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Leanne & Jarod
Bah alors on reconnait pas sa soeur ?
15 décembre 2016, caserne de pompiers. Une nouvelle nuit à passer à la caserne, une nouvelle nuit de service. M'enfin c'était le risque quand on était bénévole et surtout à l'approche des fêtes, il y avait de plus en plus de blessés et il fallait avoir du renfort au cas où un incendie ou un accident arriverait. Après tout, ce genre de choses était si vite arrivé. Certes Noel n'était que deux bonnes semaines mais voilà, en tant que pompier, il faut savoir être sur le qui vive à tout moment. Un peu comme lorsque tu travailles à l'hôpital en somme. Je me trouvais donc à la caserne en tenue plutôt décontractée à ranger un peu le bazar que les mecs avaient mis quelques minutes plus tôt et avant d'aller me reposer un peu. Pourtant j'étais loin de me douter que j'allais retomber nez à nez avec mon frère jumeau. Je sais pourtant qu'il travaille ici en tant que pompier aussi, c'est d'ailleurs un peu ce qui m'a poussé à me porter volontaire dans cette caserne mais voilà 7 mois sont passés depuis mon départ de Boston et autant dire que j'appréhende mes retrouvailles avec lui. Malgré tout, je reste naturelle à vaquer aux tâches qe mes charmants collègues hommes refusent de faire car ils savent que je suis ici, attendant d'entendre mon prénom sans doute.
AVENGEDINCHAINS
@Jarod N. Sullivan
15 décembre 2016, caserne de pompiers. Une nouvelle nuit à passer à la caserne, une nouvelle nuit de service. M'enfin c'était le risque quand on était bénévole et surtout à l'approche des fêtes, il y avait de plus en plus de blessés et il fallait avoir du renfort au cas où un incendie ou un accident arriverait. Après tout, ce genre de choses était si vite arrivé. Certes Noel n'était que deux bonnes semaines mais voilà, en tant que pompier, il faut savoir être sur le qui vive à tout moment. Un peu comme lorsque tu travailles à l'hôpital en somme. Je me trouvais donc à la caserne en tenue plutôt décontractée à ranger un peu le bazar que les mecs avaient mis quelques minutes plus tôt et avant d'aller me reposer un peu. Pourtant j'étais loin de me douter que j'allais retomber nez à nez avec mon frère jumeau. Je sais pourtant qu'il travaille ici en tant que pompier aussi, c'est d'ailleurs un peu ce qui m'a poussé à me porter volontaire dans cette caserne mais voilà 7 mois sont passés depuis mon départ de Boston et autant dire que j'appréhende mes retrouvailles avec lui. Malgré tout, je reste naturelle à vaquer aux tâches qe mes charmants collègues hommes refusent de faire car ils savent que je suis ici, attendant d'entendre mon prénom sans doute.
- légende:
"paroles du perso"
@Jarod N. Sullivan
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pas sa soeur ? ❞
LEANNE & JAROD.
« Mec, faut que tu fasses ton retour et en plus on a une surprise pour toi ! » J’avais froncé les sourcils en lisant le texto d’un de mes collègues, clairement la surprise puait, je les connaissais trop bien. J’avais été en quelque sorte mis à l’écart de la caserne pendant quelque temps, une sorte de mise à pied non voulue à cause des récentes accusations qu’on avait portées sur moi. D’après certains enquêteurs et journalistes, j’avais allumé les feux qui avaient engloutis certaines des maisons d’Harvard. C’était totalement insensé et mes collègues n’étaient pas dupes, cependant aux yeux de la direction, tant qu’il y avait des charges contre moi, je devais me tenir à l’écart. Heureusement que j’avais décidé de tenter de rester en cours, du moins jusqu’à la fin de l’année car sans mon travail, je tournais en rond jusqu’à péter un plomb. J’me décidais donc à foncer à la caserne, ce foutu trajet comptait trop. Bien sûr toutes les accusations n’étaient pas encore levées mais j’m’en foutais, je ressemblais à un lien en cage sans mon travail. Après un long trajet à pied, j’entrais dans la caserne tel un conquérant, je saluais chacun de mes collègues tout en accusant certaines blagues que j’aurais pu mal prendre, mais je ne m’arrêtais pas à ça. « Il y a une petite nouvelle, elle est très mignonne, va voir. » J’esquissais une grimace avant de continuer ma route vers celle nouvelle coéquipière, légèrement poussé par mes collègues je dois dire. D’un coup, je m’arrêtais de dire, je me figeais et je laissais tomber mon sac à terre. « Leanne ! » Je me dirigeais presque en courant vers elle et je l’attrapais dans mes bras afin de la serrer.
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Leanne & Jarod
Bah alors on reconnait pas sa soeur ?
15 décembre 2016, caserne de pompiers. Etre pompier bénévole n'avait jamais été une vocation pour moi, du moins pas autant que d'être pédiatre. Et pourtant en 7 mois, j'avais tourné le dos à la médecine pour le droit mais sans renier mon premier amour complètement puisque j'avais envie de me rapprocher un peu de mon jumeau en travaillant avec lui. Certes je n'étais qu'un pompier bénévole mais aux yeux des collègues de la caserne, j'étais la petite nouvelle et tout prétexte était bon pour me charrier. Mais cela ne m'impressionnait guère car j'avais grandi entourée de garçons à l'orphelinat alors autant dire que j'étais pas franchement impressionnable. Et ils avaient du le remarquer car ils avaient décidés de me laisser dans mon coin. Pourtant j'étais loin de me douter qu'une surprise se profilait à l'horizon pour moi, une surprise qui n'est autre que mon jumeau. Je ne l'avais pas encore croisé depuis que j'avais commencé et arrivé dans cette caserne mais j'avais entendu parler de ces récents incendies et qu'on accusait un pompier d'avoir mis le feu. J'étais loin de me douter que Jarod avait été la cible mais j'allais très vite le savoir à mon avis. Et pour cause alors que j'étais tranquillement dans mon coin de la caserne, je vins entendre mon prénom et cette voix, je pouvais pas l'oublier de sitôt. Sauf qu'à peine venais je de me lever que je fus étouffée par un gros câlin que mon jumeau était en train de me faire. Alors je vins tenter de lui faire comprendre. "Ja ..Ja, tu m'étouffes un peu là frérot", lui fis je en balbutiant légèrement avant de reprendre après qu'il ait un peu relâché sa pression. "Wow, je pensais pas t'avoir manqué à ce point dis donc", lui dis je, ne me doutant pas encore de ce qu'il avait pu vivre en mon absence mais je me souvenais surtout d'une certaine distance à mon égard avant mon départ qui m'avait un peu déconcertée et qui me trouble encore plus avec son câlin spontané. Je vins donc attendre sa réponse.
AVENGEDINCHAINS
@Jarod N. Sullivan
15 décembre 2016, caserne de pompiers. Etre pompier bénévole n'avait jamais été une vocation pour moi, du moins pas autant que d'être pédiatre. Et pourtant en 7 mois, j'avais tourné le dos à la médecine pour le droit mais sans renier mon premier amour complètement puisque j'avais envie de me rapprocher un peu de mon jumeau en travaillant avec lui. Certes je n'étais qu'un pompier bénévole mais aux yeux des collègues de la caserne, j'étais la petite nouvelle et tout prétexte était bon pour me charrier. Mais cela ne m'impressionnait guère car j'avais grandi entourée de garçons à l'orphelinat alors autant dire que j'étais pas franchement impressionnable. Et ils avaient du le remarquer car ils avaient décidés de me laisser dans mon coin. Pourtant j'étais loin de me douter qu'une surprise se profilait à l'horizon pour moi, une surprise qui n'est autre que mon jumeau. Je ne l'avais pas encore croisé depuis que j'avais commencé et arrivé dans cette caserne mais j'avais entendu parler de ces récents incendies et qu'on accusait un pompier d'avoir mis le feu. J'étais loin de me douter que Jarod avait été la cible mais j'allais très vite le savoir à mon avis. Et pour cause alors que j'étais tranquillement dans mon coin de la caserne, je vins entendre mon prénom et cette voix, je pouvais pas l'oublier de sitôt. Sauf qu'à peine venais je de me lever que je fus étouffée par un gros câlin que mon jumeau était en train de me faire. Alors je vins tenter de lui faire comprendre. "Ja ..Ja, tu m'étouffes un peu là frérot", lui fis je en balbutiant légèrement avant de reprendre après qu'il ait un peu relâché sa pression. "Wow, je pensais pas t'avoir manqué à ce point dis donc", lui dis je, ne me doutant pas encore de ce qu'il avait pu vivre en mon absence mais je me souvenais surtout d'une certaine distance à mon égard avant mon départ qui m'avait un peu déconcertée et qui me trouble encore plus avec son câlin spontané. Je vins donc attendre sa réponse.
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