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feat. TOBIAS SORENSEN
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Jupiter Westerberg
Nom Westerberg, un défilé de lettres précis qui de ma langue natale signifie ouest de la montagne. Là où le soleil se couche pour laisser la lune vêtir ses courbes d'une robe aux teintes des profondeurs aquatiques ornée de reflets étoilés. Une identité qui matérialise les rivages de ces galaxies fantasmées, famille connue pour chavirer entre les diverses gravités de ces sphères polychromes.Prénom(s) Jupiter, un éclat de lumière dans les tissus nocturnes de la voûte céleste. Une planète gazeuse, un peu brouillon, volumineuse. Une passion paternelle qui colle à la peau. Cosmos, un deuxième prénom, une suite logique, un algorithme longuement réfléchi. Les moqueries vagabondes qui glisse de ces lèvres humides me vouent à ce surnom liliputien : Pit.Âge Vingt-trois ans, depuis tout ce temps je foule les cicatrices de dame nature comme un vulgaire pansement. Les saisons n'ont plus de secret pour mes yeux qui lésinent machinalement, lassés par les rouages du temps, ses imprévus, ses inconstants, ses moments de gloire, ses caprices d'enfant. Date de naissance Douze août mille neuf cent quatre-vingt treize, sous une pluie d'étoiles filantes. Une artère de l'univers sectionnée, la pression qui propulse ces particules de terre et de flamme dans un monde inconnu. Une conjoncture similaire à celle de la naissance qui marque au fer ces heures aux torsions faramineuses du corps féminin. Lieu de naissance Stockholm, ses pavés glacés, ses décors qui oscillent entre deux époques que personne ne semble parvenir à dissocier. Tapissée sur la côte orientale, elle lacère passionnément le lac Mälar, amant de la Mer Baltique. Une relation saugrenue qui parsème d'images mes souvenirs d'enfance. Statut amoureux Célibataire, le cœur éléphant, pourtant anesthésié. Des bribes de libertés qui deviennent par moment des chaînes à mes poignets. Des envies de toucher du bout des doigts la voie lactée, les muscles rétractés, le corps léger. La fièvre solitaire de ces nuits fauves passées me possède. Orientation sexuelle Bisexuel, amour aveugle, aimer sans regarder, sans se préoccuper des détails. Un baiser sur des lèvres anonymes, une saveur abstraite et agréable. Qu'importe les courbes, elles mènent toutes à ce paradis perdu. Classe sociale Aisée, je peux porter l'or de la tête aux pieds. L'avenir n'est peut-être pas tracé mais qu'importe, il est payé. Marge d'erreur offerte comme un bouquet de fleur. Une sensation de pouvoir et de puissance aux limites déchues.Études majeures Arts plastiques, bête noire de la meute, une route programmée pour être déviée. Loin d'être répugné par la passion qui définit la famille, je suis tout simplement plus stimulé à l'idée de peindre ces mécanismes qui gouvernent l'univers qu'à les comprendre. Études mineures Sport, le corps parle à l'effort et jouit du réconfort lorsque se libère les substances du bonheur. Véritable drogué de ces dernières, je pousse constamment la moindre de mes cellules à libérer le meilleur d'elles-même. Choix de groupe #1 Lowell HouseChoix de groupe #2 Students
LOWELL HOUSE
L'art est une philosophie de vie. Cette feuille blanche, froissée par des mains maladroites et moites, est-elle pleine ou vide ? Je ne sais pas, je ne sais jamais. Je suis cette feuille qui sans cesse se demande si elle est vide ou pleine, si elle est triste ou heureuse. Si elle est le moins ou le plus, si elle est l'élève ou le professeur. Je ne sais pas qui je suis, ce que je suis, peut-être que quelqu'un le sait, cependant je ne le crois pas. Je ne pense pas non plus savoir ce que je produis. Est-ce de l'art ? Ces pigments qui viennent se blottir contre les grains du papier sont-ils de l'art ? Beaucoup de questions, si peu de réponses. Alors je laisse mon imagination parler de ces choses qu'elle ne connait pas, comme la gravité, les forces, l'attractivité. Comme guidée, ma main vient régulièrement retracer la voie lactée sur les brouillons malmenés, sur ces restes où ternissent des fragments de connaissance. L'art est un moyen de communication que seuls les artistes prennent le temps d'apprécier.
STUDENTS
Marcher seul, avancer, laisser traîner ses pieds et ne plus se retourner. Un idéal de vie certain, une assurance à la liberté. Un contrat à soi-même où il est certifié en gras que rien ni personne ne peut forcer à un quelconque sacrifice. Un idéal que j'aime assez, une vision qui jubile dans un coin de ma tête dans ces moments de doute ou tout semble inapproprié. Bien que je sois parfois lassé de cette solitude qui m'enlace, je ne peux nier le manque qui s'installe quand elle me délaisse.
L'art est une philosophie de vie. Cette feuille blanche, froissée par des mains maladroites et moites, est-elle pleine ou vide ? Je ne sais pas, je ne sais jamais. Je suis cette feuille qui sans cesse se demande si elle est vide ou pleine, si elle est triste ou heureuse. Si elle est le moins ou le plus, si elle est l'élève ou le professeur. Je ne sais pas qui je suis, ce que je suis, peut-être que quelqu'un le sait, cependant je ne le crois pas. Je ne pense pas non plus savoir ce que je produis. Est-ce de l'art ? Ces pigments qui viennent se blottir contre les grains du papier sont-ils de l'art ? Beaucoup de questions, si peu de réponses. Alors je laisse mon imagination parler de ces choses qu'elle ne connait pas, comme la gravité, les forces, l'attractivité. Comme guidée, ma main vient régulièrement retracer la voie lactée sur les brouillons malmenés, sur ces restes où ternissent des fragments de connaissance. L'art est un moyen de communication que seuls les artistes prennent le temps d'apprécier.
STUDENTS
Marcher seul, avancer, laisser traîner ses pieds et ne plus se retourner. Un idéal de vie certain, une assurance à la liberté. Un contrat à soi-même où il est certifié en gras que rien ni personne ne peut forcer à un quelconque sacrifice. Un idéal que j'aime assez, une vision qui jubile dans un coin de ma tête dans ces moments de doute ou tout semble inapproprié. Bien que je sois parfois lassé de cette solitude qui m'enlace, je ne peux nier le manque qui s'installe quand elle me délaisse.
APRÈS LA BOMBE.
Le corps lasse et frêle niché sur la banquette arrière de la voiture, je suis cette distraction qui attise l'attention des plus curieux qui dévalent sur le parking. Les troupeaux, dans leur mouvement de groupe, deviennent une douce mélodie qui parvient à pénétrer mes songes. Mes songes, ceux qui m'absorbent, inconscient, somnambule, dans cet entre-deux qui s'éternise. L'heure se renverse, se déverse, se vide. L'heure est précieuse, particulièrement la dernière, celle que personne ne voit venir. Sans doute car elle est discrète ou simplement malvenue. Elle est là, elle se cache, tapissée dans le voile sombre qui recouvre les particules de lumière. Éclate les pares brise dans un bruit sourd, les corps se mettent à danser comme des électrons. Le feu, les flammes. Déflagration. Un goût de fer qui prend en bouche. Le vide, un trou noir, puis rien. C'est tout ce dont je me souviens.
Le corps lasse et frêle niché sur la banquette arrière de la voiture, je suis cette distraction qui attise l'attention des plus curieux qui dévalent sur le parking. Les troupeaux, dans leur mouvement de groupe, deviennent une douce mélodie qui parvient à pénétrer mes songes. Mes songes, ceux qui m'absorbent, inconscient, somnambule, dans cet entre-deux qui s'éternise. L'heure se renverse, se déverse, se vide. L'heure est précieuse, particulièrement la dernière, celle que personne ne voit venir. Sans doute car elle est discrète ou simplement malvenue. Elle est là, elle se cache, tapissée dans le voile sombre qui recouvre les particules de lumière. Éclate les pares brise dans un bruit sourd, les corps se mettent à danser comme des électrons. Le feu, les flammes. Déflagration. Un goût de fer qui prend en bouche. Le vide, un trou noir, puis rien. C'est tout ce dont je me souviens.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
Les regards baissés, les sourires comme de vulgaires esquisses gommées. Les pleurs, la peur, les visages moqueurs, les messes basses, les complots, les plans sur la comète, les théories imaginaires et les hypothèses réfutables à peine énoncées. Les lames de rasoir qui traînent sur le coin du lavabo, les départs précipités, les joues ignées, l'anxiété. Bon ou mauvais, bien ou mal. Des nuances, du blanc et du noir. Des journées grises aux odeurs de maladie incurable. Des dépouilles d'affaire dans un décor pseudo post-apocalyptique. Des rayons de soleil qui ne se font plus désirer. Des morceaux de papier froissés, des rêves oubliés. Des décombres, des pourquoi, des comment et pas une seule réponse. Des combats où l'encre des veines saigne sur les affiches. Tous ces restes de brume se maintiennent à moi, me suivent à travers les clairières, les autoroutes, les voies ferrées, les courses à pied.
Les regards baissés, les sourires comme de vulgaires esquisses gommées. Les pleurs, la peur, les visages moqueurs, les messes basses, les complots, les plans sur la comète, les théories imaginaires et les hypothèses réfutables à peine énoncées. Les lames de rasoir qui traînent sur le coin du lavabo, les départs précipités, les joues ignées, l'anxiété. Bon ou mauvais, bien ou mal. Des nuances, du blanc et du noir. Des journées grises aux odeurs de maladie incurable. Des dépouilles d'affaire dans un décor pseudo post-apocalyptique. Des rayons de soleil qui ne se font plus désirer. Des morceaux de papier froissés, des rêves oubliés. Des décombres, des pourquoi, des comment et pas une seule réponse. Des combats où l'encre des veines saigne sur les affiches. Tous ces restes de brume se maintiennent à moi, me suivent à travers les clairières, les autoroutes, les voies ferrées, les courses à pied.
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle neurosis (jason) et j'ai 19 ans. Je suis français et j'ai connu le forum grâce à bazzart. Ce forum est comme ma maison depuis un an, alors j'ai décidé de continuer l'aventure. J'utilise tobias sorensen comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par tumblr. Je fais environ 200-600 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
Mot de la fin ? ▲ ouloulou
Je souhaite ▲
adhérer un flood d'intégration
je veux être parrainé
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si personnage inventé:
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[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u6806]►[/url] ► <span class="pris">DAVE FRANCO</span> ♦ “ Jupiter Westerberg ”[/size]
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