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« La plupart des gens disent qu’on a besoin d’amour pour vivre. En fait, on a surtout besoin d’oxygène. »
feat. Soliman A. Marlson
Qui ne s’est jamais dis un jour: « t’es vraiment con » ? Qui? Je voudrais bien le savoir. Ce sentiment de honte, mélangé à un gout amer. J’avais essayé de me persuader depuis ces deniers mois que ce n’étais pas de ma faute avant tout. C’était juste comme ça, il fallait que je parte au plus vite.
L’Europe. Plutôt sympa, des paysages inconnus, malgré que le plus grande nombre de mes visites s’étaient fait à l’hôpital pour aller voir ma sœur. Le retour après ces huit mois c’était fait sans encombre, je suis revenu soulagé dans un sens et complètement stressé de l’autre. L’heure des comptes avait sonné, ça retentissait comme une sentence alors que j’allais revoir des personnes que je connaissais déjà. J’aurais du m’en réjouir d’avance, j’avais peur, peur qu’on me reproche d’être parti comme un sauvage, ce que est vrai dans un sens. Mais les regrets me submergeaient depuis l’avion. Je pensais surtout à une personne, que j’avais du décevoir plus que les autres d’ailleurs. J’avais même encore du mal à prononcer son nom. Mon premier message, arrivé en terre américaine, avait été pour lui. Mais l’accueil était froid comme je l’avais imaginé et je ne l’en blâmait pas.
Le lendemain. La force de le revoir était trop forte pour que je ne fasse rien. Je ne me voyais pas rester dans la mather house, une fois réinstallé et essayer de continuer une pseudo-vie sans la personne avec qui je voulais la partager depuis notre rencontre. Pas dans le sens solennelle attention, ne tirons pas la charrue avant les bœufs.
Pas de réponse à mon deuxième message. Frustration intense. L’adrénaline sûrement, elle me poussa à mettre mes chaussures, prendre une veste et courir vers lui. Enfin, vers chez lui, le retrouver de grés ou de force. Toute la honte que je pouvais avoir devenait moins impressionnante face à ce désir de le voir, juste le voir et essayer de lui parler, m’expliquer. Et finalement, je me suis rapidement retrouvé devant sa porte, celle de la Winthrop house d’abord puis la sienne, sa chambre, l’endroit de nos étreintes. J’espérais seulement qu’il n’avait pas changé entre-temps. « Ouvres-moi » fébrile, une main posée sur sa porte.
L’Europe. Plutôt sympa, des paysages inconnus, malgré que le plus grande nombre de mes visites s’étaient fait à l’hôpital pour aller voir ma sœur. Le retour après ces huit mois c’était fait sans encombre, je suis revenu soulagé dans un sens et complètement stressé de l’autre. L’heure des comptes avait sonné, ça retentissait comme une sentence alors que j’allais revoir des personnes que je connaissais déjà. J’aurais du m’en réjouir d’avance, j’avais peur, peur qu’on me reproche d’être parti comme un sauvage, ce que est vrai dans un sens. Mais les regrets me submergeaient depuis l’avion. Je pensais surtout à une personne, que j’avais du décevoir plus que les autres d’ailleurs. J’avais même encore du mal à prononcer son nom. Mon premier message, arrivé en terre américaine, avait été pour lui. Mais l’accueil était froid comme je l’avais imaginé et je ne l’en blâmait pas.
Le lendemain. La force de le revoir était trop forte pour que je ne fasse rien. Je ne me voyais pas rester dans la mather house, une fois réinstallé et essayer de continuer une pseudo-vie sans la personne avec qui je voulais la partager depuis notre rencontre. Pas dans le sens solennelle attention, ne tirons pas la charrue avant les bœufs.
Pas de réponse à mon deuxième message. Frustration intense. L’adrénaline sûrement, elle me poussa à mettre mes chaussures, prendre une veste et courir vers lui. Enfin, vers chez lui, le retrouver de grés ou de force. Toute la honte que je pouvais avoir devenait moins impressionnante face à ce désir de le voir, juste le voir et essayer de lui parler, m’expliquer. Et finalement, je me suis rapidement retrouvé devant sa porte, celle de la Winthrop house d’abord puis la sienne, sa chambre, l’endroit de nos étreintes. J’espérais seulement qu’il n’avait pas changé entre-temps. « Ouvres-moi » fébrile, une main posée sur sa porte.
créée par Matrona
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