et de ses propres addictions. C'est facile d'accuser quelqu'un, c'est facile de reporter la faute sur les autres en somme. « Tous les soirs il me ruait de coup. Tous les soirs je me demandais si ce bébé allait survivre. Je voulais nous protéger. Je voulais seulement nous protéger. » Lorsque je lis son dossier, j'ai honte d'être sa progéniture. Lorsque je lis son dossier, je me demande qu'est-ce que j'ai fait au dieu tout puissant pour qu'il m'envoie dans le ventre de cette pauvre fille perdue. Mes parents adoptifs ne m'ont jamais mentit. Ils m'ont toujours dit que j'avais été séparée d'elle très tôt parce qu'il était hors de question qu'un enfant ne grandisse entre des barreaux. Alors, j'ai été placé en maison d'accueil. J'étais même ballotée de famille en famille jusqu'à ce que celle qui m'aime depuis seize ans ne m'adopte officiellement pour le restant de ma vie. Selon le dossier, ma mère était morte en prison de toutes manières. Je n'avais que deux ans à l'époque, normal qu'on m'ait épargnée une telle sensation forte. Si vous voulez tout savoir, je sais qu'avant toute chose, cette moins que rien était une prostituée trop mal payée pour s'assumer elle-même, et que mon père biologique faisait partit d'un groupe de dealeur de drogues. Rien de très spécial quand on y pense. Il s'agissait simplement de deux bouffons incapables de sortir de leur quotidien pour devenir des gens biens. « Si jamais je venais à mourir ici, j'espère simplement que personne n'adoptera ma fille. Qu'elle comprenne par où je suis passée, ce que j'ai vécu, et pourquoi j'en suis venue à ça. » Elle n'avait jamais pu ressentir le sentiment de déception face à mon adoption, parce qu'elle n'était pas assez mature pour s'abstenir de se battre avec les autres. Pourtant, elle serait contente de savoir que je n'ai jamais eu la petite vie de princesse qui la répugnait tant que je puisse obtenir. Non, loin de là. En refermant son dossier, j'ouvrais le mien. Je n'étais jamais allée en prison, mais ce n'était pas pour autant que je n'avais pas un passé chargé en émotion. « Fracture de l'os du sternum et de la clavicule gauche. Fémur cassé suite à de nombreux coups reçues. » Lorsque je n'avais que dix ans, j'ai été victime d'une agression avec ma mère adoptive. Les deux hommes m'avaient, ainsi qu'elle, tabassée sans demander leur reste pour pouvoir voler nos sacs ainsi que notre dignité. Je me souviendrais toujours du moment où je me suis rendue à l'hôpital et que cet infirmier me regardait avec peine, comme si j'allais mourir ou quelque chose comme ça. Il n'avait jamais arrêté de suivre mon dossier pour voir les avancer. Il était même venu le jour de ma sortit pour me remettre une fleur et dire que quand les horizons deviennent plus sombres, il y a toujours de l'espoir quelque part. J'étais jeune, je croyais encore à toutes ces choses, le bien, le mal. Mais, tout ça est bien terminé maintenant. Réellement. « Traces évidentes de violes. Des analyses revenue positive lors du premier jour. La patiente se montre incapable d'être touchée, et refuse toute nourriture venant d'un homme. » Je n'avais que seize ans. Je ne savais pas encore si j'allais restée dans cet état toute ma vie où si j'allais un jour pouvoir m'ouvrir aux autres. J'avais peur de tout ce qui m'entourait. Que ça ressemble à des gestes tendres d'affection, ou que ça soit un simple bonjour au loin. Je refusais de sortir sous prétexte que j'étais trop occupée, mais jouer à la balle dans l'arrière cour de votre maison en regardant cinq à six fois autour de vous avant d'envoyer le ballon et de recommencer l'action, ce n'est pas aller bien et encore moins être occupée. J'étais mal, et ça avait duré jusqu'à mes dix-sept ans, où j'ai commencée ma crise d'adolescente. Mes parents n'en pouvaient plus de moi, j'avais de très mauvaises fréquentations et l'homme qui partageait ma vie en était la preuve vivante. « Délit mineur non retenu. » J'étais insultante, je volais ce qui me faisait plaisir, je commençais à fumer mes premiers joints et à boire mes premières bouteilles d'alcool. Tout c'est terminé le jour où j'ai finit par déménager à Boston. Mon père ayant demander sa mutation ça allait de soit que j'allais devoir le suivre si je ne voulais pas me retrouver dans la rue. Mais bien entendu, je ne souhaitais absolument pas devoir me nourrir à même le sol et fouiller dans des poubelles pour trouver des conserves de raviolis périmées, alors j'avais fait mes bagages, et ma vie prenait un nouveau tournant. Sur le sol américain, j'étais un véritable petit ange. Je fumais et buvais toujours autant, mais je me cachais beaucoup plus qu'auparavant. J'avais des notes magistrales au grand étonnement de mes parents qui montraient leur fierté de plus en plus. J'ai décidée de rejoindre Harvard le jour où je suis allée visitée leur campus. Tout était si authentique, j'étais aux anges. Je ne savais pas si j'allais un jour pouvoir me pardonner si je n'étais pas rentrée dans cet établissement. Surtout quand on sait que durant des mois je ne faisais que bosser pour avoir le meilleur résultat possible à mon SAT. J'avais tout fait pour passer les admissions au la main, et même si mes parents étaient incroyablement confiant, je ne l'étais pas du tout. J'ai toujours été très stressée dans mes choix de projet. Et Harvard en faisait partit. Je le considérais à l'époque comme un projet, parce que je ne me voyais pas aller dans une université autre, quand celle-ci était largement la meilleure. Alors oui, maintenant ça fait quelque temps que je suis ici, entre les murs de cet merveille, et je m'y plais plus que tout. Harvard est sans aucun doute, l'une des plus belles choses qui me soient arrivées dans la vie. Avec, bien sûr, la trouvaille de ma famille d'accueil, et ma passion pour la danse contemporaine et classique qui rythme mes journées et mes nuits. 
