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la confiance est un concept si intime, qu'il faudrait se mettre à nue pour montrer qu'on ne cache rien

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la confiance est un concept si intime, qu'il faudrait se mettre à nue pour montrer qu'on ne cache rien.
Est-ce que les révélations de Cole blessaient Feryel? Bien sûre que oui. Elle qui pensait que ce couple quelque peu différents pouvaient se faire confiance, elle avait eu tord. Elle avait donné sa confiance à Cole en acceptant de jouer la comédie pour lui. Apprendre pendant leur premier voyage ensemble que Cole ne lui donnait pas cette même confiance était comme un couteau dans le dos. Ce voyage avait en premier lieu été un moyen à Cole de décompresser un peu, de laisser les problèmes de Boston là-bas, et de ne se préoccuper que de la magnifique ville de Genève. Le plan de la jeune femme n’avait toute fois pas marché, car son petit copain avait dû passer sa journée scotché à son téléphone au lieu de profiter de la beauté de cette ville. Feryel aimait cette ville, et bien qu’elle avait vécu toute sa vie à Boston, déménager ici ne lui disait pas non. Il y avait les Nations Unis, l’endroit où elle voulait faire carrière. Ce soir, cependant, le jeune couple décidait de laisser les épreuves de leur vie en dehors de leur chambre d’hôtel, afin de profiter de la présence de l’un et de l’autre, apprendre d’avantage à se connaître pour se lier. Feryel n’était pas exactement sûre de comment elle devrait s’y prendre, mais elle trouverait bien un moyen. Elle y réfléchissait pendant sa douche, laissant l’eau chaude couler le long de son corps, emportant avec elle les tensions de cette longue journée de conférence. Elle avait chargé son petit ami de commander la nourriture pour ce soir, et se demandait bien ce qu’il allait lui réserver comme dîner. Après une dizaine de minute, Feryel sortir enfin de la douche pour s’essuyer et se vêtir de quoi? Elle avait pas grand chose vraiment à mettre. Elle commençait à fouiller dans sa valise, mais en vein de trouver un bon ensemble, avant de tomber sur un ensemble de sous-vêtements qu’elle ne reconnu pas. Charlie? C’était la seule possibilité que sa meilleure amie lui ait glissé dans sa valise alors qu’elle ne l’avait pas vu. Visiblement, elle était mieux équipée qu’elle à ce niveau-là. Feryel enfilait donc l’ensemble noir en dentelle, et enfila sa robe de chambre par dessus avant de venir rejoindre son petit ami dans la chambre. Celui-ci était couché sur le lit, son téléphone dans la main. Feryel secoua la tête. « Je pensais qu’on avait dit qu’on allait passer la soirée rien qu’à deux. » Dit-elle en le rejoignant sur le lit pour lui arracher le téléphone des mains. Ce soir, la jeune blonde n’était pas d’humeur à partager le vice-président Eliot. Elle avait longuement réfléchi dans la douche à ce qu’elle pourrait bien faire, avant de prendre une décision quant à la confiance qu’elle pourrait donner à Cole, lui montrer qu’elle était sérieuse. Venant s’asseoir pardessus lui, Feryel planta ses yeux bleus dans le regard du britannique. « J’ai deux petites requêtes pour toi ce soir. » Commença-t-elle en déposant ses lèvres sur ceux du jeune homme pour un brief instant. « Premièrement, ce soir, je ne te partage pas avec ton téléphone. » Elle le balança sur le sol, loin du lit. « Et deuxièmement, je veux que tu me montres un peu de tes fantasmes que tu as de moi. » Venait-elle lui chuchoter doucement à l’oreille.
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 Après une journée à psychoter, à parcourir sur mon téléphone les réseaux sociaux sur lesquels les étudiants échangeaient, après avoir envoyé des textos à mes meilleurs amis et alliés dans ce combat pour faire face à cette machination contre moi, on pourrait croire que je laisserais enfin mon portable de côté. Mais non, Feryel avait disparu dans la salle de bain depuis quelques minutes et me voilà, téléphone en main, m’affalant sur le lit pour reprendre ma prospection.  J’avais déjà chamboulé nos plans, notre prévision de sortie, puisque j’étais fatigué, sur les nerfs et particulièrement tendu, et je continuais mes bêtises. C’était compulsif, plus fort que moi, je savais qu’il fallait que je lâche l’appareil, que j’arrête de chercher la petite bête, l’ennemi, le traitre, parmi chacun de mes amis, mais je n’y parvenais pas. Ou du moins, je n’y étais parvenu que lorsque les lèvres de la quincy s’étaient posées avec passion sur les miennes. J’étais tellement concentré que je n’entendis pas les bruits d’eau provenant de la douche cesser, je n’entendis pas non plus la porte s’ouvrir et ce n’est qu’en l’entendant parler en s’approchant du lit que je finis par relever les yeux. Son ton était quelque peu chargé de reproches et je me défendis : « Attends, regarde ce message qu’Hadès vient de m’envoyer. Avec Abé, ils pensent que Tate est peut-être… » Mais pas le temps de finir ma justification, Feryel s’était emparée du portable avec un petit air autoritaire. « Hey, mais… » commençai-je à protester avant de me taire aussitôt lorsqu’elle s’assit alors au dessus de moi. Là, bizarrement, soudain, mes petites recherches et les théories échangées avec mes meilleurs amis avaient soudain une importance moindre. La quincy annonçait avoir deux requêtes, ponctuant cette annonce d’un bref baiser qui finit de me calmer et qui chassa complètement mes préoccupations précédentes de ma tête. « Je t’écoute. » Elle annonça la couleur : pas de portable ce soir. Deuxième exigence : elle voulait que je lui montre les fantasmes que j’avais à son sujet… Son souffle au creux de mon oreille, sa position au dessus de moi, et cette évocation, tout ça eut l’effet curatif de faire taire mes neurones et de réveiller une autre partie de mon anatomie. « Ok, j’accepte, mais moi aussi j’ai une petite requête pour toi. » soufflai-je à mon tour avec un petit sourire, laissant mes doigts courir dans ses mèches blondes. «  Ce soir, je ne te partage pas avec ta robe de chambre. » annonçai-je donc, reprenant le ton et la formule qu’elle avait adopté quelques instants plus tôt. Et pour illustrer mes paroles, mes mains glissèrent jusqu’à la ceinture du vêtement, la dénouant avant de remonter jusqu’à ses épaules pour faire tomber le fameux peignoir… Mes yeux détaillèrent alors avec envie la jolie dentelle noire qui l’habillait, ses courbes joliment soulignées par cette sublime lingerie… Mes mains s’ancrèrent alors sur ses hanches, et l’attirant contre moi je capturais ses lèvres des miennes avec fièvre.  
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Si Feryel essayait de comprendre les psychoses et la paranoïa de Cole, c’était aussi quelque chose de fatiguant pour elle. La jeune Quincy avait ses propres problèmes à régler et ce n’était pas spécialement facile d’avoir en plus à gérer les folies de son petit copain. Elle espérait que ce soir, il pouvait se laisser aller pour simplement profiter de sa présence, et puis de l’hôtel aussi. Le séjour à Genève n’était que très court dû à la venue de Feryel pour une conférence. Si ce soir, il n’y aurait pas de restaurant en tête à tête, il serait reporté jusqu’à demain. Elle ne pouvait pas vraiment se plaindre d’un room service. La jeune blonde avait laissé Cole seul le temps de prendre sa douche. Après une longue journée, la jeune femme avait besoin de relâcher ses muscles sous l’eau chaude, mais en voyant son petit ami accroupi devant son téléphone, cherchant surement la faille parmi ses amis. Cela peinait Feryel de le souffrir ainsi depuis les incendies, et malgré qu’elle cherchait à tout prix de l’aider, elle ne savait plus spécialement quoi faire. En sortant de la salle de bain, et qu’elle le vit avec son téléphone que Feryel décida d’intervenir une bonne fois pour toute et de lui retirer son téléphoner, qu’elle s’empressa de jeter par terre. Ses amis pouvaient bien se passer de lui pour une soirée. Après tout, ils étaient tous les deux ensemble dans une chambre d’hôtel. Feryel n’était vêtue que de son peignoir et de ses sous-vêtements en dentelles, Cole ne pourrait pas lui résister. Assise sur lui, Feryel prit les devant, venant doucement embrasser ses lèvres. Cole la regardait, passant ses doigts dans ses longues mèches blondes. « Cela peut être facilement arranger. » Lui répondit-elle avec un petit sourire sur les lèvres, alors qu’elle le laissait lui retirer la robe blanche qu’elle avait sur ses épaules, révélant son petit ensemble. Puis, Cole vient l’embrasser, plus intense cette fois-ci, commençant ainsi leur petite danse des sens.

RP TERMINÉ.
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