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RUBI-X CUBE PARTY (TG Invités)

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TENUE (SERVEUR) : masque blanc ; nœud papillon noir ; caleçon noir.

La mâchoire qui s'entre-ouvre comme ces portes aux secrets qu'on ne prend plus le temps de conserver, seul le silence s'en échappe. Ce long silence sous l'effet de surprise que vient d'occasionner Noah. Bien que de marbre, rapidement les émotions viennent me perturber, mitigé sur un fleuve de pensée entre une colère bleu inexpliquée pour cet homme aux traits chauds et ce désir ardent qui vient brûler le fond de ma gorge, comme l'envie d'éteindre un feu en moi d'un simple contact avec ses lèvres. Cette tension de haut voltage qui lie nos corps s'éteint dans les moments de doute, de peur, où l'inconnu est connu comme dévastateur. Noah, ses lèvres, parfois j'en salive comme un chien, j'attends de sentir le poids de ses mains glisser de mes épaules au creux de mon dos. De serrer mon torse contre le sien. Dans le fond, c'est aussi ce qui le rend si désirable à mes yeux. Je sais, je le sais. Tout ça n'est que fantasme partagé, on se regarde comme deux amants, on se quitte comme deux étrangers. On danse à ce rythme, on partage le moment présent, nos pieds s'accordent et a aucun moment l'un ne vient marcher sur l'autre. Je n'ai jamais aussi bien dansé qu'avec lui sur ces chansons d'amour aux refrains de haine. La belle (Anastasia) au regard fatigué se permet à nouveau de vivre d'un clignement de cil. Un sourire désolé partagé, je laisse mon corps s'écrouler à côté du sien, attrape deux bouteilles, une dont je fais don à la demoiselle. « Désolé pour le verre. » Une main endormie sur la nuque, les canines toujours sur le devant de la scène, le regard qui voyage de ses yeux aux lignes de son nez. « Partons sur de la vodka ensemble. Aller, santé ! » Santé, que tu es fragile, que tu es belle. Santé, parfois tu pars le matin sans prévenir, tu quittes le lit et laisse derrière-toi des draps sales et souillés. Parfois santé, je tombe sur ton répondeur et tu le sais, sans toi, j'ai peur.    


@Anastasia Reynolds @Noah Arjen d'Aremberg
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T-SHIRT BLANC / ROBE DÉBARDEUR À PAILLETTES VERTE / CHAUSSETTES ROUGES / SOUS-VÊTEMENTS BLEUS / VESTE JAUNE / BASKETS ORANGES

Noah venait de ruiner le moment. Du Noah dans toute sa splendeur. Imprévisible et volatil. Je laissais échapper un soupir alors que les lèvres de mon meilleur ami venaient se poser sur mon front. Il repartait, laissant le verre que l'on venait de me préparer totalement vide. C'était gênant, mais ça, il s'en foutait pas mal Noah. J'adressais un sourire désolé avant d'attraper à nouveau la bouteille de vodka de tout à l'heure. « Désolé pour le verre. » J'haussais les épaules en souriant toujours. « Ce n'est pas grave... Ton verre a tout de même plu à une personne. » Ou pas. On en savait rien en fait. « Partons sur de la vodka ensemble. Aller, santé ! » Je pinçais mes lèvres et je venais doucement claquer ma bouteille contre la sienne. « L'inconnu, je suis chargée d'une mission. Je dois m'habiller d'une seule couleur et donc échanger mes vêtements avec d'autres personnes. Quelle couleur dois-je choisir ? » Il allait peut-être me donner un peu de courage à déshabiller les autres.

@Zeke Tindall
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TENUE (SERVEUR) : masque blanc ; nœud papillon noir ; caleçon noir.

Les deux bouteilles viennent se claquer comme les vagues de la mer viennent tabasser les grains de sable déjà humidifiés. Une première descente, dégorger des gorgées sur les rivages de ma peau. Zone de satisfaction, j'en viens à lever les yeux en direction du septième ciel encore trop éloigné pour se faire apprécier. Une première ride s'étire au rythme de la contraction des muscles de mes joues, un goût amer qui remonte. Ce pic dans le temps où tout s'écroule, pendant un instant, une seconde, le monde est infecte, invivable. Ma lippe abîmée par les morsures fauves de mes réflexions filantes s'enflamme au contact du liquide. Un premier picotement, un rappel à la vie. La douleur, beaucoup la fuient, moi je l'épouse, chaque jour. C'est elle, cette femme, cette doyenne qui dans sa rigidité vient souffler à mon oreille que je suis vivant. Je suis vivant et si je reste ici sans bouger, alors je ne vis plus. « Tes yeux terre s'associent parfaitement au vert feuille. » Je viens nerveusement glisser un doigt dans mon nœud papillon, gratte la matière du bout de l'ongle. Cherche dans la profondeur des éléments qui me composent la véritable réflexion qui m'anime, celle qui s'échauffe au fond de ma tête, qui guide mes yeux à ces points imaginaires où ils finissent par traîner comme ces chaussures où ne rentrent plus mes pieds. « Tu peux m'appeler Zeke, l'inconnue. » Un sourire moqueur cadré sur le côté, un léger rire qui s'échappe retenu trop longtemps prisonnier.  


@Anastasia Reynolds
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T-SHIRT BLANC / ROBE DÉBARDEUR À PAILLETTES VERTE / CHAUSSETTES ROUGES / SOUS-VÊTEMENTS BLEUS / VESTE JAUNE / BASKETS ORANGES

« Tes yeux terre s'associent parfaitement au vert feuille. » Je fronçais légèrement les sourcils en le regardant. Le vert, vraiment ? Est-ce qu'il est mather pour me dire une telle chose ? J'espérais que non. J'avais déjà une réputation de croqueuse de mather qui me suivait de près. Mais en même temps, un barman... J'avais l'impression qu'ils l'étaient tous chez les verts.. Ou alors, c'est le goût pour l'alcool qui les rendait serviables. « Je savais que j'aurais dû mettre des sous-vêtements verts et une robe bleue... » que je soupirais alors. Parce que j'aimais moyennement l'idée de devoir échanger mes sous-vêtements et de mettre ceux d'une autre femme. Mais en même temps, je n'étais pas non plus obligée d'écouter l'inconnu plus si inconnu que ça. « Tu peux m'appeler Zeke, l'inconnue. » Un large sourire venait égayer mon visage avant que je ne me mette à boire une longue gorgée d'alcool. « Je te donnerais mon prénom seulement si j'arrive à être vêtue de vert de la tête aux pieds.. » J'étais joueuse, ça m'amusait de faire ça. Peut-être que ça l'importait peu de connaitre mon prénom, je n'en savais rien. Mais je ne voulais pas oublier le pourquoi j'étais venue.

@Zeke Tindall
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TENUE (SERVEUR) : masque blanc ; nœud papillon noir ; caleçon noir.

« Ton prénom est donc plus intime que la couleur de tes sous-vêtements. » Des paroles coupées de petits rires discrets. Il y a ces situations étranges où dans un intérêt altruiste à l'inconnu, ces informations encore inespérées se dévoilent comme départ d'un long parcours, marque où se glisse le premier pied, celui qui d'une pression élance le reste du corps, un projet, une relation. La course, la grande, celle où mes poumons s’essoufflent dans ces corridors encombrés de ces corps qui vont et viennent, qui me surprennent. Ces corps qui deviennent des cœurs, qui dans la torpeur se meurent. D'abord ma tête qui me dis que je suis fou, que tous ces films dans ma tête ne sont que des scénarios qui ne vont se jouer, que cette fille en face de moi n'est qu'éphémère, que sa durée ne dépasse celle d'une soirée. Que ses sourires sont papiers pliés, que ses mots ne sont que discours mâchés. Puis peu importe, peut-être que demain, je ne me réveille pas. Peut-être que l'alarme ne va pas sonner, que le temps va s'arrêter, que la Terre cessera de tourner. Un sourire enjoué, difficilement affiché par l’acheminement qui encombre mes pensées, j'attrape le poignet de la demoiselle et l'attire avec moi dans les foules. Des brumes de sueur, des coups d'épaule, des pieds écrasés. Maintenant lié aux autres comme un champ d'électrons, le jeu peut commencer. « J'accepte la mission. »    


@Anastasia Reynolds
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T-SHIRT BLANC / ROBE DÉBARDEUR À PAILLETTES VERTE / CHAUSSETTES ROUGES / SOUS-VÊTEMENTS BLEUS / VESTE JAUNE / BASKETS ORANGES

« Ton prénom est donc plus intime que la couleur de tes sous-vêtements. » Peut-être bien que oui. Je n'avais pas tellement envie de faire un pas en avant dans sa direction. Je n'avais pas envie de dire qui j'étais, ce que je faisais ici. Je ne voulais pas lui donner l'occasion d'en apprendre davantage. Si tu savais Zeke à quel point j'étais au bout de ma vie, t'sais au point de venir ici pour espérer ressentir des choses, des sensations... Ou peut-être que je m'en fichais pas mal de te donner mon prénom. Peut-être que j'avais envie de faire ce jeu stupide, mais que j'avais clairement besoin de motivation. S'il y a une récompense au bout, c'était un moyen de te motiver toi, pour me motiver moi. À deux, on arrivera à me tirer d'affaire et quand ça sera fini, je pourrais m'éclipser sans que tu t'en rendes compte pour retrouver ma solitude. Ce soir, tout n'était qu'un jeu et l'idée de rester une simple inconnue me plaisait bien. Le jeune homme attrapait mon poignet et me tirait dans la foule. Personne ne portait de vert. Enfin si, mais avec une tenue complète. Je crois que nous n'avions pas de chance ce soir. Entre le cocktail que je n'avais pas pu savourer et mon prénom que je m'apprêtais donc à ne pas pouvoir révéler. Nous n'étions peut-être pas fait pour se rencontrer, du moins, pas ce soir. « Il n'y a pas de vert » lui confiais-je alors en grimaçant.

@Zeke Tindall
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SOUTIENT-GORGE ROUGE / PETITE CULOTTE BLEUE / CHEMISIER SANS MANCHE TRANSPARENT ROUGE / MINI SHORT VERT / BOTTES COURTES A TALON BLEUES / CHAUSSETTES BLANCHES / VESTE LONGUE ROUGE

Je m'éloignais de Noah d'un pas vif, presque assuré mais rapidement.. rapidement je sentais qu'au fond de moi, je me sentais plus vulnérable que jamais. Noah m'avait embrassé. Et rien que d'y penser, je sentais des bouffées de chaleurs m'envahir sans que je ne puisse me contrôler. Sauf qu'il avait embrassé Gabrielle aussi. Et en voyant sa tête quand j'avais prononcé son prénom, je m'imaginais immédiatement le pire, jalouse malgré moi sans que je ne m'en réellement compte. Qu'est-ce qu'il y avait entre ces deux là hein ? Pourquoi il avait fallu que se soit justement elle ? Je ne pouvais m'empêcher de penser au pire, de penser au fait que Noah était peut-être simplement en train de se foutre de ma gueule, de me jouer un numéro qu'il testait avec tout un tas de filles avant moi. Seulement, la sensation de ses lèvres sur les miennes encore présentes me laissait complètement perdue, bien trop marquée encore par tout ce qui c'était passé pour moi à travers se baiser. Je lui plaisais, il venait de me le prouver. Et ça me laissait complètement perdue. L'image de Gabrielle planait dans mon esprit alors que je pensais directement au pire cas de figure. Et si c'était sa copine ? Et si c'était elle celle qui avait failli porter son enfant ? Ma tête me tournais. Je repérais le bar, m'avançant d'un pas incertain du à l'alcool, avant que Noah ne me barre le chemin. « Alors ça va être ça notre nouveau paradigme ? Toi qui fuis et moi qui te cours après ? » Je m'arrêtais net face à lui, sourcils froncé. « Si ça marche avec les autres, dis moi pourquoi je suis là ? » Je restais silencieuse, mes yeux détaillant à nouveau son visage sans pudeur, cherchant à y trouver les réponses à mes questions. J'étais perdue, j'étais réellement paumée et je ne savais plus quoi faire, tiraillée entre ce truc incontrôlable qu'il déclenchait chez moi et ce besoin de me méfier de lui en permanence. « Si t'as besoin d'excuses pour te rétracter, soit. Mais ne viens plus me dire que je suis lâche d'être parti d'Harvard parce que là, tu ne vaux pas mieux que moi. J'suis fatigué de me battre contre deux personnes à la fois » Je sentais mon ventre se contracter à ses mots, blessée dans mon égo de l'entendre me traiter indirectement de lâche. « Ce n'est pas moi qui mens présentement. Je ne t'aurais pas embrassé comme je l'ai fais si je te prenais pour une conne, tu le sais, et je le sais. » Nouveau bond dans mon ventre en l'entendant parler de ce baiser qu'on venait d'échanger, et qui me rappelait bien trop cette attraction qu'il y avait entre nous, encore bien présente même là alors qu'on réglait nos comptes.« Mais je t'ai couru après pendant assez longtemps à mon gout. A ton tour maintenant » Je le regardais boire son verre cul sec sans bouger, analysant chacun de ses mouvements. « Qui ment ? Moi ? Alors que je l'ai croisée tous les jours en sortant de ta chambre quand tu étais dans le coma ? Alors que tu n'oses pas me dire ce qu'il y a avec elle ? » demandai-je avec sarcasme, détournant le regard à mon tour. Me rendant compte seulement après coup que je venais de lui dévoiler que j'étais allée le voir tous les jours quand il était dans le coma.  Et j'attrapai un verre qui traînait là à mon tour et le vidais d'une traite pour cacher mon trouble. Outch. Ma vision se troublait et pourtant, j'essayais de garder mon aplomb. « C'est ta copine ? » demandai-je malgré moi, mes yeux rivés dans les siens, pour en avoir le coeur net.

@Noah Arjen d'Aremberg
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VESTE BLEUE / CHEMISE BLEUE / PANTALON BLEU / CHAUSSURES BLANCHES / CALEÇON VERT / FOULARD ORANGE

Qu'est-ce qu'il s'passe ? Elle est pas russe pour rien, c'est des putains de montagnes avec elle. Toujours les mêmes haut-le-cœur, toujours la même contraction dans le ventre. La douceur et la fureur. Un baiser douloureux, un règlement de compte presque doux de vulnérabilité. On joue à quoi ? Depuis quand on s'explique ? Depuis quand on agit comme si on s'devait quoique ce soit ? Et pourtant, j'peux pas. J'peux pas lâcher prise, j'peux pas laisser tomber. Parce que cette fille là, elle n'est pas pareille, j'le sens, j'le sais. Je l'ai vu dans ses yeux la première fois, je l'ai senti sur sa bouche ce soir. C'est pas pareil et putain. C'que j'voudrais pouvoir lui laisser croire. Que j'ai une copine, que ça ne m'importe pas, qu'elle ne m'importe pas. Mais tout en moi est incapable de lui mentir, comme si même si j'voulais tout casser, j'étais incapable de le faire les yeux fermés. Ce comas m'a changé, je m'y fais pas. Je la fixe quand j'aboie, la lâche quand je bois cul sec, repose mes yeux sur elle encore une fois. Non, j'partirais pas, clairement pas. Et ma tête se met à tourner, une ivresse presque colérique, comme envie de tourner le gaz, comme envie d'me faire sauter les plombs, comme envie d'expliquer comme ça, ton indifférence, elle ne me touche pas. J'la regarde boire à son tour, et j'la trouve outrageusement belle. C'est complètement énervant, j'voudrais la gifler, l'embrasser, et la gifler encore. Déguerpir, fuir, et la laisser dans ses délires. Mais ses paroles m'attrapent, et dans ma tête elles résonnent. Tous les jours ? Alors, elle était là tous les jours ? J'ai envie de déglutir péniblement, ça fait une boule noir dans ma gorge, elle est serrée, étranglée. Je m'en veux encore plus de l'avoir lâcher, d'être parti sans rien dire, j'ai envie de m'faire mal, alors, j'cherche à la blesser elle. Je ne cille pas, continue de la fixer : "Non, elle n'est pas ma copine. Et toi non plus. Alors va te faire voir avec tes sarcasmes, tes accusations, et tes demandes d'explications ! Va te faire voir toi et ta cécité, toi et ta stupidité, parce que t'es incapable de voir que là, j'ai juste envie de t'embrasser !". Une main qui s'agite pour appuyer mon propos, nerveux, colérique, prêt à exploser de rage.

@Lara Kovalenka
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SOUTIEN GORGE BLEU / BUSTIER BLEU / MINI-SHORT VERT / CHAUSSETTES BLEUES / CHAUSSURES BLEUES / CALECON BLEU / ECHARPE BLANCHE / BONNET BLEU / VESTE BLEUE

Si t'avais pensé une seule seconde que ça se finirait de cette manière, tu ne serais jamais venue. Tu ne comprends pas. Pourquoi une telle animosité ? Pourquoi une telle cruauté à ton égard ? Ce n’était pas comme si tu les avais provoqués. Tu ne les avais nullement attaqués. Et au final, tu finissais par tout te prendre. Terriblement injuste. T’avais juste envie de les ignorer. Prétendre qu’elles n’étaient pas présentes. Juste un cauchemar. Tu dois juste te réveiller. Et ce conflit s’arrêtera pour de bon. Si seulement c’était aussi simple. Lisa Rose ou la fille que tu haïssais le plus. Et encore le mot demeurait faible. Ses manières. Sa façon d’être. Sa présence. Tu ne la supportais juste pas. Elle te cherche. Ses actes te poussent vers la colère. Une sensation amère que tu ne peux maitriser, que tu ne peux contrôler. Une sensation qu’on ne peut atténuer. Une envie d’hurler, de crier, de faire mal pour apaiser ce flux émotionnel qui se déverse en toi. Et cela en valait de même pour son caniche. Ariana. Tu écarquilles yeux au moment où elle te dépose un billet dans ton bustier. Nan mais tu hallucines là. Tu lui jettes un regard noir avant de déchirer le billet vert devant ses yeux. Tu les laisses parler. Parce qu’après tout, elles ne font que débiter des mensonges. Et le pire dans tout ça, c’est qu’elles en ont conscience. Tu n’es pas une escort girl. Hadès a monté ce stratagème de toute pièce. Et tu en payes les conséquences. Tu fais la sourde. Jusqu’à la dernière phrase de Lisa. Et Ariana qui vient d’y rajouter son grain de sel. Ton regard s’assombrit. Ton poing vient rencontrer le nez de Lisa. Inconsciemment. Sans que tu ne t’en aperçoives. Comment a-t-elle osé ? Comment peut-elle te parler de ta sœur de cette façon ? Mais quelle salope putain. T'espères de tout coeur qu'elle l'a bien senti passer celui-là. « Tu peux dire tout ce que tu veux sur moi, je m’en fiche. Salis ma réputation. Continues de révéler des conneries, tu ne sais faire que ça. Pas étonnant que plus personne ne veuille être avec toi. Je plains même Pongo. Mais plus jamais tu ne prononces son nom. Plus jamais tu ne parles de ma sœur de cette façon. Je viens te donner une bonne raison d’aller de te refaire le nez » Tu étais prête à la détruire. Vraiment. Tu veux la voir disparaitre. La supprimer. Lui ôter son droit de vivre. Maintenant qu’elle avait osé parler de ta défunte sœur, tu ne répondrais plus de rien. « T’as finir ton cinéma là ? Parce que si c’est pour te rendre intéressante, t’as raté ton coup. Et tu viens enfin d’avouer toi-même la vérité. On sait toutes qui ici dit la vérité. On sait toutes qui ici est encore vierge et n’a jamais pu se créer un compte d’escorte girl. C’est marrant que tu sois autant renseignée sur le sujet. Je vais finir par croire que tu étais de mèche avec Hadès. T’as tellement une vie de merde que t’es obligée de t’en prendre aux autres. C’est pathétique mais je te reconnais bien là. C’est dur d’être toujours reléguée au second plan. Dur de passer après moi. Profites de ton temps avec Hadès, ça ne durera pas longtemps, je te le garantis. » Cruella, elle continue de radoter. Sur Abélard. Sur les jumeaux. T’es lasse de tout ça. Tu ne réponds rien. Tu l’ignores juste. T’as même plus envie de gaspiller ton souffle pour elle. Juste une perte de temps. Elle ne fait que te menacer. Croyant pouvoir t’impressionner. Que nenni. Tu éclates de rire. Se foutant royalement d’elle. « Mais ma pauvre Lisa, t’as aucune autorité sur moi. J’ai aucunement l’intention de me déshabiller donc t’es gentille retourne faire mumuse avec demi-portion et sa couille en moins. » T’étais prête à quitter la pièce mais c’était sans compter sur son chien de garde pour t’arrêter.  « Tu te donnes beaucoup trop d’importance j’ai l’impression. Redescends sur terre trente secondes. Par contre, faut me dire qui est la trainée et qui est la pute. J’ai dû mal à me décider, ils vous vont tellement à ravir. Surtout que c’est toi-même qui vient de vous décrire à l’instant. Mais soit, partons pour Lisa la pute et Ariana la trainée. Ça sonne bien non ? Et je crois que t’as mal suivi l’histoire ou alors t’as une case en moins. J’ai toujours été le plan A d’Abélard et figure toi que c’est encore le cas. Ta jalousie est moche à voir franchement »  tu rétorques du tact au tact avant de les planter comme les sous-merde qu’elles sont et rejoindre Briony. « Si tu as envie de quitter la soirée, emmène-moi avec toi s’il te plait » tu lui murmures, prête à exploser.

@Ariana Von Liechtenstein @Briony Silver @Lisa-Rose Wertheimer
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BASKETS VERTES / JUPE VERTE / DEBARDEUR VERT / SOUS VETEMENTS BLEUS / VESTE VERTE / FOULARD JAUNE


Je suivais au loin les histoires de Rhiannon. Je la voyais entourée de ces meufs que je pouvais juste pas blairer. Que ça soit la première blonde (Lisa-Rose) qui avait fait du mal au couplke de mon meilleur ami et Barbie (Ariana) qui tournait autour de mon mec, oui, non les deux était pires qu'en black-list là en fait. Je pouvais pas les blairer. Sauf que je voulais pas intervenir. Parce que Rhia m'en voudrait j'en étais certaine, mais j'étais en repli, prête à bondir et je savais que Wade c'était pareil de son côté et ça m'saoulait de voir qu'on avait encore la même façon de fonctionner. Comme si ça allait s'effacer du jour au lendemain. « Si tu as envie de quitter la soirée, emmène-moi avec toi s’il te plait » J'acquiesçais, lui prenant la main pour la sortir de la soirée, sans jeter un regard à mon ex. C'était fini je suppose, fallait que j'me fasse une raison. Une fois sorties, je reprenais la parole. Qu'est-ce qu'elles voulaient ?

@Wade B. Forbes @N. Rhiannon Callaghan
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