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feat. XAVIER DOLAN
avatar © BALACLAVA
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Zeke Tindall
Nom TindallPrénom(s) Zeke, BarryÂge 24 ans Date de naissance 15 Avril 1992Lieu de naissance Palo Alto, Californie Statut amoureux CélibataireOrientation sexuelle BisexuelClasse sociale MoyenneÉtudes majeures Arts plastiquesÉtudes mineures PhilosophieJob ServeurChoix de groupe #1 Mather HouseChoix de groupe #2 Lowell House
MATHER HOUSE
Savoir, qu'est-ce que savoir ? Moi je ne sais pas, je ne sais rien. Je ne sais jamais. Je ne sais jamais ce que la liqueur enrobée du verre peut m'apporter. Pourtant elle est là, confrontée à la chaleur de mon corps curieux, impatiente. Elle vacille d'un pôle à l'autre du verre, tourne et s'engouffre comme une tempête. Puis claquent les ressacs dans les parois, résonne l'océan paradisiaque et s'écoule comme une cascade sauvage le breuvage jusqu'à faire vibrer mes artères. Chaque seconde, je découvre, je me découvre dans des voies que je ne prend le temps d'imaginer. J'expérimente la vie sous les ombres de la débauche comme un nouveau départ qui ne cesse de se répéter. Toujours plus intense, toujours plus profond. Je ne sais que faire du passé et du futur, trop occupé à vivre mon présent comme le dernier instant.
LOWELL HOUSE
La philosophie est un art. L'art est une philosophie. Je vis de cet art philosophe. Je suis cette toile vierge qui de seconde en seconde se recouvre de pigments. Je suis cette création inachevée qui n'a ni queue ni tête, ni but ni intérêt, qui s'expose sans vraiment savoir pourquoi. Qui ne cherche pas même à savoir pourquoi. Tout savoir ou ne rien savoir. Tout savoir est ne rien savoir quand ne rien savoir est tout savoir. Je suis de ceux qui ne savent rien parce que personne ne sait. Je ne sais pas vraiment ce que je dessine sur mon carnet, je ne sais pas ce que représente ces croquis. Je ne sais pas si ils sont une partie de moi, une partie de ce qui m'entoure ou un mélange des deux.
Savoir, qu'est-ce que savoir ? Moi je ne sais pas, je ne sais rien. Je ne sais jamais. Je ne sais jamais ce que la liqueur enrobée du verre peut m'apporter. Pourtant elle est là, confrontée à la chaleur de mon corps curieux, impatiente. Elle vacille d'un pôle à l'autre du verre, tourne et s'engouffre comme une tempête. Puis claquent les ressacs dans les parois, résonne l'océan paradisiaque et s'écoule comme une cascade sauvage le breuvage jusqu'à faire vibrer mes artères. Chaque seconde, je découvre, je me découvre dans des voies que je ne prend le temps d'imaginer. J'expérimente la vie sous les ombres de la débauche comme un nouveau départ qui ne cesse de se répéter. Toujours plus intense, toujours plus profond. Je ne sais que faire du passé et du futur, trop occupé à vivre mon présent comme le dernier instant.
LOWELL HOUSE
La philosophie est un art. L'art est une philosophie. Je vis de cet art philosophe. Je suis cette toile vierge qui de seconde en seconde se recouvre de pigments. Je suis cette création inachevée qui n'a ni queue ni tête, ni but ni intérêt, qui s'expose sans vraiment savoir pourquoi. Qui ne cherche pas même à savoir pourquoi. Tout savoir ou ne rien savoir. Tout savoir est ne rien savoir quand ne rien savoir est tout savoir. Je suis de ceux qui ne savent rien parce que personne ne sait. Je ne sais pas vraiment ce que je dessine sur mon carnet, je ne sais pas ce que représente ces croquis. Je ne sais pas si ils sont une partie de moi, une partie de ce qui m'entoure ou un mélange des deux.
APRÈS LA BOMBE.
Le corps lasse et frêle niché sur la banquette arrière de la voiture, je suis cette distraction qui attise l'attention des plus curieux qui dévalent sur le parking. Les troupeaux, dans leur mouvement de groupe, deviennent une douce mélodie qui parvient à pénétrer mes songes. Mes songes, ceux qui m'absorbent, inconscient, somnambule, dans cet entre-deux qui s'éternise. L'heure se renverse, se déverse, se vide. L'heure est précieuse, particulièrement la dernière, celle que personne ne voit venir. Sans doute car elle est discrète ou simplement malvenue. Elle est là, elle se cache, tapissée dans le voile sombre qui recouvre les particules de lumière. Éclate les pares brise dans un bruit sourd, les corps se mettent à danser comme des électrons. Le feu, les flammes. Déflagration. Un goût de fer qui prend en bouche. Le vide, un trou noir, puis rien. C'est tout ce dont je me souviens.
Le corps lasse et frêle niché sur la banquette arrière de la voiture, je suis cette distraction qui attise l'attention des plus curieux qui dévalent sur le parking. Les troupeaux, dans leur mouvement de groupe, deviennent une douce mélodie qui parvient à pénétrer mes songes. Mes songes, ceux qui m'absorbent, inconscient, somnambule, dans cet entre-deux qui s'éternise. L'heure se renverse, se déverse, se vide. L'heure est précieuse, particulièrement la dernière, celle que personne ne voit venir. Sans doute car elle est discrète ou simplement malvenue. Elle est là, elle se cache, tapissée dans le voile sombre qui recouvre les particules de lumière. Éclate les pares brise dans un bruit sourd, les corps se mettent à danser comme des électrons. Le feu, les flammes. Déflagration. Un goût de fer qui prend en bouche. Le vide, un trou noir, puis rien. C'est tout ce dont je me souviens.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
Les regards baissés, les sourires comme de vulgaires esquisses gommées. Les pleurs, la peur, les visages moqueurs, les messes basses, les complots, les plans sur la comète, les théories imaginaires et les hypothèses réfutables à peine énoncées. Les lames de rasoir qui traînent sur le coin du lavabo, les départs précipités, les joues ignées, l'anxiété. Bon ou mauvais, bien ou mal. Des nuances, du blanc et du noir. Des journées grises aux odeurs de maladie incurable. Des dépouilles d'affaire dans un décor pseudo post-apocalyptique. Des rayons de soleil qui ne se font plus désirer. Des morceaux de papier froissés, des rêves oubliés. Des décombres, des pourquoi, des comment et pas une seule réponse. Des combats où l'encre des veines saigne sur les affiches. Tous ces restes de brume se maintiennent à moi, me suivent à travers les clairières, les autoroutes, les voies ferrées, les courses à pied.
Les regards baissés, les sourires comme de vulgaires esquisses gommées. Les pleurs, la peur, les visages moqueurs, les messes basses, les complots, les plans sur la comète, les théories imaginaires et les hypothèses réfutables à peine énoncées. Les lames de rasoir qui traînent sur le coin du lavabo, les départs précipités, les joues ignées, l'anxiété. Bon ou mauvais, bien ou mal. Des nuances, du blanc et du noir. Des journées grises aux odeurs de maladie incurable. Des dépouilles d'affaire dans un décor pseudo post-apocalyptique. Des rayons de soleil qui ne se font plus désirer. Des morceaux de papier froissés, des rêves oubliés. Des décombres, des pourquoi, des comment et pas une seule réponse. Des combats où l'encre des veines saigne sur les affiches. Tous ces restes de brume se maintiennent à moi, me suivent à travers les clairières, les autoroutes, les voies ferrées, les courses à pied.
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle neurosis et j'ai 19 ans. Je suis français et j'ai connu le forum grâce à bazzart. J'aime ce forum, il est actif alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Xavier Dolan comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par BALACLAVA. Je fais environ 200-600 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
Mot de la fin ? ▲ fin
Je souhaite ▲
adhérer à un flood d'intégration
je veux être parrainer
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si personnage inventé:
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[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u6806]►[/url] ► <span class="pris">XAVIER DOLAN</span> ♦ “ Zeke Tindall ”[/size]
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