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Carter & Abelard
Surprise, surprise
Le nouvel an était passé, tu étais donc en deux miles dix sept sauf que tu ne savais pas comment cette année allait se passer, pour toi l’année qui venait de se terminer n’avait pas été une très grande réussite sauf ton entrée à Harvard et la découverte de ton rayon de soleil, de ta jumelle dont tu ne pouvais déjà plus te passer. Mais après, le reste n’était pas jolie, jolie autant dire que c’était merdique. Tu savais que tu parlais aussi de ta relation dedans, mais il fallait le dire, c’était plus qu’une réalité, c’était de la merde, mais tu te donnais quand même une chance, encore une fois, une nouvelle chance malgré ses erreurs, malgré le reste. Tu savais très bien pourquoi tu faisais une telle chose, parce que tu étais bien trop amoureuse de lui, plus que tu ne l’avais déjà été dans ta vie et ça te faisais peur. Peur, parce qu’il était capable de briser le cœur en une seule seconde, avant un simple mot et c’était vachement effrayant surtout pour toi. Tu étais dans un taxi en direction de l’appartement d’Abelard comme il voulait te parler, tu ne savais pas de quoi, tu avais peur que vous reparliez de ta relation, tu n’avais clairement pas envie de faire une telle chose parce que le jeune homme avait son avis, tu savais qu’il n’avait pas tort sur beaucoup de chose et tu voulais clairement éviter d’en parler en face à face. Pourtant ça ne changeais rien avec Abelard, tu l’adorais, c’était quelqu’un de bien, quelqu’un qui te faisais rire et surtout quelqu’un qui avait fait en sorte que tu te sentes mieux, que tu arrives à te sentir plus femme même parfois ce n’était pas toujours réussi, il fallait le dire. Puis votre amitié n’était pas dans le but d’avoir quelque chose par rapport à l’autre, tu ne voulais rien de lui et tu savais que tu ne pourrais lui apporter alors tout le monde était content dans cette chose entre vous.
Tu descendis du taxi après avoir payé le taxi, c’était bien la première fois que tu allais chez lui donc c’est que ça devait être important non ? Enfin tu n’en savais trop rien mais tu étais là à toquer sur sa porte à attendre que celle-ci s’ouvre pour voir le jeune homme.
AVENGEDINCHAINS
Le nouvel an était passé, tu étais donc en deux miles dix sept sauf que tu ne savais pas comment cette année allait se passer, pour toi l’année qui venait de se terminer n’avait pas été une très grande réussite sauf ton entrée à Harvard et la découverte de ton rayon de soleil, de ta jumelle dont tu ne pouvais déjà plus te passer. Mais après, le reste n’était pas jolie, jolie autant dire que c’était merdique. Tu savais que tu parlais aussi de ta relation dedans, mais il fallait le dire, c’était plus qu’une réalité, c’était de la merde, mais tu te donnais quand même une chance, encore une fois, une nouvelle chance malgré ses erreurs, malgré le reste. Tu savais très bien pourquoi tu faisais une telle chose, parce que tu étais bien trop amoureuse de lui, plus que tu ne l’avais déjà été dans ta vie et ça te faisais peur. Peur, parce qu’il était capable de briser le cœur en une seule seconde, avant un simple mot et c’était vachement effrayant surtout pour toi. Tu étais dans un taxi en direction de l’appartement d’Abelard comme il voulait te parler, tu ne savais pas de quoi, tu avais peur que vous reparliez de ta relation, tu n’avais clairement pas envie de faire une telle chose parce que le jeune homme avait son avis, tu savais qu’il n’avait pas tort sur beaucoup de chose et tu voulais clairement éviter d’en parler en face à face. Pourtant ça ne changeais rien avec Abelard, tu l’adorais, c’était quelqu’un de bien, quelqu’un qui te faisais rire et surtout quelqu’un qui avait fait en sorte que tu te sentes mieux, que tu arrives à te sentir plus femme même parfois ce n’était pas toujours réussi, il fallait le dire. Puis votre amitié n’était pas dans le but d’avoir quelque chose par rapport à l’autre, tu ne voulais rien de lui et tu savais que tu ne pourrais lui apporter alors tout le monde était content dans cette chose entre vous.
Tu descendis du taxi après avoir payé le taxi, c’était bien la première fois que tu allais chez lui donc c’est que ça devait être important non ? Enfin tu n’en savais trop rien mais tu étais là à toquer sur sa porte à attendre que celle-ci s’ouvre pour voir le jeune homme.
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