Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility« Blood of my blood. » - Broooo
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« Blood of my blood. » - Broooo

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Parce que t'es le sang !

   
Je suis ici depuis Septembre et malheureusement, le changement de lieu de vie, le temps de prendre ses petites habitudes et les allers/retours entre Boston & New-York sont assez prenant, tout ça pour dire que je ne vois pas mon frère assez. Cependant j’ai trouvé le temps pour l’association alors je le trouverais bien pour mon frère, même si j’appréhende la rencontre. Il va m’en vouloir et je le sais, mais ce n’est pas une raison pour lui rentrer dans le lard avec une certaine subtilité. Tant de plans pour éviter tout simplement la dispute accidentelle. Après ce que nous avons traversés il est rare que nous ayons une dispute, mais ça n’est pas exclu. Par exemple quand il buvait trop et que ça m’énervait, on avait failli en finir aux mains, c’est vrai, même si c’est mon big brother, physiquement, j’ai eu plus de chance que lui. Bon, il est beau gosse et tout ça mais je suis plus grand et j’ai bien bossé pour être encore mieux foutu qu’avant et toc le grand frère. Non, bien sûr, il n’y a pas de compétition entre Devan et moi, il ne manquerait plus que ça pour créer une apocalypse complète entre les deux. Vous voyez un peu les frères Winchester dans Supernatural ? C’est nous. Je suis là, devant sa porte et je ne toque pas. J’attends. Je finis par m’impatienter de ma lenteur et toque énergiquement trois fois. Les bruits de pas arrivent derrière la porte et m’ouvre enfin. Je souris à mon frère avant de lui sauter dessus, après avoir bien vérifié s’il n’était pas à poil ou accompagné d’une nana. « Muahahaha. Avant que tu ne dises quoi que ce soit, j’avais des cours et des nanas maiiiiiiiiiiiis je suis là et aujourd’hui on parle bro’. T’as pas le choix car je ne te le laisse pas. » Bah ouais. Par contre je crois que j’ai zappé qu’il ne vivait plus seul et surtout qu’il s’était remis avec une nana que je n’apprécie plus trop. Mais pour l’instant je suis dans le moment et j’ai bien oublié tout ça ! Alors rappelons-nous plus tard ! Bon, il va me gronder quand il va entendre que j’ai été avec des nanas mais vu nos physiques avantageux que notre père nous as donnés –on lui doit bien ça- on peut en profiter parfois, non ? Je finis par aller dans la cuisine sans l’attendre, il doit être en train de déjeuner en même temps il est 9h00 ce samedi (a).
   
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Blood of my blood.
— with @Kaleb Newman

Je suis moi aussi pas mal occupé avec mon éventuelle ouverture du complexe sportif que j'ai pas vraiment de temps pour moi. Randy a repris l'école et Crystal est occupé elle aussi avec son job, je crois qu'elle a signé pour un nouveau contrat de pub et donc je risque d'être souvent seul à la maison et j'avoue que en ce moment ça m'arrange pas mal. Je vois mon projet prendre de plus en plus forme et avec Milo je sens que nous allons faire un duo de choc, je ne me voyais pas l'ouvrir sans lui de toute façon. Puis quand je suis occupé à ça je ne pense pas à boire, oui parce que je me suis remis à boire mais cette fois en toute discrétion, j'ai besoin d'évacuer et de ne pas penser à cet énorme mensonge que je dissimule à Crystal. Je suis assis sur une chaise dans le salon et j'ai éparpiller un peux partout sur la table les documents de ce projet fou, je me suis même découvert des talents de dessinateur, j'ai fais des croquis de ce qui pourrait être notre futur enseigne et je suis plutôt fière de moi parce que ça rend vraiment bien. Le crayon de papier dans la bouche, je me gratte la tête essayant de corriger certain défauts de ce croquis, lorsque j'entend quelqu'un frapper à la porte, je regarde la porte pensant qu'il s'agis de la nounou et Randy, peut être qu'elle à oublié quelque chose, j'espère que non sinon mon gamin va être en retard à l'école. Je me redresse et m'approche de la porte pour l'ouvrir et découvrir qu'il s'agis de mon frère. Un large sourire s'affiche sur mon visage et l'attrape lorsqu'il me saute dessus, il a toujours fais ça et j'aime que ça n'est pas changé.
On ne se voit pas beaucoup depuis qu'il est de retour, mais je ne suis jamais sans lui écrire histoire de prendre de ses nouvelles et surtout pour savoir comment ce passe ses cours, je tiens à ce qu'il réussisse son année et je compte y surveiller de prêt. "Tu fais bien de te justifier, parce que je t'aurais renvoyer un coup de pied au cul direction l'université." J'ai ce côté protecteur avec lui, le côté papa que notre père biologique n'a pas eu et lorsque notre mère est morte, ça c'est amplifier, bien que Caleb tenait ce rôle à la perfection, j'ai jamais pu m'empêcher de le protéger, comme j'ai protéger ma petite soeur. "Tu descend de mes bras ou il faut que je te porte jusqu'au salon." A peine fini ma phrase qu'il est dans la cuisine, je sais ce qu'il veux, vue l'heure je peux comprendre et avec tout ça j'ai oublier de déjeuner. "Tu as faim je présume?" Je le rejoins et prend des oeuf et bacon pour nous faire à manger. Je suis tellement fatigué que j'ai laisser Crystal s'occuper de Randy pendant que je dormais. Heureusement pour moi elle n'a pas chercher à savoir quoi que ce soit.

© SEAWOLF.
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@Devan R. Newman
   
Le petit et le grand, enfin ensemble. Oui, nous avons toujours été complice et protecteur l’un envers l’autre, même si nous n’avons jamais eu besoin de nous protéger l’un ou l’autre, à croire que nos carrures donnent un certain découragement aux personnes mal intentionnés. Malgré ça, c’est dans notre sang, dans notre éducation de veiller les uns sur les autres afin de ne plus connaître la même douleur que nous avons connu par la disparition de Maman. Rapidement je me retrouve dans ses bras parce que je le veux et lui me réceptionne, comme il doit en avoir l’habitude en faisant crac-crac avec des nanas, le bougre ! Mon sourire répond au sien et je n’attends pas réellement qu’il soit prêt pour investir son domaine. Je me retrouve dans la cuisine, des croquis un peu ici et là et d’autres sont de simples documents administratifs. Je sais qu’il m’a parlé d’un projet qu’il était en train de faire mais je ne me rappelle plus s’il m’en avait parlé plus que ça. Mes yeux volent sur les pages à la recherche d’un indice et finit par tomber sur l’enseigne qu’il a surement dessiné lui-même. Devan est quelqu’un de très engagé lorsqu’il a une idée en tête, sa persévérance est plus forte que la mienne et sur cet exemple que je suis parti  à la base même si je dois suivre mon propre chemin, l’ombre d’un grand frère est toujours présente, voir pesante quand on est ado et que l’on veut de l’émancipation. L’exemple et l’ombre, tels sont les devenir d’un grand-frère, pour son petit-frère. Maintenant, c’est tout simplement mon grand-frère, mon futur entrepreneur qui construit sa vie pour son fils, je suis fier de lui, plus que je ne lui dis. « Hmm.. C’est pour la salle de sport ? –Puis me rappelant ce qu’il a dit – Tu oserais croire que ton petit frère s’occupe de demoiselles plutôt que de ces notes, je ne vois pas de qui tu parles du tout. » Dis-je d’un ton tout à fait réfléchi, comme si je n’avais pas oublié car je n’ai pas tout oublié, nuance ! Et puis, m’occuper de jeunes filles c’est tout simplement de l’aide, je suis de nature généreuse de base en grandissant, ça n’a pas changé. Les détails resteront pour ma part dans ma poche et rien ne sera révéler mise à part s’il demande explicitement les choses : mentir à son grand-frère quand il vous pose une question précise, c’est assez dur. Lorsque Devan parle de bouffe mon regard s’illumine et je réponds par la positive ! « Evidemment, tu crois que je ne suis venu que pour toi ? Non je rigole. Je me suis dit qu’on pourrait promener Randy et aller manger dehors mais vu que tu as déjà commencé, on verra ça une autre fois ! -Dis-je en le poussant et en prenant sa place aux fourneaux – Fini ton boulot et parle-moi de ta vie, je crois que t’as des choses à me dire, non ? » Dis-je en souriant et le provocant légèrement, je prêche le faux pour savoir le vrai, bien sûr je ne parle que de sa salle de sport, mais peut-être que ce n’est pas la seule chose que je dois apprendre. J’allume rapidement la plaque de sa cuisine, prend la poêle qu’il était en train de sortir et la pause dessus, rajoutant un peu de beurre pour rendre le tout glissant sur la poêle et y ajoutant les tranches de bacon. J’attends qu’il commence à parler pour casser les œufs en même temps dans un bol et commençant à préparer une omelette en attendant que le bacon soit cuit.
   
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Blood of my blood.
— with @Kaleb Newman

Nous sommes un duo et depuis que j'ai pu j'ai pris Kaleb sous mon aile, je l'est trainé partout avec moi et je lui est donné le goût du sport, c'est pour ça que aujourd'hui il est si bien foutu, c'est grâce à moi. J'ai vite compris que j'étais un modele pour lui et c'est pour ça que j'ai toujours essayé d'avoir un comportement irréprochable, j'ai été diplômé avec mention, j'ai jouer avec les 49ers de San Francisco, je me suis marié et je suis même devenu papa, j'avais fais un sans faute, jusqu'à ce que Crystal se tire sans me donner les vrai raisons et c'est là que j'ai commencer à déconner. Mais Kaleb, ne m'a jamais jugé bien au contraire, il à toujours été présent pour moi et m'a beaucoup épauler, comme notre père adoptif. J'ai bu et j'en suis devenue accroc, jusqu'à fini en cure de désintox, Randy était bébé et heureusement pour moi, il ne se souvient pas d'avoir vécu quelque mois avec son grand père. Ce matin je ne m'attendais vraiment pas à avoir de la visite, mais je suis très content de découvrir mon petit frère derrière cette porte et surtout soulagé que la nounou ne soit pas revenue. Je l'accueil comme je sais si bien le faire en oubliant complètement mon projet quelque instant, je suis sur que ça ne va pas me faire de mal. Je ferme la porte derrière mon brother et le suis de prêt. J'arrange les feuilles qui traine un peux partout et ramasse les boulettes de papiers que j'ai jeté avant de réussir à trouver la bonne enseigne. "Oui, mais rien n'est encore choisis. Comment tu trouve? J'ai pas un talent de dessinateur?" Parfois j'aime m'envoyer des fleurs. "Oui c'est exactement ce que je crois, d'ailleurs oublie pas que j'étais prof il y a quelque temps, j'ai encore des contacte la bas et je peux surveiller te notes." On dirait que je parle à mon fils, mais je veux qu'il réussisse ses études, comme j'ai réussis afin qu'il est un bon job. Nous n'avons pas de fortune comme tous ses petits con de Harvard, nous quand on veux quelque chose, il faut que l'on travail et je veux que mon frère et un avenir parfait pour ne manquer de rien et offrir ce qu'il veux à sa futur progéniture.
Une fois dans la cuisine je propose à mon frère de manger avec moi, évidement je n'attendais pas de réponse négative de sa part. "Ça ne m'aurais pas étonner de toi. Tu es un crève la dal. Randy a repris l'école en début de semaine, mais je suis sur qu'il sera déçu de ne pas avoir vue son oncle. On peut toujours aller le chercher ensemble, il sera content." Je sais que Crystal travail toute la journée, donc à midi elle sera pas présente pour le récupérer. Je peux appeler la nounou pour qu'elle prenne le reste de son après midi. Je laisse mon frère prendre les commandes de la cuisine, c'est toujours agréable de se faire servir. "Mon travail attendra, je suis dessus depuis déjà pas mal de temps, ta visite me permettra de faire une pause." Puis quand il me demande de lui parler de ma vie, je soupire un coup. "Je sais pas vraiment quoi te dire, Crystal est revenue vivre à la maison pour être proche de Randy, il est content il à ses deux parents comme ça." Et moi j'y trouve mon compte, je vie avec la femme que j'aime et même si elle ne m'a pas vraiment dit que c'était réciproque je commence à croire qu'elle va accepter de me donner une seconde chance. L'amour peux me rendre con. Je le regarde faire tout en souriant, il est devenue un homme et j'ai du mal à me le dire. "Et toi alors, raconte qui tu vois en ce moment? Et me dit pas personne, je ne te croirais pas."

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@Devan R. Newman
   
Un frère, une sœur et un beau-père c’est ainsi que je vois ma famille, comme des organes vitaux de mon corps, sans eux, je ne peux plus vivre. Tel est ma philosophie concernant ma famille : on ne les touche pas, sinon on me touchera moi et cela risque d’être moins réjouissant pour la personne de se trouver devant une armoire à glace, si j’ose m’appeler ainsi. Je ne le suis pas, mais presque quand même. Mon grand-frère m’a entraîné dans son culte de la culture du corps, être beau et apprécier son corps, pouvoir se défendre. Je pense au fond de moi que c’est comme ça qu’il a pu s’échapper et aller de l’avant, en se concentrant sur le sport pour sortir de la vie infernale que nous avions eu lorsque nous avions perdu notre mère. Chacun à sa façon, moi par le bénévolat lui par le sport. Je ne lui ai jamais demandé et je ne pense pas le faire un jour, je n’en ai pas besoin. Nous connaissons lui comme moi la même douleur qui nous habite et qui nous lie intrinsèquement que l’on se chamaille ou pas. Il n’y a rien à dire de plus, notre passé à fait notre avenir et c’est ce présent que nous vivons à deux, sans être vraiment loin ni proche, nous avons chacun nos distances à chacun de nos moments dans la vie et aujourd’hui nous sommes de nouveau ensemble, dans la même ville, alors je suis heureux et je le montre comme il peut s’en apercevoir. Son enseigne à de la gueule et il le sait, il n’hésite pas pour se lancer des fleurs et je reconnais bien là mon big bro’, en même temps, j’ai appris de lui mais en plus discret, enfin, avec les nanas « Oui, oui c’est très beau mais t’enflamme pas ! Une profession après l’autre. Hmm.. une enseigne, ouais.. Sport it’s life Bro !, un truc du genre ? Ouais, je crois que je devrais participer à ce projet quand je serais devenu psychologue, les clients traumatisés par ton coaching seront mes premiers clients, merci Bro’ ! - Dis-je tout en riant et en continuant à préparer le bacon, le tournant pour qu’il cuise parfaitement avant de moins rire d’un coup, il aime me foutre la pression et il sait que je n’aime pas qu’on intervienne dans ma vie, frère ou pas. – Fais ça et je te parle plus pour au moins après Noël. » Dis-je en le fusillant du regard même si je sais que c’est une blague. Je ne veux recevoir de pression de personne et surtout pas de piston, au cas où, je veux me débrouiller seul et ça, Devan l’a peut-être oublié. Je fous les bacons sur une assiette et nettoie rapidement le fond de la poêle avant d’y mettre les œufs afin de faire une belle omelette baveuse. Je l’écoute tout en continuant de cuisiner. Il répond à mes questions sur sa vie, comme je lui ai demandé. J’en apprends des bonnes et des moins bonnes comme la présence de Crystal dans sa vie, encore et toujours. Sa faiblesse qu’il a avec elle, je ne peux l’expliquer et je ne peux la supporter cependant comme il le dit, je ne peux le juger car c’est mon frère et que je ne suis pas à sa place pour comprendre ses choix, mais le connaissant il fait au mieux pour arranger la vie de son fils, Randy que je rate car il est enfin entré à l’école. J’ai raté ça, je suis vraiment un oncle en carton. Il en faut peu pour que je me sente toucher par quelque chose que j’ai manqué avec ma famille, elle est unique pour moi et tout me touche même si je ne montre même pas le quart de la moitié, j’ai appris à avoir un visage impassible et à donner chaque émotion sur mon visage de mon bon vouloir. Je ne sais pas vraiment ce que je dois dire, je lui fais un léger sourire de soutien avant de taper mon poing contre le sien sans lâcher la poêle et retourner l’omelette « Comme tu dis, il a ses deux parents avec lui. Mais ne te force pas trop, si tu vois que ça n’accroche plus, laisse la s’éloigner mais c’est déjà un bon point qu’elle soit là. » Je ne la défends pas même si mon discours laisse à penser le contraire mais cela est fait exprès, il doit sentir la motivation et la frustration de la situation l’envahir pour rebondir, c’est ainsi que l’on s’améliore en étant frustrant de soi-même et d’une situation que l’on n’a pas sous contrôle. Mon esprit d’analyse est en avance sur mes émotions depuis un moment c’est ce qui me fait un peu peur parfois, quand je ne sais plus comment réagir face à une situation qui demande simplement du cœur, de la présence. J’essaye de l’avoir au maximum pourtant, surtout avec ma famille, mais leur douleur me fait mal, la distance que je mets d’habitude entre des personnes que je ne connais pas et que j’aide n’est pas présente lorsqu’il s’agit de sa famille et que leur douleur vous frappe de plein cœur il faut savoir rester fort et leur faire confiance car c’est comme ça que les choses changent : ça me demande beaucoup de sang-froid et de contrôle. Je finis par poser deux assiettes, partager le bacon & l’omelette poser un morceau de pain et de la sauce, comme si c’était chez moi quoi et sans l’attendre je prononce un « Bon Appétit » et plante ma fourchette dans le bacon. La bouche à moitié-pleine je réponds à ces questions, devant lui je peux profiter de ce léger manque de tenue à table « Qui je vois ? Pas mal de monde, mes profs de psycho, des étudiants de pas mal de confrérie, surtout les Winthrop, j’ai rarement vu une solidarité masculine aussi exemplaire d’ailleurs. Ça en fait du monde donc. Sinon quelques nanas depuis le début de l’année, du sérieux et du moins sérieux, mais tu sais comment je suis. Mon association et les cours d’abord, le reste viendra quand ça viendra. » Dis-je tout en omettant bien la scène sexuelle qui s’est passé avec son amie Sally, secret dans la tombe ça.  
   
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— with @Kaleb Newman

La mort de notre mère, ma beaucoup affecté, j'y pense souvent et je suis sujet aux cauchemars à répétition, je revois cette scene sans arrêt et mon putain de père qui reste sans rien faire le sourire aux lèvres comme s'il était heureux d'avoir mis fin aux jours de ma mère. C'est aussi pour ça que je suis tombé dans l'alcool, le départ de Crystal n'a fait qu'atténuer les choses, mais aujourd'hui j'essaie de reprendre une vie normal, même si j'ai l'impression que le sort s'acharne sur ma tête, Randy chope une leucémie alors qu'il n'a que trois ans et quand on vous annonce qu'il lui reste deux semaine à vivre, c'est pire que tout. J'ai replongé dans l'alcool mais cette fois avec plus de discrétion, je contrôle la chose, enfin je crois. Je n'avais pas touché une goûte d'alcool depuis un ans, je ne vais même plus aux réunions des alcooliques anonyme, j'ai bien trop honte de leur dire que j'ai replonger dans la bouteille. Mon jeton des sobres depuis 365 jours, n'est même plus dans ma poche. Mais l'image du grand frère que je projète à Kaleb, fais que je dois rester droit sans rien montrer, c'est lui le petit frère, c'est lui qui doit être protégé, même si c'est un homme, à mes yeux il reste mon petit frère, celui que j'ai pris sous mon aile à la mort de notre mère. Jamais je n'abandonnerais mon frère, quoi qu'il arrive il reste l'homme que j'aime le plus au monde.
Je suis ravis de lui montrer mon oeuvre et surtout ravis qu'il soit le premier à découvrir le croquis qui pourrait être notre futur enseigne. Je pouf de rire quand il me fait cette remarque. "Tu as raison, il faut pas que je sois trop gourmand, mais j'ai tellement hâte de pouvoir enfin l'ouvrir." Je range un peux le bordel tout en l'écoutant parler et j'enchaine directe derrière. "Alors la je sais pas qui est le plus gogole de nous deux. Mon coaching est juste parfait." Je sais qu'il plaisante et ne le prend pas mal au contraire, ça me fait du bien de rire un peux. En ce moment je suis un peux trop sur les nerfs. Je le met en garde sur son éducation scolaire et évidement il monte sur ses grand chevaux, c'est du Kaleb tout craché. "Tu pourrais pas te passer de moi. On s'aime trop." Et je sais que c'est la vérité, autant lui que moi on peux pas se séparer c'est pas possible. Je compte pas l'espionner mais juste m'assurer qu'il foute pas ses études en l'aire. Il est beau gosse et il le sais, j'ai pas envie qu'il pense aux femmes avant les études, c'est important de réussir ses années pour avoir un bel avenir. Je veux le meilleur pour lui et même si parfois je me comporte comme un père, je considère que c'est pour son bien, puis il n'a pas le choix.
Je m'installe à table après avoir mis les couverts et fait couler le café, je le regarde faire d'un oeil épaté parce qu'il se débrouille plutôt bien, ça me fait vraiment envie, j'ai hâte d'y goûter. Je lui parle ensuite de Crystal et j'avoue que ça me fais du bien, j'ai besoin d'en parler à quelqu'un. Même si je sais que mon frère ne peux pas voir sa belle soeur en peinture, je sais qu'il sera neutre dans ses conseils. Je souffle un coup pour ensuite reprendre la parole. "Le problème, c'est que j'ai pas envie de la laisser s'éloigner. Je suis imprégner d'elle, je peux pas m'empêcher d'être après elle. En gros je suis qu'un con de faible face à elle." Et je le sais, mais c'est plus fort que moi je peux pas m'empêcher d'être comme ça. Avec elle c'est tout ou rien, je peux pas être qu'a moitié. J'aime Crystal et j'en crèverais si un jour ce n'était plus réciproque.
J'ai aussi envie de m'assurer qu'il ne fait pas n'importe quoi avec les femmes, nous n'avons pas été éduquer comme ça et pour les hommes Moore (nom de famille de leur père adoptif), les femmes sont des bijoux qu'ils faut protéger et respecter. Caleb nous à inculqué ses valeurs qui fond de nous des hommes respectueux et surtout gentleman. Je veux être sur que Harvard ne changera pas mon petit frère. "La Winthrop house est une maison parfaite, j'ai été leur responsable durant un an, jusqu'à ce que je quitte l'éducation et je sais que tu y sera très bien, selon moi aucune autre maison ne t'aurait autant correspondu. Mais je veux quand même m'assurer que tu ne fais pas n'importe quoi avec n'importe qui. Je veux être sur que tes valeurs reste les même, ne vois pas trop de femme en même temps et soit toujours franc et honnête avec elles. Fait pas le con et reste toi même le Kaleb de New York." J'avoue que si j'apprend qu'il à sauté Sally, je risque de lui faire une morale comme jamais de sa vie, vaux mieux qu'il l'emmène dans sa tombe.  

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Parce que t'es le sang !
@Devan R. Newman
   
Je sens l’engouement de Devan à son regard, sa gestuelle. Il est impatient c’est vrai, ouvrir son propre lieu de sport, là où il pourra faire ce qu’il aime même s’il aurait encore été plus brillant en étant chez les 41st, mais je suis sûr qu’il ne regrette pas les choix que la vie lui as imposés, aujourd’hui il est papa et ça doit valoir mieux que toute victoire nationale au football américain. L’histoire de notre famille est ce qui la rend si spéciale à nos yeux, si importante à nos cœurs et l’enseignement que la vie nous as offert et dans nos têtes constamment, il rythme nos choix dans la vie et nous permettre d’être aujourd’hui droit et fier de nos choix, prêt à les assumer s’ils n’ont pas été bons. C’est pour ça que je suis là, près de lui, à l’écouter, à la conseiller s’il en a besoin et inversement bien sûr, j’ai toujours pu compter sur lui et je ne pense pas que cela changera du jour au lendemain même si je dois faire la pire connerie du monde. Ainsi est la vie et lorsque je vois qu’il est content après que je l’eusse complimenté sur son projet, j’en fus content aussi. Le bonheur de ses proches est communicatif « Comme Papa l’a dit, toujours arriver à point nommé à qui sait attendre. Je pense que tu as fait preuve d’assez de patience et non, je sais que ton coaching est parfait mais ne t’en flammes pour autant, tu dois persévérer et penser à devenir mieux, comme tu l’as déjà fait ! » Par-là, je pense à sa rémission lorsqu’il a sombré dans l’alcoolisme à ma connaissance c’est toujours le cas mais s’il sombre Devan sait que je serais là pour lui mais que j’en serais tout autant impartial. Il est vrai que la menace que j’eusse sorti bien qu’avec sérieux n’est pas crédible lorsqu’on l’associe à ma famille, je ne pourrais jamais volontairement me séparer d’eux, chaque jour ne peut se passer sans que quelques sms soient échangés si l’on ne peut se voir. La famille tout simplement, je n’ai rien d’autre à dire ou répéter. Le sujet se ramène plus sur sa vie et sur sa vie avec Crystal au principal et je me vois pris entre deux feux et au final, je n’ai plus réellement le choix sur ce que je dois lui dire, autant être sincère alors et ne rien cacher, même si ça doit le blesser. J’attends que son assiette soit à moitié finie avant d’ouvrir à mon tour la bouche pour lui répondre comme notre père sait y faire «  Alors Devan, tu sais très bien quoi faire. On a eu la même éducation alors je n’ai pas besoin de te dire grand-chose, juste de foncer vers elle et lui dire tout avant de regretter de ne pas l’avoir fait. Après je sais que tu as ta fierté comme j’ai la mienne, mais essaye de ne pas trop en donner non plus si tu vois qu’elle est réticente à ton.. amour. » Il est toujours plus facile de donner des conseils aux autres qu’à soi-même alors qu’on en a peut-être plus besoin qu’eux. J’ai un gros problème de fierté et ça, même mon frère ne sait pas à quel point cela est rendue. J’espère lui avoir apporté une réponse satisfaisante tout en étant resté moi-même et n’ayant rien montré de négatifs dans mes mots ou bien sur mon visage. En clair, il a le feu vert pour foncer car c’est ce que je pense que je ferais et puis, il le sait autant que moi. Il a juste besoin d’un appui derrière lui pour ne pas se sentir seul à penser de cette façon. Au final, je suis content d’être passé car je sers à mon frère comme j’aime le servir : en le réconfortant, en le soutenant. La discussion continue sur l’université alors que je me sers une bonne moitié de l’omelette. Son regard dans le mien, je savoure son discours qui semble empli de souvenirs de sa vie passée qui semble lointaine mais qui est si proche, c’était avant que je n’arrive en somme, le fait qu’il n’insiste pas sur ma vie privée est appréciable mais je sens qu’il a besoin d’éclaircissements et surtout d’être rassuré. Son rôle de père se transfère même à son frère à croire, merde. (a) « Oui, elle est parfaite. Bon, pour te rassurer, je me protège et si ce n’est pas le cas je fais gaffe à ce qu’elle le fasse aussi. Je n’ai rien contre les parents pendant leurs études mais je ne veux pas être papa maintenant, je veux être posé avant de me lancer dans cette aventure qui n’est pas si facile. Ensuite, il y a quelques femmes depuis la rentrée, rien de plus. Si j’avais eu du sérieux je t’en aurais parlé ou bien tu le saurais déjà,  je ne sais comment mais tu l’aurais su. – Je lui souris et tapote son épaule – Et puis, le Kaleb de New-York n’a pas changé du Kaleb de San Francisco, je suis toujours le même et je ne changerais pas, pas même si tu me le demandes. On a eu une bonne éducation, il faut simplement qu’on se fasse confiance, qu’on avance dans nos chemins chacun avec nos propres choix, il faut juste faire attention à une chose mon frère : ne pas se perdre. » Peut-être que mon discours est fort et mature pour mon âge, je ne le sais pas mais c’est ce que je ressens à cet instant, que l’on doit vivre sa vie chacun de sa manière et affronter les épreuves que la vie nous réserve encore et encore, le bonheur est éphémère et les épreuves non, une vérité qu’il ne faut jamais oublier lorsque l’on touche une joie. Mon omelette est à moitié entamée mais comme à mon habitude, je prends mon temps pour finir de manger, la digestion est importante dans l’organisme, le coach à côté de moi pourrait le confirmer ! 
   
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