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Your face is not unknow to me ♣ Leanne

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LEANNE & ALEKSEÏ.

Ta dernière intervention de la matinée doit avoir lieu dans une demie-heure à peine. Le patient est dans sa chambre, les infirmières le préparent doucement mais tu n'as pas ton matériel. Te voilà comme un con, arpentant les couloirs de l'hôpital pour te rendre au service de stérilisation qui te doit un bon nombre d'explications du à l'absence tragique de ton matériel opératoire. Tu es un râleur, un homme éternellement de mauvaise humeur et tout l'établissement tremble lorsque tu marches d'un pas décidé entre les murs blancs. Tu cherches une cible et le personnel évite ton regard ainsi que ton chemin. Ta blouse blanche flottant presque derrière toi, tu passes en trombe dans le service de puériculture afin de rejoindre la stérilisation qui se trouve de l'autre côté. Une fois le service atteint, tu sonne et attend qu'un agent vienne te répondre et sans lui laisser le temps de te dire bonjour, tu te mets à lui balancer tout les reproches possibles et inimaginables. L'homme qui se tient devant toi n'ose pas rétorquer quoi que se soit, il a l'habitude de tes scènes et sait aussi que la moindre réponse de sa part pourrait t'énerver encore plus. Seulement, aujourd'hui c'est son silence qui te rend fou de rage. Tu te mets bien vite à hurler, défoulant ta colère sur ce pauvre homme qui reste face à toi, les yeux écarquillés.
Tu sais très bien que décharger ta colère sur le premier venu ne rendra pas stérile le matériel que tu recherches. Tu sais aussi que ta colère ne résoudra rien et encore pire, qu'elle pourrait accabler de culpabilité toute personne travaillant dans cet inconnu service qu'est la stérilisation. Mais tu t'en fiches pas mal. Tu t'en fou même complètement. Sans laisser ton interlocuteur ajouter un mot, tu fais volte face puis retourne de là où tu étais arrivé quelques minutes plus tôt. Les sourcils froncés et le regard noir, tu traverses une nouvelle fois le service de puériculture en direction de l’ascenseur qui te mènerait au bloc opératoire. Tu bouillonnes. Tu vas devoir expliquer à ton patient qu'il allait devoir patienter encore un peu et c'était une chose dont tu avais horreur.  
 

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@Leanne Cohen
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30 novembre 2016. Une nouvelle journée de cours venait de se terminer, j'avais eu un peu la gueule de bois au matin suite à la soirée passée la veille dans cette boite de striptease. Mais dans le fond, je m'en moquais un peu car je n'avais pas vraiment un cours des plus intéressants au matin et j'avais remarqué que même si tu dormais en fond d'amphi, le prof continuait son cours ni vu ni connu. Ainsi j'avais passé la matinée à rattraper un peu ma courte nuit, surtout que l'après midi, j'avais un cours assez important pour mon année. Et étant arrivée quelques mois après la rentrée, je me devais d'avoir un bon dossier si je voulais passer en deuxième année et réussir mes examens. Contre toute attente, le cours que j'attendais le plus était passée à toute allure, si bien que j'avais pu repasser à la Cabot pour me changer en tenue de pompier et de foncer à la caserne pour aller aider un peu les garçons. Je n'étais certes que bénévole mais ils adoraient quand j'étais là car mes compétences en médecine les arrangeaient bien et puis il faut l'avouer mais avoir une femme dans une caserne est toujours agréable. D'ailleurs, on ne resta pas longtemps à la caserne puisqu'on dut partir en intervention. Un simple blessé qui avait du forcer un peu trop sur une blessure antérieure et l'avait fait se rouvrir. Mais comme il semblait pas dans son état normal, sans doute l'alcool, on préféra l'emmener à l'hôpital. Une fois sur place, je vins expliquer aux infirmières ce qui s'était passé pendant que mes collègues tentaient de calmer un peu le blessé qui commençait à s'agiter. Rapidement, un médecin arriva et là je crus voir une tête qui ne me semblait pas inconnue, sauf que je me doutais bien qu'un médecin aussi sexy que lui avait du m'oublier avec mon break de 7 mois. Pourtant un souvenir d'une partie de jambe en l'air qu'on avait eu dans ce lieu qu'est l'hôpital me revient rapidement en mémoire, ce qui me fit partir dans mes pensées quelques secondes. Je fus ramenée à la réalité lorsque le patient semblait réellement très agité, encore plus qu'à son arrivée. Alors je vins conseiller au médecine de lui donner un calmant en venant lui répondre. "Si je peux me permettre, vous devriez lui donner un bon somnifère, histoire qu'il s'endorme comme un bébé pendant que vous regardez sa plaie non ?", lui fis je, espérant que mon conseil ne soit pas mal pris par les infirmières qui agglutinaient autour du médecin sexy. Je vins donc attendre sa réponse, souriant à la scène qui me faisait face.
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@Alekseï G. Voïnov
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LEANNE & ALEKSEÏ.

Comble de l'agacement, tu t'apprêtes à te rendre au bloc lorsqu'une infirmière interrompt ton chemin, « Docteur Voïnov, puisque votre matériel est absent, vous n'avez plus d'intervention et … Il y a une urgence qui vient d'arriver et aucun médecin alors ... ». La voix qu'elle emploie est fébrile, presque inquiète. Tu inspires un long moment afin de canaliser cette rage qui sommeille en toi. Poussant enfin ce soupir d'impatience, tu ne daignes pas répondre, te contentant de faire volte face pour prendre la direction du service des urgences. Il est presque midi et tu n'es pas près de pouvoir manger.
Tu arrives rapidement mais avant même de franchir les portes coulissantes, tu entends le jeune homme hurler à la mort comme s'il n'allait jamais s'en sortir. Passant devant l'accueil, tu attrapes sans t'arrêter le dossier que te tend la secrétaire et tu jettes à peine un œil dessus. Une plaie qui s'est rouverte au niveau du genou. Le patient avait probablement du forcer dessus, à ceci s'ajoutant le fait que les points devaient être terriblement mal faits s'ils n'avaient pas tenu le coups. Maudits internes. Tes doutes se confirment lorsque tu poses tes yeux sur le genou ensanglanté du patient qui n'avait de cesser de gigoter dans tout les sens. De tes deux mains, tu tentes tant bien que mal de maintenir la jambe de ce dernier lorsqu'une jeune femme pompier vient à ta hauteur en suggérant de le tranquilliser. Malchanceuse que pouvait être cette jolie brune, ton humeur actuelle ne te permettait pas de supporter la moindre remarque. Tu lèves les yeux vers elle, sans lever tes mains de la peau du jeune homme, « vous êtes médecin ? » lui rétorquas-tu de manière incisive. N'importe quelle personne te côtoyant ou t'ayant côtoyé connaît cette éternelle mauvaise humeur qui se lit sur ton visage et ce ton autoritaire et glacial qui est le tien.
D'un mouvement de la tête, tu incites un de ses collègues masculins à t'aider à sangler le patient qui ne se tient toujours pas tranquille. Ceci fait, tu vas fouiller dans un tiroir afin d'en sortir une seringue pour ensuite venir la planter dans la cuisse du jeune homme. Dans quelques courtes minutes, vous aurez enfin la paix. Sans que tu ais eut un mot à dire, une infirmière se précipite sur toi avec entre ses mains le matériel nécessaire pour nettoyer puis suturer la plaie. Tu ne la remercies même pas, et sans un regard tu empoignes la pince qu'elle te tend, pince qui enserre un coton imbibé de bétadine. Tu entreprends de désinfecter entièrement la plaie lorsque tu te rends compte que le regard de la pompier est toujours sur toi. Son visage ne te dit rien, tu ne la reconnais pas alors pourquoi te regarde-t-elle ainsi ? Malheureusement, vos nombreux parties de jambes en l'air ne te reviennent pas instantanément en mémoire.   
 

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@Leanne Cohen
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30 novembre 2016. Une journée de cours somme toute normale venait de se terminer, le genre de journée où on apprécie tous qu'elle se termine afin de rentrer chez soi pour se préparer à sortir en boite avec ses amis. J'aurais pu avoir ce programme, seulement depuis mon retour à Boston j'avais décidée de continuer en tant que pompier bénévole. Certes les pompiers de Boston doivent être légèrement différents dans leur manière de faire que ceux de Phoenix mais dans le fond ils partagent les mêmes valeurs non ? Mais aussi entrer chez les pompiers est un moyen de me rapprocher un peu de mon frère jumeau lui même pompier bénévole, n'est ce pas une autre bonne raison que de vouloir se rapprocher de son jumeau ? Enfin pour l'heure, je venais donc de quitter les cours, je suis repassée un peu en speed pour me changer en tenue de pompier et il était l'heure d'aller rejoindre les garçons à la caserne. Une fois à la caserne, ce fut parti pour une nuit d'intervention ou de calme, tout va dépendre du nombre de blessés qu'il y aura. Mais dès le début de la fin de journée, voilà qu'on a notre premier blessé. Un homme qui a sans doute un peu poussée sur la bouteille et voulut faire un peu de gymnastique alors qu'il a une vieille blessure au genou. En examinant rapidement le blessé du fait de mes notions avancées de secourisme et médecine, je m'en suis rendue compte de suite, j'ai donc fait savoir aux gars qu'il fallait l'emmener au plus vite à l'hôpital. Le malheureux répétait "pas l'hôpital" durant tout le trajet mais on ne l'écouta pas car c'était sa vie qui pouvait être en jeu, il pouvait se retrouver handicapé s'il continuait à ce rythme.

Une fois sur place, nous avons pu passer plus rapidement que les autres personnes déjà présentes qui nous regardaient assez bizarrement. Mais après tout, on est pompiers et on a peut être d'autres blessés plus graves que cet alcoolique qui nous attendent donc on a pas de temps à perdre. Pourtant on a attendu quelques minutes avant qu'un médecin daigne venir examiner le blessé qu'on avait amené. Le médecin était concentré et semblait pressé, peut être était ce la fin de sa journée ? En tout cas, il m'avait semblé avoir déjà vu ce visage lorsque je travaillais encore à l'hôpital 7 mois plus tôt. Et pour cause, comment ne pas me rappeler d'un homme avec qui j'ai pu prendre du plaisir dans certains endroits de l'hôpital ou ailleurs ? Mais visiblement il semblerait qu'il m'ait oublié, je ne peux pas lui vouloir, il doit en avoir des conquêtes vu son sex appeal. Cependant il semblait avoir eu une mauvaise journée, cela tombait à pic car moi aussi ma journée avait un peu mal commencé, sans doute pas pour les mêmes raisons que lui mais tout de même. Il vint alors me demander si j'étais médecin pour venir lui donner un conseil, tout en examinant la plaie du blessé qui hurlait à la mort de douleur. Alors je vins lui répondre. "Non je ne suis peut être pas médecin mais j'ai étudié ce domaine pendant tellement longtemps que cela ne peut pas s'oublier en quelques mois", lui fis je, espérant intérieurement que cela lui rappelle que j'ai été aussi une interne comme toutes celles qui peuvent baver devant lui. Je ne peux pas leur en vouloir, j'ai été comme elles y'a plusieurs mois et je ne suis pas partie à cause de lui loin de là. Malgré sa question à mon égard, je ne peux que constater qu'il a décidé de suivre mon conseil, sans doute pour avoir la paix mais dans le fond c'est que mes connaissances en médecine ne sont pas si obsolètes que cela. On m'appellerait pas Doc dans l'équipe sinon en même temps. Je décide de garder mon regard posé sur lui, tout en l'observant faire et ses mains viennent me rappeler nos ébats sexuels qu'on a pu avoir au sein de l'hôpital, dans n'importe quel lieu. J'ignore encore si mon visage lui dit quelque chose mais de toute évidence cela n'est pas encore le cas. Le patient endormi, le médecin sexy peut enfin commencer à l'examiner, sauf qu'il va falloir le bouger car en plein milieu des urgences, cela va pas le faire. Mes collègues décident de suivre les infirmières et d'amener le blessé dans une chambre, il ne reste plus que moi et le médecin, je décide de venir lui rappeler qui je suis en venant lui effleurer les mains et lui répondre. "Vous êtes toujours aussi habiles de vos mains à ce que je vois", lui fis je d'une vois assez sexy, espérant secrètement qu'il commence à se souvenir de nos ébats sexuels. Je n'attends même pas sa réponse que je pars rejoindre mes collègues dans la chambre où notre blessé vient d'être installé, on peut encore rester aider un peu, on a pas encore de nouvelles interventions qui tombent au talkie.
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@Alekseï G. Voïnov
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LEANNE & ALEKSEÏ.

Tu sutures la plaie du patient avec grande minutie mais aussi une rapidité très efficace. T'as fait ça toute ta vie sur d’innombrables patients mais également sur ta propre personne. C'est presque devenu un geste routinier. Vu le ton piquant que tu avais employé, tu ne t'attendais pas à avoir une réponse. Habituellement, dans cet établissement, lorsque ta voix résonne ainsi, personne n'ose répondre. Des études médicales ? Tu tournes ton visage vers elle, les sourcils toujours froncés comme à ton habitude, car ce qu'elle dit pique ta curiosité. « Ah oui ? Et dans quel service ? » demandes-tu de façon toujours aussi détachée tout en continuant de poser ces quelques points qui maintiendront la plaie en place et favoriseront sa cicatrisation. Une fois ceci fait, tu jettes tes instruments dans la grande cupule que te tendait l'infirmière qui te suivait comme ton ombre. Ce n'était pas très protocolaire de suturer une plaie de cette façon, dans les couloirs du service mais il était tout bonnement hors de question pour toi d'attendre qu'on lui ai trouvé une chambre. Ce ne t'avait prit que quelques minutes et c'était très bien ainsi. Tu entreprends d'ôter tes gants lorsque les personnes présentent se chargent d'emmener le malheureux endormi dans un endroit plus reposant, tu reviendrais le voir dans quelques heures.
Tu t'apprêtes à retourner à tes occupations lorsqu'en te retournant, tu t’aperçois que la blondinette est toujours à tes côtés. Et bien, à croire qu'elle ne veut plus ta lâcher malgré la vacherie que tu lui as balancé au premier abord. Tu l'observes de haut en bas, puis de bas en haut lorsqu'elle pose ses mains sur les tiennes, les effleurant avec fougue. Tu arques un sourcil, restant tout à fait idiot face à cette situation que tu n'avais absolument pas prévue. Elle ne te laisse pas le temps de répondre, alors tu la suis bien sagement jusqu'à cette chambre dans laquelle le patient vient d'être installé. La connais-tu ? Un instant le doute t'envahit et ta mémoire pourtant infaillible de te fait remarquablement défaut à cet instant. Toujours en faillant les recoins de tes souvenirs, tu vérifie que les points que tu as précédemment posés tiennent bien, ce qui est le cas. « Faut qu'il se repose » annonces-tu gravement afin que tout le monde sorte de la pièce. Tout le monde, sauf Leanne. Ce prénom t'était revenu lorsque tu étais entré dans la chambre, pièce tout à fait similaires aux nombreuses chambres que vous avez visitées par le passé aux heures de pauses. Tu te retournes, venant poser le bas de ton dos sur le brancard et croisant les bras sur ton large torse, « Leanne ? Leanne Cohen ? ». Tu fais mine de ne pas être certain, mais tu l'es parfaitement. Et tu fiches parfaitement que le patient soit encore avec vous, de toute manière il dort. Cette jeune femme a était une amante pendant un long, un très long moment. Nombreuses sont vos parties de jambes en l'air qui ont vu le jour dans cet hôpital. Un regard, un sourire, un simple mot et vous vous retrouviez dans n'importe quel endroit adéquat pour assouvir vos désirs.    
 

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30 novembre 2016. En regardant le médecin suturer la plaie avec autant de minutie, je ne comprenais pas comment nos ébats sexuels avaient pu être aussi passionnels et charnels avec autant de douceur et de précision dans ses gestes. Certes il n'avait jamais été brutal à mon égard lors de nos parties de jambes en l'air mais nous ne jouons pas aux cartes quand on se retrouvait. Peut être était ce tout simplement des pulsions qui le faisait devenir un autre homme lorsque j'étais en sa présence ? Enfin quoiqu'il en soit, le moment semblait mal choisi pour venir lui rappeler les bons moments sexuels qu'on avait pu passé ensemble. Et puis il voulait seulement savoir dans quel service j'avais été dans un premier temps alors je vins lui répondre. "Service pédiatrique", vins je juste lui répondre car il n'y avait rien de plus à ajouter à mon sens. Une fois la plaie du patient suturé, ce dernier fut emmené dans une chambre afin qu'il se réveille doucement de l'anesthésie et mes collègues m'avaient chargées d'aller surveiller le bon déroulement du réveil. Ce qui n'était pas pour me déplaire puisque j'avais osé avoir une approche plus directe et tactile avec ce médecin afin de lui faire recouvrir un peu la mémoire sur nos ébats charnels. Et mon plan a fonctionné à merveille puisqu'à peine dans la chambre du patient, nous n'étions plus que tous les deux, il vint citer mon prénom, tout en affirmant que le patient avait besoin de repos. Mais je n'entendis pas sa recommandation au sujet du patient mais bel et bien mon nom qui venait de sortir de sa bouche. Alors je vins répondre. "Oui c'est bien moi, vous en avez mis le temps à vous souvenir dis donc ?", lui fis je, restant à proximité de lui au cas où il souhaiterait reprendre là où on s'étaient arrêtés il y a plusieurs mois. Surtout que je crois me souvenir qu'il y avait un local à côté de la chambre où on pouvait facilement s'adonner à des plaisirs charnels plus que passionnels.
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