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Sagel Δ J'aime son putain d'accent.

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Sagel, on est de retour.


• Je regarde à droite puis à gauche avant de traverser. Réflexe moteur, trouble obsessionnel compulsif, appelez ça comme vous voulez, mais depuis que mon meilleur ami est mort écrasé sous mes yeux au Brésil, j'ai choppé cette manie. J'ai beau être déchiré, j'ai beau avoir bu comme un trou sans fond, je pense encore à faire ça, je pense encore à regarder avant de traverser. Je ne sais pas si je marche droit, disons qu'à cette heure-là, je m'en moque. On a bien merdé, comme des jeunes anarchistes, on a bien foutu le bordel. Je ne la connaissais pas avant ce soir cette fille, à part de vue, c'est quand même la vice présidente de ma confrérie, mais... Je la voyais pas aussi pété dans sa tête en fait. On c'est retrouvé à cette soirée de bras cassé, on c'est retrouvé dans cette maison où il y avait une limite à pas dépasser, ou il y avait peu d'alcool, ou il fallait faire attention à tout ce qui nous entourait, à ne pas détériorer la pelouse, et putain, ça m'a fait chier, j'ai eu l'impression d'être à une boom d'une gamine de treize ans qui va demander à tout le monde de rentrer à partir de vingt deux heures et qui va vouloir jouer au jeu de la bouteille. [...] Alors, c'est parti en couille, il ne m'a pas fallu longtemps avant que je foute le bordel, rapidement rejoins par la vice-présidente. Elle était avec moi, en ce moment, on avait foutu un beau bordel, et on c'était chauffé, et là, la seule envie que j'avais, c'était couché avec elle, et vu sa façon de me toucher et de m'embrasser, elle en mourrait d'envie aussi. C'est pourquoi on c'était dirigé dans ma chambre à la Mather. Rien à foutre de tous ces pacifistes de Quincy baiseur d'animaux qui pouvait squatter chez nous, rien à foutre qu'ils entendent nos ébats, parceque putain, ces coincés du cul ils doivent pas baisé souvent. Bref, je m'éloigne, on vient de franchir ma porte de chambre que je claque et referme derrière nous, je m'approche d'elle, la plaquant contre le mur pour sauvagement l'embrasser, laissant mes mains passer dans ces cheveux, mordant ces lèvres... J'avais envie d'elle... "Installe toi, fait comme chez toi..." Décollant mes lèvres des siennes, j'avais fait un, puis deux, puis trois pas en arrière pour aller en direction de la salle de bain, j'avais besoin de me passer un coup d'eau sur le visage, histoire de reprendre mes esprits, histoire de me réveiller et de lui montrer qu'elle a bien fait, de me suivre ici... •
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t'étais là, en train de massacrer ce qu'il reste d'un flamant rose en plastique, complètement déchiré, t'explose de rire. en fait, c'était sûrement le moment le plus fun de cette soirée, depuis le début tu t'emmerde comme pas possible, te vengeant sur l'alcool en pensant que ça te ferait passer une meilleure soirée. pas vraiment. c'était lui, ce mec que tu connais, que t'as sûrement dû croiser dans les couloirs de ta confrérie une fois ou deux mais t'as la tête trop à l'envers pour t'en souvenir. même de son prénom d'ailleurs, peu importe, le principal c'est qu'il est aussi perché que toi, qu'il se fait chier tout autant et vous faites la paire. il attrape ton bras, tu lèves ton majeure pour les quelques personnes que vous laissez derrière vous, le sourire aux lèvres tu suis cet inconnu. t'as pas peur toi, nan, t'as plus peur de rien depuis le summer camp. plus rien ne t'atteint, tout c'que tu veux c'est te détruire un peu plus. t'avance en suivant ses pas, te ramenant devant ce bâtiment que tu connais que trop bien. chez toi. chez vous. un sourire se dessine sur tes lèvres, tu te doute bien de comment se finira cette soirée. tu l'as cherché toute la soirée, il te l'a bien rendu, et c'est le corps en ébullition que vous entrez dans sa chambre. à peine tu poses un pas que tu te retrouve dos contre le mur, tes lèvres collés aux siennes, et son odeur que tu respires. tu mords dans sa lèvre inférieure, ta main s'emmêle dans sa crinière. court moment. il s'échappe, ta main dans la sienne glisse au fur et à mesure qu'il recule. tu souris bêtement, t'aime son visage. il est beau. beaucoup trop beau. son piercing lui donne un putain de charme, ses tatouages qui recouvrent son corps ça t'excite. tu sais pas pourquoi, t'as toujours aimé ça. - Tu m'abandonne déjà ?.. que tu dis avec une gueule de salle gosse. il tourne les talons et tu regardes un peu autour de toi, tes membres sont lourds, yeux à demis fermés, tu te laisse finalement tomber sur son lit. - Aïe ! ta tête cogne sur un truc à travers le coussin et tu te redresse en te massant le crâne. - Putain. que tu grognes en faisant glisser ta main en dessous, fouillant quelques secondes avant d'en sortir un flingue. tu souris encore, tenant l'arme entre tes mains. - On dirait presque un vrai !! tu lances euphorique en agitant ton nouveau jouet comme une enfant devant un cadeau de noël.





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• Habité par une haine, par une envie de tout casser, cette soirée avait été mon lieu de perdition. J'avais bu, une fois de plus, j'avais dépassé mes limites, une fois de plus, je m'étais retrouvé à tout vouloir casser, à foutre un bordel pas possible. J'suis pas un casseur pourtant, j'suis pas le mec que tu vas croiser dans ces putains de manifestations de pacifistes de mes deux et qui va s'amuser à retourner des poubelles, qu'est-ce que j'en ai à foutre de ça moi... J'avais foutu un beau bordel, mais je n'avais pas été seul, non... J'étais loin d'être seul. Elle était avec moi, cette fille, elle m'avait accompagné dans ma folie, nous n'avions pas vraiment eu besoin de parler, on c'était rapidement compris, on avait partagé cette envie, on avait foutu notre bordel, notre beau bordel, et puis... On avait disparu, laissant nos envies s'exprimer, laissant ce désir qui nous brulaient de l'intérieur se mettre à nue. A l'intérieur de ma chambre, je l'avais plaqué contre le mur, et sans plus attendre, mes lèvres étaient venue se plaquer contre les siennes, sauvagement, animal... Elle était belle, son visage angélique et ces formes parfaites, elle était plus que belle... Sa voix, sa façon de parler assez cru, tout ce qui me plaisait, elle avait tout, et je ne désirais qu'une chose, qu'elle soit mienne, au moins pour la soirée. Je quitta ces lèvres avec peine, mais j'avais besoin de me passer un coup d'eau sur le visage. Titubant jusqu'à la salle de bain, j'en sortis après quelques secondes. Je l'entendais parler, mais je n'avais pas vraiment fait attention à ces dires, jusqu'au moment où je la vis, assise sur mon lit... "WHO WHO WHO !" Avais-je gueulé en la regardant tenir mon arme entre ces deux mains, limite elle la faisait tourner entre ces doigts comme un cow-boy aurait pu le faire. "C'est pas un jouet, et j'crois elle est chargé, fait pas la con avec !" Dans ma tête, lui dire que c'est pas un jouet lui suffira à ne pas la pointer vers moi où faire je ne sais quelle connerie du genre. Je m'approcha donc d'elle, retirant mon t-shirt, confiant, surement l'alcool, parceque putain, quand on pointe une arme devant toi, t'es loin d'être confiant, surtout quand la personne est alcoolisé... •
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Tu t'es laissé entraîner à cette soirée minable où le temps paraissait long. Beaucoup trop long. T'y as mit un terme après t'être abreuvé en alcool, tout ce que t'avais besoin pour passer une bonne soirée. Presque tout, lui, c'était la cerise sur le gâteau. Une rencontre improvisée, un inconnu à tes côtés et vous aviez quittés les lieux avec une flamme d'envie que tu ne pouvait contrôler, que tu ne voulait contrôler en fait. Tu pensais seulement à l'union de vos deux corps, à ce baiser brûlant qu'il t'offre en passant le pas de sa chambre. Baiser trop court, que t'as pas assez savouré et tu exprimes ton envie d'en avoir plus en lançant un pique quand il recule au fur et à mesure. Quelques secondes en abandon sur son lit, trop vide pour toi seule. Tu finis par faire une découverte qui déclenche ton euphorie, cette imitation d'arme parfaite que tu tiens entre les doigts, que tu t'amuse à tourner dans tout les sens jusqu'à ce qu'il revienne dans la pièce en faisant mine d'être apeuré. Tu souris, regarde le flingue, le regarde à tour de rôle. - Ah bon ? Que tu dis pleine de malice en faisant mine de le croire. Il retire son t-shirt, partant pour reprendre là où vous en étiez juste avant. Toi aussi, mais t'as décidé de le faire d'une manière plus.. Amusante ? Excitante ? Il s'approche de toi et tu places ton pied sur son torse, le forçant à s'arrêter et à reculer légèrement. - À ma façon. Que tu balances sûre de toi, toujours ce sourire malsain gravé sur tes lèvres, l'arme toujours en main. Tu te fais glisser jusqu'au bord du lit, le dévisageant de haut en bas en te mordant la lèvre. - Déshabille toi et j'te laisserais peut-être la vie sauve.. Tes yeux brillants, tu lèves doucement la main pour pointer l'arme sur lui.





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• L'alcool était mon seul refuge, ma seule porte de sortie à cette vie faite de misère et de tristesse. Boire jusqu'à ne plus se souvenir, boire jusqu'à oublier tout ce mal qui te ronge de l'intérieur et qui te détruit à petit feu. Autodestruction. Chaque matin, à chaque réveil, la réalité me claquait à la gueule comme une bonne gifle qu'une mère aurait pu mettre à son enfant qui avait fait une connerie. Et puis, je recommençais, comme dans un cercle vicieux, je tournais en rond sans pour autant trouver une sortie, trouver une ligne droite. J'avais appris à aimer cette vie faite de débauche et de malheur, je m'étais habitué à cette tristesse, à la déchéance. Et dans ce cercle vicieux, je l'avais rencontré, elle, cette jeune femme qui avait tout pour elle, cette jeune femme qui avait la vie devant elle, mais qui agissait comme si elle l'avait déjà gâché. Comme deux aimants, nous avions été attiré l'un envers l'autre. Comme deux aimants, nous avions terminé la soirée chez moi, dans ma chambre à la Mather house. Une toute autre occupation, une toute autre envie qui me déchirait de l'intérieur. Le gout de ces lèvres m'avait envahi, ce doux parfum, j'en voulais plus... "Je rigole pas !" Mais l'alcool qui coulait dans mes veines disait le contraire. Lâchant un rire après ma phrase, je la regardais venir au bord du lit et pointer l'arme sur moi, m'ordonnant limite de me déshabiller devant elle. "Oh j'te jure c'est une vrai, déconne pas !" Mais l'excitation étant trop présente, je m'exécuta, soupirant, je retira mon jean puis mes chaussettes. Désormais en boxer, je tendais ma main vers elle. "Tu peux me la donner maintenant ? Je préfère te faire passer une nuit que t'oublieras pas plutôt que de finir entre quatre planches !" Non, je ne voulais pas mourir ce soir, j'voulais juste mourir de plaisir à ces côtés... •
© GASMASK
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