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feat. JULIAN SCHRATTER
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bram gansey
Nom Gansey, le nom de ce père défunt qui a toujours vu en lui le plus prometteur de ses trois héritiers et dont il ne manque pas d'entretenir encore et encore le souvenir.Prénom(s) Bram, mais tout le monde utilise son nom pour l'appeler et ce tant et si bien que son prénom en deviens quasiment obsolète.Âge vingt-cinq années déjà d'écoulées.Date de naissance sa mère a accouché le vingt avril de l'année mille neuf cent quatre-vingt-onze.Lieu de naissance il a été mis au monde à Boston.Statut amoureux il est à ce jour célibataire et n'a jamais connu de véritable relation de couple, lui qui n'y est pourtant pas allergique.Orientation sexuelle hétérosexuel, il aime les femmes.Classe sociale aisé. De son vivant, son père était avocat et un grand nom dans son milieu avec cela. Il était alors connu pour son aptitude à remporter toutes ces affaires, y compris celles dont on aurait juré qu'elles étaient perdues d'avance. C'était un homme talentueux et impétueux et son aptitude à réussir lui a permis d'assurer un avenir confortable à ses enfants. Il a découpé sa fortune en quatre, en soustrayant une part à sa femme ainsi qu'à leurs trois fils. Cet argent, Gansey en a l'accès depuis qu'il a atteins sa majorité il y a quatre ans. Il roule sur l'or, mais ne s'en vente pas.Études majeures informatique.Études mineures aucune.Job aucun, il n'en a pas besoin.Choix de groupe #1 mather.Choix de groupe #2 student.
MATHER.
Gansey est un électron libre qui aime à mener une existence débridée, libérée de toutes formes de règles visant à le cadenasser. Bien qu’en possession d’un compte en banque qui n’a rien à envier à tout le parterre d’Eliots qui gangrène ce campus, il n’aspire qu’à une vie régie par la démesure ainsi qu’une soif de liberté non réprimée. D’une spontanéité et d’une franchise telle qu’elle en devient presque effrayante, il est authentique et d’un naturel détonnant. Il s’assume pleinement tel qu’il est et exècre toutes formes d’artifices. D’une sincérité rafraichissante, il est de ceux qui aiment à bruler la vie par les deux côtés. Fêtard, amoureux de la décadence, il trouverait sans nul doute sa place parmi les Mathers.
STUDENT.
Il ne ressent pas de besoin viscéral d’intégrer une confrérie. De toutes celles présentes à Harvard, il estime que la Mather est celle qui lui colle à la peau, mais s’il ne devait pas rejoindre ses membres, il préfère encore demeurer sans attache, simple student parmi les nombreux étudiants.
Gansey est un électron libre qui aime à mener une existence débridée, libérée de toutes formes de règles visant à le cadenasser. Bien qu’en possession d’un compte en banque qui n’a rien à envier à tout le parterre d’Eliots qui gangrène ce campus, il n’aspire qu’à une vie régie par la démesure ainsi qu’une soif de liberté non réprimée. D’une spontanéité et d’une franchise telle qu’elle en devient presque effrayante, il est authentique et d’un naturel détonnant. Il s’assume pleinement tel qu’il est et exècre toutes formes d’artifices. D’une sincérité rafraichissante, il est de ceux qui aiment à bruler la vie par les deux côtés. Fêtard, amoureux de la décadence, il trouverait sans nul doute sa place parmi les Mathers.
STUDENT.
Il ne ressent pas de besoin viscéral d’intégrer une confrérie. De toutes celles présentes à Harvard, il estime que la Mather est celle qui lui colle à la peau, mais s’il ne devait pas rejoindre ses membres, il préfère encore demeurer sans attache, simple student parmi les nombreux étudiants.
APRÈS LA BOMBE.
Bien qu'en ville à cette époque (comme à toutes les époques, en fait), il n'était pas sur le campus alors et a eut vent de ce drame via ses proches, dont certains furent largement moins chanceux que lui. Au final, il a finit par se ruer à l'hôpital pour retrouver ses amis et prendre des nouvelles de tout le monde. Il s'estime chanceux à titre personnel, mais cette journée macabre et terrifiante est définitivement imprimée dans sa mémoire.
Bien qu'en ville à cette époque (comme à toutes les époques, en fait), il n'était pas sur le campus alors et a eut vent de ce drame via ses proches, dont certains furent largement moins chanceux que lui. Au final, il a finit par se ruer à l'hôpital pour retrouver ses amis et prendre des nouvelles de tout le monde. Il s'estime chanceux à titre personnel, mais cette journée macabre et terrifiante est définitivement imprimée dans sa mémoire.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
En tant qu’étudiant, il a bien sûr ressenti l’atmosphère particulièrement lourde et déplaisante qui pesait alors partout sur le campus. Ca aura été une période très sombre, peut-être même l’une des plus sombres de sa scolarité. C’était pas mal d’angoisse, c’était désagréable, comme une odeur nauséabonde, permanente et irritante, murmure sinistre visant à préparer au pire. Gansey en a connu du drame dans son existence, mais là clairement, ce n’était pas facile à vivre, il y avait vraiment quelque chose de malsain et d’amer dans l’air. Au final, il a encore réussi à passer à travers les gouttes, car il n’était pas sur le campus le dix-sept, étant alors avec ses frères pour voir sa famille maternelle. Il a néanmoins angoissé de loin, tâchant de prendre des nouvelles de ses amis depuis là où il se trouvait.
En tant qu’étudiant, il a bien sûr ressenti l’atmosphère particulièrement lourde et déplaisante qui pesait alors partout sur le campus. Ca aura été une période très sombre, peut-être même l’une des plus sombres de sa scolarité. C’était pas mal d’angoisse, c’était désagréable, comme une odeur nauséabonde, permanente et irritante, murmure sinistre visant à préparer au pire. Gansey en a connu du drame dans son existence, mais là clairement, ce n’était pas facile à vivre, il y avait vraiment quelque chose de malsain et d’amer dans l’air. Au final, il a encore réussi à passer à travers les gouttes, car il n’était pas sur le campus le dix-sept, étant alors avec ses frères pour voir sa famille maternelle. Il a néanmoins angoissé de loin, tâchant de prendre des nouvelles de ses amis depuis là où il se trouvait.
I AM BEING PERFECTLY FUCKING CIVIL.
Gansey a une fascination particulière pour tout ce qui (qu’il s’agisse d’être vivant ou non) possède une aptitude à s’élever dans le ciel. Il a toujours eut un goût marqué pour la hauteur, son visage levé vers l’immensité du ciel au dessus de lui. Il se contrefiche des chiens et des chats, seuls les oiseaux se démontrent capables de lui soutirer un peu d’affection. Il leur envie leur capacité à voler. Plus jeune, il aimait à penser qu’il en serait un jour capable lui aussi (il s’est même élancé du toit de la maison à l’âge de six ans, une expérience laborieuse dont il est ressorti avec une jambe cassée) et parfois, il aime encore se délecter de cette idée, aussi fantasque qu’elle puisse être. × Le fromage, c’est sa passion et plus il pue, plus il trouve grâce à ses yeux. Entre le produit laiteux et lui, c’est une histoire d’amour qui dure depuis que sa mère lui en a présenté un morceau, l’invitant à y goûter. De là est née une romance, sans conteste la plus sincère et durable de l’existence de Gansey. Il ne jure que par le fromage, au point qu’il le subtilisait même à ses gâteaux d’anniversaire, le préférant à un tel étalage de crème pâtissière. × Gansey ne ment jamais, ce qui fait de lui un être entier et à l’occasion foncièrement désagréable. Il ne déguise pas ses émotions et ne les retiens pas davantage, les laissant librement se déverser sans enrobage, sans emballage visant à les rendre gracieuses ou délicates. Très peu pour lui les convenances et les belles tournures. Une franchise détonante qui tend à lui créer autant d’amis que d’ennemis. × De l’argent, Gansey en a plein les poches. Son père était un homme bourré d’intuition et très performant dans son domaine (enfin, jusqu’à ce que ce dernier ne cause sa mort) et ses comptes en banque en étaient une belle illustration. Il a été arraché à ce monde, mais n’a pas manqué de laisser un bel héritage à ses trois garçons. A sa majorité, Gansey a donc hérité d’une belle somme d’argent désormais entreposée à la banque. Il n’a rien à envier financièrement parlant aux gosses de riches qui foisonnent sur le campus et qu’il exècre profondément, mais il ne se comporte pas comme eux. Il n’exhibe pas son argent et ne lui porte aucune affection démesurée. A vrai dire, il brulerait volontiers tout ce fric si ce sacrifice pouvait lui ramener son père ainsi qu’une mère dont la santé mentale serait intacte. × Il ne dépense pas sans compter, mais aime s’accorder de petites (ou grosses) folies. En général, il tend à se faire plaisir en matière de matériel informatique et de voitures. × Il déteste lire et la fin du monde sera proche le jour où il se saisira avec envie d’un bouquin. × Les gosses ne l’aiment pas, il leur fait peur. Il y a quelque chose de profondément singulier et inconfortable dans l’attitude de Gansey pour quiconque ne sait pas l’apprécier tel qu’il est et les enfants s’en trouvent répugnés. De façon général, les gens n’aiment pas des masses Gansey. Il est de ces personnes pour lesquelles il n’y a pas de demi-mesure : on l’aime ou on le déteste et on s’accorde sur le fait qu’il ne laisse personne indifférent. × Il ronchonne toujours quand quelqu’un chante une chanson sans en connaître les paroles (et non, une phrase dans le refrain, criée et malmenée avec cela, ça ne compte pas). × Il a un contrôle sur sa vessie qui force l’admiration. Il n’a jamais obligé personne à s’arrêter au cours d’un trajet pour pouvoir se rendre aux toilettes et n’en est pas peu fier. × Il déteste les morceaux de fruits dans les yaourts. Il déteste aussi les fanfreluches, les « je te l’avais dit » (et encore plus quand ils sortent de la bouche de son frère aîné), la crème glacée trop glacée, la crème glacée qui ne l’est pas assez, les gens qui sont toujours à la bourre et ceux qui pensent que la fête est plus folle sans alcool. La fête est TOUJOURS plus folle avec de l’alcool. × C’est une gazelle. Il a besoin d’espace. Il a besoin de son espace. × Il s’endort toujours avec une paire d’écouteurs enfoncés dans ses oreilles. A ce sujet, il éprouve une rancœur nullement dissimulée (il ne dissimule jamais rien, ça ne fait pas exception) à l’égard de la pop dégoulinante qui passe 24h/24 sur les stations de radio. Il n’aime pas ce qui est commercial, il vaut mieux que ça. × Il n’a pas envie d’être comme les autres et il se fou d’être regardé de travers. Il s’assume pleinement tel qu’il est et attends des autres qu’ils l’acceptent sans broncher. Et puis qu’ils bronchent au pire, il n’a jamais voulu faire l’unanimité de toute façon. × Il ne danse qu’avec de l’alcool dans le sang (il danse pas mal au final, donc).
Gansey a une fascination particulière pour tout ce qui (qu’il s’agisse d’être vivant ou non) possède une aptitude à s’élever dans le ciel. Il a toujours eut un goût marqué pour la hauteur, son visage levé vers l’immensité du ciel au dessus de lui. Il se contrefiche des chiens et des chats, seuls les oiseaux se démontrent capables de lui soutirer un peu d’affection. Il leur envie leur capacité à voler. Plus jeune, il aimait à penser qu’il en serait un jour capable lui aussi (il s’est même élancé du toit de la maison à l’âge de six ans, une expérience laborieuse dont il est ressorti avec une jambe cassée) et parfois, il aime encore se délecter de cette idée, aussi fantasque qu’elle puisse être. × Le fromage, c’est sa passion et plus il pue, plus il trouve grâce à ses yeux. Entre le produit laiteux et lui, c’est une histoire d’amour qui dure depuis que sa mère lui en a présenté un morceau, l’invitant à y goûter. De là est née une romance, sans conteste la plus sincère et durable de l’existence de Gansey. Il ne jure que par le fromage, au point qu’il le subtilisait même à ses gâteaux d’anniversaire, le préférant à un tel étalage de crème pâtissière. × Gansey ne ment jamais, ce qui fait de lui un être entier et à l’occasion foncièrement désagréable. Il ne déguise pas ses émotions et ne les retiens pas davantage, les laissant librement se déverser sans enrobage, sans emballage visant à les rendre gracieuses ou délicates. Très peu pour lui les convenances et les belles tournures. Une franchise détonante qui tend à lui créer autant d’amis que d’ennemis. × De l’argent, Gansey en a plein les poches. Son père était un homme bourré d’intuition et très performant dans son domaine (enfin, jusqu’à ce que ce dernier ne cause sa mort) et ses comptes en banque en étaient une belle illustration. Il a été arraché à ce monde, mais n’a pas manqué de laisser un bel héritage à ses trois garçons. A sa majorité, Gansey a donc hérité d’une belle somme d’argent désormais entreposée à la banque. Il n’a rien à envier financièrement parlant aux gosses de riches qui foisonnent sur le campus et qu’il exècre profondément, mais il ne se comporte pas comme eux. Il n’exhibe pas son argent et ne lui porte aucune affection démesurée. A vrai dire, il brulerait volontiers tout ce fric si ce sacrifice pouvait lui ramener son père ainsi qu’une mère dont la santé mentale serait intacte. × Il ne dépense pas sans compter, mais aime s’accorder de petites (ou grosses) folies. En général, il tend à se faire plaisir en matière de matériel informatique et de voitures. × Il déteste lire et la fin du monde sera proche le jour où il se saisira avec envie d’un bouquin. × Les gosses ne l’aiment pas, il leur fait peur. Il y a quelque chose de profondément singulier et inconfortable dans l’attitude de Gansey pour quiconque ne sait pas l’apprécier tel qu’il est et les enfants s’en trouvent répugnés. De façon général, les gens n’aiment pas des masses Gansey. Il est de ces personnes pour lesquelles il n’y a pas de demi-mesure : on l’aime ou on le déteste et on s’accorde sur le fait qu’il ne laisse personne indifférent. × Il ronchonne toujours quand quelqu’un chante une chanson sans en connaître les paroles (et non, une phrase dans le refrain, criée et malmenée avec cela, ça ne compte pas). × Il a un contrôle sur sa vessie qui force l’admiration. Il n’a jamais obligé personne à s’arrêter au cours d’un trajet pour pouvoir se rendre aux toilettes et n’en est pas peu fier. × Il déteste les morceaux de fruits dans les yaourts. Il déteste aussi les fanfreluches, les « je te l’avais dit » (et encore plus quand ils sortent de la bouche de son frère aîné), la crème glacée trop glacée, la crème glacée qui ne l’est pas assez, les gens qui sont toujours à la bourre et ceux qui pensent que la fête est plus folle sans alcool. La fête est TOUJOURS plus folle avec de l’alcool. × C’est une gazelle. Il a besoin d’espace. Il a besoin de son espace. × Il s’endort toujours avec une paire d’écouteurs enfoncés dans ses oreilles. A ce sujet, il éprouve une rancœur nullement dissimulée (il ne dissimule jamais rien, ça ne fait pas exception) à l’égard de la pop dégoulinante qui passe 24h/24 sur les stations de radio. Il n’aime pas ce qui est commercial, il vaut mieux que ça. × Il n’a pas envie d’être comme les autres et il se fou d’être regardé de travers. Il s’assume pleinement tel qu’il est et attends des autres qu’ils l’acceptent sans broncher. Et puis qu’ils bronchent au pire, il n’a jamais voulu faire l’unanimité de toute façon. × Il ne danse qu’avec de l’alcool dans le sang (il danse pas mal au final, donc).
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle INCANDESCENTE et j'ai vingt-deux ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à bazzart, la base. alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Julian Schratter comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par scarlett. Je fais environ trois cents mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
Mot de la fin ? ▲
Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainé si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)
Je recense mon avatar ▲
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