Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityAnd we lived beneath the waves in our yellow submarine ໙ Chloé & Paloma
-19%
Le deal à ne pas rater :
PC portable MSI Gaming Pulse 16” -Ultra7 155H -16Go/512 Go
1299 € 1599 €
Voir le deal


And we lived beneath the waves in our yellow submarine ໙ Chloé & Paloma

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité



En ce mardi soir, Paloma se trouvait confortablement installée à la bibliothèque d'Harvard, potassant sans relâche une montagne de bouquins, lorsque la bibliothécaire vient lui signaler que l'heure de la fermeture approchait et qu'il fallait qu'elle s'en aille. Effectivement, il commençait à se faire tard et dehors, la nuit était déjà tombée. Paloma rangea rapidement ses affaires dans son sac et remit les livres sur leurs étagères puis, sortit. A l'extérieur, l'air était glacé et Paloma hâta le pas. Une fois chez elle, elle serait bien au chaud et pourrait s'accorder un peu de repos bien mérité. Afin de rejoindre sa chambre universitaire plus rapidement, l'étudiante décida de traverser le parking, qui était à cette heure-ci désert. Il y avait quelques voitures garées par-ci par-là mais pas âme qui vive. Paloma se surprit à se rappeler certaines scènes de films d'horreur se passant sur un parking désert comme celui-ci et secoua la tête pour chasser ces horribles pensées. Il ne manquait plus qu'elle se mette à flipper pour rien ! Et puis quelle heure était-il, déjà ? Paloma ouvrit son sac et fouilla vigoureusement à l'intérieur afin d'en sortir son téléphone portable. Ne le trouvant pas parmi tout le fatras, mais ne voulant pas s'arrêter dans le froid glacial, elle continua à chercher, tout en avançant. L'étudiante aperçu l'objet convoité au fond du sac et, d'un geste triomphant, le brandit en s'exclamant : « Ah ah, je l'ai ! ». Un joyeux tintement retentit immédiatement après. Paloma regarda autour d'elle puis, par terre, et poussa un soupir de soulagement. Juste à ses pieds se trouvaient ses clés, en équilibre sur l'un des barreaux d'une plaque d'égout.

Paloma se pencha et, avec précaution, tandis la main vers le trousseau de clés. Cependant, le destin avait décidé de tout compliquer et les clés disparurent dans l'obscurité. « Oh non mais je rêve ! », hurla la jeune femme d'un ton désespéré. Elle regarda autour d'elle mais bien sûr, personne ne se trouvait aux alentours, comme par hasard. Paloma ne pouvait que compter sur elle-même. Ainsi, elle jeta son sac par terre à côté d'elle, remonta ses manches et passa une main à travers la grille. Paloma s'interdit de penser à ce qui pouvait bien rôder dans les égouts et entreprit de récupérer ses clés. Seulement, ce n'était pas chose facile. Elle n'arrivait même pas à atteindre le fond et, quand bien même elle y arriverait, il serait très difficile de refaire passer le trousseau à travers la grille. La vie était vraiment merdique parfois ! Franchement, Paloma avait-elle besoin de se retrouver par terre, en pleine nuit, à tenter de récupérer ses clés bêtement tombées dans les égouts ?

A quatre pattes sur le parking de l'université, Paloma maudissait sa maladresse depuis environ trente minutes. Elle repassa un bras dans la bouche d'égout mais malheureusement, il n'était toujours pas assez long pour toucher le fond. C'était sa énième tentative et elle échoua, comme toutes les autres. D'un air las, la jeune femme s'assit en tailleur sur le macadam et regarda d'un œil noir l'éclat métallique qui luisait à travers les barreaux. Soudain, Paloma se redressa et observa attentivement la grille. Il y avait de petites visses aux quatre coins. L'étudiante empoigna son sac et chercha frénétiquement quelque chose pouvant l'aider, tout en prenant garde de ne rien faire tomber d'autre. Ses clés, c'était déjà bien suffisant ! Elle sortit un stylo et le regarda d'un œil morne. Oui bon, ça ferait l'affaire. Le problème, c'était qu'il faisait de plus en plus sombre sur le parking et les lampadaires n'éclairaient pas des masses l'endroit où elle se trouvait. Ainsi, Paloma prit son portable et le coinça sous son menton. Dans cette position ridicule mais utile, elle entreprit de dévisser les quatre visses avec son stylo. Inutile de préciser qu'en plus d'avoir l'air complètement débile, elle n'arrivait absolument à rien et les visses ne bougeaient pas d'un poil ...

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


Ce mardi soir est un mardi soir comme les autres. Chloé avait finit les cours très tôt aujourd'hui elle avait donc décidé de faire du bénévolat dans un chenil d'Harvard Square. C'est un quartier qu'aime beaucoup Mlle Rowling car il est très fréquenté néanmoins il reste un quartier calme et agréable.
Aujourd'hui donc son bénévolat c'était terminé un peu tard. En fin de semaine dernière une dizaine de nouveaux chiens et chats avaient été déposé et les bénévoles avaient donc eu beaucoup de travail ce weekend. Tellement que certaines tâches n'avaient pu être faite comme à l'accoutumé du coup Chloé et une autre fille avec qui elle bossait c'était chargé des tâches parfois ingrates pour décharger les employés fixe du chenil.

Avec tout ça, plus le fait que Chloé avait voulu passé un peu de temps avec les nouveaux pensionnaires et avait choisit d'emmener en balade les plus vieux d'entre eux, pour dégourdir un peu leur papattes, bahhhh elle rentré seulement à la faculté. Il était tard et le temps n'était pas aussi clément qu'elle l'aurait souhaité. Après avoir garé sa voiture non loin de la Dunster House la belle se rappela qu'elle devait rendre un livre qu'elle avait emprunté à la bibliothèque. Filant d'un pas hésitant jusqu'à la bibliothèque Chlo' se maudit d'avoir carrément zappé de rendre ce livre à temps. Elle était déjà assez fatigué de sa longue journée alors là affronter le froid pour déposer un livre c'était le bouquet final. De toute façon elle n'avait pas le choix elle c'était engagé assez loin dans sa marche alors elle n'allait pas faire demi-tour par flemmardise pour revenir un autre jour.
Arrivée devant la grande bâtisse la belle ne se sentait pas réellement en sécurité. Allez savoir ce qui rode à cette heure là même dans une université, surtout dans une université devrais-je dire. Chloé posa sa mains sur la porte de la grande muraille mais se rendit vite compte qu'elle était fermé. « Quoi, déjà ? Oh non pas ce soir ! » se plaint-elle subitement. Ça lui apprendra à vouloir tout faire vite au lieu de réfléchir.

Fatigué, énervé, lassé et frigorifié la rouquine se résigna et rebroussa chemin pour retourner jusqu'à son chez soi. Néanmoins la pénombre avait gagné la faculté et passé par les petits chemins ne la rassuré pas tellement. Du coup, elle préféra passer par le parking qui lui était éclairé, au risque de rester plus longtemps dehors dans ce froid, plutôt que de se risquer à une éventuel mauvaise rencontre. Les bras serrer et croiser contre son corps la jeune femme arrive sur le parking complètement rassuré. Avançant à pas lent, elle s'imagina dans son lit douillé en train de lire un bon roman avant de se décider à aller se doucher puis se coucher. Mais alors qu'elle était perdu dans ses pensées la jeune femme entendu un bruit pas commun. Puis une petite lumière éclaira à peine la pénombre qui l'entourait. Chloé s'interrogea alors sur la nature de ce petit halo bleuâtre non loin d'elle. D'instinct elle fit quelques pas mais s'arrêta net. * Et si c'était un rôdeur ?! * se mit à penser Mlle Rowling. Secouant énergiquement la tête, elle se ressaisit et repris sa marche vers ce bruit et cette lumière qui l'intriguait. Que fut sa surprise quand de dos elle cru reconnaître sa douce Paloma, qui semblait se débattre avec une grille d'égout. * Mais qu'est ce qu'elle fou encore ? * pensa une nouvelle fois Chloé. S'approchant sans bruit de son amie, elle jeta un œil interrogateur par dessus l'épaule de l'autre rouquine. Qu'elle fut son sourire quand elle comprit ce qu'essayait de faire son amie. * Elle a un grain ma parole [rire intérieur], qu'elle folle je vous jure ! * Puis souhaitant faire une petite peur à sa tendre Paloma, Chloé passa son pied sous les fesses de la belle rousse et la souleva rapidement. « Alors alors, après les bébés phoques c'est les bébés rats que tu veux sauvé ! » dit-elle en rigolant, la voyant le cul en l'air.
(Invité)