RUBI-X CUBE PARTY (TG Invités)

A l'instant même où je quitte ses lèvres, elles se mettent à me manquer. J'voudrais y replonger, encore, maintenant, et tout le temps. J'voudrais les bouffer, les arracher, les avaler, pour qu'elles ne s'échappent plus jamais. J'ai cette sensation de chaud et de froid à l'intérieur de moi. Comme si je me sentais à la fois complètement libéré d'un poids, et à la fois prisonnier. J'pourrais plus m'passer d'elle, j'le sais, quand j'la regarde, j'le sais. En fait, je ne le pouvais déjà plus. Depuis cette course poursuite dans la ruelle jusqu'à mes tribulations entre Prague et Tokyo. Je n'ai pas cessé un instant d'penser à elle et ... Bordel. Je n'étais pas prêt. A ce que ça tombe comme ça, un putain de coup de poing, en plein les dents, qui vient complètement m'assommer. Ou m'réveiller, je ne sais pas. Il y a cette voix dans ma tête, cette partie de moi, qui m'hurle de fuir. D'partir, d'garder mon cœur en papier kraft bien au frais dans son cercueil. Qui m'pousse à regretter, à faire passer ça pour une erreur, stupide erreur de soirée. Mais ... je ne peux pas. Quand j'la regarde dans les yeux, comme ça, je ne peux pas. Juste pas bouger, juste pas partir, juste pas m'éclipser. C'est comme si le sol tout entier s'était effondré sous mes pieds et qu'il n'y avait plus qu'elle, la lumière bleue, qu'explose mes rétines d'une vérité trop cruelle, insupportable de pureté. Elle m'fait l'effet d'une percussion électrique, rythmée, douloureuse, de ma poitrine à mes jambes qui tremblent et que j'essaye de contenir. Il m'faut tout mon courage et toute ma force pour chasser les pensées nocives, pour n'pas me laisser prendre au piège, pour n'pas enfiler mon armure et fuir comme un lâche. J'peux pas fuir, c'est impossible. C'est comme si j'avais attendu ça tout ce temps et ... merde. Je n'avais pas remarqué qu'elle ne s'arrêtait jamais d'être belle. Je n'avais pas remarqué à quel point j'étais obnubilé par ses yeux. Et sa bouche ... bon dieu sa bouche, je n'ai jamais rien vu d'mieux. Je déglutis à peine, une légère amertume que j'essaye de ravaler en même temps que mon haut le cœur. La mélancolie cachée sous mon visage, et puis va te faire foutre. Va te faire foutre Noah avec ta peur, tes frayeurs, ta phobie du cœur et tous ces trucs qui t'forcent à te museler, t'enfermer dans des cages aseptisée pour pas souffrir. Va te faire foutre toi et ta terreur de l'abandon, toi et ta phobie de la trahison, toi et ta peur de toi même, pauvre con. Va te faire foutre, ferme là, pour une fois dans ta putain de vie, ne fais pas semblant d'être ce cadavre amorphe incapable d'émotions. Tout c'travail que j'avais fait pour me fermer vole en éclat par un simple baiser. J'sais bien que demain, mon esprit forcera dans l'autre sens. J'sais bien que ça sera douloureux, éprouvant, éreintant, insupportable d'intensité. Que j'vais la vouloir, et que j'vais en crever. Mais là, maintenant, j'peux juste pas la lâcher. J'peux juste pas faire comme si d'rien n'était parce que c'est elle, parce que c'est moi, que c'est comme ça. Malades, fous à lier, intransigeants et terrifiés. Mais, si j'ai peur, alors elle aura peur avec moi. Et si elle a peur, alors j'serais là. Et sa phrase n'aurait pas pu être plus belle. J'veux dire ... bon sang. Elle vient d'un coup de vent balayer tout ce qui torpille ma tête et m'fait rire, putain d'rire parce que j'le vois bien qu'on est deux cons. Je ris d'amusement, de soulagement, d'frayeur. J'ris parce qu'il faut sortir toute la noirceur. Mes yeux s'mettent à briller, mes narines se dilatent, et presque mielleux d'attendrissement, j'lui dis, en reposant ma main sur sa joue délicatement : "Et toi tu es la personne la plus insupportable que j'connaisse". Et mon visage qui s'rapproche du sien : "Mais j'suis certain que tu peux m'détester encore plus fort", vole un tendre baisé, à peine appuyé. J'voulais pas que ce soit le dernier, ça ne peut pas être le dernier. J'me retire, souriant, gêné, déboussolé. Mes mains qui finissent par tomber dans mes poches et mes yeux qui ne lâchent pas : "Soyons un peu plus sérieux. Les affaires sont les affaires. Qu'est ce que tu as pour moi ?". Désignant d'un signe de tête sa tenue, faussement endurcit, juste histoire de ... prendre à la légère ce tour de magie.

@Lara Kovalenka

Tu laisses Hadès dans le couloir et revient dans la soirée, seule. T'es fière de toi, d'être habillée toute de bleu et t'es d'humeur à aller foutre le bordel. Encore un peu. Et ça commence avec Azraël et Alexander. T'enfiles un masque, passes à côté de la petite conne pour lui glisser quelques mots d'amour à l'oreille avant d'aller embrasser son ex. Qui réponds. Putain, tu fais semblant de kiffer ça avant de le planter sur place. Vites, un truc à boire. Faut que tu te désinfectes la bouche même. Et elle est où Aria merde. Tu la cherches des yeux, tu te perds dans la foule et tu la repères près du bar. Tu viens la voir en riant, elle semble pas comprendre et tu lui chuchotes, pour elle seule : Je viens d'embrasser Alexander pour faire rager cette conne d'Azraël. T'hausses des épaules et commande une coupe de champagne au bar. Entre temps, Aria se fait accaparer par un mec (Wade) que tu reconnais vaguement pour en avoir entendu parler. Tu laisses faire et Hadès vous rejoint. Glissant son boxer dans ta poche. T'affiches un sourire en coin mais ne lui réponds pas, pour pas attirer les regards. T'as pas envie que les gens rentrent dans votre bulle. Vous parlerez plus tard. Enfin, on te donne ta coupe de champagne et tu vois arriver Gabrielle vers toi. T'attrapes ta coupe et en bois une gorgée, pas du tout perturber de la voir arriver. Tu l'accueilles même avec un sourire en coin et surjoue le rire quand elle s'adresse à toi. J'accepte le compliment... que tu souffles, insolente. Oh tu le vois bien que tu l'insupportes, parce que tu t'en ai pris à son jouet. Elle peut le garder son jouet si c'est que ça. Il est trop stupide, ça devient lassant de jouer avec lui. Trop naïf, trop gentil. Aucune répartie. Bref, pas intéressant. T'hausses des épaules, feignant l'ennui. Tu peux le reprendre ton jouet, c'était marrant cinq minutes. Maintenant c'est lassant. Oui, tu te lasses vite et il te faut un autre jouet d'ailleurs. T'as envie d'aller faire chier quelqu'un d'autre alors tu tournes le regard vers la foule, essayant de trouver ta prochaine victime.

@A. Hades de Belgique-S. @Azraël-Sky Strudwick @Alexander Strudwick @Ariana Von Liechtenstein @Wade B. Forbes @Gabrielle.L Ferguson

La consigne était simple, remettre à la personne qui réussissait à s'retrouver habillée entièrement de la même couleur, un cadeau. Masqué sur le visage, presque nu sur le corps, je marche, un plateau à la main, vers une jeune fille (Lily). La coupant dans ses affaires, je l'interrompt d'un simple : "Mademoiselle". Lui tendant une vieille clef presque rouillée, une enveloppe et une couronne rouge vif ornée de perles noires. Une fois qu'elle eut récupérer ses biens, je m'éclipse, m'afférant à ma propre tâche.

Dans l'enveloppe, une lettre :

Cher ou Chère enfant de l'insolence,

Ta témérité te distingue de tes comparses et pour souligner le plaisir et l'honneur que tu fais à cette nuit, voici quelques effets.

La clef te servira à ouvrir la seule pièce fermée de cette maison. Une chambre sous les toits que j'ai eu le plaisir de nommée "suite nuptiale des enfers". Un lit à baldaquin, un bar à champagne et deux serveurs muets par choix et discret t'y attende pour réaliser le moindre de tes caprices. Tu peux y aller accompagné, d'une ou plusieurs personnes, tu es maître. Je compte sur toi pour te montrer imbuvable, princière et foutrement exquise.

Par la présente, je te confère le droit, de surcroit, de déshabiller trois personnes de ton choix. Tu pourras leur enlever à chacun un vêtement, le jeter, ou l'offrir à un autre participant, c'est à ta guise.

Je te souhaite une fin de nuit infernale, et que le malin continue de croître en toi.

@Lisa-Rose Wertheimer

OUT

Cette fille m’agace, comme on m’a peu agacé parce qu’elle est la cause de la boule dans la poitrine que j’ai depuis le début de la soirée. Elle a été fourbe, elle a été maline et elle a joué … en fait elle m’agace parce que je me retrouve face à quelqu’un qui peut se mesurer et me battre ? À mon propre jeu. En fait, je ne serais apaisé que lorsque je l’écraserais aussi. Elle tourne la tête quand je lui parle, et ça me fait rouler des yeux,  le comble de l’impolitesse. Nous sommes assez différentes dans nos similitudes, je ne la trouve pas subtile pour un sous, elle peut être un peu vulgaire mais elle a le mérite d’arriver à ses fins. Je souris, légèrement amusée quand elle me dit que je peux reprendre mon jouet. Le problème n’est pas qu’elle se soit servi de Denys mais plutôt qu’elle l’ait fait sans se soucier du fait que ça m’atteigne. Je passe un doigt doucement sur sa joue pour lui faire tourner son visage vers moi « Chérie tu ne comprends pas en fait … je vais devoir rendre les choses juste maintenant …» de trouver un de ses jouets à casser et je trouve ça dommage parce que j’aurais pu l’apprécier … mais tant pis. «Et au cas où tu as la mémoire courte je ne suis pas la seule à être bavarde quand je bois », je lui souris avec une certaine douceur, insolence déguisée, avant qu’elle ne soit interrompue par un serveur. Oh … je remarque sa tenue et je lui souris à nouveau avant d’ajuster sa veste, d’attacher son foulard pour qu’il tombe parfaitement « félicitation … tu es très jolie». Je dépose un baiser sur sa joue, fourbe ... « passe une bonne soirée » juste avant de lui tourner le dos, de jeter un dernier regard à Denys et de m’en aller. J’en ai eu assez de ces deux-là pour la soirée.

@Lisa-Rose Wertheimer @Denys Zacharias

SOUTIEN GORGE VERT ROUGE / PETITE CULOTTE VERTE / MINI SHORT BLEU / MINI VESTE ROUGE / CHEMISE ROUGE / BONNET ORANGE / LONGUES CHAUSSETTES BLANCHES SUR LE BAR / BALLERINES JAUNES SUR LE BAR / CRAVATE JAUNE SUR LE BAR

Tu rigoles à la remarque de Denys. Alors comme ça, ta meilleure amie avait voulu te caser avec lui  ?. On peut dire qu'elle connaît bien tes goûts, déjà brun, pas trop grand pour ta petite taille, regard de braise, ouaich elle te connaît bien ta femme. « Je pense qu'elle a dû voir que mon cas est plus désespéré que le tien et elle s'est dite, deux cas désespérés ensemble, ç'va automatiquement parler des bleus qui nous font tourner la tête. » Que tu lâches en souriant. Elle t'a raconté, tu sais que le mather en pinçe pour une bleue mais tu ignores si elle lui avait parlé de ta relation avec Cole. De toute façon, tout le monde le sait maintenant, puisque tout le monde te montre du doigt comme étant le déchet que l'eliot s'était tapé. Tu t'en fiches au fond, tu sais qui t'es et c'est l'enssentiel. Si les gens sont jaloux t'y peux rien. « Oui oui c'est le fameux eliot. Et honnêtement, j'ai pensé la même chose que toi, mais je me suis dit que si elle est capable d'enfermer Cupidon et de prendre sa place, elle capable de nous tuer wesh. » Ashleigh est capable de tout. Et dans la discussion, t'as complètement zappé de lui offrir à boire, alors tu lui tends ton verre encore rempli. « Ça c'est pour sceller cette nouvelle amitié. » Tu déposes ton verre devant lui et comme ça, pas d'objection. Il te parle d'un autre coloc dont t'avait parlé la miss, mais vaguement. « Oui oui elle m'en a parlé. T'sais Ashleigh c'est comme Hélène et les garçons. » Mon dieu si elle t'entendait, elle t'étranglerait. Soudain, tu sens une présence derrière toi et tu tournes légèrement la tête tombant nez à nez avec le mini short de Sloan et ses bagages beaucoup trop opressés et voyant. « Mais tu t'es travestis ou quoi Bordel  ?!. » T'en peux plus de lui c'est pas possible, tu pleures même de rire. Puis, tu remarques son clin d'oeil, comprenant toute suite cette échange. « T'as réussi à en choper une ein  ?. Du coup, t'as aussi le droit à une récompense et je te laisse décider. » Que tu lui murmures avant de te tourner vers Denys. « Je crois que ta fourbe vient de s'casser. » C'est abusé la meuf, elle le prenait pour son jouet et après elle s'étonnait qu'il parle à d'autres filles. Dompte là mec, ne la laisse pas te dompter, sinon après, elle se croira tout permis.

@Sloan Bushnell @Denys Zacharias

J'étais bien avec Abé, franchement je demandais pas mieux que d'être vue comme un morceau de viande ce soir. J'voulais qu'on me regarde de nouveau comme une femme, qui pouvait être désirable et non pas comme une pauvre meuf qui venait de se faire larguer et qui avait du mal tous les matins à sortir du lit parce que son mec n'était pu là. J'en avais marre, fallait que je prenne les choses en main. Et j'avais la sensation qu'autant lui que moi on pouvait s'apporter un truc. Malsain certainement. Alexys avait l'air de s'énerver de son côté et ça me faisait de la peine, car d'un côté, elle voulait aider.. mais de l'autre, elle avait rien à foutre ici, qu'elle me laisse faire ma vie. J'en veux pas ! A vrai dire, je veux pas avoir à faire à qui que ce soit ce soir. Tu veux que je te dise ?! Vous êtes tous des gamins immatures qui vous amusez à vous détruire juste pour le plaisir. Qu'est-ce qu'il y a à y gagner ? Rien, absolument rien. On parle pas de confrérie, d'amitié ou je ne sais quoi putain, c'est avec vos sentiments que vous jouez vous êtes vraiment cons ! T'es dégueulasse de jouer sur ce plan là putain. Parler de sentiments alors que c'était moi qui était en train de douiller comme jamais dans cette rupture alors que lui il était en train de récupérer une petite culotte chez c'te fausse ingénue qui voulait juste lui sauter dessus et qui était en train de se faire accoster avec cette fausse blonde refaite de partout ? Mais go to hell tout le monde. Mes envies de meurtre s'accentuèrent quand la blonde (Ariana) nous fit un signe de la main. J'allais la défoncer c'était pas possible autrement. Elle savait qui j'étais ? Ou elle salait Abé ? Tu la connais ? Et enfin, Wade se tournait vers nous. Sans un regard pour moi, rien du tout, j'étais totalement effacée de sa vie. Mais par contre, le mec à côté de moi eut le droit à un doigt. Okay. J'croyais qu'il pourrait pas plus me blesser qu'avant, je pensais pas. Mais si. Etre transparente pour lui c'était pire que tout. Allumer tous les mecs de la soirée ne serviraient à rien. Voir des meufs... ? Te sous estime pas, j'ai pas besoin d'être pétée pour t'embrasser. Okay, what the fuck. Je regardais Az[/color], ne captant absolument pas le délire. [b]"Et beh, t'as bien rapidement changer de camp me voilà vexer" Je lançais un regard à Abé, à la fois perplexe mais qui essayait de reprendre une contenance. Pourquoi devoir définir un camp quand on peut avoir les deux.. ? La bisexualité c'est vachement bien. Faut pas croire. Laisse tomber, elle est pour moi. Pis là, t'avais une meuf masquée (Lisa-Rose) qui arrivait près d'Az, et moi j'comprenais pas grand chose, jusqu'à que je la vois arriver vers Alexander... pour l'embrasser. MAIS CEY QUOI CETTE SOIREE ET CES STRATEGIES PTN ? Je comprenais vraiment pu rien, j'étais le bouffon de la situation je crois. Pis mon meilleur ami s'approchait, fermé, froid.. tellement pas celui qu'il était d'ordinaire, jetant les vêtements d'Az. Okay. Sans un mot. Ca me faisait l'effet d'un coup de poing sans que je puisse pourtant expliquer quoique ce soit. Tu restes avec moi Bri, hein ? Je fronçais les sourcils. Avant d'approuver. Oui bien sûr.. J'crois que.. elle avait besoin de moi, genre.. c'était étrange, je croyais qu'elle m'en voulait encore. Elle se servait de moi. Mais avec une base de sincérité ou bien ? Laisses moi deux secondes avec le jeune homme. J'm'approchais d'Abé (enfin, Bri ignore toujours son prénom oui oui tout va bien) et passais une main derrière sa nuque pour le rapprocher de mon visage, nos souffles se mélangeant. J'aimais cette proximité, j'aimais savoir son corps près du mien. Je passais ma deuxième main autour de son cou, cherchant à réveiller ses sens. Dans.. dix minutes, dans l'une des chambres du haut. Si ça se trouve il voulait pu de moi, je verrai bien dans son regard ce que ça allait donner. Et je m'écartais, plongeant mon regard dans le sien.

@Lisa-Rose Wertheimer @Azraël-Sky Strudwick @Alexander Strudwick @Ariana Von Liechtenstein @Abelard Z. de Belgique-S. @Wade B. Forbes @Alexys C.-Mordachov

Gabrielle s'avance vers toi et tu l'accueilles avec un sourire insolent. Tu la laisses dire, la remercie même pour le compliment et souffles quand elle se met à parler de Denys. Elle voyait pas que tu lui faisais une fleur là ? Qu'est ce qu'elle était allée se faire chier avec un mec pareil ? Franchement... Il est pas dégueulasse à regarder, tu l'avoue. Mais c'est tout ce qu'il a pour lui. Et si elle veut le reprendre, très bien. Tu t'en fous. Tu tournes le visage quelques secondes pour regarder ailleurs, pour te chercher une nouvelle victime. Mais Gabrielle glisse ses doigts contre ta joue pour avoir ton attention alors qu'elle profère quelques menaces. Tu lui rends son sourire avant de souffler, amusée. C'est des menaces Gabrielle ? Parce que si c'est le cas, j'adore les menaces... T'es insupportable quand tu t'y mets et si en plus Gabrielle s'y mettait aussi, ça allait faire quelques étincelles. Oh oui, elle savait des choses sur toi. Mais pour le moment, tu t'en foutais un peu. T'avais réussi ton bizutage en beauté et c'était ça le plus important. Tu verrais plus tard pour les conséquences. Alors que tu discutes avec la jolie Gabrielle, un serveur vient vous interrompre et te remets une clé, une couronne et une lettre. Tu comprends pas tout de suite et ouvre l'enveloppe pour en lire le contenu. Un sourire en coin se dessinant sur tes lèvres. Ohlala, qu'est ce qu'on venait pas de faire là ? Ils étaient fous, t'allais tout casser avec ces nouveaux pouvoirs. Tu relèves les yeux sur Gabrielle, qui te félicite. Merci ma belle... que tu lui souffles en retour, un petit sourire entre les lèvres alors qu'elle réajuste la veste empruntée à Noah et le foulard piqué à Noé. Toi aussi... Oh toi c'est sûr que t'allais t'amuser. Gabrielle finit par te quitter et tu restes quelques secondes, pensive, coupe à la main. Tu la termines d'une traite avant de réfléchir. Il fallait que tu récupères tes chaussures. Tu pouvais pas laisser Sloan les donner à n'importe qui, avec la chance que t'avais, elles allaient terminé aux pieds d'une Mather et c'était mort. Tu glisses ta couronne sur la tête. Une vraie Reine. Putain, tu te sens plus c'est bon. Et tu tournes la tête pour essayer de repérer Sloan, qui n'est pas très loin. En compagnie de la traînée de Mather (Lucky) que se tapait Cole - ou pas selon ses dire à lui. Tu rangeais la clé dans ta poche, t'occupant de ça plus tard, ainsi que la lettre. Tu te dirigeais vers Sloan quand tu remarques le short qu'il porte. Je veux même pas savoir comment t'as réussi à choper un truc pareil. Tu ris légèrement, ignorant complètement les autres. Tous des Mathers en plus. Elles sont où mes chaussures, je dois les récupérer. Et en plus, tu le peux. Putain, c'est trop bon.

@Gabrielle.L Ferguson @Denys Zacharias @Sloan Bushnell @Lucky E. Burberry

Tout ce que je voulais, c'était cesser d'être blessé comme je pouvais l'être. Voir Az ici, c'était pas bon, c'était pas top. Je voulais plus la voir, plus avoir cette épée au dessus de ma tête parce que ça signifiait souffrir encore et encore. La voir embrasser Bri comme ça, avec ensuite ce regard pire que défiant. Non mais c'est quoi son problème en fait ? Elle veut m'énerver plus que de raison ? Elle avait réussi. Genre vraiment en fait et ça m'énervait qu'elle ait cette influence sur moi. Alors après que la meuf ait fini de jouer avec ma bouche, j'attrapais les vêtements de ma femme et je les lui balançais. Ouais, tu le vois Az à quel point j'suis énervé. Je m'étais éclipsé au loin et j'avais atterri au bar pour me commander la même chose. Un verre plein, rempli presque à ras-bord, de whisky. Sec. Sans rien du tout dedans. Et quand je l'ai eu, j'ai tout bu. Parce que ça me faisait du bien, ça me faisait tourner la tête et c'était pile ce donc j'avais besoin. Sauf que là, ça agissait et je ne pouvais pas rester comme ça. Alors je retournais sur mes pas, découvrant une Briony proche d'un mec et une Az qui attendait juste à côté. M'approchant d'elle d'un pas décidé, j'attrapais son avant-bras pour venir dire dans son oreille « Viens avec moi » Et je te tirais avec moi vers la cage d'escalier qui menait aux étages où se trouvaient les chambres.

@Azraël-Sky Strudwick @Briony Silver

OUT

Stp stp stp. Je me mettrais à genoux pour te supplier s'il le faut mais vraiment reste avec moi. Je me fous de tout les différents qu'on peut avoir, qu'on soit plus les meilleures copines du monde et tout ça. Je veux juste que tu restes avec moi parce qu'après ce qu'il vient de se passer, je vais pas assumer de rester toute seule tu vois. Alex il se fiche de moi. Il en a plus rien à faire et ça me bouffe. Je fais tout pour le faire réagir et y a rien. Il s'fiche de tout. Tu te rends compte d'à quel point ça fais mal ça Briony ? J'suppose. T'es plus avec Wade alors bon.. Les mecs sont des cons de toute façon. On aurait du sortir ensemble tiens, j'suis sûre que ça aurait été moins chaotique en fait. Merci.. que je murmurais doucement alors qu'elle se retournait vers Abelard pour lui dire j'sais pas quoi. Au pire, je m'en fichais, c'était pas bien important. J'croisais juste les bras attendant tranquillement qu'elle le lâche. J'avais aucune idée de ce qu'on allait faire, puis ça faisait aussi une éternité qu'on avait pas parlé et j'venais en quelques sorte, en fait carrément, l'embrasser à pleine bouche du coup ça risquait d'être compliquée. Et.. What the fuck ? Y avait Alex qui revenait en grande pompe fonçant droit sur moi, attrapant mon avant bras me chuchotant quelques mots à l'oreille. Et si je veux pas ? Ouais bah je semblais pas avoir le choix en fait. Il me traînait vers l'étage et je le suivais prête à lui hurler dessus une nouvelle fois s'il le fallait. En fait, j'comprenais plus rien quand il s'agissait de lui, j'étais juste paumée.

@Abelard Z. de Belgique-S. @Alexander Strudwick @Briony Silver

OUT

T-SHIRT BLANC / PANTALON BLEU : MINI SHORT VERT / CHAUSSETTES ROUGE / CALEÇON VERT / CHAUSSURES BLANCHES / SWEAT ORANGE

Elle était en sa possession, la fameuse culotte rouge tant convoitée, merci Anna pour cet échange. Il l'avait entre les doigts ou plutôt, dans la poche arrière de son short ultra serré. Non mais j'vous jure, il y avait que lui pour se balader dans un short de meuf où il perdait toute virilité, toute crédibilité. Le ridicule n'a jamais tué et ça, Sloan l'avait très bien compris. Il s'en foutait royalement du regard des autres, il était là pour s'amuser et ce short moule bite le faisait énormément rire. Il se désespérait lui-même, se foutait de sa propre gueule, cela l'amusait beaucoup. Il ne fallait pas grand chose pour lui faire tout oublier, un short de gonzesse, une culotte rouge et une promesse indécente. Il s'approcha du bar pour retrouver Lucky et Denys qui étaient, visiblement, en grande conversation. L'Eliot ignorait ce qu'ils se disaient et s'en foutait bien. Il s'était rapproché d'eux et fait de grande amabilités à son pote du Summer Camp. Il ne l'avait pas vu depuis un petit moment et franchement, c'était appréciable de lui parler. Sloan aimait bien ce type, c'était un bon gars avec de vrais principes, ce qui était plutôt rare de nos jours. Quoiqu'il en soit, il se tourna vers la brunette et lui lança un petit clin d'oeil subjectif. Eh ouais, il l'avait trouvé. Il ne mit pas longtemps à la trouver d'ailleurs. En le voyant, elle explosa littéralement de rire, elle dut vite rejoint par le jeune homme qui en fit de même. Il arqua un sourcil avant de prendre une nouvelle coupe de champagne sur le bar, c'était juste sa septième, normal. « Ouais t'as vu, c'est sexy sur moi hein ! Le machin il va exploser, laisse tomber. » répondit-il, mort de rire. Peu de temps après, elle le questionna sur la fameuse culotte rouge. L'avait-il ou pas ? Telle était la question. Il afficha un sourire ravageur avant de s'approcher légèrement d'elle. Il allait répliqué mais fut coupé dans son élan par Lisa-Rose. Il tourna la tête vers elle et se mit à rire. « Arrête t'es jalouse de mon short ! Il mets mes fesses en valeur j'trouve. » lança-t-il bêtement. Ouais, enfin c'était surtout ses parties intimes que ça mettait en avant. Putain, elle avait le don pour venir tout gâcher celle-là. Il roula des yeux avant de soupirer bruyamment et d'arborer une mine faussement embêté. Elle voulait récupérer ses chaussures, c'est dommage hein. « Ouais bah va les chercher direct, je les ai échangé à une Mather, une blonde. » commença-t-il en cherchant la meuf de tout à l'heure des yeux. Lorsque Sloan la trouva, il désigna Rhiannon du doigt et haussa les épaules. Décidément, la pauvre Mather, c'était sa soirée ce soir. « La meuf là-bas. J'sais pas, je lui ai échangé contre ce short, j'me suis fait arnaqué la gueule j'crois bien. » dit-il en rigolant. Il reporta son attention sur Lisa-Rose et lui lança un large sourire. « Maintenant s'tu veux bien nous excuser, faut que je cause à cette fille. » lança-t-il en désignant Lucky d'un geste de la tête. Ouais, en gros dégage, va chercher tes chaussures. Sloan s'étonna même de sa courtoisie, il faisait des progrès sur sa bipolarité.

@Lucky E. Burberry @Anna D. Guerlain @Denys Zacharias @Lisa-Rose Wertheimer @N. Rhiannon Callaghan