Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityWILDINFORD • Je reviendrais toujours m'éteindre entre tes mains.
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WILDINFORD • Je reviendrais toujours m'éteindre entre tes mains.

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Tu pensais pas que ça serait si dure, qu'au fond de toi, tu t'était déjà attaché à ce bout de viande qui grandissait en toi. Tu ne t'était pas imaginé que ça te ferait aussi mal, que tu te sentirais aussi vide une fois le choix fait. Les remords te rongent, tu les sens grignoter ton esprit petit bout par petit bout et en entrant chez toi.. La seule chose que tu vous c'est la solitude. Une fois de plus, toujours et à jamais, tu sais pertinemment que c'est ce qui t'attend, que tu seras toujours seule au final parce que c'est ce que tu as décidé. C'est le seul moyen que tu as trouvé pour te protéger. Cole. Un seul prénom, le sien, toujours le sien, la seule personne que t'arrive à supporter même quand tout ton monde s'écroule. Parce que ton monde, c'est lui. Tu viens de recevoir ce sms de cette garce, blâmant une fois de plus ton meilleur ami, tu le sais en chute totale depuis quelques temps et tu sais aussi qu'il n'a pas besoin d'être seul ce soir. Tu l'attend, assise sur ton canapé, le regard vide et un verre d'alcool à la main. C'est presque devenu une routine, une princesse qui vient de trébucher, une couronne qui se fissure. Tu viens essuyer les larmes prêtent à couler sur ta joue, la sonnette retentit et tu sursautes légèrement avant de te lever. Tu inspires, tu veux paraître forte, fixant de nouveau ton masque de femme insensible avec lequel tu te force à t'habiller. - Tu m'as faite attendre Wildingham.. Que tu lances aussitôt la porte ouverte. Un sourire, tu t'écarte pour lui laisser le passage. - Ton verre est déjà prêt. Tu désignes d'un signe de tête le bar et sa boisson servit. Pas à pas tu t'approche, il est dos à toi et tu viens lui retirer lentement son manteau, le laissant tomber vulgairement au sol. Tes bras s'enroule autour de son buste, ton visage dans le creux de son cou, humant cette odeur de sérénité que lui seul arrive à t'apporter. - Merci d'être venu.
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Un nouveau sms assassin à mon sujet circulait, mais pour le coup l’expéditeur avait assumé ses actes, ne se cachant pas derrière un numéro inconnu, puisqu’il s’agissait cette fois de Sage. Je n’avais même pas eu le temps de réaliser ce qu’il se passait que ma petite amie venait me sortir de la panade en m’entrainant en dehors de cette soirée. Il était évident que Tate m’avait tendu un traquenard, peut être qu’il m’avait attiré volontairement là bas, pour que la VP Mather puisse prendre son cliché et cracher son venin… Qu’importe en fait, parce que malgré tous mes tourments, y’avait pire. Y’avait ce texto d’Hippo, ce qu’elle me révélait, ce qu’elle avait du aller faire, seule, là où je m’étais promis de l’accompagner, de la soutenir et de lui tenir la main. Meilleur ami en carton ? Non, juste obnubilé en ce moment par cette angoisse étouffante que le monde entier était contre moi. J’arrivais donc, sonnant chez elle, redoutant un peu ce que j’allais découvrir derrière sa porte : une femme effondrée ? Attristée ? Tordue de douleur ? Est-ce que ça faisait mal ce genre de choses ? Je me posais pas mal de question mais lorsqu’elle apparut devant moi, c’était, en apparence, la même Hippolyte. Ma meilleure amie dans toute sa splendeur et sa grandeur. Elle souligna d’emblée mon retard et je répliquai : « Il fallait que je dise bonne nuit à ma petite amie. Elle aime avoir un baiser avant de se coucher… » Sourire aux lèvres, fier de mes foutaises, j’attrapai la demoiselle par la taille pour l’attirer contre moi et déposai mes lèvres sur sa joue furtivement, avant qu’elle ne se pousse du passage et se dérobe à mes mains pour me laisser entrer. « Tu sais comment m’accueillir... » commentai-je en me dirigeant vers le verre qu’elle m’avait préalablement préparé. Et dans mon dos, je la sentis alors s’approcher, ses doigts faire glisser mon manteau, qui se retrouva alors par terre alors que le souffle de mon amie se perdait dans mon cou. « Je suis là. Je serais toujours là. N’en doute jamais. » Je savais qu’on allait devoir en parler, de ce qu’elle avait du faire, de comment elle devait se sentir. Mais je crois que j’étais plus à l’aise à l’idée de la laisser aborder le sujet d’elle même.  
(Invité)