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la clé du plaisir (mileigh)

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En ce moment, Milo subissait une grosse remise en question. Sa relation avec son parrain se détériorait à vue d'oeil, il semblait beaucoup plus réceptif à ses coups de gueule et le supportait de moins en moins. Il était difficile de vivre pour lui de vivre sous le même toit que John et son besoin d'évasion se faisait largement ressentir. Il était en cours mais n'écoutait pas, il courrait elle mais restait perdu dans ses pensées, il baisait n'importe quelle fille sans se soucier du qu'en dira-t-on, il était présent physiquement mais tellement absent mentalement. A la fin du cours, le Winthrop se leva de sa chaise et quitta la pièce, l'esprit ailleurs. Le sac à dos sur l'épaule, il réfléchissait à la suite de sa journée. L'envie de se défouler restait présente en lui, aussi, il se demandait si un peu de boxe ne pouvait pas lui faire un peu de bien. Il se voyait déjà transformer son sac de frappe en l'image de l'homme qui le rendait aussi négatif, aussi ronchon. Il ne supportait plus John et franchement, cela n'allait pas s'arranger rapidement. Conscient qu'il était à Harvard grâce à lui, Milo n'arrivait plus à faire semblant. Ses principes étaient corrompus par tant d’illégalité et de vices. C'était bizarre à expliquer mais même s'il était toujours en charmante compagnie, le beau brun se sentait seul. Avec Alexandra, rien n'allait comme prévu et, trop aveuglé par sa fierté, il ne laissait rien l'atteindre. Tout se bousculait dans sa tête et notamment la récente rencontre avec la famille royale. Le vide laissé par ses parents adoptifs était tel qu'il n'arrivait pas à s'ouvrir aux Norvégiens et à leur laisser une misérable chance. Son parrain semblait être sa dernière famille et pourtant, il le laissait tomber à son tour. Alors qu'il traversait le couloir pour rejoindre le hall et ainsi quitter l'université, son épaule claqua brusquement celle d'un mec sorti de nulle part. Sous la violence du choc, le Winthrop se décala légèrement sur la droite tandis que son agresseur tangua quelques mètres plus loin. « Sérieux mec ? Tu peux pas faire regarder où tu vas. » dit-il agressivement. En réalité, c'était lui en tord mais face à une armoire aussi imposante que le Castellan, l'autre mec s'excusa presque instantanément. Il soupira longuement avant de froncer les sourcils et de ramasser son sac qui venait tout juste de tomber. « C'est ça, dégage ! » râla-t-il sur un ton assez mauvais. Non, il n'y avait rien à faire, il n'était pas d'humeur en ce moment. En plus cela se voyait sur son visage, ses traits étaient plutôt figés et tirés. « Connard. » marmonna-t-il entre ses dents, tout en reprenant son chemin. Sa démarche était lente et contrôlée, il prit une longue inspiration avant de déglutir bruyamment. Et alors que tout espoir de passer une bonne journée semblait s'envoler, son regard se posa sur Ashleigh, un sourire vint instantanément s'installer sur son visage. Elle tombait à point nommer celle-là. Milo s'approcha silencieusement d'elle et, alors qu'elle était en grande conversation avec une amie, passa son bras autour de son cou. Sans chercher à comprendre quoique ce soit, il se mit à marcher, l'obligeant à faire de même. Il passa devant la meuf sans le moindre scrupule, arrachant la Mather à ses activités. En bon connard de base, il ne s'excusa pas de débarquer et d'imposer sa présence. « J'ai une bonne nouvelle Strauss. » lança-t-il en regardant droit devant lui. Le sourire semblait refaire surface sur son visage meurtri par les problèmes. Il se détendait, il en avait besoin. Le Winthrop tourna sa tête vers la blondinette et plissa les yeux. A l'aide de sa main libre, il sortit délicatement une clé de sa poche de jean. « Devine c'que j'ai là. » murmura-t-il. Une lueur de perversion se fit sentir dans son regard. Il s'arrêta de marcher et se plaça en face d'Ashleigh. Il s'humidifia les lèvres avant de poser la clé dans son cou et de la faire glisser sensuellement contre sa poitrine et enfin, la poser dans son soutien-gorge, entre ses deux seins. Les yeux rivés sur son décolleté, il rigola légèrement. Ashleigh savait pertinemment ce que cette clé signifiait mais avant qu'elle ne puisse prendre la parole, Milo sortit une deuxième clé de sa poche. « J'ai réussi à m'en procurer une autre, tout aussi intéressante que la première. » dit-il fièrement. Ah, il retrouvait le moral là. Il haussa les sourcils, l'air mystérieux. Mais bon, en grand gamin qu'il était, il ne pouvait pas garder le secret bien longtemps. « Une petite fringale ? » la questionna-t-il malicieusement. Eh ouais, monsieur avait réussit à chopper les clés des cuisines de l'université. Il n'y avait que ça de vrais dans la vie, le sexe et la bouffe. Alors si en plus, il avait l'occasion d'associer les deux, ça en frôlait presque le fantasme.
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Cours de musique terminé, tu étais sortit de la salle et tu traversais le yard afin de rentrer à la mather house. Tu avais plus cours, ta journée était finie alors tu allais te détendre dans ta confrérie en compagnie de tes amis. Tu savais que tu trouverais quelqu'un la bas, tu te faisais aucun soucis pour ça, mais en chemin tu croisas une amie qui t'interpella. Une discussion s'entama entre vous, prenant des nouvelles l'une de l'autre vu que ça faisait un petit moment que tu ne l'avais pas vu. Une connaissance plus qu'une amie, tu papotais de banalité comme les cours, vos maisons et des choses comme ça. T'avais rien de mieux à faire, rien de spécial dans la suite de ton programme alors tu acceptais cet échange de banalités. Tu étais pas le genre à blablater sur ta vie, à trop en dire sur toi et tu aimais bien rester sur la surface. Tu aimais bien rester dans le vague, qu'on ne creuse pas trop en toi parce que t'étais pas une guimauve. Tu avais quelques bons amis, des meilleurs amis mais tu n'étais pas la nana fleur bleue qui se livre facilement aux autres. T'avais pas confiance aux gens. Les sentiments encore moins. Tout ça n'était que futilité pour toi, tu savais que tôt ou tard les gens changent, qu'ils font leur vie, qu'ils oublient les autres ou bien les remplacent. Ceci fonctionné aussi bien en amour qu'en amitié et c'est pourquoi tu laissais très peu entrevoir tes sentiments ou émotions. Tu avais le contrôle sur ces points de ta vie et tu laissais pas les autres prendre le dessus. Tu t'interdisais de leur laisser le pouvoir sur toi ou bien ton coeur. Tu étais libre, indépendante. T'avais pas besoin qu'on vienne fouiller au fond de ta personne alors tu restais toujours vague. Ca t'empêchait en rien d'apprécier des personnes, d'être gentille avec eux tout comme tu l'étais avec cette fille sous tes yeux mais tu évitais d'aller trop loin. Tu voyais bien où ça menait tout ça. Tu l'avais constaté avec le mariage de tes parents, une vraie blague remplit de mensonges, de tromperies et de faux semblant. Tu voyais bien aussi comment Lucky allait pas bien ces derniers temps suite à ce connard de Cole, sans compter Ivy qui se laissait embobiner par Wade. L'amour rend trop aveugle, rend trop con, trop faible, trop misérable et toi tu tombais pas dans ça. On avait beau pourrir ton formspring de questions sur le fait que tu sois si facile à avoir, que tu écartais les cuisses facilement, tu t'en moquais bien. Y avait que ça de vrai : se faire plaisir avec un homme. Pas d'attache, pas de sentiments, pas de prise de tête, juste du plaisir, du plaisir et encore du plaisir. En parlant de plaisir, voilà que tu te fis attraper par le cou, sans l'avoir vu venir et que tes jambes se mirent à marcher sans même que tu ne l'aies vraiment choisi. Ta tête se tourna pour voir qui était cet intrus. Milo. Il venait de te dérober de cette conversation, sans pression, comme ça, surement pour le plaisir. Ca aurait pu faire chier n'importe qui mais toi ça te fit sourire. Entre vous y avait ce jeu depuis le début et tu aimais bien ça. Tu aimais cette façon dont vous vous taquinez sans cesse avec des textos ou des défis. Cette façon de se faire du rentre dedans sans scrupule. Il était tout comme toi et tu ne pouvais donc voir aucun inconvénient à son intervention. Tu te sentis même pas mal pour la nana avec qui tu étais en train de discuter. Tu lui fis juste un signe de la main, une petite grimace qui disait désolée et tu te retournas pour regarder devant toi. Il avait une bonne nouvelle et quand il pointa une clé sous tes yeux, un grand sourire s'étira sur tes lèvres. Tu repensas aussitôt à votre dernière discussion, au bureau du doyen, à la clé qu'il devait chopper pour que vous puissiez vous faire plaisir là bas. Un peu plus de danger, de risque, cumulé à du sexe avec le winthrop, c'était comme un jackpot. Vous vous stoppèrent, lui se positionnant devant toi tandis qu'il fit glisser ladite clé dans ton soutien gorge. Tu ne le stoppa absolument pas, peut importe que vous étiez à la vue de tous les étudiants qui passaient, tu te moquais du regard des autres et encore plus de ce qu'ils pensent. Ton sourire s'agrandit que plus face à son geste. Il était joueur, tout comme toi. Vous étiez une sacré paire à vous deux, surement pour ça que ça passait aussi bien entre vous. Il sortit une autre clé et tu haussas un sourcil, ne comprenant pas bien ce que cette clé était. Il comprit bien vite que tu avais besoin d'explication et sa question te donna une réponse. N'importe qui aurait pu croire qu'il proposait juste d'aller manger un morceau, mais pas toi. Sa voix et son regard te faisaient comprendre qu'il y avait plus que ça derrière. Puis tu le connaissais et vous étiez pas le genre à manger un morceau comme ça et papoter de vos vies. C'était un ami, pas juste un plan cul, mais quand même. Tu m'épates dis tu en hochant la tête avec un sourire en coin. Il avait ton respect, clairement. Je te suis, mène nous aux portes du paradis. Un clin d'oeil et tu te mordis la lèvre inférieure. Tu le suivais totalement, te laissant entraîner avec joie dans son plan, aussi diabolique puisse t-il être. Si vous vous faisiez chopper ça allait barder pour vous mais franchement tu pensais pas aux conséquences, juste aux prochaines minutes qui allaient merveilleusement pimenter ta journée et semaine. Perdons pas de temps, j'ai faim, dans les deux sens. Faim de nourriture mais faim de lui aussi, sisi.

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Milo n'avait pas hésité une seule seconde avant de se lancer à la recherche de la clé du bureau du Doyen. C'était devenu une mission pour lui, un défi auquel il ne devait pas échouer. Se taper une meuf aussi bonne qu'Ashleigh dans le bureau du tout puissant d'Harvard, cela relevait du fantasme. Il a toujours adoré baiser dans des lieux aussi improbables qu'insolite. Les lieux publics étant son domaine de prédilection, il ne cachait pas cette tendance que peu de gens partagent. Il n'était pas évident qu'il tombe sur une fille qui apprécie de se faire prendre dans une cabine d'essayage. Le Winthrop n'a jamais rien compris aux femmes, aussi deux femmes qui peuvent présenter des similitudes n'auront pas forcément le même comportement et la même aisance sexuelle. Chaque nana a son passé et  son vécut, faisant d'elle quelqu'un de plus ou moins abordable et un coup plus ou moins satisfaisant. La petite Strauss, elle, était un bon coup, voir même un très bon coup. Pas pudique du tout, elle arborait les parties de jambes en l'air avec une aisance déconcertante. C'était agréable de voir une fille aussi libérée et aussi dépravée que lui. C'est en partie pour cette raison que le jeune homme n'hésita pas une seule seconde à la déranger dans sa conversation. Il passait avant tout le reste. La blondinette semblait aussi surprise qu'impressionnée par les clés qu'il avait réussit à se procurer. Ne jamais défier Milo, avec une personnalité aussi bornée que la sienne, il mettait tout en oeuvre pour arriver à ses fins. « Qu'est-ce-que tu crois, il était hors de question que je n'obtienne pas cette putain de clé. J'te veux dans ce bureau, c'est non négociable. » répondit-il en la regardant droit dans les yeux. Le jeune homme se pinça les lèvres en la voyant parler. Il n'avait pas fait tout ça pour rien et comptait bien en profiter au maximum. Alors que le Winthrop laissait libre court à son imagination, Ashleigh lui demanda de la conduire directement au paradis. Non, non. Pas tout de suite, il avait d'autres projets pour l'instant. Elle lui sortit une phrase lourde de sens qu'il capta instantanément. « Alors à table ! » dit-il, les yeux remplis de perversion. La journée se terminait doucement, c'était la dernière heure de cours avant la fermeture de l'université pour la nuit. Ils allaient devoir faire vite. Milo prit la main de la blondinette et emprunta les couloirs, suivie de prêt par cette déesse Américaine. Il s'arrêta en plein milieu du couloir qui les menaient aux cuisines et se tourna vers la petite Ashleigh. Il se colla à elle et rigola légèrement. « Si jamais y'a quelqu'un, j'compte sur toi pour faire diversion. » murmura-t-il en ouvrant le manteau de la belle et en tirant sur son pull pour laisser apparaître son décolleté plus que généreux. Il haussa les sourcils avant de la regarder. « Brave fille. » dit-il juste pour la taquiner, la provoquer. Il reprit son chemin et s'arrêta au niveau de la porte. Un rapide coup d'oeil malicieux à la Mather avant qu'il n'insère la clé dans la serrure. Moment de vérité. Et là, par le plus grand des miracles, la clé se mit à tourner et un large sourire se distingua sur son visage. « Putain, je m'aime ! » conclut-il, fier de lui. Milo avait réussit à grugé l'intendant d'Harvard et lui voler ses clés, il devrait se convertir dans le cambriolage plutôt que de vouloir à tous prix ouvrir sa salle de sport.
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Milo t'avais chauffé avec cette idée de faire des folies de vos corps dans le bureau du doyen et tu lui avais laissé une semaine pour se chopper la clé. Pas patiente pour un sous, c'était pas question que tu attendes trop longtemps. Plus c'est long, plus c'est bon, certes mais y avait des limites tout de même. Tu avais donc attendu dans ton coin, le fameux moment où il viendrait t'annoncer qu'il avait la clé. Mieux qu'un sms, il l'avait affiché sur son instagram. Le monde entier allait savoir sans vraiment savoir que vous alliez faire des cochonneries sur le bureau du doyen. T'avais trouvé ça juste parfait comme annonce. Voilà qu'il fallait à présent trouver un jour pour mettre ce plan en oeuvre. Aucune date était fixée et c'est pourquoi c'était que meilleur quand le winthrop t'arracha de ta discussion avec cette fille pour pointer cette clé du paradis, sous ton nez. Il se doutait bien que tu n'allais pas pouvoir lui refuser sa présence avec ce joli cadeau qu'il t'apportait. Noël arrivait plus tôt cette année et tu n'y voyais aucun inconvénient. Ton sourire s'était étirée, montrant combien tu étais satisfaire et que tu avais hâte. Tu étais impressionnée par lui, bien que de ce que tu connaissais de sa personne, tu savais que quand il avait une idée en tête, un objectif, il y allait jusqu'au bout. Une fois de plus tu le constatais devant la détermination qu'il avait mise en oeuvre pour avoir cette clé. Lui même te le confirma, il n'était pas question qu'il ne l'obtienne pas. L'enjeu était trop important, vous le saviez l'un comme l'autre. Quant à son "je te veux dans ce bureau" il n'était pas tombée dans l'oreille d'une sourde. Il était direct et ça te donnait déjà des frissons en imaginant ce qui allait suivre. Tu l'informas que tu le suivais, que tu étais sienne. Encore plus quand il évoqua une autre clé, sous entendant la cuisine de l'université. Il te surprenait une nouvelle fois, agrandissant ton sourire et ton envie de lui sauter dessus maintenant. Cette journée allait se finir en beauté, aucun doute là dessus. T'attendais juste qu'il te guide, qu'il t'emmène avec lui. Main dans la main, tu le suivais à la trace à travers les couloirs. Il faisait déjà nuit et peu d'étudiants étaient dans le coin. Tu sentais l'excitation monter en toi au fur à mesure que vous avanciez et que vous vous rapprochiez des lieux en question. Stopper soudainement en plein milieu d'un couloir, Milo se colle à toi et te demanda de faire diversion s'il y avait quelqu'un. La question ne se posait même pas, toi aussi tu étais prête à tout pour que vous ayez assez à ces deux lieux et que vous puissiez vous envoyer en l'air comme pas permis. Quand il ouvrit ton manteau pour tirer sur ton haut laissant ta poitrine se dévoiler, tu baissas ton regard vers ses mains pour remonter tes yeux sur son visage. Un clin d'oeil bien explicite lui indiqua qu'il pouvait compter sur toi. Tu ignoras son brave fille, lui jetant juste un rapide regard noir. Il voulait dominer, tu le savais mais t'étais pas une brave fille. Tu le suivis toujours plus vers la fameuse porte. Pendant qu'il trafique la porte pour l'ouvrir, toi tu t'écartes légèrement pour surveiller ses arrières et les tiennes également. Personne à l'horizon, tu retournes ton regard sur lui quand il exprime son amour pour lui même. Tu vois alors quelqu'un au loin et sans chercher à comprendre tu appuies sur la poignée et tu pousses Milo à l'intérieur de la pièce, le suivant dans la foulée et refermant la porte derrière vous. C'était moins une dis tu alors que ton regard se pose sur la pièce immense dans laquelle vous êtes. Des tables en métal, des casseroles dans certains coins, des ustensiles dans d'autres, tout était nettoyé et parfait pour y mettre un vrai carnage. Attrapant le jeune homme par la taille, tes doigts se serrent contre le tissu de son haut et d'un coup sec tu l'attires vers toi. Reculant légèrement, tu te plaques contre le mur et entraînes le rouge contre toi. Sans perdre une minute, tes lèvres se posent sur les siennes pour un baiser rapide mais excitant. Tu rompes le contact de vos lèvres et le pousses légèrement sur le côté pour ne plus être prisonnière entre lui et cette porte. Ton regard se perd dans la pièce, à la recherche du frigo. Frigo que tu trouves finalement et dont tu te diriges. T'as faim, t'as envie d'un encas et tu comptes bien que Milo soit cet encas...

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Milo s'aimait, c'était un fait indéniable, il ne pouvait clairement pas nier le contraire. Lorsque la porte s'ouvrit, il vint brandir fièrement la clé et afficha une mine satisfaite. S'il avait pu, il aurait bandé pour lui-même. Mais bon, cela aurait fait trop narcissique quoi, du coup il se contentait d'être de lui et de se lancer des compliments en pleine face. Puisque visiblement, il ne pouvait pas trop compter sur Ashleigh pour lui en faire, comme le dit le proverbe : on est jamais mieux servit que pas soit-même. Et alors qu'il s'attendait à des exclamations de joies de la part de sa partenaire, la blondinette regarda derrière eux et, sans trop savoir pourquoi, le poussa à l'intérieur de la cuisine. C'est qu'il faisait quand même son poids le Winthrop, il eut du mal à se décaler face à sa force de mouche mais bon, il comprenait qu'elle soit pressée d'entrer pour vaquer à leur occupation favorite : une partie de baise torride. Oh ouais, toute la semaine il avait cogité sur les différents lieux qu'ouvraient les deux clés, toute la semaine il se mit en danger pour les récupérer et ainsi alimenter des fantasmes presque inavoués. Être excité à l'idée de se taper une meuf dans le bureau du Doyen, il n'y avait pas plus dérangé que lui. Sauf peut-être la petite Strauss qui semblait aussi ravie que lui à cette idée. Ashleigh vint refermer la porte derrière elle et lui lança une petite remarque légèrement paniquée. « Y'avait quelqu'un ? » la questionna-t-il. Il plissa les yeux en voyant qu'elle ne semblait pas l'écouter du tout. Ok Milo, tu parles tout seul mais c'est pas grave, t'as l'habitude ! Le jeune homme et leva les yeux au ciel avant de détailler, à son tour, la pièce ou plutôt, leur nouvelle salle de jeu. C'était la première fois qu'il entrait dans les cuisines d'Harvard et le moins que l'on puisse dire c'est qu'elles étaient propres et rangées. Absolument rien ne traînait sur les plans, on pu croire à une cuisine toute neuve, à peine sortie du magasin d'exposition. Quoiqu'il en soit, le Castellan n'était pas là pour juger de la décoration ou de l'hygiène de la cuisine, il avait beaucoup mieux à faire. Son attention se reporta sur Ashleigh lorsqu'il sentit ses douces mains le toucher. Il afficha un large sourire en baissant la tête et en se laissant traîner vers elle. Les choses sérieuses allaient enfin pouvoir commencer. Sans chercher à comprendre quoique ce soit, il la laissa l'attirer vers elle et machinalement, il posa l'une de ses mains sur la porte, histoire de trouver un certain équilibre. La blondinette se plaqua contre la porte et il ne pu s'empêcher de se coller à elle pour venir l'embrasser à pleine bouche. La passion animait ces deux êtres qui ne pouvaient pas être dans la même pièce sans se sauter dessus. Il n'avait rien de romantique entre eux, juste du sexe, du sexe et encore du sexe. Milo posa son autre main libre sur sa hanche et prolongea le baiser intensément, laissant leurs langues se mélanger et se trouver après une longue trêve. Quelques secondes d'un baiser torride suffirent à lui donner une érection. Bordel, cette meuf lui vendait du rêve. Les yeux fermés, il se laissait transporter par son baiser sulfureux et intense, des images plein la tête. Il repensait aux parties de jambes en l'air endiablée qu'ils avaient pu avoir par le passé. Il se remémorait son corps nu se courbant de plaisir sous lui. Il n'y avait qu'eux dans cette putain de cuisine et c'était plutôt délectable. Contre toutes attentes, Ashleigh mit fin au baiser et l'obligea presque à se reculer. Ne s'attendant pas vraiment à un tel stop, il afficha une tête semblable à ça. « T'es pas sérieuse là ? » lui lança-t-il, pas content. S'il y avait bien une chose qu'il ne supportait pas, c'était qu'on lui foute des vents.

hide les curieux la clé du plaisir (mileigh) 550846730
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