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Talk this way? I really like ★ Nevada & Shiloh

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Nevada & Shiloh
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Je ne suis pas fait pour les relations sérieuses, plus maintenant, plus depuis un bon bout de temps, je me suis laissé avoir une fois, c'était la seule et dernière fois, la seule fois où j'ai été faible, tout ça à cause d'une fille, celle que j'ai aimé pour la première fois, celle qui m'a fait pour la première fois fait découvrir les joies du sexe tout comme je le lui ai fait découvrir, la voir avec un autre m'a fait perdre tout espoir, j'ai cessé de croire mais notre amitié est toujours là, une forte amitié malgré tout, elle est ma meilleure amie, la première qui a compter. Cessons mes souvenirs passés, juste cela pour dire que blasé de l'amour je profite de chaque instant, de chaque fille, coucher sans sentiments juste pour le plaisir et l'envie, rien n’est plus beau que ça, j'ai ce tact avec les filles, savoir aller vers elle, leur parler, faire en sorte qu'on se retrouvent à coucher ensemble, cela depuis 3 ans maintenant, c'est la routine, une habitude en plus des études. Beaucoup espère plus qu'une relation physique mais elles le savent, je leur le dit clairement, je veux juste ça, sexe et plaisir, rien de plus, je ne suis plus prêt à ouvrir mon cœur, leur espérances resteront vaines qu'elles le veuillent ou non. Je m'entend avec la plupart de mes partenaires féminines pour mes ébats mais il arrive que le courant ne passe pas et c’est le cas avec une fille, une fille que je connais depuis un bout de temps, née tout comme moi à New-York, dès que je l'ai vu j'ai su qu'elle et moi nous n'allions pas devenir amis, pourquoi ? Différent l'un de l'autre tout simplement.

Elle est la fille toute gentille, souriante, serviable, généreuse, tout le contraire de moi enfin je suis tout ça en de très rares occasions mais la différence est là mais je dois avouer que sans son caractère, si l'on ne s'intéresse qu'a son physique, elle est indéniablement jolie, sexy, mignonne, ses formes généreuses, très généreuses la rendent franchement très attirante, une attirance réciproque entre nous deux mais juste physique. Elle est l'ange, je suis le démon, tout nous oppose mais le sexe nous rassemble, on oublie nos différence, on savoures nos nuits d'amours ou nos journées puis une fois nos ébats terminés, les différences nous rappellent et la haine commune refait surface pour que cela se remette dans l'ombre lorsque l'on recommencera, c'est comme une boucle et je dois dire que j'aime notre relation assez complexe, je la déteste mais coucher avec elle c'est indescriptible, c'est ça indescriptible.

Et aujourd'hui ce n'est pas elle que j'ai en vu enfin pour le moment, mais une autre, elle est là assise à côté de moi sur une table en train d'écouter mes paroles de dragueur, je parle et je la vois mettre sa main sur la mienne, elle commence à venir dans mes filets, je la sens bercée par mes belles paroles « Shiloh.. tu es vraiment trop gentil... » elle dessinait un grand sourire me regardant dans le profond des yeux, je la regardais aussi souriant également, je ne la connaissais que depuis quelques minutes, elle était déjà dans mes filets, on étaient main dans la main, elle était dans cette salle pour réviser mais ma présence le lui faisait oublier, je la voulais dans mon lit et j'étais sur de l'avoir. « Je ne dis que la vérité Maeva... » ma voix était faite pour l'attirer, je la sentais venir presque à moi, dans peu de temps un baiser allait naitre, c'était sur mais cette fois je pouvais arrêter d'espérer, tournant hasardeusement mon regard vers la porte d'entrée, je vis une personne, cette fille dont je vous ai parlé se tient là en ce moment, Nevada me regarde avec ce regard noir et froid « Tu déranges... casse toi ! » lui dis-je avec la politesse habituelle que je lui lançais, je ne savais pas ce qu'elle voulait mais j'étais sur d'une chose, elle n'allait s rester, bien au contraire mais que veut-elle ?


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L'ange et le démon

Le retour puis le départ précipité d'Isaac durant le SC m'a fait prendre conscience que les mecs sont vraiment tous des idiots non finis à la naissance. Et du coup je ne vois vraiment pas pourquoi je m'embarquerai dans une relation avec l'un deux qui, on le sait ne donnera rien au final. Je jure devant Dieu que je n'aurais pas de relations sérieuses avant un bon bout de temps pour 3 bonnes raisons: ne pas m'encombrer, être libre, et éviter de faire mal de nouveau. Mon histoire passé m'a beaucoup marqué, voir trop, j'ai pas envie de la revivre à nouveau donc pour l'instant je m'amuse avec les hommes: séduit, profite parfois de bons moments avec quelques uns d'entre eux mais pas plus, pas de sentiments rien de tout ça malgré le fait que je sois une fille romantique qui attend son prince charmant un jour. Tout le monde me prend pour la petite fille sage, la Quincy serviable, qui ne fait de mal à personne et qui est propre sur elle mais si seulement ils savaient que parfois j'en ai marre que l'on me regarde ainsi: comme une petite fille sage. J'ai le coeur sur la main d'accord mais bon je suis aussi une femme qui a certains besoins avouons le et c'est sûrement la partie la plus sombre chez moi. Qui aurait cru que je deviendrai un jour une femme fatale cachée derrière une sainte qui n'osera pas faire de mal à une mouche? J'en suis la première étonnée mais on évolue, on change, on grandit avec les expériences.

J'entreprends désormais une nouvelle année à Harvard, la quatrième loin de ma famille, à qui je n'ai pas rendu visite souvent malheureusement par manque de temps. J'allais profiter de ma pause de midi, pour me rendre en salle informatique, j'avais besoin d'un ordinateur pour régler quelques trucs et manque de bol, j'avais oublié le mien ce matin dans ma chambre. J'allais donc me priver de manger pour cela, et oui les études avant tout quand même, hors de question que mon niveau scolaire chute, j'en mourrais tiens. J'arrive devant la salle, la porte de celle-ci entrouverte et sur qui je tombe: l'idiot de premier ordre, celui en tête de ma liste des mecs les plus chiants sur Terre et malheureusement pour moi je le connais depuis des années maintenant. En général j'apprécie la plupart des personnes, je ne suis pas du genre à me faire des ennemis, en même temps comment pourrait-on ne pas m'apprécier, je ne suis pas méchante, avouons-le mais voilà avec lui tout est différent. Ce mec, Shiloh de son nom, se croit supérieur et hautain, et qui plus est c'est une forte tête, un charmeur à deux balles. Cependant je ne peux pas dédaigner le fait qu'il est un corps de rêve et ce je ne sait quoi qui fait que quand je suis dans ses bras, je peux oublie que je le déteste, j'en viens même parfois à l'apprécier lorsqu'il me lance des piques qui font mouche. C'est un jeu dont je me délecte et qui m'excite. Mais voilà c'est plus fort que moi, je le déteste et je ne lui parles que pour lui demander certains de ses services.

Je le voyais là sous mes yeux à draguer, comme à son habitude, une midinette qui était en train de succomber peu à peu à son charmes et ses avances d'aller plus loin. Bizarrement je n'appréciais guère, j'avais l'impression qu'on me vole mon jouet, mon quatre heures. Et moi qui avait faim en plus, je me mordillais la lèvre inférieure pour résister à la tentation mais ce fut peine perdue, j'ouvrais la porte pour m'engouffrer dans la salle, prête à faire déguerpir sur le champ cette fille. J'adressais au jeune homme un regard de braise empreint de colère et m'avancer à grand pas vers lui après qu'il m'est gentiment inviter à déguerpir. Et ben non je ne le ferais pas! "Quel accueil charmant mon chou." dis je alors que m'asseyais sur la table, entre eux deux l'air de rien. Mon regard se dirigea d'abord vers la fille que je ne connaissais absolument pas et enfin vers lui. "Je crois que t'as oublié quelque chose ce matin au fait." avais je dit avant de l'embrasser à plein bouche. Je sentais le regard de la nana pointait vers moi mais je m'en fichais éperdument.
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Nevada & Shiloh
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J'ai beau avoir eu une centaine d’ébats sexuels avec de nombreuses filles, j'ai beau avoir joué de mes atouts pour me les approprier, je ne suis toujours pas satisfait, depuis 3 années je ne cesse de coucher à gauche à droite et j'ai toujours cette envie qui se répète, je dois aller voir systématiquement une fille que je trouve apte à être dans mon lit et tout faire pour qu'elle y soit vraiment, il faudrait peut être que je me case avec une fille, que je ré ouvre mon cœur, que je relaisse exprimer mes sentiments, tout ça pourrait me permettre de ne plus avoir cette constante envie mais ça me changerait et je ne veux pas changer donc malgré tout je laisse cette envie me consumer et ainsi garde cette réputation qui est un des gros points de ma popularité. Je n'ai jamais eu de mal à m'intégrer ici, mon nom de famille et mon statut y sont en grande partie pour cette facilité, je n'ai aussi jamais eu de mal à avoir un cercle de relation qui s’agrandit chaque jour encore une fois grâce à ce que je suis, il n'y a que ce que je suis vraiment qui à marcher avec les filles, aucune aide extérieur juste moi et mon caractère, un caractère je dois dire extrêmement trempé, insupportable et très chieur mais grand charmeur et séducteur , je trouve les filles faibles, elles s’imprègnent de mes belles paroles de drague, je n'ai qu'a faire un joli sourire ou un regard spécial pour qu'elles fondent, oui elle sont faibles, la plupart d'autres sont plus coriaces mais ça n'empêche pas que je couche aussi avec. Je ne veux pas que cela change, blasé de l'amour je le reste aussi longtemps que possible, je sais qu'un jour ce sera différent mais j'espère que ce jour arrivera dans un bon bout de temps.

Coucher à gauche comme à droite, cela se renouvèlera peut être aujourd'hui avec une fille que je ne connais que depuis 10 bonnes minutes, elle était ici pour faire des recherches sur les ordinateurs ou quelque chose dans le genre, il a fallut que je me pointe pour que je prenne le centre de ses intérêts, elle était facile à attirer, c’est le genre de fille très influençable et naïve qui ne résiste pas à grand chose, ici elle ne me résistait pas du tout, on étaient assis cote à cote et après deux ou trois paroles de séduction, elle me touchait la main, je touchais la sienne et main dans la main je continuais d'user ma salive pour à la fin l'avoir dans mon lit. Tellement simple que je pourrais en rire, elle me souriait et me faisait les yeux doux, elle ne se rendait même pas compte que je la manipulais comme beaucoup d'autres au passage, j'ai dis tellement facile, j’aurais du dire un vrai jeu d'enfant, elle tombait sous le charme pendant que je savourais car je savais qu'un baiser allait vite arriver mais il faut croire que j'ai parlé trop vite.

La fille qui en ce moment n'ai pas dans celles que j'aime le plus même au niveau amical est ici juste au seuil de la porte d'entrée, celle qui est si différente de moi, on pourrait nous appeler "L'ange & Le démon", je la déteste, elle me déteste mais pourtant on ne peut nier et résister à cette attirance physique et sexuelle entre nous. La situation est assez marrante je dois dire, elle me dérange avec une fille, elle me regarde comme un regard de tueur, je la regardais pour lui dire de se barrer, quoiqu'il n'y a pas de "situation marrante" si on y réfléchit, c'est juste ce qui se passe en live, la simple réalité et qu'il est sur qu'elle ne va pas aller dans mon sens et se casser. Comme je l'avais fortement prévu, elle ne m'écoutait pas et venait à nous même jusqu'à s'asseoir entre cette fille et moi tout en usant sa salive, Maeva faisait une tête pas possible, une sorte de grimace, un haussement des sourcils « Mon chou ? Non mais tu te prend pour qui pétasse ? » elle semblait en rogne contre Nevada, même pas contre moi, elle la dévisageait, neva la regardait puis me regardait moi me disant que j'avais oublier quelque chose ce matin, heureux qu'elle me l'apprenne car je ne savais pas de quoi elle parlait « Je ne crois pas n... » je ne pu finir ma phrase j'avais ses lèvres collées aux miennes et elle ne lésinait pas, elle y mettait la langue et tout le bordel, une vrai et bonne pelle, je goutais à ses lèvres pour la énième fois, je ne pu me débattre car j'aime l'embrasser sans savoir pourquoi alors me priver pas question et ceci devant les yeux de Maeva qui devenait de plus en plus colérique « Non mais ça va pas !!! Je l'ai vu avant toi sale garce, dégage tes lèvres de salope de sa bouche ! » son langage peu fameux allait surement agacer Neva et la connaissant depuis toutes ces années, elle n'allait pas la laisser continuer, ce n'était pas du tout son genre.


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L'ange et le démon

L’amour, la chose la plus puissante au monde mais également la plus compliqué et la plus rare à trouver. Tout le monde rêve de tomber sur la perle rare et de passer la fin de ses jours avec cette même personne, protégé. Oui l’amour comme un bouclier à la vie de tous les jours, aux mauvaises passes parce que seul on ne peut pas traverser toutes les épreuves qui se dressent devant nous. Evidemment que moi aussi, j’espère que ce rêve se réalise même si je suis loin de le montrer ces derniers temps. Pas assez sur de moi, je ne cesse de me rabaisser, pensant que je ne mérite personne dans ma vie pour tout le mal que j’ai pu faire lors de ma dernière et vrai seule histoire d’amour. Pourquoi ? Parce que sûrement cette personne ne m’était pas destinée à la base, que je n’étais pas sa moitié. Nous nous ressemblions de trop et cela n’était peut être pas la meilleure des choses car à vrai dire je pense que notre âme sœur est fait pour nous compléter. Non je ne crois donc pas au « qui se ressemble, s’assemble » mais plutôt au « les opposés s’attirent ». Ma définition de l’amour est d’ailleurs celle-ci : prendre le bon et le mauvais de chacun, assembler tout cela et ne faire plus qu’un. Je sais que tout le monde n’est pas d’accord avec moi mais tant pis, je pense ce que je veux et l’avis des autres ne me préoccupe guère car après tout ils ne connaissent pas moi, ma vie, mon passé alors qu’ils se taisent et me laissent vivre ma vie comme bon je l’entends. Jamais je ne laisserai quelqu’un dirigeait ma vie et encore moins mes histoires de cœur.

Aussi bizarre que cela puisse paraître, je pensais que le destin m’avait poussé dans cette salle, comme si au plus profond de moi, je savais qu’il serait important d’y être aussi. Cela m’avait amené vers la personne que je hais le plus au monde, et encore le mot est faible, croyez moi ; Je me demandais d’ailleurs comment on pouvait apprécier cette personne, je plains même ses proches et sa future femme, enfin si il arrive à en trouver une un jour. Qui voudrait de quelque comme lui, non pas qu’il soit moche à regarder loin de là, mais le supporter c’est juste mission impossible, moi-même je n’y arrive pas alors que je suis quand même une fille patiente. Et pourtant, le voir là avec une fille, qui paraissait aussi bête que ses pieds, ne me plaisait pas trop. Pourquoi n’avait-il pas fait appel à moi pour quelques minutes de plaisir ? Là j’étais déçue. Je n’étais pas à la hauteur ? Pourtant je suis sûre que bien des hommes voudraient de moi dans leur lit. J’avais l’impression qu’il me laissait tomber comme une vieille chaussette et je n’appréciais guère même pas du tout. Alors je ne m’étais pas gênée pour m’interposer entre eux deux afin de prouver mon mécontentement et même trouver une excuse bidon pour approcher Shiloh. La fille qui ne m’intéressait guère et que je souhaitais voir déguerpir, tentait de m’arrêter à l’aide d’insultes et rien que pour la faire chier encore un peu plus, j’avais sautée sur les lèvres de celui qu’on pouvait appeler mon sex friend, afin de m’en délecter. Ce n’était pas un petit baiser au contraire, un bon et long qui au fond parler de lui-même sur mes intentions futurs. En même temps, je faisais signe à la demoiselle, qui me voyait de dos en train de rouler une pelle au mec qu’elle aurait souhaité avoir, de se taire avec mon index levé. De ce fait elle avait recommençait avec ses insultes. Pétasse, garce, salope, elle va pas se la fermer oui ? J’avais une envie de meurtre. Je détestais que l’on m’insulte, même si sur ce coup je le méritais, mais là elle était allée trop long pendant les dernières minutes qui venaient de passer, ma patience à des limites tout de même. Je finis, malheureusement, par me détacher de Shiloh, pour adresser un regard noir et emplit de haîne vers cette fille, dont je me foutais du nom. « T’as pas compris que je t’avais demandé de te taire, tout à l’heure ? Tu cherches vraiment les embrouilles ! Et tu sais quoi ce mec t’en veux pas et lui veut pas de toi parce que il va te détruire donc tu vois je suis gentille, je te fais une fleur. Maintenant laisse nous en paix s’il te plait et ferme la porte derrière toi, ce sera sympa. » dis-je d’un ton froid et sérieux et pourtant elle restait planté là à me regarder. Elle osait affronter mon regard cette poufiasse.
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Nevada & Shiloh
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Comme tout le monde le sait ici, j'ai la réputation de ne plus exprimer de sentiments et d'avoir un cœur de pierre, d'être un irrésistible coureur de jupon aux yeux des filles et qu'il est impossible qu'on puisse me blesser sous peine que je blesse deux fois plus, ces réputations ont contribué à ma popularité, beaucoup de filles ont essayé après une nuit de vouloir plus qu'une relation simplement basée sur le sexe mais je l'ai remettais à jour à chaque fois, je ne voulais plus de relations sérieuses où interviennent des sentiments qui pour moi se sont éteints depuis un certains temps, depuis que Doll m'a blasé de l'amour, j'ai plus envie de redevenir faible comme je l'ai été, l'amour est le plus fort des sentiments mais aussi celui qui nous rend vulnérable, parfois vraiment trop quand on est amoureux, je sais qu'un jour cela m'arrivera une nouvelle fois mais j'espère que ce jour arrivera dans un temps où je ne pourrais plus avoir conscience des choses, je veux rester ce que je suis et cela le plus longtemps possible. Personne ne peux contrôler son cœur, c'est valable pour moi également, je sais qu'une fille se pointera dans ma vie et fera de ce cœur de pierre sans sentiments, un cœur neuf qui peut aimer, on m'a toujours dit que notre âme sœur est celui qui nous complétera, j'ai tout ce qui faut pour être un vrai petit démon alors la fille que je dois trouver doit être un vrai petit ange, il n'y a pas de "qui se ressemble s'assemble" pour moi, ce serait plutôt comme "qui s'opposent s'assemblent ou s'attirent", le problème c'est qu'une seule fille m'est complètement opposer, Nevada, la fille que je déteste le plus dans ce campus, c'est l'ange d'ici, moi le démon d'ici, si tout est théorique elle devrait refaire battre ce cœur de pierre mais juste parce que c'est elle, je n'y crois pas et elle et moi, jamais mais entre ce que je dis et ce qui sera, je ne pourrais pas décider.

J'étais là avec cette fille que je ne connaissais que depuis 15 minutes et je lui tapais déjà dans l’œil, elle succombait à mes belles paroles, mon sourire, mes regards, ce que je fais d'habitude pour attirer une fille dans mes filets, je l'applique avec elle, elle est vraiment influençable et faible, elle me tient déjà la main et me complimente, je n'ai qu'à continuer mes paroles de beau parleur et je pourrais envisager de m’entretenir avec elle dans diverses positions. J'y étais presque encore quelques instants et elle m'embrasserait et la suite deviendrait plus intéressante mais il a fallut qu'une fille se pointe, La Nevada dont je vous parlait plus haut, est ici, à l'entrée de la salle, nous regardant, son regard était noir et froid, à en donner des frissons à ceux qui ne la connaisse pas, ce fut peut être le cas pour Maeva, la fille à côté de moi, mais à moi, rien du tout, je la connais depuis trop longtemps pour qu'elle puisse me toucher ainsi, je lui disais comme j'ai l'habitude de lui parler, de dégager d'ici mais elle alla dans le sens inverse de ce que je lui dis, elle restait, jusqu'à venir s'asseoir entre moi et Maeva, au fond de moi je voulais rire, j'allais dans très peu de temps assister en live à un crêpage de chignon juste verbalement ou peut être par la force, connaissant Neva elle est capable de tout quand quelqu'un le soul vraiment. Maeva, ne comprenait pas tout, elle commençait à provoquer Nevada en l'insultant de pétasse mais la belle black ne semblait lui porter guère attention, elle déversait son attention sur moi avec un faux prétexte comme quoi j'avais oublier une chose ce matin, c'était faux, je ne lui devais rien, j'allais le dire mais avant qu'un mot ne sorte de ma bouche, elle avait ses lèvres sur les miennes, ce ne fut pas un petit baiser, la langue y était, une certaine pulsion ce dégageait du baiser, elle voulait surement montrer à l'autre qu'elle m'avait et que Maeva pouvait aller se faire foutre, c'était exactement de ça que je voulais parler, elle est capable de tout quand quelqu'un la gonfle, m'embrasser pour énerver l'autre était un exemple comme un autre, et d'après ce que je pouvais entendre, il était très efficace.

Elle l'insultait Neva encore plus violemment qu'avant et elle n'allait pas la laisser continuer, elle quittait mes lèvres, j'étais surpris certes mais je ne savais plus quoi penser, elle m'avait vraisemblablement prit de court en m'embrassant, je voyais sa tête tourner vers Maeva, elle devait surement lui adresser un vrai regard noir qui vous dit de faire attention à ne pas aller trop loin ou simplement qui vous dit que vous n'auriez pas du aller si loin, je pense que ce fut le cas vu la façon dont Neva lui parlait, elle lui disait de ne pas aller encore plus loin, que je lui ferais du mal, que je la voulais pas et elle non plus, bref elle faisait tout pour que cette fille dégage « Tu... non mais je rêve ! Tu te prend pour qui il t'appartient pas bordel ! Shiloh défend moi putain ! » et voilà j'allais devoir intervenir mais Neva avait raison, je ne la voulais pas, elle me voulait peut être mais elle n'était rien pour moi, juste une plausible conquête à avoir dans mon lit mais grâce à Neva, cela ne verra jamais le jour. « T'abuses Neva, j'aurais aimé m'amuser, toujours à foutre la merde toi... Maeva tu peux te casser je crois et ferme la porte please » Je penchais ma tête et je lui souriais, bougeant la tête vers la porte, elle savait ce que ça voulait dire, je voyais des larmes lui monter aux yeux, elle quittait la table, prenait ses affaires et une fois arriver à la porte elle me dévisageait « Tu me dégoutes sale con ! J'espère que tu trouveras jamais l'amour ! » je la regardais en souriant comme si je me foutais de ce qu'elle disait, ce qui était bien sur le cas « Que veut tu je suis comme ça et t'en fais pas j'irais dans ton sens bisous chérie ! »et elle partait en claquant la porte, j'étais sur qu'elle pleurait mais bon une de plus une en moins, je me pose pas trop de questions, elle sera juste pas dans mon tableau, c’est pas si dramatique. Plus que Nevada et moi dans cette salle, je la regardais « Et voilà par ta faute, je peux plus l'avoir dans mon lit.. t'es casse couille bordel, tout ça pour me demander quoi au juste ? » je la connaissais elle n'était pas rester sans raison et j'avais peut être une idée sur cette raison.


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L'ange et le démon

Faire face à nos sentiments est sans aucun doute la chose la plus dur qu'il soit en ce monde, être honnête avec soi même n'est pas chose aisée que cela s'agisse d'amour ou de haine, c'est pareil même si pour cette dernière chose c'est moins compliqué. Il est plus facile de montrer à une personne qu'on la hait que de prouver son amour à quelqu'un. Les mots sortent plus facilement. Je suis d'ailleurs un excellent exemple, je n'ai déclaré qu'une seule fois dans ma vie, l'amour que je portais à quelqu'un: mon ex Isaac et voyez où tout cela m'a amené; Ce que l'amour a fait de moi, une fille sans coeur égoïste qui ne se préoccupe plus que de son coeur à elle et n'hésite pas à briser celui des hommes pour ne pas aller plus loin à nouveau. Je ne veux nullement que l'histoire se répète, je ne veux plus faire de mal à qui que ce soit exceptée à moi même en guise de punition. Oui je me prive de l'amour par respect pour les garçons que je côtoies, ne voulant pas qu'ils aient de faux espoirs, de toute façon je ne serais pas une bonne petite amie pour eux, mon ex hante encore mes pensées. Et donc la seule personne qui réussira à me faire l'oublier, sera sûrement la bonne mais voilà je ne suis hélas pas encore tombé sur cette personne. Peut être que je la rencontrerai dans une heure, trois semaines ou quatre ans, seul Dieu le sait.

En attendant que le destin me guide vers mon futur, j'étais coincée ici avec la personne que je déteste le plus au monde. Enfin coincée parce que je le voulais bien, parce que je le souhaitais aussi surprenant que cela puisse paraître. Je ne me reconnaissais même plus, pourquoi voulais-je que cette fille qu'il draguait déguerpisse au plus vite alors qu'en soi, je me foutais complètement de la vie de Shiloh mais de ses conquêtes un peu moins. Etait-ce parce que j'en faisais partie et que du coup je me sentais trahie? Sûrement mais ce sentiment bizarre, je ne l'avais jamais ressenti avant aujourd'hui. Le regard noir que je lui avait adressé aurait du le mettre sur la piste que je n'appréciais guère mais visiblement ça l'avait amusé plus qu'autre chose. Il voulait jouer visiblement du coup il n'en avait pas fallu plus pour que je rentre dans son jeu et lui prouver de ce dont j'étais capable. J'avais quand même évité de lui sauter dessus pour l'embrasser à pleine bouche, à cause de la présence de cette fille qui me gênait plus qu'autre chose. Mais bon ce baiser volé, n'avait pas été suffisant pour qu'elle comprenne que je ne voulais pas d'elle ici. C'est un vrai parasite cette fille, un insecte indésirable même que je me dois d'éliminer si je veux mettre mon plan à exécution, celui de passer quelques minutes de plaisir avec Shiloh parce qu'en le voyant là dans cette pièce avait fait naître une soudaine envie.

Même mon avertissement à propos de Shiloh n'avait pas fait réagir cette sale garce qui me faisait perdre mon temps. Je n'en avais pas beaucoup avant mon prochain cours. Du coup j'avais envie de lui mettre un bon coup de pieds au fesses, de un pour me venger des insultes qu'elle ne cessait d'égrainer à mon égard et de deux pour qu'elle déguerpisse au plus vite; Mais bon je n'étais pas une adepte de la violence alors je m'abstenais. Hors de question que je me fasse remarquée alors que l'université ne faisait que de reprendre. Le pire c'est qu'elle osait continuait non mais elle va pas fermer son clapet elle, en plus de pleurnicher. Sérieux elle me faisait trop pitié. " T'abuses Neva, j'aurais aimé m'amuser, toujours à foutre la merde toi... Maeva tu peux te casser je crois et ferme la porte please " A ces paroles, un sourire de victoire apparut sur mon visage alors que je regardais Shiloh puis toujours avec ce sourire, je me retournai vers Maeva, même si je me foutais littéralement de son nom, pour la regarder de haut en bas. Non mais elle allait pas chialer tout de même? J'y crois pas! La remarque qu'elle adressa à l'intention avant de partir prendre la porte me fit rigoler, au moins on était d'accord sur une chose! Pas sur le fait que Shiloh me dégoûtait, enfin moralement si mais physiquement loin de là. Mais n'empêche j'étais du même avis concernant la solitude amoureuse de Shiloh que j'espérais!En quatrième vitesse elle avait quitté la salle, enfin seuls! Les choses interessantes pourraient donc commencer bientôt." Et voilà par ta faute, je peux plus l'avoir dans mon lit.. t'es casse couille bordel, tout ça pour me demander quoi au juste ?" Je le regardais à moitié fière de ma connerie et à moitié interloquée par le fin de sa phrase, quelle question voyons! Il connaissait déjà la réponse mais l'avait quand même posé, quel con celui là n'empêche. "Me dis pas que tu voulais de cette pleurnicharde dans ton lit? Non mais sérieux tu te fous de moi?" dis-je en rigolant. Après cette remarque cinglante faite, je descendais de la table en m'aidant de mes bras. Je me dirigeai vers le côté gauche de la salle pour fermer les rideaux et terminai ma promenade à la porte de la pièce pour la fermer à clé. Posant le dos contre celle-ci, je laissais apparaître un sourire coquin et un clin d'oeil pour lui montrer une bonne fois pour toute mes intentions et le pourquoi du comment j'étais ici, vu que visiblement mon baiser de feu ne l'avait pas plus mit sur la piste.
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Nevada & Shiloh
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Montrer nos sentiments, quelques qu'ils soient, haine, jalousie, possession, amiration, amour, ça parait si simple mais entre l'écrire et le dire, croyez moi, la différence est plus grande que vous croyez, la chose la plus dur à faire doit être d'avoir un courage assez solide pour oser dévoiler son amour à une personne, c'est un sentiment extrêmement fort, le plus fort de tous et le simple "je t'aime" n'est pas aussi facile à dire qu'à écrire, il faut trouver les mots, la façon de le dire, tout un plan pour deux mots mais deux mots qui par la suite peuvent rassembler deux personne et deux mots qui seront dit sans hésitation car il n'y a plus la peur, le plus dur à été franchi. L'amour est si dur à s'exprimer, à se prononcer, ce n'est pas bien sur le cas pour le sentiment opposer à celui-ci, le fait de détester quelqu'un au plus profond de lui-même, ce genre de chose peut sortir autant de fois que l'on veut car tout simplement le degré d'intensité n'est plus du tout le même, aimer c'est le cœur, détester c'est la colère, la différence est grande mais la peur reste minimal. C'est ce sentiment de haine que je ressens envers une personne, une fille, la plupart du temps je m'entend bien avec la quasi-totalité des filles et bien avec elle c'est "moins je te vois, mieux je me porte" ou ds que nos regards se croisent, nos petits yeux sont bercés par une froideur qui dévisagent l'autre qu'on pourraient faire peur juste au regard. Je n'ai vraiment rien à voir avec elle, elle est tout ce que je hais enfin elle a le caractère que je hais, celui qui pourrait se voir comme le "ying" et le miens comme le "yang", celui de l'ange et le mien du démon, je l'ai déteste pour ce qu'elle est même si physiquement, elle est d'une rare beauté à vous en couper le souffle quand vous la voyez pour la première fois, ses lèvres pulpeuses, ses yeux qui dégagent une telle intensité, sa poitrine qui en rendrait jaloux plus d'une et qui ferait frissonner les plus beaux d'entre nous, son fessier quasi-unique, ses formes d'une grande générosité, c'est loin d'être une mocheté, je crois que le premier qui dirait ça aurait indéniablement de la merde dans les yeux. Depuis longtemps il y a cette attirance entre nous, pas attirer par ce que l'on es car cela n'aura plus de logique mais par nos physiques, nos corps, ce que l'on dégagent chez l'autre, en la voyant, je pourrais lui sauter dessus, je suis sur que s'en ai de même pour elle, il y a cette interrogation sur un pourquoi ou un comment mais qui ne peut s'expliquer, je la déteste au plus profond de moi mais c'est la fille qui m'attire le plus au monde, celle avec qui je veux tout le temps coucher, je ne saurais expliquer cette attirance, elle est telle qu'elle est bizarre et compliqué mais aussi inexplicable que cela puisse paraitre j'aime ce qu'on vit.

J'avais été en compagnie d'une fille quelques minutes plutôt, le genre de fille baisable que pour son cul et ses seins, le genre de fille naïve et très influençable, j'avais dis de belles paroles pour m'attirer les faveurs de cette fille, elle y croyait dur comme fer, j'y étais presque, un baiser aurait eu lui si j'avais pu continuer à jouer des regards, à sourire et à user ma salive sr des mots que je ne pensais même pas à son égard, tout aurait pu être simple et si habituel mais il a fallut que tout se complique et que cette fille que je déteste mais qui m'attire comme un fou se pointe ici , dans la salle. Elle me toisait du regard, un premier contact visuel qui en aurait impressionné plus d'un, je voyais clair dans ses yeux, pourquoi est tu avec cette fille ? Que fait-elle ici ? Elle était juste un plan cul, une conquête dans mon tableau, à part le sexe, rien entre elle et moi et pourtant c'est comme si elle se sentait blessée ou trahie, comme si elle ne voulait qu'être à moi, que je ne couche que avec elle, ce sentiment se voyait dans ses yeux et elle agissait en fonction pour bien le faire comprendre à la fille.

Elle faisait comprendre qu'elle était prête à tout pour montrer ce qui lui appartenait, elle montrait à cette fille que j'étais sa possession, elle m'embrassait à pleine bouche, pas un court et petit baiser, un bien long avec la langue et tout, histoire de montrer de quoi elle est capable, j'aurais du le voir que ce baiser était un petit message, qu'il allait porter sur une suite plus intéressante mais je ne l'avais pas perçu comme un con, je pensais qu'elle l'avait fait que pour montrer à cette fille qu'on ne touche pas son territoire, l'autre blonde se défendait par des insultes destinées à Nevada, au début c'était l'ignorance mais vers la fin elle commençait grave à la gaver et Neva montrait le bout de son nez et de ses paroles qui en remettait plus d'un à leur place. Elle lui faisait comprendre que je ne voulais rien d'elle, que j'allais la faire souffrir, que ça ne servait à rien qu'elle reste ici, elle gâchait tout mais disait vrai, l'autre espérait que je la défende mais j'allais bien que cela me puisse paraitre, dans le sens de Nevada et je disais à la fille de dégager, je voyais brièvement un sourire sur le visage de Neva comme si elle avait eu une petite victoire et une fois la porte refermer, les choses vraiment intéressantes allaient pourvoir commencer, la raison de sa venue ,'était pas hasardeuse mais précise, elle me voulait pour du plaisir tout comme moi. Mais avant toute chose, je lui faisais par de ma peine et lui demandait de nouveau ce qu'elle pouvait bien vouloir, je le savais mais je jouais sur l'incompréhension, je voulais m'amuser un peu et en venant elle avait ruiner ce que j'avais prévu, je le lui disais clairement et elle répliquait me demandant si vraiment je la voulais dans mon lit et si j'étais sérieux et c'est d'un beau sourire que je m'exprimais « Si t'avais pas montrer le bout de ton putain de nez, je l'aurais eu dans mon pieux oui, je la voulais que pour son cul et ses seins mais il se trouve qu'il y a une meilleure marchandise dans la salle alors je peux peut-être l'oublier.... » sur ces mots, Neva se levait pour fermer les rideaux de la salle et aller à la porte et la fermer à clé, elle se tournait contre celle-ci une fois fermé à clé, adosser à elle, son regard plus qu’aguicheur et son clin d’œil ne pouvait pressentir qu'une chose que j'avais vu mais que j'avais fait semblant d'ignorer, je restais assis et je souriais à ce que je pouvais voir « Je crois qu'il ai temps de tester une fois de plus la marchandise que j'ai devant les yeux... » je me levais et venait à elle, une fois à sa prêt d'elle je souriais et la saisissant par le bras, je la tirais à moi, pour la ressaisir collé à moi une main sur la taille et mes lèvres posées sur le siennes encore une fois à pleine bouche histoire de lui montrer qu'il n'y avait pas qu'elle qui avait envie de plaisir et d'envie.


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L'ange et le démon

Toute ma vie j’ai été considéré comme une fille parfaite, l’idéal féminin et mes parents me voient toujours de cet œil d’ailleurs. Ces derniers aussi étaient enviés de m’avoir comme enfant, en même temps qui ne rêveraient pas d’avoir un agneau comme progéniture ? Aux de tous j’étais celle qui est toujours souriante, un brin rigolote, jamais méchante avec qui que ce soit, responsable, studieuse, mature, rigolote, passionnée, sportive, végétarienne, naturelle, belle, ouverte et j’en passe… Avec tout cela vous obtenez un tableau parfait mis sur un piédestal mais voilà tout cela est dur à porter. J’avais peur, peur d’aller de travers, j’avais l’impression que si je faisais un faux pas, on allait me détruire, me détester pour être ce que je suis devenu. Je ne me sentais pas libre alors que j’avais tellement envie de m’envoler de ma petite cage dorée, essayer de nouvelles choses, goûter réellement à la vie. En fait toute cette attitude parfaite ne m’a jamais rendu heureuse, au contraire j’étais triste mais jamais je ne l’ai montré pour décevoir mes parents. Il n’y a que 3 ans que j’ai réussis à entrouvrir une brèche pour commencer un peu à voir la lumière du jour, même si cela fut l’une de mes pires actions et que je la regrette encore à ce jour. Mais il le fallait, cela m’a donc amenée aux Etats-Unis pour commencer une nouvelle vie même si durant mes trois premières années universitaires, j’ai gardé sur moi cette image de fille propre sur elle pour tâter le terrain, voir si ici je pourrais réellement m’épanouir. Ce n’est que c’est six derniers mois que j’ai enfin réussit à prendre mon propre envol toute seule comme une grande sans me préoccuper de ce que les autres penseraient. J’ai donc ainsi mis plus de piquants dans ma vie, en profitant de cette dernière, en m’amusant comme tous les jeunes le font, en séduisant grâce à mes atouts sans avoir honte de ce que je faisais car après tout c’est à ça que sers la jeunesse : tenter de nouvelles expériences tant qu’il en ait encore temps. Ce jeu m’a donc guidé vers Shiloh, même si je le connaissais déjà, enfin je dirais plus détester cette homme plein aux as et qui ne se cache pas de le montrer, détestable aux plus hauts points à cause de son caractère de bad boy. Une vraie tête brûlée qui déteste qu’on n’aille pas dans son sens, qui a une conception de la vie toute autre que la mienne. Nous sommes les deux pôles, moi le Nord et lui le Sud, totalement opposés niveau caractère mais assemblés par le sexe. Pourquoi cette alchimie physique alors que nous ne pouvons pas nous voir en peinture ? C’est une bonne question même si on ne peut pas dédaigner le fait que nous sommes tous les deux attirants. J’ai même l’impression que, des fois, son corps m’appelle à lui, l’appel du Démon à l’Ange pour qu’il vienne le rejoindre au septième ciel. Jamais je n’ai ressentis cela auparavant mais chez lui tout m’attire, son visage qui se démarque des autres, ses lèvres de feu, les lignes de son corps… c’est un tout qui me plaît au plus haut point. Il est pour moi, le vrai fruit de la tentation à qui il m’est impossible de résister et encore moins comme nous sommes tous les deux seuls dans une immense salle qui s’offre à nous.

Enfin cette fille, du nom de Maëva, avait daigné bouger son arrière train pour prendre la porte comme je lui avais gentiment demandé, qui plus est Shiloh m’appuya même. De toute manière je pense que si elle n’aurait pas voulu sortir comme on lui avait demandé, le jeune homme aurait osé le ton voir même jeter dehors d’une manière un peu plus forte. Après avoir critiqué la jeune femme et relever le fait que celle-ci était un mauvais choix, je n’avais pas perdu mon temps pour commencer à nous calfeutrer dans la pièce. « Si t'avais pas montrer le bout de ton putain de nez, je l'aurais eu dans mon pieux oui, je la voulais que pour son cul et ses seins mais il se trouve qu'il y a une meilleure marchandise dans la salle alors je peux peut-être l'oublier.... » Hum attention un compliment de son part, il va neiger sur Cambridge. Oui je considérais comme une bonne parole venant de lui, je m’étais attendu au pire mais non. »Attention Shiloh, tu commences à devenir gentil à mon égard, t’es malade ou quoi ? » avais-je murmuré, même si je savais bien qu’il avait entendu, avant d’atterrir devant la porte et de me retourner pour prendre une pose sexy, digne d’une mannequin mais un brin aguicheuse. « Je crois qu'il ai temps de tester une fois de plus la marchandise que j'ai devant les yeux... » Deuxième fois qu’il venait de me traîter de marchandise mais je ne relevais pas, après tout je pensais la même chose à son égard donc bon je ne pouvais réellement dire quelque chose et puis à quoi cela servirait, gâcher nos quelques minutes de plaisir ? Ce serait dommage, moi qui ai fait le déplacement pour quelques minutes. Shiloh se rapprocher à une vitesse fulgurante de moi, me laissant tout de même le temps d’admirer la vue de loin, qui n’était pas du tout déplaisante. Arrivée à ma hauteur, il m’attira à lui et son corps en me prenant par le bras puis fini par poser l’une de ses mains sur ma taille de guêpe pour me coller à lui. Tout cela en me rendant mon long baiser de tout à l’heure avec une puissance jamais vu auparavant. Cela signifiait out, son envie immédiate d’aller plus loin avec moi et je n’allais pas m’en plaindre. J’accrochais ma main au niveau de la ceinture de son pantalon comme si j’avais peur de tomber, tomber de plaisir tout en prolongeant son baiser en mêlant ma langue à la sienne, du genre bien fougueux comme si je répondais à sa demande « prends moi là ici, maintenant » sans qu’il ne la prononce. Qui plus est la chose était excitante à souhait car si par le plus grand des malheurs passait par ici, et mettait un tour de clé dans la serrure alors nous étions foutus. Mais après tout le risque ne ferait qu’augmenter nos envies les plus primaires et je commençais à faufiler ma main sous le haut de mon camarade de jeu, un peu pressée.
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Quand on vous élève sur des bases qui ne ressemblent pas à toutes les autres, vous n'avez pas conscience de tout ce qui peut vous entourer même à un âge où la connaissance nous ai déjà bien appropriée, ce fut le cas pour moi et ma sœur, élevé dans le plus au milieu qui pouvait exister, richesse, domination, pouvoir, influence, puissance, je connaissais tout ça, je suis né et je vis encore dans ça, quand vous venez d'une famille d'un rang bien au-dessus, les bases sont différentes, ne jamais se laisser marcher dessus, montrer qui on n'est quoiqu'il arrive, arriver à ses fins par tous les moyens, j'appelle ça l'attitude "gosse de riches", Zach aussi là, mais je crois être encore pire que lui, je pourrais être dans un dictionnaire et mon nom et ma photo serait l'exemple type du vrai gosse de riche. J'ai toujours eu ce que je voulais, même quand ma sœur est arrivé, bien que les choses étaient coupées en deux, j'avais toujours cette possession totale et alors un sourire pouvait se percevoir sur mes lèvres, là on pouvait voir que j'étais satisfait car j'avais eu ce que je voulais, ça a toujours été comme ça, je ne me vois pas une chose m'être refuser alors que je peux tout faire pour me l'octroyer. Ce caractère trempé en énervait plus d'un, ma sœur en première et mes parents en second lors de mes disputes avec ma sœur après il y avait les autres, c'est comme ça que je fonctionne, je montre qui je suis, ce beau gosse richissime qui obtient ce qu'il veut et qui peut vous détruire si vous l'énerver, je faisais peur, à beaucoup, et d'autre choisissaient de sympathiser avec moi pour éviter le pire, c'était leur choix mais il fallait être à ma hauteur, enfin non vu que personne ne l'est mais il fallait qu'ils soient plutôt digne de moi, j'ai toujours agis comme ça, arrogance, provocation, profiter de ma richesse et de mon statut, c'est ma marque de fabrique. J'ai toujours eu cette idée dans ma tête de perfection et d'excellence, je fais toujours tout pour être au top, c’est ce qui a fait ma réputation en partie ainsi qu'une parcelle de ma popularité mais je dois dire que tout c'est fait après mon histoire avec Doll, c’est là où j'ai vraiment atteint l'excellence. J'étais amoureux d'elle, elle m'a largué, j'ai su que j'étais faible et une fois remit, je ne ferais plus cette erreur, j'ai décidé de profiter des filles sans les aimer, juste pour le plaisir, du sexe simplement du sexe, c'est le cas avec Nevada, son physique est ravageur, tout ce qu'un mec peut aimer se trouve sur elle, elle est parfaite mais si j'oublie le physique, elle est tout ce que je déteste, on m'a très souvent comparé à un démon, le mec qui ne peut avoir de sentiments, qui peut vous détruire si vous essayer de tenter de lui faire du mal, j'ai l'air d'une tête d'ange, ce corps d’Apollon mais cet esprit et ce caractère digne de Lucifer, il vaut mieux ne pas me connaitre ou me connaitre depuis très longtemps que juste me connaitre, c'est un juste milieu mais qui n’est jamais simple. Elle est l'ange incarnée, la petite souriante et sage, la gentille et serviable, "l'ange et le démon" ce sont nos surnoms, notre relation est vraiment bizarre mais quand j'ai envie d'elle, j'oublie que je la hais et j'ai la seule envie de lui sauter dessus et de lui faire l'amour, c’est inexplicable mais très vrai.

Il ne restait plus que nous dans la salle, celle que j'avais essayer d'avoir était parti à cause de la présence de Nevada, c'était pas plus mal car j'avais envie d'elle dès que je l'ai vu, c’est comme ça à chaque fois ou presque. Elle était là, contre la porte après l'avoir fermer à clé, il fallait tester la marchandise, c'est ce que je lui disais et elle semblait prendre ça pour un compliment, je dois avouer que pour une fois c'était le cas « J'essaye de l'être, tu me faisais pitié à me regarder comme ça, on dirait que tu bavais.. » fier pour ne pas l'avouer ? Et même trop fier, je souriais m'approchant d'elle, je la tirais vers moi pour lui rendre le baiser de tout à l'heure en bien plus fougueux et long, j'adorais l'embrassais, je frissonnais, tout remonté avec une envie plus intense de coucher avec. Je sentais ses mains se faufiler sous mon t-shirt, les miennes venait sous son débardeur et en deux seconde, ce débardeur était par terre, j'appréciais la vue, cette paire si parfaite juste sous mes yeux, ça rendait mon envie plus grande « Je l'ai jamais vu celui-là... » je parlais de son soutien-gorge, mes mains le caressaient « J'aime beaucoup mais je préfère ce qu'il y a en-dessous... », mes mains toujours caressant sa peau venait dans son dos et retirait le soutif, j'avais ma petite tactique après toutes ces fois « Voilà qui me rend plus... excité... » en effet, ce que j'avais devant moi, me mettait l'eau à la bouche, c'était rares de voir de si belles paires si parfaites.


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L'ange et le démon

Il n’est pas facile d’ouvrir son cœur et de le donner, ça tout le monde le sait mais réparer un cœur est une tâche encore plus difficile. Regardez moi après toutes ces années, je suis encore dévastée par mon passé, et les miettes de celui-ci font de moi ce que je suis aujourd’hui. Car après tout c’est votre passé qui vous forge, qui quoiqu’on en dise aura toujours une part important dans votre présent et votre futur. Nos expériences nous façonnent petit à petit sans que l’on ne s’en rende réellement compte. Donc oui mon premier amour m’a fait grandir, il m’a changé surtout depuis que je sais que je ne le reverrais plus jamais, qu’il ma rayait de ma vie pour ce que j’ai osé faire. Je suis la seule responsable, je le sais et cela ma fait prendre conscience que moi aussi au plus profond de moi, j’ai un mauvais côté, un énorme défaut. Car malgré le fait que je sois une personne altruiste dans la vie de tous les jours, avec mes amis, dans mon combat pour la cause animale ; je sais qu’au niveau relation amoureuse je suis une pure égoïste. Je ferais toujours passer ce qui me tient à cœur avant l’amour que je porte à mon compagnon. Tout cela est complètement contradictoire mais je ne peux l’expliquer, c’est comme ça un point c’est tout. En fait j’attends peut être la bonne personne, celle que j’aime plus que ma propre vie et ce côté de moi changera sûrement. Mais voilà ce garçon précis que j’attends, ma moitié ne s’est pas encore présenté à moi alors en attendant j’accumule les conquêtes. Ces dernières ne durent que quelques mois avant que j’y mette un terme lorsque je vois que le garçon s’attache beaucoup trop à moi et donc je lui évite de trop souffrir par la suite, de se faire de faux espoirs sur une vie futur que moi je n’imagine pas avec cette personne. Une briseuse de cœurs voilà ce à quoi je suis réduite pour prendre un peu de plaisir avec les garçons. Et dans mes relations je ne prends que les bons côtés c'est-à-dire le sexe, et la compagnie de quelqu’un et se sentir aimé. Mais ce que je recherche avant tout c’est quelqu’un qui me fasse vibrer, un amour qui me dévore de l’intérieur, un amour qui me tombe dessus sans que je ne m’y attende réellement. Moi je ne veux pas une relation plate, monocorde, et sans goût, je veux l’exact opposé quelque chose de savoureux, épicé et pleins de surprises. Mais vu que visiblement la chose est rare, je me concentre sur mes brèves aventures et mes quelques relations d’un soir qui elles ne me servent qu’à me procurer un peu de plaisir. Non je ne suis pas une accro d’un sexe mais avouez que vivre sans, c’est un peu nul surtout quand on y est à goûter. D’ailleurs à ce jour, il n’y a qu’une personne qui me comble de ce côté Shiloh, il est peut être détestable mais à ce niveau il assure c’est indéniable. C’est une chose pour lui, au moins il est doué dans un domaine et pas n’importe lequel ! Du coup je suis réduite à faire appel à lui dès que je ressens le besoin mais je dois malheureusement supporter son caractère de merde.

Dans la pièce, la température avait augmenté de plusieurs crans depuis que je nous avais enfermait à l’intérieur dans le but d’effectuer quelques exercices plaisant à souhait. Il était gentil avec moi par pitié, du Shiloh tout craché c’est certain. Un baiser du tonnerre avait fini par combler l’infime espace entre nous. Game on ! La partie venait de commencer et s’annoncer agréable pour chacun de nous. Quelques instants où nous mettront nos différences de compter afin d’obtenir un immense plaisir. Mes mains glissaient sur son torse quand les siennes décidèrent de s’attaquer à mon haut qui ne fit pas l’enfeu dévoilant au passage ma dernière trouvaille niveau lingerie qu’il sembla apprécier. Mais bon je me devais bien de renouveler ma garde robe surtout qu’il avait déjà fait le tour de celle-ci vu le nombre de fois où je m’étais retrouvée en petite tenue devant lui. Mais ce bout de tissu, se trouva lui aussi à terre très rapidement révélant ainsi ma poitrine. « Voilà qui me rend plus... excité... » J’étais consciente de mon pouvoir de séduction sur lui mais bon l’entendre à haute voix était encore mieux que de le savoir. Mes mains jouaient toujours avec son T-shirt jusqu’à ce que je décide de lui retire, je me retins de lui arracher vu qu’il était censé se rhabiller après pour traverser les couloirs de l’Université, et de ce fait j’avais le droit moi aussi à quelque chose d’attrayant. De vraies tablettes de chocolat se présentaient sous mes yeux. Je n’allais pas tarder à y goûter et donc cédant à la tentation qui s’offrait à moi, j’entrepris de lécher ses abdominaux, d’une manière sensuelle et lente pour faire monter l’excitation, remontant jusqu’à sa lèvre inférieur que je mordillai. Tout cela avant de venir lui murmurer à l’oreille quelques mots crus « Deux choix s’offrent à toi, soit tu me prends contre le mur ou bien sur l’un de ses bureaux. Fait moi savoir ton choix. » finissais-je par prononcer avant de me coller un peu plus, poitrine nue, à lui. Mon excitation était déjà immense mais je savais que dans quelques secondes elle serait à son paroxysme.
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