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The only heaven I'll be sent to is when I'm alone with you ► Noara ♥

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The only heaven I'll be sent to
is when I'm alone with you

— Noara

Avachie dans mon canapé, je caressais distraitement Lucifer qui s'était blotti contre mon ventre, mes yeux fixés vers la télé.. que je ne regardais même pas. Noah allait certainement arriver d'une minute à l'autre, et je n'avais rien fait. Presque volontairement. Presque par provocation aussi, comme si je pouvais ainsi lui montrer que je n'avais pas passé le reste de la journée à me tordre le ventre à penser à lui, à comment il serait habillé, à quel regard il poserait sur moi cette fois ou au simple fait que j'allais le voir. Chez moi. J'avais du mal à y croire moi même tellement je faisais rentrer peu de gens ici. A présent il avait mon adresse, il saurait exactement quel escalier prendre, quel couloir et.. ça me faisait extrêmement bizarre. Notre dernière dispute à la soirée des Lowell et des Cabot m'avait perdue, encore un peu plus. Parce que malgré la colère, la déception.. je n'avais pas réussi à le rejeter. Le pire ? Il n'avait même pas cherché à venir vers moi. C'était moi qui était venue vers lui. Ce que je ne faisais presque jamais habituellement. Et quand j'y pensais, j'avais juste son sms qui se répétait comme une litanie dans ma tête: Parce que je suis fou de toi Lara. Comme à chaque fois, je sentais cette vague de chaleur envahir mon corps sans que je ne puisse me contrôler, et je me passais la main dans les cheveux comme pour m'éclaircir les idées. Stop. Fallait que j'arrête avec ça. Fallait que j'arrête de.. me sentir aussi accro. Oui, je crois que j'étais accro. Et c'était pas bon, pas bon du tout. Au fond, il ne me tardait qu'une chose: le revoir. Que ce soit pour l'embrasser ou le frapper pour m'avoir traitée de traînée. Je.. ne savais plus. Je ne savais même pas dans quelle optique j'étais, simplement perturbée de me rendre compte à quel point il pouvait occuper mes pensées. Et à quel point la simple idée qu'il parte quelques jours pour Amsterdam créait un vide là, dans ma poitrine. J'étais tarée. C'était pas possible d'être comme ça. Délicatement, je déplaçais Lulu qui commençait à se réveiller pour m'extirper du canapé et aller me servir un verre de vin. Il allait dire que j'avais commencé à boire sans lui, mais tant pis. En passant devant miroir, je me stoppais quelques secondes, me disant que j'aurais vraiment pu faire mieux. Un pantalon legging, un pull lâche et mon écharpe autour du coup.. Ouais, pas vraiment la tenue digne d'un rencard. Peut-être même que j'allais réussir à le faire fuir. Et actuellement, je n'arrivais pas vraiment à savoir si c'était un mauvais ou un bon point. J'ouvrais mon placard, attrapant un verre quand la sonnette retentit. Et.. je m'en voulais immédiatement en sentant mon coeur s'emballer dans ma poitrine. Posant le verre sur le plan de travail, je passais nerveusement ma main dans mes cheveux, et descendais l'escalier du loft qui menait à la porte d'entrée. Et j'ouvrais directement la porte, pour éviter ce moment où j'allais encore me poser tout un tas de questions.



@Noah Arjen d'Aremberg
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Dire que j'étais paumé était un euphémisme. Je n'avais absolument aucune idée de ce qui était entrain de se passer avec Lara, pas plus que je ne comprenais l'effet de plus en plus profond qu'elle me faisait. Nous avions couchés ensemble, ça aurait dû tout arrêter. J'aurais dû partir en courant, au mieux, me lasser d'avance, garder son image fascinante au rang de simple fantasme, le dénaturer, et faire comme si ça n'avait jamais existé. Sauf que c'est le stricte inverse qui s'était passé. J'avais le souvenir de sa peau dans ma peau, ça m'épuisait, d'y penser tout le temps, inlassablement. Lara était entrain de me rendre fou, véritablement fou, et j'crois que rien n'aurait pu apaiser ce sentiment. Il est à la hauteur de ce que je commence à éprouver pour elle, et ce que j'éprouve est ... effrayant. Trop grand. Le bal des Lowell m'a laissé à la bouche un gout affreux d'inachevé. Ou de pas assez. Quitte à se détruire, autant le faire pour de vrai. Je me suis emporté quand j'ai compris sa relation avec le mec qu'était venu lui parler. Et au fond de moi, je le sais. Que ce mec, je n'en ai rien à faire. Que ce qui me met en rage, c'est la simple idée qu'elle puisse avoir une vie en dehors de moi. Je voudrais qu'elle souffre comme je souffre d'avoir craqué sur elle. Qu'elle pense à moi comme je pense à elle, nuit et jour, jour et nuit, à s'en exploser le crâne contre les murs de pierres. Et dans cette torpeur grandiloquente c'est la peur de la perdre qui s'installe vraiment. Celle de la voir me tourner le dos, celle de me dire comment est-ce que j'arriverais à poursuivre mes jours si elle n'était plus là pour les partager. Pauvre con, t'es entrain de te laisser tomber et tu vas te ramasser. Je lui en ai voulu. Comme je lui en ai voulu depuis le début, du simple fait d'exister, du simple fait d'être elle, cette insolence indomptable qui ne pourra jamais me calmer, parce que la soif que j'ai d'elle est insondable. Mais à ma grande surprise, alors même que je l'avais traité de traîné, alors même qu'inconsciemment je cherchais tous les prétextes pour la faire me détester pour de vrai, elle était revenue. Par un message, et moi qui lui avouait la folie qui me guettait de m'être si fort accroché à ses yeux. Je décolle bientôt pour Amsterdam. Je ne le dirais jamais à voix haute, mais la perspective de passer ne serait-ce que quelques jours loin de l'endroit où elle se trouve me rend complètement malade. Elle avait proposé qu'on se voit avant mon départ. Me voilà en marche pour son appartement. Comme si tout à coup, nous étions devenus un de ces duos d'adolescents, à se donner des rendez-vous, faire ces trucs que les couples font. J'ai eu un relan à cette simple pensée. Mon trench ajusté sur un costume bleu nuit, mon visage assez fatigué, je cherche des yeux le numéro de son bâtiment, un paquet de bonbons nounours à la main. Et à mesure que j'avance, mes pensées cognent de plus en plus fort dans ma tête. Je lui en veux. Et le pire. C'est que je sais que c'est faux. C'est à moi que j'en veux. Je voudrais m'arracher la langue de l'avoir insulté, parce que Lara n'est pas ce genre de filles que j'ai eu coutume de côtoyer. Voyez, même dans les tréfonds de mon esprit, elle réussit à me faire me détester. Je devrais la haïr. Pourtant je soupire, en tombant nez à nez avec l'entrée de son immeuble, parce que tout ce qu'elle fait, et même tout ce qu'elle ne fait pas, me fait encore plus craquer. Je monte l'escalier après un couple qui sortait, au moins je n'ai pas eu besoin de sonner. Presque soulagé de ne pas avoir eu à affronter sa seule voix à l'interphone. Mes yeux s'arrêtent sur ce couple, je ne sais pas s'ils l'envient ou le méprisent. Je secoue la tête, durcit mes traits, et monte jusqu'à la porte indiquée. Il faut se presser, ne pas s'arrêter, ne plus réfléchir. Et tant pis Noah, tant pis. T'es condamné, autant commettre le crime. Je frappe une fois. Une seule fois. Quelques secondes à peine et la porte vole sur une Lara encore plus belle que la dernière fois que je l'ai vu. Mon souffle se coupe et mes yeux gagnent instinctivement les siens. Mon visage dur s'est attendrit instantanément. En fait, je crois que je pourrais me mettre à chialer. Parce qu'elle m'a manqué, qu'elle me manque toujours, et que ça ne va jamais s'arrêter. J'regagne mes esprits aussi vite que je le peux, avant de réussir à parler. D'une voix neutre, sans détours : "Avant que je n'entre, je voudrais ... que tu m'écoute, une seconde". Mes épaules s'affaissent, ma voix se baisse. C'est le genre de choses que je ne fais jamais, alors je ne sais pas pourquoi là, j'en ressens le besoin. C'est putain de différent avec elle, je n'arrive même pas à jouer les connards imparfaits. J'suis juste lâche à moi-même, incapable de lui mentir, incapable de me mentir quand il s'agit d'elle : "Peu importe ce qu'il s'est passé pendant ce bal, je n'avais pas le droit de t'insulter. Et ... Je n'ai pas de justification, c'était ...", mes yeux se baissent sur sa gorge, son écharpe, pour éviter les siens : "stupide." Et se lèvent à peine au plafond : "Je fais pas mal de choses stupides ces derniers temps, mais ...". Et se reposent sur elle : "Je n'ai pas envie de te laisser croire que c'est ce que je pense de toi. Alors ... je te demande pardon ...", presque timide, faussement nonchalant dans son haussement d'épaule. Pause. A peine de silence. Et pour rattraper le bruit qui ne court pas, je lui tends précipitamment le paquet de bonbons : "Peut-être qu'un jour je finirais par t'offrir des fleurs".


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— Noara

Je me maudissais dès l'instant où mes yeux se posaient sur lui. Parce qu'en une fraction de seconde, je prenais pleinement conscience de la facilité avec laquelle il pouvait me faire perdre mes moyens. Même ainsi en restant silencieux, en plongeant simplement son regard dans le mien. Je le trouvais diablement beau dans son trench et son costume bleu, me faisant me sentir encore plus ridicule à côté de lui avec ma tenue digne d'un dimanche soir à traîner chez soi. Mes sourcils se fronçaient malgré moi de désarroi en prenant conscience de tout ça de... tout ce qu'il pouvait m'inspirer. De la culpabilité qui était toujours présente alors qu'au fond, je savais que je ne devais pas me reprocher d'avoir couché avec mon ex. Du moins, pas vis à vis de Noah. De la peur, encore et toujours, de voir à quel point je sentais cette alchimie entre lui et moi sans qu'un mot ne soit prononcé. Mon coeur s'emballait dans ma poitrine, comme si mon corps essayait de manifester une fois de plus combien il avait pu me manquer durant ces quelques jours. Combien j'avais pensé à lui, à sa voix, à ses mains, à son dos, à ses lèvres sur les miennes, à... beaucoup trop de choses le concernant. Mais aussi à notre altercation qui ne m'avait pas laissée indemne. Je voulais qu'il arrête de me regarder comme ça, avec ses yeux là. Et en même temps, j'aurais voulu qu'il ne s'arrête jamais et surtout, qu'il ne pose ce regard sur aucune autre. Mon visage se détendait au fur et à mesure de ses paroles, bien que submergée parce tout ce que je pouvais ressentir. Je crois qu'il arrivait à me toucher. Réellement. Peut-être parce que j'avais été véritablement blessée par ses mots, blessée dans mon égo mais surtout, d'avoir imaginé qu'il avait pu penser ça de moi. Que j'étais une traînée. Une fille facile. Que lui et moi dans sa chambre d'hôtel la dernière fois, c'était juste un coup comme ça comme je pouvais en avoir d'autres alors que c'était tellement loin de la réalité.. Et savoir que ce n'était pas le cas m'enlevait littéralement un poids de la poitrine, comme si soudain, je prenais conscience de sa présence. Je voyais bien son malaise derrière son air faussement nonchalant mais, je le prenais comme une petite vengeance. Je ne disais rien, réfléchissant à toutes les façons possibles et imaginables que j'avais à ma disposition pour l'envoyer chier royalement. Mais aussi à ce sms que je lui avais envoyé, en me dévoilant, même un peu, alors que je ne le faisais jamais. J'étais certainement idiote. Mais je ne voulais pas lutter contre ce qu'il se passait au fond de moi. Je retenais un sourire en voyant le paquet de nounours qu'il avait apporté, et je râlais contre lui de voir à quel point il arrivait à me faire craquer, à chaque fois. « Je te pardonne » dis-je simplement. J'attrapais le paquet sans rien dire, mes yeux toujours dans les siens, prenant un air fier un poil sur-joué. « Peut-être que j'accepterai de les partager.. » dis-je l'air indécise, collant le paquet contre ma poitrine dans un geste possessif. Puis je me décalais légèrement, l'invitant à entrer.

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Ce qu'elle est belle putain, c'est insoutenable. A chaque fois que je la vois, elle est de plus en plus sublime et quand je ne la vois pas, je l'imagine, et c'est pire. Est-ce qu'un jour mes yeux finiront par se taire ? Est-ce qu'un jour j'arrêterais d'avoir le cœur serré quand j'croise son regard ? C'est intenable. Et ça me donne envie de rire. De rire, parce que, putain, je suis un cancre, un sale adolescent attardé et elle ne vaut guère mieux. A parler par détour, à bouder l'amour même quand il se pointe sous notre nez. Va te faire voir Noah avec tes mélodrames à deux balles, ferme ta gueule, excuse toi. Je dois le faire, je le sais. Pas pour elle, pas pour moi, parce que c'est comme ça. Que je culpabilise, que je ne pense pas un traître mot de ce que j'ai pu lui balancer et que l'idée de la perdre m'est devenue insupportable. J'peux pas la perdre, j'ferais quoi sans elle moi ? J'veux dire, sans m'en rendre compte, tout, absolument tout, s'est mis à tourner autour d'elle, de son visage, de sa bouche, de ses cheveux. Mon dieu ses cheveux, même ses cheveux j'suis amoureux. J'voudrais la gifler. Surtout quand elle joue les hautaines pour me déstabiliser. J'roule des yeux au ciel sur-jouant les mecs blasés alors que franchement, je le sais, je ne suis pas en position de faire le malin : "Peut-être ?", la défiais-je d'un sourcil arqué avant de laisser un rire timide, amusé, gêné m'échapper. Mes mains enfoncées dans les poches de mon trench pour éviter qu'elles ne tremblent de trop, j'entre dans la pièce quand elle m'y laisse un passage. L'envie dévorante de lui arracher un baiser, de l'embrasser fougueusement là, maintenant, contre cette porte, pour qu'enfin mon ventre arrête d'hurler. Je me retiens. Je suis frustré. Fait mine de regarder la pièce autour de moi réalisant tout à coup qu'il s'agit de l'appartement de Lara. Que tout ce que j'y vois sont des morceaux d'elle, que j'entre dans son intimité, dans sa vie. Debout, au milieu de la pièce, je tourne la tête vers elle : "C'est donc ça le manoir de Lara Kovalenka ?". Je pivote vers elle complètement avant de reprendre, en riant légèrement : "Et dans quelle pièce tu cache tous les cadavres que tu dévore ?". Vampire, t'es un vampire Lara, t'aspire tout de moi comme si je ne pouvais exister que par toi. Un pas vers elle, je poursuis : "Tu me fais visiter ?". Mes yeux se plantent de nouveau dans les siens. A la recherche de cette complicité subtile qui n'a jamais eu besoin de mots pour s'exprimer. J'veux dire, nos yeux ont toujours parlé entre eux sans qu'on n'ai eu à les contrôler. Et là, les miens sont entrain de lui dire à quel point elle leur a manqué.


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— Noara

Son regard me déstabilisait, faisant tomber le peu de certitudes que je m'étais imposées avant son arrivée. Ses lèvres s'animaient sous ses mots, me donnant l'envie furieuse d'y coller les miennes sans tergiverser davantage. Une telle attraction n'était pas normale ou.. logique. Et moi qui avait parfois l'esprit si cartésien restait toujours aussi déstabilisée par l'effet que Noah me procurait. Il me taquinait, encore, et je ne parvenais pas à cacher ce sourire qui naissait au coin de mes lèvres alors que tout aurait du me pousser à l'envoyer balader. Peut-être répétai-je haussant un sourcil. Ca dépend si tu es sage dis-je, malicieuse, me plaisant à lui sortir cette phrase qu'on donnait aux enfants comme une litanie. Je m'écartais, laissant Noah grimper l'escalier qui menait directement au loft avant de refermer la porte derrière lui et de le suivre. Il s'arrêta dans la pièce principale, soit un salon salle à manger donnant sur une cuisine ouverte a la déco très industrielle, soulignée par le mur de brique qui s'étalait sur toute la longueur de la pièce. Mais le plus attrayant restait l'immense baie vitrée qui s'étirait sur le fond de la pièce, permettant d'accéder sur le balcon et qui surtout offrait une vue splendide sur la ville de Boston, plongée dans le noir et scintillant dans la nuit. Tu t'attendais réellement à un manoir ? demandai-je en appuyant mes hanches contre la barrière de l'escalier, l'observant en croisant mes bras. C'était tellement étrange pour moi de le voir ici. Peu de personnes avaient accès à mon appartement. Parce qu'il représentait une part de moi et comme toute chose me concernant, je n'aimais pas le dévoiler. Mes yeux glissaient sur son dos, sur cette silhouette qui me fascinait lorsqu'il pivota à nouveau vers moi, le sourire aux lèvres. Pourquoi est-ce qu'il était aussi beau ? Un sourire malicieux étirait mes lèvres à ses paroles, le regardant approcher sans ciller. Je ne vais pas te le dire, sinon tu vas prendre peur au moment où je voudrais te dépecer dis-je en haussant un sourcil. Peut-être qu'il allait réellement flipper. Et ça m'amusait beaucoup. Son regard dans le mien, je me rendais compte à quel point il m'avait manqué. Combien je n'avais pas arrêté de penser à lui et.. à ce moment où je pourrais enfin l'avoir face à moi, physiquement. Où je pourrais le toucher. Et cette simple pensée parvenait à me nouer l'estomac, bien plus heureusement de le retrouver que je ne le pensais au départ. Mon regard dans le sien, je finissais par lui passer devant, effleurant son corps dans une espèce de tension que je ne parvenais pas à occulter. Tu as vu le salon.. dis-je en me tournant vers lui, tout en avançant vers le fond de la pièce, mes yeux passant rapidement de l'immense canapé très cocoon à la bibliothèque qui débordait de tout un tas de livres. Ce n'est pas très grand en réalité. Les toilettes dis-je en désignant une porte. Ma chambre.. dis-je en ouvrant la porte qui donnait sur une large pièce, équipée d'un dressing à faire baver toute femme qui se respecte. Du coin de l'oeil, j'observais les réactions de Noah, comme si je pouvais ainsi parvenir à percer ses pensées mais.. en vain. Et la salle de bain dis-je en pénétrant dans la pièce avec le sourire. Difficile de cacher à quel point j'aimais cette pièce. Ou les baignoires, tout simplement. Et quand on voyait la taille de la baignoire d'angle qui trônait littéralement dans un coin de la pièce ainsi que les différents sels de bain qui la ornaient, c'était difficile de ne pas le comprendre.

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