simple touch to heat the cold weather

Ma soirée était maintenant commencé. Je fermais le magasin avant de me rendre sur le campus, me changer et d'aller prendre de l'air. S'était une soirée qui était très occupé et s'était encore plus encouragent pour moi, car le temps passe beaucoup plus rapidement. Je suis maquilleuse et commis dans un magasin de cosmétique. Depuis que je suis une jeune adolescente, j'ai toujours adoré les produits M.A.C et surtout grâce à ma mère qui me laissait utiliser ses produits. J'ai du faire mes preuves pour avoir une place dans ce magasin et lorsque les filles ont entendus mon histoire, j'ai été engagé immédiatement. Je suis très reconnaissance d'avoir eu cette place. Je vérifiait les portes et le code de l'alarme avant de partir. Ma mère m'avait donné mon cadeau de noël à l'avance et je n'avais jamais rien demander à ma mère avec tout ce que j'avais surmonté durant les dernière années. Elle m'avait offert ma toute première voiture et j'étais très heureuse, mais aussi sous le choc, car je n'avais jamais pensé recevoir ça. Je répètais toujours à ma mère que je voulais un Range Rover de couleur blanc. Ce cadeau est comme mon bébé et je suis très nerveuse lorsque je me stationne. Je regarde toujours à l'entour de ma voiture pour ne pas avoir de surprise. Je ne me fais que des idées et je rentrait chez moi pour aller sous la douche. Je passais quelques minutes en dessous de la douche. J'adore l'eau chaude et même parfois brulant. J'avais déjà mis sur mon lit mes vêtements pour ce soir. Un jean pâle avec un long chandail en laîne mince. On pouvait voir mon soutiens gorge noir en-dessous, mais pas tant que ça. Je laissais mes cheveux lousse ce soir. Un peu onduler, mais c'est comme ça que je les aimes. Maquillé et prête à partir, je m'arrêtais dans un Starbuck pour me chercher un chocolat chaud au épices des fêtes. La saveur que j'aime le plus et je partie tranquille vers les jardins publique pour prendre de l'air. Un endroit que j'aime fréquenter pour me changer les idées.

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L'amitié fille/garçon, ça existe.

Ida & Kal'

C'est en mettant du bois au feu, que l'on se brûle, attise-moi donc et tu y risques... △

Les soirées de Décembre se suivent sans pour autant se ressembler. Tantôt froid, tantôt moins froid. J’essaye pour ma part d’être le plus souvent dehors afin de faire des rondes avec ma petite association qui essaye tant que bien de changer la vie des gens mais sans réel soutien financier cela sera dur de survivre dans le future. Ma vie n’est pas liée qu’à ça mais j’en suis tout de même pas mal attaché. La journée en cours, le soir avec eux et lorsque les rondes se terminent je rentre me reposer et réviser. Je sais que je n’ai que peu de temps pour moi mais certaines choses passent avant tout. Malgré tout, je tiens le coup et ce rythme de vie commence à imprégner mon corps et le temps capricieux aussi. Je n’ai pratiquement plus froid lorsqu’il fait à peine un léger froid ce qui fait que je n’ai pas besoin de me couvrir et lorsqu’il fait vraiment froid, je n’ai besoin que d’un gilet. Comme ce soir, sauf qu’il ne fait pas si froid que ça, je porte un haut à manches longues et en V avec une chemise ouverte par-dessus le tout mélangé avec un jean bleue allant avec les carreaux de la chemise que je porte, les tons se suivent. La soirée semble terminer, nous ne rôdons pas longtemps ce soir car il n’y a pas beaucoup de sans-abris, peut-être ont-ils compris l’importance de leur vie et qu’ils devaient rejoindre les endroits dédiés pour eux afin qu’ils dorment au chaud ce soir, certes ce n’est que temporaire mais va-t-il mieux ça que rien, pour l’instant. Nous nous sommes séparés et je n’ai pas eu envie de rentrer, mon désir de marcher et de penser à mes actions est encore présent, l’esprit analytique est bien trop ancré en moi. Mes pas finissent par me mener sur un banc dans le parc public et d’y réfléchir dans la nuit fraîche, regardant le ciel. Ma vie est belle quand j’y pense, même si Maman n’est plus là. Harvard est fidèle à sa réputation et ne me donne qu’une envie de la défier de front et pour ce qui est de sa population, je l’apprécie assez. En même temps, je ne suis pas difficile et assez sociable. Sur le fond, je peux m’espérer heureux d’avoir la vie que j’ai, tout le monde n’a pas eu la même chance d’aussi bien se relever sans me jeter de fleurs. Il n’est pas tard mais au fond, j’ai faim. Cette petite parenthèse sur ce banc m’a donné envie de manger et c’est donc vers la sortie que je me rends sans savoir que j’y croiserais la belle blonde, Ida. Mes pas me mène face à elle, je la regarde comme une étrangère au début qui gêne mon passage avant de la reconnaître et de sourire, je lui souris et je mime un petit coup de poing que je lui mets sur la joue, mais l’impact n’est pas un coup mais une caresse significative « C’est à cette heure-ci que vous sortez mademoiselle, t’es pas trop couverte en plus, tu veux tomber malade et me contaminer je suis sûr. » Car je le sais, je ne peux plus aller manger pas quand je tombe sur cette petite magnifique blonde, comme une petite sœur, elle a vécu beaucoup de choses mais s’est toujours relever, ça nous as pas mal rapprocher et je l’apprécie sincèrement, je finis par lui faire une accolade et la bise comme il se doit, surtout pas au coin des lèvres (a).

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simple touch to heat the cold weather

J'aime l'hiver. Étant originaire de la Suède, un grand pays hivernal et ayant des Vikings comme ancètres, j'y suis habituer à cette température froide. Ce soir, la fraicheur que je ressent à l'extérieur, nais absolument pas un problème qui ne me dérange pas du tout. Ma mère m'a toujours dit que nous étions des femmes chaudes et je comprenais très bien pourquoi elle me le répètais tout le tant. J'étais simplement bien avec mes vêtements que j'avais sur moi. Une habitude si on peut dire ça comme ça, mais aussi parce que je ne supporte pas beaucoup d'épesseur sur mes épaules. Simplement ce que je porte en ce moment avec un petit menteau fait l'affaire, mais ce soir, je n'avais pas besoin de grand chose pour me tenir au chaud. Mon chocolat chaud fait bien l'affaire. J'aime le Starbuck. Je n'ai jamais eu la chance dans profiter comme je le fais maintenant lorsque j'étais chez moi en Suède. Ma mère était beaucoup plus concentré sur des éléments biologique et parfois, rien ne goûtais ce que je pensais. J'ai été habituer trois fois à la nourriture d'hôpital et c'est devenu une habitude de ne plus la détester. Je marchais en prenant de grande respiration. J'aimais beaucoup cette senteur fraiche hivernal et surtout quand je peux sentir de la belle compagnie près de moi. Kaleb était un homme qui comptait beaucoup pour moi. Un grand-frère, un protecteur et surtout une personne que je peux faire confiance. Il m'arrive parfois d'avoir des rêves tordu et chaud avec lui, mais je ne veux pas brisé cette alliance que nous avions construit. S'il le désire, je ne refuserais pas ses avances, car je dois être franche avec moi-même, je le trouve trop sexy. "Tu as oublié que je suis une femme chaude. Je viens du pays des Vikings." dis-je avec un clin d'oeil avec le blotir dans ses bras. Je ne voulais pas renverser mon chocolat chaud sur lui, mais son odeur m'a pris par surprise. Je restait pès de lui. "hummm, tu sent bon..."

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L'amitié fille/garçon, ça existe.

Ida & Kal'

C'est en mettant du bois au feu, que l'on se brûle, attise-moi donc et tu y risques... △

La Suédoise est d’un naturelle qui me laisse plutôt pantois sur elle. Contrairement à la majeure partie des personne que je côtoie je n’essaye pas de sonder son-elle intérieure car je fais partie de son monde et elle fait partie du mien. L’analyse n’a plus besoin d’être lorsque la personne s’offre à vous sans cacher un secret, de ce fait je n’ai jamais réellement capté l’effet que j’ai sur elle et jamais vraiment fait attention à l’effet qu’elle a sur moi, respectant bien trop cette chose qui nous lie elle et moi. Lovée dans mes bras, je garde cette blonde au coin de mon bras, posant ma main dans son dos et l’attrapant par la taille, tel un couple qui vient de se retrouver. J’en souris et je sais que cette proximité peut être dangereuse et j’ai cependant toute confiance en elle et en moi. C’est peut-être déjà une grosse erreur. Mes doigts s’assurent de la température de sa peau et elle n’a réellement pas froid et au contraire, elle a chaud ce qui me rapproche d’elle car moi je n’ai pas réellement froid mais aux mains, si « Je crois que je vais venir en Suède voir comment vous tenez votre froid car j’ai toujours les mains gelés moi. Toi aussi tu sens bon, tu sors de la douche ? » Dis-je en glissant ma tête au-dessus de la sienne, ma grande taille aidant, elle sent bon le shampoing mais son odeur m’importe peu, c’est son état qui m’importe, si elle va bien ou pas, il est vrai que j’ai peut-être tendance à m’inquiéter mais je sais qu’elle m’aurait prévenu si ça n’allait pas « Alors, tu vas bien ? Les cours se passent bien ? Tu vas passer ton Noël ici ma belle ? » Enchainais-je d’un ton posé, doux, presque tendre alors que nos pas nous mènent près d’une fontaine qui ne marche pas, au clair de lune se reflétant dans l’eau, je ne bouge pas et reste contre elle, comme deux amoureux prêts à s’abandonner l’un à l’autre dans une étreinte basique mais tellement chaleureuse.

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