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KORAY C. OSMAN-FINCHER ► Avan Jogia

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feat. AVAN JOGIA
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Koray Charles Osman-Fincher
Nom Fincher, de par mon père, et Osman, le nom de ma mère.Prénom(s) Koray, Charles, même si personne, pas même mes parents ne m'appellent comme ça. Quand on voulait m'engueuler, petit, on m'appelait plutôt « Charlie »Âge Tout juste 25 ans. Eh oui, j'me fais vieux.Date de naissance 14 Novembre 1991Lieu de naissance New-York, U.S.AStatut amoureux Marié et  Célibataire. Oui oui. C'est compliqué.Orientation sexuelle HétéroClasse sociale Aisée, et c'est un p***** d'euphémismeÉtudes majeures PolitiqueÉtudes mineures Arts visuelsJob Rédacteur pour un mensuel internationalChoix de groupe #1 MatherChoix de groupe #2 Winthrop

 
MATHER
Koray, c'est l'insouciance même. Et pas dans le bon sens, plutôt dans le genre « Je me marie, et je me barre, Ciao » . Tête brûlée, et impertinent, on aurait pu penser que le mariage aurait réussi à ranger Koray, mais le fait qu'il soit arrangé n'a réussi qu'à le blaser d'autant plus. S'il en rêvait avant, il s'est rendu compte qu'une petite vie stable et rangée ne lui conviendrait jamais. S'il a toujours été attiré par tout ce qui touche à la décadence, au vice et à l'excès, il n'en a fait la véritable expérience ces dernières années, pendant lesquelles il errait seul, de plateau en plateau, de studios en studios, avant de rentrer chez sa mère. La vie d'acteur devait lui donner un certain rythme, il n'en a retenu que les soirées exultantes, les beuveries exagéréeset ne s'en passe plus, depuis. C'est ce qu'il a toujours su faire, et il a toujours eu l'habileté de voir la beauté partout, surtout dans tout ce qui apparaît brut, laid, sombre et violent.

    WINTHROP
Sa seconde passion (après lui-même)se doit forcément d'être les femmes. Si, adolescent, il ne savait qu'aligner les copines et les histoires d'un soir, il a réussi  à travailler son charme, et sa considération du sexe opposé au fil du temps. S'il considérait le flirt et la séduction comme un jeu puéril fut une époque, il en a fait un véritable atout, qui lui sert à obtenir tout ce qu'il veut d'une fille. Mais cet atout ne lui servirait à rien s'il n'était pas aussi minutieux dans le choix de sa garde-robe, aussi variée et diverse que son entourage.
APRÈS LA BOMBE.
J'avais couru jusqu'à l'appart. Putain mais qu'est-ce que c'était que ça? L'Alerte à la bombe avait duré plus de deux heures.ça ne pouvait pas être un accident, on avait tous entendu très distinctement deux détonations... Une attaque terroriste? C'est possible? Resté près de 3 heures sur les lieux, en plein périmètre de sécurité histoire de comprendre avec les autres ce qui s'était passé. Je repoussais tous les médecins qui s'approchaient de moi. Mon arcade sourcilière saignait, et j'avais quelques éclats de verres sur les avant-bras. Une tragédie ces bombes. On en avait entendu parler longtemps. La première chose que j'avais fait, une fois l'état de choc passé, avait été d'appeler ma mère.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
 J'ai quitté le campus un peu après les agressions. C'est une fois de retour à New-York que j'ai compris que bien plus de filles que ce que je croyais avaient été agressées... Je m'étais retrouvé, un soir, face à l'un d'eux, et j'ai réussi à faire fuir ce salaud. Si ça n'était pas pour May, je l'aurais défiguré, mais elle était encore sous le choc et je ne pouvais pas la laisser seule. Il régnait une sale ambiance à Harvard quand on les a attrapés, et ça fait partie des éléments qui m'ont poussé à quitter le campus. Enfin, entre autres. On a fini par découvrir que plusieurs mecs étaient derrière ça, et je suis bien content de ne pas les avoir vraiment connus, j'en aurais été que plus dégoûté.
ITEM LIBRE (FACULTATIF).
uc

 
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story of my life


Je fixe ma mère avec un sourire moqueur aux lèvres. Elle est plus que sérieuse. Elle est persuadée que j'accepterais de me marier avec une fille que je connais à peine.
Elle est jolie Maman. Elle est belle, forte, et autoritaire, mais elle me connaît très peu.

Quand j'y pense, elle ne sais presque rien de moi. J'ai horreur de lui raconter ma vie, et elle ne connaît que certains éléments de ma vie privée qu'à travers ma petite sœur, et de mon grand-frère. Même en ce qui concerne mon enfance.
Dès qu'elle et Papa avaient divorcé, un peu avant mes 8 ans, et que je suis parti vivre dans le Colorado chez mon Oncle, un fossé s'est creusé entre elle et moi.

Il n'aimait pas se rappeler de son enfance à New-York;  une succession de bagarres entre ses parents, entre lui et son père, lui et son grand-frère qu'il haïssait, et qui faisait mine d'ignorer les problèmes entre ses parents. Le couple et leur deux fils réussissaient à tenir leur réputation sans tâche du couple parfait devant les voisins, pendant les gigantesques réunions de famille de Thanksgiving, Noël et autres fêtes alors qu'il avait bien l'air d'entrer en dépression à 7 ans. Il gardait constamment un œil sur son père, et bondissait devant sa mère au moindre éclat de voix. C'est pendant une de ces réunions de famille que son oncle David, réalisateur, proposa de l'accueillir chez lui quelques temps à Denver.
Il était tombé amoureux du Colorado. Denver était différent de tout ce qu'il avait connu jusque là; la ville semblait se cacher derrière les rocheuses, et pour un garçon de 8 ans qui n'avait vécu que dans des métropoles, voir ce type de paysages était inédit. De plus pour la première fois de sa vie il eut une vie familiale stable. Son oncle passait son temps sur les plateaux de tournages, et le tout jeune garçon fut confié à sa tante, et sa cousine. Cette dernière devint très vite sa confidente, et sa tante était une petite dame rondelette qui passait la plupart de son temps dans la cuisine en essayant de le gaver de gâteaux et autres sucreries. "Tu es sage comme un ange,mais tu ne dis jamais rien. Mange, mon poulet, ça te remontera le moral!". Elle lui rappelait sa mère. Elle ne voyait que le bien en lui, même quand on lui rapportait qu'il s'était encore bagarré avec un autre enfant à l'école. 



Mon année passée en  détention juvénile, mon adolescence violente... Je ne voyais pas quel serait l'intention de ressasser tout ça maintenant. Je ne lui en voulait pas, Papa devenait violent avec elle, et quand elle en avait eu l'occasion, elle lui avait échappé, avec ma sœur.La petite soeur à Londres, Le grand-frère chez Papa, à New-York, et moi, perdu dans les rocheuses. Une famille en or, hein ?
Tant qu'elle savait que mon frère et moi allions bien, elle ne posait pas plus de questions. J'avais réussi à accepté cet espèce de statu-quo, sans me plaindre. Mais nous avons tous grandi entre-temps. Je n'entends parler de mon frère que pendant mes visites chez Papa,à New-York. J'en ai pas grand-chose à carrer mais bon ; la famille, c'est important n'est-ce pas ?
Je ne lui ai que rarement parlé de ce qui c'était passé à Harvard. Les études se passaient bien, elle me manquait, et après mon diplôme, je suis parti la rejoindre à Londres et je l'ai suivie ici, à Istanbul.
Elle ne sait pas que je suis tombé amoureux deux fois à Cambridge, que j'ai quitté le campus le cœur brisé par May, que je ne pourrais sûrement plus jamais aimer quelqu'un. Ou, du moins, pas autant.
« Et pourquoi pas ? C'est une jeune fille moderne, bien éduquée, et très jolie. Tu n'as plus 20 ans, et ton frère s'est marié il y a 2 ans, et je me fais du souci pour toi. Tu parles peu, tu n'en fais qu'à ta tête..  J'ai l'impression que plus rien ne t'intéresse depuis que tu nous as rejoins, ta sœur et moi.. »
Je me retourne, et croise son regard. C'est vrai qu'elle semble inquiète, mais je ne me sens pas de me confier à elle. Pas maintenant. Je lâche un soupir et pars regarder le Bosphore qui sépare la belle Istanbul en deux, et qu'on aperçoit parfaitement bien depuis le troisième étage de la villa familiale. Je l'entends se lever et poser sa tasse de thé assez violemment, la faisant tinter bruyamment.

« Tu vois ? Rien. Et tant que tu ne me parleras pas, je m'occuperais de gérer ta vie.Tout allait si bien pourtant ! On t'appelle encore pour tant de rôles au cinéma, dans des séries, mais tu n'y prêtes même pas attention. Tu as déjà tourné dans tellement de choses, tu avais une belle carrière de mannequin devant toi. Quand tu as parlé de prendre une pause, j'étais totalement d'accord, mais tu as juste l'air de vouloir tout laisser tomber... » Elle a raison. Terriblement raison. « Donc, puisque tu n'as rien en cours, tu vas m'écouter, et te mari... » « Je ne peux pas me marier, Maman. » « Ah oui ? Et pourquoi ? » Je pars reprendre ma place et fais mine de me servir une autre tasse de thé. Vite, il me faut quelque chose. « Parce que je retourne à Harvard. »
Elle reste interdite un moment et éclate d'un rire jaune. « C'est vraiment ce que tu veux ? » J'évite son regard. Retourner à Harvard, c'était une idée qui m'était venue en tête peu de temps après notre arrivée à Istanbul. J'avais déjà entamé des études en politique et j'avais repris goût à cette atmosphère studieuse que j'avais quitté aux U.S. Mon silence a l'air de la rassurer ; elle regarde vers l'extérieur en se touchant le menton du bout des doigts. J'attends autant que je crains sa réponse.
« Il faut que tu te maries d'abord Koray. » « Non, attends.. » « J'ai une santé fragile, tu le sais. Et tout le monde ici n'attend que ton mariage. Ta grand-mère est déjà en train de faire la liste de filles de familles de la haute société qu'elle connaît bien pour toi... Tu feras ce que tu veux après, mais promets-moi ça. Si tu pars sans t'être marié, je ne te le pardonnerai pas. »
Un petit rire me vient, avant de la regarder. Elle a le regard lourd, et la mains sur la poitrine.

Ce que je prenais pour une proposition désintéressée se trouvait être un projet en marche. Voilà qu'une semaine plus tard une soirée est organisée, pendant laquelle je suis présenté à une demi-douzaine de célibataires. Je deviens assez proche de l'une d'entre elles, et me vois marié  un mois et demi plus tard. Une chose étrange d'être marié, je suis lié à cette jeune fille que je connais à peine, et à qui je ne compte surtout pas rester fidèle, malgré mon anneau.
Je ne prends pas le temps de profiter de ma vie conjugale, car au début de l'été, j'embarque pour Cambridge, pendant que mon épouse part fréquenter une autre université.


       
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Re bienvenue !
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Bienvenuuue à toi, petit chat :perv;
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rebienvenuuuuuuuue KORAY C. OSMAN-FINCHER ► Avan Jogia 3850463188
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REEEE BRUUUU hanwii
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Rebienvenue chez toiiiii !!! KORAY C. OSMAN-FINCHER ► Avan Jogia 1946740601 KORAY C. OSMAN-FINCHER ► Avan Jogia 2511619667
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Merci Merci Merci et merci merci encore KORAY C. OSMAN-FINCHER ► Avan Jogia 3850463188

(T'AS VU @Jonathan T. Lynch J'SUIS TOUJOURS LÀ. T'as ton lien tout prêt t'inquiète KORAY C. OSMAN-FINCHER ► Avan Jogia 152426858 )
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Rebienvenue ! :loukas:
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Attends.. Koray ? Genre LE Koray ? (mon dieu si j'me trompe pas j'suis toute sjkgndfkjfsrg) KORAY C. OSMAN-FINCHER ► Avan Jogia 4205929361 (ici Zoé M. Lottie si jamais tu te souviens KORAY C. OSMAN-FINCHER ► Avan Jogia 550846730 KORAY C. OSMAN-FINCHER ► Avan Jogia 1365124802 )
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