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Anna & Caleb ♦️ i'm falling all over myself, trying to be someone else
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Le monstre que tu es. L’irrécupérable. C’est ce que tu lui montreras ce soir. Tu mérites rien de cette vie qui t’a été offerte comme on offrirait à un criminel protection contre informations. Tu as demandé à Anna de t’accompagner chez toi direct après que la magie se soit estompée -quelques secondes après que le sapin se soit illuminé quoi-, et t’as eu une approbation qui t’a surement été accordée grâce à ton honnêteté précédente. Tu lui as proposé de faire la route avec toi, promettant la raccompagner par la suite. Distance courte, ambiance vraiment déplaisante, genre silence constant. Vous arrivez finalement chez toi et vous traversez le couloir qui mène à ton appartement. T’as la main qui tremble -abus de drogues dans les derniers jours- et t’es là, peinard, à essayer d’ouvrir ta putain de porte mais tu finis par y arriver, trois essaies ridicules avant, bien entendu. Y’a le stress aussi, c’est sûr. Tu sais qu’elle te verra plus de la même façon. Parce qu’Anna, elle connaît Caleb le mec qui étudie en médecines vétérinaires et qui travaille dans un liquor store. Qui est un peu pourri côté social, mais rien du fait qu’il a un frère jumeau, qu’il a renié une famille qui faisait de lui un homme riche et qu’il … n’a pas le moindre droit d’être à Harvard. Parce qu’il aurait dû écoper du même temps de prison que son frère. Bref, beaucoup d’informations à dévoiler. C’est ça la chance que t’offres à votre amitié ou.. peu importe ce que vous avez. De l’honnêteté et après, c’est à elle de choisir si elle reste ou si elle prend ses jambes à son cou, comme toute personne saine d’esprit ferait. À peine à l’intérieur, tu commences à suffoquer de ne pas être capable de placer le moindre mot. Tu sors une bouteille de ton armoire, tu ne regardes même pas Anna. Elle doit comprendre que t’es mal pris, que tu sais pas trop ce que tu fais en ce moment. Mais en même temps, elle connaît pas assez du vrai “toi” pour comprendre. Compliqué. Tu prends deux shoots de vodka, sans en offrir à Anna, complètement dans ta tête. Tu finis par sortir un simple « Laisse moi déballer… » Que tu dis, toujours dos à elle déposant ton dernier shoot. Ouais, qu’elle t’écoute et elle commentera juste après. « J’ai un frère jumeau. » Que tu dis te retournant vers elle. « On est des triplets en fait. Mais y’en a qu’un qui est identique à moi. » Tu t’arrêtes deux secondes et tu peux pas t’empêcher de le dire à voix haute ; « J’ai l’impression de sortir un texte tout droit d’un soap opera.. » Te laisse pas distraire bordel, continues. -_- « J’aurais dû faire de la prison, parce que j’étais un vrai connard en Italie. » T’as pas fini. « J’suis bien pire que ce que tu penses. » Tu marques des pauses incessantes, mais très courtes, comme si tu cherchais toujours un peu tes mots parce que t’es toi-même pris au dépourvu de tout ce que tu dis. « J’te dit ça parce que j’suis descendu bien bas ces derniers jours… » Ouais, ton frère jumeau est de retour dans le décors et ça sans la merde à plein nez. La fin de ton rêve d’être vétérinaire parce qu’il peut te foutre en prison pour avoir couché avec Sage. La vengeance, la plus grosse bêtise des Pecorella. Donc tu t’es drogué et t’as fait une scène de la mort à Annalynne au Nirvana qu’elle n’est pas prête d’oublier. « Et j’ai réalisé que j’en ai marre de m’éloigner des personnes qui m’ont aidé à construire le Caleb d’aujourd’hui. » Tu esquisses un léger sourire parce que tu t’exprimes un peu mal, comme d’habitude. « J’veux dire, j’suis loin d’être parfait aujourd’hui hein… mais j’suis plus celui d’avant. Et j’veux pas y retourner. » Genre t’as le monologue de coller au fond de la gorge, mais euh, l’anxiété qui se présente très rarement chez toi, bah elle est dans le plafond. Tu t'allumes une clope, seul remède rapide que tu peux te permettre.


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Pas un mot, pas un échange, juste le bruit du vent. La route s'était faite dans le froid donc et aucun de nous deux n'avait pris la parole. Je me pose mille questions, je ne sais pas si c'est le bon moment. Mais est ce qu'il y a vraiment de bons moments pour parler de genre de choses ? Je marche dans l'incertitude de l'après, avec le stresse que tout se passe mal et qu'on retombe au point de départ. Comment est ce que je suis censée oublier des jours d'absence, aucune nouvelle comme une vieille meuf qu'on laisse dans un coin après l'avoir utilisée. J'suis perdue mais j'ai envie, j'ai besoin qu'on mette les choses à plat. J'ai l'impression que mes pensées s'emmêlent et se démêlent sans que je ne puisse les contrôler. Tout est flou, tout n'est que néant. Ce silence s'éternise et ne s'atténue pas, ne disparait pas. Ni lui ni moi ne savons quoi dire ni par où commencer. Il est stressé enfin c'est l'impression qu'il donne. Il s'y prend à trois fois pour ouvrir sa porte et je sens mes mains devenir moites en le regardant faire. Je me dis qu'il va engager la discussion une fois à l'intérieur mais rien ne sort, c'est troublant. J'ose enlever ma veste pour dévoiler mon corps enveloppé d'une robe moulante, un brun provocateur pour une rencontre de ce type. j'aurais du me changer avant de venir mais je ne pouvais pas deviner. Et puis après tout c'est lui, Caleb, qui ne me juge pas. Je m'installe dans le canapé et l'observe du coin de l'oeil revenir une bouteille à la main suivie de deux petits verres. Bonne idée. Inévitablement je repense à cette soirée alcoolisée et me demande site dois boire en sa compagnie. Il ne sert qu'un verre, je comprends que c'est pour lui, qu'il a besoin de ça pour commencer. Et puis je m'inquiète qu'est ce qu'il doit bien pouvoir me dire qui le met dans cet état ? Sa voix, il parle, j'avais l'impression que lui comme moi avions perdu notre langue. Je suis surprise, je dois le laisser parler. J'acquiesce mais ne prononce pas un mot. je saisis la bouteille et remplis un shooter, pour moi. Il me tourne le dos, c'est perturbant mais je ne le brusque pas, j'attends. J'écoute attentivement pour ne pas en perdre une miette. Un jumeau - la prison - l'Italie - connard - pire que ce que tu penses - descendu bien bas - plus celui d'avant. Je le regarde, je l'observe sans pour autant le juger. J'ai les larmes qui me montent mais elle ne roule pas. Il me touche, ses derniers mots sont ancrés dans ma mémoire et n'en sortiront pas. J'ai entendu son passé, tout le monde en a un. Je ne sais pas vraiment quoi répondre, je ne veux pas le faire attendre mais toutes les infos qu'il m'a transmis se bouscule dans mon esprit. Caleb... Ma voix se veut douce, bienveillante. J'suis pas une connasse qui émet un jugement, j'veux juste l'aider et faire partie de ces personnes qui l'ont rendu "meilleur ?". Merci. Merci de... m'avoir dit tout ça... Mes mots s'emmêlent, j'ai l'impression que ça n'a aucun sens mais il me comprendra, il comprend toujours. Ton passé, les choses que tu as fait, tout ça, ça ne me regarde pas. On a tous un passé, des choses qu'on regrette ou non. J'encre mon regard dans le sien et bois le shooter. Mais, je pense faire partie de ces personnes. Enfin je l'espère. Je me lève pour aller vers lui, sa clope au bec, c'est lui ça. Si tu ne veux que fasse partie de cet entourage qui t'a rendu comme tu es, je le serai. j'te laisserai pas tomber. J'sais pas si mes mots font sens, si ça lui convient mais c'est vraiment ce que je pense. J'vais pas le prendre dans mes bars, j'vais pas prendre ses mains dans les miennes. C'est mon genre pourtant mais pas le sien.

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Tu as toujours fonctionné de la sorte. Afin de dire le plus de vérités possibles, tu préfères déballer d’un coup et puis entendre les critiques par la suite. Une sorte d’anxiété que tu peux juste pas contrôler. Tu te mets de dos, dans l’incapacité de la regarder parce que tu as souvent attiré regards remplis de jugements. Tu veux juste pas subir ça avec elle. Tu vides ton sac, tu lui dis les grandes lignes. Elle sait pas que ton frère est de retour, la complexité de la situation. Que tu risques gros, quoi. Mais elle sait le principal, tu cherches pas à rendre cette soirée totalement dramatique non plus. Tu restes un peu surpris par les “merci”, une réaction vraiment différente à laquelle tes scénarios t’avais prédit. Plus elle parle plus elle se "rapproche" de toi. Pas physiquement. Jusqu'à ce qu'elle se lève enfin. Tu l’écoutes et ne rates pas un mot, carrément touché par cette consolation authentique. Réelle. Rien de forcé. Ton regard ne cherche plus à fuire le sien, et tu finis par placer  un mot. « Si… ça te concerne. » T’es déjà beaucoup plus chaleureux dans tes paroles, mis à l’aise par ses dernier propos. Tu réalises que tu veux qu’Anna sache ces détails de toi. Pas parce que tu as besoin de t’en vanter, bien au contraire, mais parce que ton besoin d’authenticité se fait de plus en plus ressentir. « Tu peux pas me considérer comme ton meilleur ami si tu sais même pas qui je suis vraiment. » Oui, tu as osé glisser le mot qui semblait être devenu tabou. T’es pris par un élan inhabituel, levant ta main qui à la clope entre les doigts, approchant Anna dans une étreinte qui te semblait nécessaire. « Anna, je tiens vraiment à toi. » Amenant ton deuxième bras derrière son dos, l’enfermant contre toi. Tu n’es pas trop sûr de ce qui te prend pas les gestes, mais tu cherches juste à prouver tes derniers propos de la façon la plus avancée que tu peux te permettre. Tu tiens à elle d’une façon que les mots ne pourraient pas décrire, même ta tête n’est plus sûr de suivre quoi que ce soit. Sa tête arrive presque sous ton cou, la nuque un peu arqué vers le haut.  « J’suis désolé d’être autant pourri pour le démontrer. » Ouais, tu aimerais ne pas avoir été un trouduc. T’aurais aimé savoir comment agir, quoi dire, quoi penser même. Tu profites quelques secondes supplémentaires de cette proximité à la fois étrange mais rassurante, coupant l’étreinte afin de reprendre la bouteille et servir deux shooters rapidement. Tu changes rapidement l’ambiance, déstabilisé par ce précédent élan d’affection. « J’ai passé une semaine vraiment dégueulasse. Et j’ai réalisé un tas de choses. Alors.. t’es partante pour trinquer à un nouveau départ? » C’est une nécessité, des changements, une nouvelle vie. Certes, la routine reste la même -du moins, tu l’espères- mais ta façon de traiter les gens, de te morfondre sur ton sort doit prendre la porte. Tu lui donnes un des deux shooters, lui laissant l’opportunité de cogner vos deux verres ensembles.


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Je ne m'y attendais. J'suis prise de court, ça ne lui ressemble pas. mais j'ai tout accepté, toutes les infos qu'il voulait bien me donner. J'attendais ça depuis si longtemps et c'était enfin arrivé. Je sentais bien qu'il venait de faire un effort surhumain et j'appréciais vraiment son geste. Je n'avais rien dit, ne pas lui couper la parole, le laisser finir. De toute manière rien n'était sorti j'avais juste attendu sagement qu'il termine. je n'avais pas bougé d'un poil comme ne pas le déconcentrer. Et puis sa longue tirade a pris fin et je suis restée moi-même, douce et pesant mes mots pour ne pas le brusquer. j'en avais rien à foutre de ce qu'il avait bien pu faire, c'était le Caleb de maintenant que je connaissais, l'autre ne m'attirait pas plus que ça. Je m'étais levée pour aller vers lui, pour lui montrer que physiquement j'étais là. Il pouvait compter sur moi, toujours. Je le regarde et accepte avec un certain soulagement ce qu'il me dit, je fais partie de ces personnes. J'ancre mon regard dans le sien et ne compte plus briser ce lien. Je pensais que tu ne voudrais plus jamais que cette appellation sorte de ma bouche. Un petit sourire se créé sur mon visage, mon meilleur ami. Et puis je sens sa main, je l'ai vu se lever et pour moi il allait juste remettre une mèche de ses cheveux en ordre. Mais non, il la pose sur moi et m'enlace ensuite. Une fois de plus il me surprend, j'ai l'impression qu'il a changé ces derniers temps. Je me blottis contre lui, passe mes mains autour de son cou et profite de ce moment si rare. Ses paroles me touchent, une fois de plus. Il tient vraiment à moi. Jamais il ne m'a sorti ce genre de chose, jamais il n'avait pu traduire ce qu'il ressentait pour moi. Moi aussi, Caleb. Je ferme les yeux très fort, la tête pratiquement logée dans le creux de son cou. Je profite de ce moment, le sers le plus possible contre moi une fois de plus pour lui montrer ma présence. Il sort quelque chose qui ne me plait pas et je ne me gêne pas de le lui faire remarquer. Si tu voulais bien arrêter de te dénigrer ça arrangerait bien des choses. Il a fait tellement d'efforts, tellement de chemin que je ne supporte pas de l'entendre dire ça même si dans le fond il n'a pas tord. Il met fin à notre étreinte, je me détache alors de lui et me réinstalle devant le canapé attendant qu'il serve nos deux shooters. Il me confie que ces derniers jours on été nuls à chier, qu'il a réalisé des choses. Ca me questionne mais j'attends qu'il me donne mon breuvage pour en placer une. J'suis partant. Mais, pour que ça marche faut que t'arrives à me parler. je lui souris, lève mon verre et trinque avec lui avant de boire cul sec. L'alcool me brûle la gorge mais se remontant me fait du bien. Je m'assois et le regarde. Commence par me raconter cette semaine dégueulasse, non ?

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Te vidanger le coeur. Carrément. Pour toi, c’est un exploit. Tu as l’habitude de tout enterrer et de vivre ta vie comme tu l’a si bien façonné ; dans un “je m’en foutisme” total. Un changement positif pour une fois. Certes, tu n’as pas dit la totalité des faits, mais ce sera dans un futur proche. Tu n’aimes toujours pas les étiquettes, mais sur ta liste de mots tabous tu as décidé d’y laisser que voldemort. Meilleurs amis. C’est peut-être pas ainsi que tu décrirais réellement votre relation -parce que des meilleurs amis, c’pas censés coucher ensemble hein- mais c’est plausiblement ce que vous montrez être. Tu souris à sa remarque et tu l’attire dans tes bras. Incertitude en premier lieu, elle se permet de renforcer l’étreinte, ce qui te fais comprendre que t’as fait le bon move. Tu mets efforts réels dans tes propos, question de lui faire comprendre une bonne fois pour toute qu’elle n’est pas rien à tes yeux. T’esquisses un sourire qu’elle ne peut voir, toujours contre elle, au moment où elle te confirme partager cette affection. Vous êtes à nouveau séparés et elle réplique à tes derniers propos. Ouais, t’as une habitude ridicule de te dénigrer pour excuser tes actions. Très redondant à la longue, mais faut te prendre avec tes défauts aussi, pas le choix. « J’ai beaucoup de choses à travailler. » Que tu dis bonnement, confirmant que ouais, tu pourrais arrêter de te critiquer sur tous les aspects, ça pourrait être sympa. Tu sers deux shooters et lui proposes de trinquer. Elle accepte, te demandant rapidement de lui expliquer cette semaine de merde que tu as eu, après avoir coigné vos deux verres ensemble, ingurgitant en moins de deux ce dernier. Tu commences directement, pas le temps de passer par 27451 chemins. Tu te diriges vers la cuisine en même temps qu’tu commences à parler. « En grandes lignes, Mika, mon frère jumeau est de retour. J’ai rayé ma famille de ma vie pour plusieurs raisons. Bref, il a fait de la prison à lui seul, alors que la sentence aurait dû être pour nous deux. On a fait un pacte pour pas qu’il me dénonce et je l’ai récemment brisé. » Allez, continues de déballer, t’es bien parti. « Tout ça pour dire.. que pour une des rares fois de ma vie, j’ai peur. » T’es vulnérable ces derniers jours, ça fait vraiment pitié. « D’aller en prison. » Que tu dis, te retournant vers elle alors que tu viens de t’installer dans la cuisine, à la recherche de nourriture dans ton frigo. « De tout perdre en fait. »

Tu trouves un paquet de pâtes fraîches, de la crème, du parmesan ainsi qu’une sauce tomate ; des pâtes fraîches avec une sauce rosée, parfait. Tu sors un chaudron, y met de l’eau et allumes le rond de ton four, attendant que l’eau bouille. « T’as faim? » Que tu lui demandes, le regard vers sa direction. Toi, t’es affamé, t’as mangé à 8h ce matin, il est déjà 20h12. T'es presque meugnon d'lui proposer d'lui cuisiner un petit truc.

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Je le reconnais pas vraiment mais j'ai l'impression de connaitre tout de même son côté affectueux. il ne l'ai peut être pas avec les autres mais avec moi il a déjà été comme ça. Je me remémore cette soirée où on a finit tous les deux dans mon lit, ces étreintes endiablées et ces baisers fougueux échangés. Mais tout ça me parait tellement loin et presque irréel. Je me rappelle comment je me suis sentie quand j'ai trouvé son mot sur l'oreiller, les draps froids qui vous disent : "t'es toute seule, il regrette, t'es toute seule". Je me racle la gorge, détourne le regard et bois une nouvelle gorgée histoire de ne pas m'enfoncer dans ce souvenir qui n'a affecté que moi. Cette étreinte m'a fait du bien, cette étreinte m'a rassurée. Je lui fais remarquer qu'il ne doit plus se critiquer, que ça n'amène à rien à part avoir une mauvaise opinion de lui, enfin si elle peut être encore plus mauvaise. Oui, mais tu y arrivera. je lui fais un sourire que je veux rassurant avec un clin d'oeil limite ridicule mais l'effort est là. On avale cul sec notre verre et je lui demande de me résumer sa semaine qui j'imagine doit vraiment être merdique pour qu'il l'avoue. je l'observe se diriger vers la cuisine, j'ai l'impression qu'il va se défiler. Il en a tellement dit ce soir qu'il n'a peut être pas l'envie, ni la force d'aller plus loin. Mais contre toute attente il se met à parler, encore. Je nous ressers deux shooters et vais me poster devant lui sur un tabouret dans la cuisine. Je l'écoute me raconter son histoire avec son frère, du risque qu'il peut aller en prison. Je penche la tête sur le côté, j'ai du mal à tout comprendre. Je le regarde, je ne dis rien pendant quelques secondes. Le temps passe et il me demande si j'ai faim et sort plusieurs ingrédients et je reconnais l'italien qu'il est. Oui, j'ai une faim de loup. Je lui réponds ça du tac au tac tout en réfléchissant encore à ce qu'il vient de me dire. Et finalement une seule question sort d'entre mes lèvres. Est ce que... est ce que ça te fait du bien, tu sais, d'avoir peur ? Il va peut être penser que je me fous de lui, mais ce n'est pas ça. Je sais que d'ordinaire il ne ressent rien. Je lève mes yeux vers lui, ancre mon regard dans le sien.

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Une relation de respect, oui c’est ce que vous avez toujours -avant que tu sois un connard- entretenu. Mais là, c’est carrément du support qui t’était vital qu’elle t’offre. Le poids du mensonge cesse de t’écraser et tu te diriges vers la cuisine, à la recherche de bouffes à cuisiner. « Parfait! » Que tu dis bonnement lorsqu’elle te dit qu’elle a une faim de loup. Tu retournes au frigo et sort un deuxième paquet de pâtes, tu veux pas prendre de chances. Tu fumes le reste de ta cigarette, l’éteignant afin de te laver les mains et te concentrer sur le plat que tu concoctes. L’eau bouille et t’entends en arrière plan Anna te demander si ça te fait du bien de ressentir cette peur. La question te fait chier d’un côté parce que tu réalises que t’as souvent eu peur. Tu refoulais. Mais en même temps, de savoir qu’elle t’écoute, qu’elle se soucie de c’qui se passe dans cette tête pêle-mêle, ben ça te soulage. Te valorise, même. « J’ai souvent eu peur. J’ai même eu peur avec toi. » Tu prends une pause parce que tu veux pas embarquer sur le sujet, mais t’as quand même laissé un indice glisser vers elle. « C’que je veux dire c’est que j’assume enfin les bêtises que j’ai fait. Et je crois que c’est ça qui me fait peur. De réaliser qu’avec la vie que j’ai mené, je mériterais d’être derrière les barreaux. » Aucune pitié recherchée. Tu réalises juste bien des trucs plus tu en parles. Tu changes de sujet parce que c’est assez, tu veux pas t’étaler sur le négatif toute la soirée. « J’ai une idée vraiment stupide en tête. » Tu laisses quelques secondes se défiler afin de construire ton idée complète et tu reprends la parole. « J’ai vue une émission à la télé l’autre soir.. Un animateur qui se saoule la gueule avec un invité, tout en cuisinant un plat gastronomique. » Les recettes pompettes. « Ça pourrait être une bonne excuse pour se revoir la semaine prochaine, souper ensemble, bon si on arrive à faire la recette, mais c’t’une bonne excuse pour boire aussi. » C’est comme un peu du flirt, mais sans en être, c’t’un peu compliqué ton affaire. « Et puis on va être concentrés sur la recette, pas besoin d’avoir peur de faire des conneries. » Qu’est-ce que tu veux dire par conneries Caleb? falling all over myself, trying to be someone else. (anna) 152426858 Tu fais référence à votre soirée "film" qui t'a quand même marqué on dirait. Ouais, en gros tu lui proposes de venir chez toi et que vous fassiez une recette super gastronomique la semaine prochaine, en vous saoulant la gueule avec des shooters. T’as beau vouloir changer, mais ta vie contient genre… toujours de l’alcool?

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Caleb qui me fait à manger, comme quoi tout peut arriver. je crois qu'après cette "crise" que l'on vient de traverser nous sommes aptes à tout surmonter ensemble. j'aimerai tellement qu'il n'y ai plus aucune gêne, que rien ne soit tabou entre nous. Pouvoir lui parler de mes craintes, des peurs, de mes envies, de mes sentiments. Je l'observe sortir tout ce qui lui faut et je me surprends à aimer son aisance et sa prestance. S'il savait toutes les choses positives qui émanent de lui, il ne se dénigrerait plus aussi souvent. Je l'observe et j'attends. J'attends sa réponse à sa question, pas forcément un développement profond juste qu'il essaie de sortir ce qu'il a en lui. Et puis je ne m'y attends pas, j'entends "toi" et avec un peu trop d'empressement je prends la perche qu'il me tend. Avec moi ? Je ne peux pas m'empêcher de laisser échapper un petit rire. Il a du ressentir que 'j'ai besoin d'en savoir plus, que je suis toujours attachée à cette fameuse soirée et ça même si j'essaie de ne plus trop y penser. Il reprend et m'explique ses craintes et sa véritable peur. Je comprends, tu peux avoir peur en effet. C'est peut être trop direct, trop franc mais il faut qu'il apprenne à ressentir des émotions, bonnes ou mauvaises. Il change de sujet, il n'a plus envie de creuser et je le comprend on en a assez fait pour ce soir et j'suis fière de lui. Ouais, fière. Vas y balance. Je pose mes coudes sur le bar et pose ma tête sur mes mains pour l'écouter, un petit sourire en coin. Il me donne son idée et je me redresse d'un coup sur le tabouret, genre toute excitée. Oui ! J'ai vu ça l'autre fois à la télé ! C'est complètement con mais j'ai trouvé ça drôle. Je l'écoute me proposer furtivement de se revoir la semaine prochaine et un autre sourire que je ne peux contrôler apparait sur mon visage. J'accepte l'offre. Toi, moi et de l'alcool on risque de passer encore une bonne soirée.. Je lève les yeux au ciel, faisant référence moi aussi à notre soirée mémorable. Tu sais, j'aime bien avoir peur de faire des conneries avec toi. Moi et mon flux de paroles, moi et les choses qui sortent sans que j'ai de filtres. Ca n'arrive que dans ce genre de situations forcément.



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T’as toujours manqué appel face à cette notion de dignité humaine ; penser avant de parler. Tu réalises que tu as laissé échappé qu’avec elle aussi, tu as eu peur et tu fais semblant de ne pas entendre son “avec moi” en mettant fin à cette discussion, exprimant clairement que tu cherches à trouver une sortie positive à cette soirée. T’as assez parlé de tes problèmes, t’es pas obligé de donner suffisamment de matières à écrire un livre. T’esquisses un sourire plutôt simplet alors qu’elle confirme que c’est normal d’avoir peur, que dans le fond, t’es pas nécessairement un trouillard pour ça, t’es juste humain. Tu finis par balancer ce que tu veux lui amener, lui faisant part de l’émission que t’as récemment vue sur les ondes. « Tu fais ma soirée. » Que tu répliques alors qu’elle accepte, clairement enjouée par l’idée. « Et ouais, j’ai pas peur de m’ennuyer. » Tu la regardes l’instant d’une seconde, comme si tu cherchais à lui faire comprendre que ouais, tu flirt peut-être un peu. Une partie de toi savait que ça finirait un peu ainsi, parce que tu t’es pas éloigné quelques temps pour aucune raison. Parce que y’a quelque chose d’indescriptible -ou que, toi tu veux pas comprendre- qui s’passe, on s’entend. Tu retires la nourriture du feu et sort deux assiettes afin de finaliser le repas. Donc, les pâtes, une louche de sauce rosée, un peu de sel et une bonne quantité de parmesan. Tu rajoutes que vous serez suffisamment occupés par la recette pour ne pas divaguer et t’es un peu surpris par ce qu’elle ajoute. Elle ose et t’es satisfait, mais tu sais pas si t’es vraiment prêt à assumer c’qui se passe. Pendant une fraction de seconde, l’idée de lui sauter carrément aux lèvres te traverse mais tu te retournes vers elle avec les deux assiettes dans les mains, répliquant avec un sourire qui voudrait lui dire “t’es mignonne, mais j’peux pas continuer de flirter sans devenir mal à l’aise et foutre tout en l’air pour le moment” « Nous... faire des conneries? Trop sages pour ça. » Tu veux pas foutre l’ambiance en l’air, t’as juste pas mieux à offrir. Tu déposes les deux plats l’un face à l’autre sur la table, remarquant qu’Anna quitte son tabouret pour te rejoindre. « C’est pas digne d’un chef, mais je t’assure que tu vas pas mourir empoisonnée. » Tu t’assoies, distribuant les couverts finalement. Honnêtement, tu cuisines bien ; ça a beau être un plat extrêmement simple, t’es Italien hein. « Un temps des fêtes chargé? » Tu prends une première bouchée, t’intéressant aux futurs semaines qui s’en viennent. Et tu réalises que tu veux pas qu’elle te pose la question en retour, parce que t’as pas de famille vraiment, t’es plutôt solitaire et tu sonnerais vraiment nul de dire que tu fêtes juste pas. Que tu seras surement saoul dans un bar, comme le minable que tu es le temps des fêtes.

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